Princesse Mononoké

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Princesse Mononoké
Image illustrative de l'article Princesse Mononoké
Logotype francophone du titre du film
もののけ姫
(Mononoke-hime)
Type Animation japonaise
Genres Animation, aventure, drame, fantasie
Thèmes Combat, écologie, esprits
Film d'animation japonais
Réalisateur
Scénariste
Studio d’animation Studio Ghibli
Compositeur
Durée 134 min
Sortie

Princesse Mononoké (もののけ姫, Mononoke-hime?, litt. « Princesse des esprits ») est un film d'animation historique et de fantasy japonais de Hayao Miyazaki, sorti le et produit par le studio Ghibli. L'intrigue, qui se déroule à l'époque Muromachi, raconte l'histoire d'Ashitaka, un jeune archer Emishi, entraîné malgré lui au milieu d'une guerre opposant d'un côté San (la princesse Mononoké) et la forêt fantastique dans laquelle elle a été élevée et de l'autre dame Eboshi et son village des forges, dépendant de l'exploitation des ressources alentour. Son scénario, inscrit dans un univers animiste et empreint de références shintoïstes, conjugue des thématiques multiples portées par des personnages dont toute dimension manichéenne est exclue. En plus de la question du rapport entre l'homme et son environnement, différents thèmes sont en effet abordés dont les ravages de la guerre, la vengeance, l'escalade de la violence et de la haine qui en découle, la condition féminine, la tolérance ou encore la valeur travail[1],[2],[3].

Le film, salué par la critique au Japon et dans le monde entier, confirme définitivement le statut de Hayao Miyazaki comme un maître de l'animation mondiale et attire sur lui l'attention des critiques dans le reste du monde. Princesse Mononoké est un très grand succès commercial au Japon où il remporte notamment les prix Mainichi du meilleur film et du meilleur film d'animation en 1997 et le prix de l'Académie japonaise du meilleur film en 1998.

Synopsis[modifier | modifier le code]

L'histoire se déroule dans le Japon médiéval (ère Muromachi). Ashitaka, le prince de la tribu des Emishis, un peuple reclus au nord-est de Honshū, est frappé d'une malédiction après avoir tué Nago, un dieu sanglier devenu un démon : son bras est animé d'une force surnaturelle, mais est rongé par l'entité démoniaque. La chamane du village le dit condamné à mourir et lui conseille de quitter le village afin d'aller chercher à l'ouest la cause de la colère de la nature et l'espoir de trouver la raison de sa malédiction.

Sur le chemin, Ashitaka sauve Jiko au détour d'un coup de main de la guerre civile qui ravage le pays. Moine vagabond très désireux de lui montrer sa gratitude, ce dernier conseille à Ashitaka de se rendre dans la forêt où vivent les esprits de la forêt, animaux gigantesques et doués de parole. Ashitaka découvre ensuite deux hommes originaires du village des forges, dirigé par Dame Eboshi. Ils ont été blessés lors d'une attaque menée par la déesse louve Moro, qui a elle-même été blessée par Dame Eboshi. Ashitaka aperçoit peu après San, la princesse Mononoké, une humaine élevée par Moro. Ashitaka ramène les deux hommes jusqu'au village des forges et est chaleureusement accueilli par les femmes du village.

Il rencontre Dame Eboshi, issue de la noblesse et qui a pourtant décidé de sauver des femmes de leur ancienne condition, à une époque où les droits humains comme animaux n'étaient pas de mise. Femme forte, elle recueille tous les indigents, tels des lépreux à qui elle confie la tâche délicate de maintenir et améliorer l'artillerie du village. En effet, les habitants tirent leur subsistance du sol de la forêt et produisent du fer afin de pouvoir acheter vivres et autres nécessités loin de chez eux, mais ils doivent déforester pour pouvoir accéder aux minerais, ce qui excède et enrage les dieux de la forêt. Les lépreux fabriquent donc des armes à feu pour lutter contre les esprits de la forêt. Ashitaka apprend ainsi que Dame Eboshi, qui a tiré sur Nago, est responsable de la corruption l'ayant transformé en démon.

Pendant la nuit, San pénètre dans le village pour tenter de tuer Dame Eboshi, mais Ashitaka s'interpose entre elles deux et les assomme. Il quitte ensuite le village en emportant San, mais est touché par une balle en partant. Quand San se réveille, elle s'apprête à tuer un Ashitaka affaibli, mais est déconcertée quand celui-ci lui dit qu'elle est belle. Elle se décide ensuite à lui faire confiance quand, après l'avoir déposé sur l’îlot central de l'étang de l'esprit de la forêt, le dieu-cerf soigne la blessure du garçon.

Dame Eboshi et les villageois repoussent une attaque des samouraïs du seigneur Asano, qui cherche à s'emparer du village et des armes qui y sont produites. Dame Eboshi rencontre ensuite Jiko, qui travaille en réalité pour l'empereur et a été chargé de lui ramener la tête du dieu-cerf, censée accorder l'immortalité. Tous deux décident de s'allier dans cette tâche.

Les sangliers dirigés par Okkoto (le dieu sanglier de l’île du sud) attaquent les forces de Jiko et de Dame Eboshi pour sauver la forêt, mais ils sont décimés. Okkoto est gravement blessé et San l'emmène jusqu'au dieu-cerf pour qu'il le guérisse, mais le vieux sanglier commence déjà à être corrompu et à se transformer en démon, comme Nago. San essaie alors de l'arrêter, aidée par Ashitaka et Moro, alors que Jiko et Dame Eboshi les suivent.

Le dieu-cerf arrive et libère Okkoto de sa corruption, le privant, ainsi que Moro, de sa vie. Dame Eboshi le décapite peu après d'une balle d'arquebuse. Cet acte transforme le corps du dieu-cerf en une gigantesque forme visqueuse qui ôte la vie de tout ce qui la touche, humains, animaux et arbres. Moro, dans un dernier sursaut, se venge et arrache un bras à Dame Eboshi. Jiko s'empare alors de la tête du dieu-cerf et l'emporte avec ses hommes, alors que le corps de celui-ci, métamorphosé, submerge rapidement la totalité de la forêt.

Après une course-poursuite avec Jiko et ses hommes, Ashitaka et San parviennent à récupérer la tête du dieu-cerf et à la lui restituer. Ce dernier guérit alors la forêt complètement dévastée, ainsi qu'Ashitaka.

San, bien que très attachée à Ashitaka, ne peut pardonner aux humains et choisit de rester dans la forêt. Ashitaka décide d'aller vivre au village des forges d'où il pourra souvent aller voir San. Dame Eboshi, en reconnaissance de leurs actions, s'engage à repartir à zéro pour que son village cohabite davantage en harmonie avec la forêt, tandis que Jiko, fataliste, pense à prendre sa retraite et renonce à obtenir la tête du dieu-cerf.

Fiche technique[modifier | modifier le code]

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Distribution[modifier | modifier le code]

Production[modifier | modifier le code]

Concept et scénario[modifier | modifier le code]

Miyazaki a été inspiré par la forêt de Yakushima pour les décors.

Des thèmes et des dessins proches de Princesse Mononoke sont présents dans le manga Shuna no tabi (Le Voyage de Shuna, écrit par Hayao Miyazaki en 1983), comme le caractère droit des héros, l'apparence de Yakkuru (qui est un cobe) ou la forêt primitive[4]. C'est une visite dans l'ancienne forêt de Yakushima qui a donné l'inspiration à Miyazaki pour la forme finale du projet, l'histoire et les personnages ayant avant cela changé plusieurs fois lors de l'étape de préparation du film, qui a duré trois ans[5]. À l'origine, Hayao Miyazaki avait un autre projet en tête. Il avait écrit un scénario faisant écho au conte de fée La Belle et la Bête et reprenant des éléments du folklore japonais. Mais à la suite de cela, les studios Disney réalisèrent un dessin animé sur le même sujet. Miyazaki renonça donc à ce projet et s'inspira de la bête de son scénario d'origine pour créer deux nouvelles créatures à savoir Totoro et le Chat-bus que l'on retrouve dans le film Mon voisin Totoro. Ne voulant pas faire du recyclage d'idées, le réalisateur japonais décida de retravailler son scénario et de le transformer en un projet bien plus ambitieux, autrement dit Princesse Mononoké[6].

Miyazaki s'est inspiré du maître de sabre et de calligraphie Akeji Sumiyoshi qui a redécouvert et remis au jour le terme médiéval "mononoké" ("l'esprit des choses"). Sa première exposition à Tokyo en 1970 s'intitulait "Mononoké"[7].

Décors[modifier | modifier le code]

Les paysages du film ont été inspirés par les forêts de Yakushima et les montagnes de Shirakami-Sanchi[8],[9].

Personnages[modifier | modifier le code]

Femme asiatique en costume noir et blanc.
Cosplay de la princesse Mononoké.

La complexité et la profondeur des personnages les rendent atypiques vis-à-vis des œuvres précédant Princesse Mononoké. Ils figurent parmi les créations de Hayao Miyazaki ayant la lecture à la fois la plus complexe, la plus sombre et la plus riche.

Miyazaki dit d'Ashitaka qu'il ne voulait pas en faire un héros typique : « Ashitaka n'est pas un garçon gai et insouciant. C'est un garçon mélancolique qui a une destinée. Je suis moi-même un peu comme cela mais, jusqu'ici, je n'avais pas fait d'histoire avec ce genre de personnage. Ashitaka a été maudit pour une raison absurde. Bien sûr, il a fait quelque chose qu'il n'aurait pas dû, il a tué le Tatari-gami, mais il avait une raison suffisante de le faire, du point de vue des humains. Néanmoins, il est affligé d'une malédiction mortelle. Je pense que c'est semblable aux vies actuelles des gens. Je pense que c'est une chose très absurde qui fait partie de la vie elle-même »[10].

Le personnage de San est à l'image d'Ashitaka, une princesse atypique. En étant abandonnée par ses parents humains et recueillie par les loups, Miyazaki en fait une héroïne sauvage, presque effrayante puisque sa première apparition est lorsqu'Ashitaka l'aperçoit avec du sang plein le visage. Son nom, qui lui a été donné par sa mère adoptive, signifie "trois" en japonais. Elle s'appelle ainsi car aux yeux de Moro, San est le troisième petit de sa portée. Elle devient importante puisque le héros tombe plus ou moins explicitement amoureux d'elle, mais son dégoût envers les humains donne à réfléchir sur l'état de la conscience écologique de l'homme, et lui donne ainsi une place plus précise dans la réflexion de l’œuvre.

Miyazaki a également déclaré que Dame Eboshi devait avoir eu un passé traumatisant, bien que ce ne soit pas mentionné dans l'animé. Elle a une forte personnalité et est sûre d'elle, comme le montre le fait qu'elle laisse Ashitaka vaquer à sa guise dans le village malgré ses motivations peu claires. Elle ne reconnaît également pas de vassalité vis-à-vis de la cour de l'empereur ou des daimyō (en particulier le seigneur Asano) ; et affiche une attitude tranchée, presque belliqueuse mais pragmatique, peu habituelle pour des femmes japonaises d'alors, allant jusqu'au sacrifice des siens ou d'elle-même, pourvu que ses rêves ou ses compromis et surtout son lot d'équité demeurent.

En créant le personnage de Jiko Bou, Miyazaki hésitait à en faire un espion de l'empereur, un ninja, un membre d'un groupe religieux ou simplement quelqu'un de bien. Il a finalement décidé de mélanger tous ces éléments pour ce personnage.

Animation[modifier | modifier le code]

La plus grande partie des images de l'histoire ont été dessinées au dessin traditionnel, mais l'infographie a été utilisée pour quelques scènes, notamment celles où le bras d'Ashitaka le possède et les scènes montrant des vers démoniaques, qui mêlent infographie et dessin traditionnel[11]. Miyazaki a personnellement vérifié chacun des 144 000 cellulos de l'anime et en a redessinés environ 80 000.

Réception[modifier | modifier le code]

Accueil critique[modifier | modifier le code]

Notes
Site ou magazine Note
Allociné 4,8/5[12]
Rotten Tomatoes 93/100[13]
Metacritic 76/100[14]

Les critiques ont été globalement très positives à l'égard du dessin animé, non seulement au Japon, mais aussi dans le reste du monde, où le film contribue fortement à attirer l'attention sur la qualité de l'animation japonaise[15].

Au Japon, le film est un succès auprès de la critique et vaut à Miyazaki d'être comparé à un Kurosawa moderne.

Aux États-Unis, le film recueille 94 % de critiques positives, avec un score moyen de 93/100 et sur la base de 107 critiques collectées, sur le site internet Rotten Tomatoes[13], et, sur le site Metacritic, il obtient une note de 76/100, sur la base de 29 critiques[14]. En 2008, dix ans après la sortie du film, le magazine Empire classe Princesse Mononoké à la 488e place dans sa liste des cinq cents meilleurs films de tous les temps[16].

En France, les critiques saluent unanimement Princesse Mononoké. Le Figaroscope évoque « une fresque épique magistralement animée », Le Parisien un événement du cinéma d'animation « avec des dessins d'une rare beauté », L'Humanité « une formidable fable écologique » à la « richesse visuelle permanente », Libération « un conte d'une étourdissante invention visuelle »[17], Mad Movies « un chef-d'œuvre qui ne livrera jamais tous ses secrets » et « l'idéal esthétique et sémantique d'un homme marchant éveillé dans son rêve », Première une œuvre magique et « une leçon d'humilité »[18]. Dans Télérama, Bernard Génin évoque « une mise en scène éblouissante » et « une poésie sauvage », où il voit la confirmation d'un renouveau mondial du cinéma d'animation ; il rapproche le film du théâtre de Shakespeare (Le Songe d'une nuit d'été et Macbeth), et ne reproche au film que sa longueur et des graphismes qu'il juge « moins heureux dans les gros plans »[19],[20],[21].

Box office[modifier | modifier le code]

Princesse Mononoké est un très grand succès commercial au Japon et a rapporté plus de 159 millions de dollars dans le monde entier[22],[23]. Au Japon, le film bat tous les records au box office[24]. En France, Princesse Mononoké sort en salles le et réalise 757 870 entrées[25]. Aux États-Unis, le film cumule 467 344 entrées au cours de son exploitation en 1999, ce qui n'est pas un succès particulier ; les choix du distributeur américain du film, qui n'en fait la promotion qu'auprès du jeune public, nuisent probablement à sa carrière en salles[26].

Musique du film[modifier | modifier le code]

La musique du film est signée Joe Hisaishi. Il s'agit de la sixième collaboration entre le réalisateur et le compositeur.

Adaptation[modifier | modifier le code]

Publications[modifier | modifier le code]

Tankōbon[modifier | modifier le code]

no  Japonais Français
Date de sortie ISBN Date de sortie ISBN
1 1997 4-19-770052-0
978-2-7234-3180-4
2 1997 4-19-770053-9
978-2-7234-3181-1
3 1997 4-19-770054-7
978-2-7234-3217-7
4 1997 4-19-770055-5
978-2-7234-3218-4

Kanzenban[modifier | modifier le code]

no  Japonais
Date de sortie ISBN
1 4-19-770069-5
2 4-19-770073-3
3 4-19-770074-1
4  
5 4-19-770076-8

Théâtre[modifier | modifier le code]

Le film est pour la première fois adapté au théâtre par la compagnie Whole Hog Theatre en collaboration avec le studio Ghibli. Le projet a été en développement pendant plus d'un an et est sorti en au New Diorama Theatre à Londres[27],[28].

Produits dérivés[modifier | modifier le code]

Vidéo[modifier | modifier le code]

  • DVD
    • Princesse Mononoké sorti en coffret simple en 1997[29]
    • Princesse Mononoké sorti en coffret collector en 2002[30]
    • Princesse Mononoké sorti en coffret ultime en 2004[31]
  • Blu-ray
    • Princesse Mononoké est sorti en Blu-ray le au Japon et le en France[32].
    • Princesse Mononoké est également sorti en édition exclusivité boitier métal fin 2019 en France.

Une édition DVD uniquement disponible au Japon est sortie en 2004. Elle reprenait sur 3 DVDs uniquement le making-of du dessin animé scindé en 3 parties.

Musique[modifier | modifier le code]

Publication[modifier | modifier le code]

Distinctions[modifier | modifier le code]

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Récompenses[modifier | modifier le code]

Nominations[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Indigné du canapé - Princesse Mononoké : œuvre écologique, mais pas uniquement - 23 août 2020
  2. France Culture - 01/05/2019 - Philosopher avec Miyazaki, Épisode 3 : Princesse Mononoké au pays des philosophes
  3. Explication de film - PRINCESSE MONONOKE Hayao Miyazaki, 1997
  4. Raphaël Colson et Gaël Régner, Hayao Miyazaki : Cartographie d’un univers, Lyon, Les Moutons électriques, , 357 p. (ISBN 978-2-915793-84-0), p. 85, 155
  5. Toshio Uratani, Princess Mononoke: Making of a Masterpiece, Buena Vista Home Entertainment, 2004.
  6. Xavier Michaut, « Princesse Mononoke », sur Buta Connection (consulté le )
  7. Marie-Hélène Soenen, « Les derniers jours d’Akeji, le peintre ermite qui a inspiré Miyazaki », Télérama,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  8. Stéphane Jarno, « La forêt de Yakushima, paradis flottant de Princesse Mononoké », sur Télérama,
  9. Didier Péron, « La forêt des spectres. «Princesse Mononoké», chef-d'œuvre de l'animation japonaise, est un conte d'une étourdissante invention visuelle. Princesse Mononoké, dessin animé d'Hayao Miyazaki. 2 h 15. », sur Libération.fr,
  10. « Interview d'Hayao Miyazaki dans « Mononoke-hime Theater Program » », sur Interview,
  11. « Disney DVD »
  12. « Princesse Mononoké - Critiques Presse », sur Allociné
  13. a et b (en) « Princesse Mononoké », sur Rotten Tomatoes
  14. a et b (en) « Princesse Mononoké », sur Metacritic
  15. (en) Simon Kinnear, « 50 Greatest Animated Movies », sur TotalFilm.com
  16. (en) « The 500 Greatest Movies of All Time », sur Empire
  17. Frédérique Amaoua, « Vu d'ailleurs. Japon. «Princesse Mononoke», l'événement nippon. », sur Libération.fr,
  18. « Revue de presse de Princesse Mononoké », sur Allociné
  19. « Critique de Princesse Mononoké », sur Télérama,
  20. « Princesse Mononoké (Miyazaki) : féminisme, écologie, paganisme et totémisme », sur Le Mouvement Matricien
  21. Serge Kaganski et Vincent Ostria, « “Princesse Mononoké”, conte initiatique et politique », sur Les Inrocks,
  22. (en) « Box office / business », sur IMDb
  23. « Princesse Mononoké », sur Mojo Box Office
  24. Yves Schaëffner, « Animés des meilleurs dessins », sur Schaeffner CB,
  25. « Entrées de Princesse Mononoké », sur Lumière
  26. Anne Allison, « La culture populaire japonaise et l'imaginaire global », sur Cairn.info,
  27. « Princesse Mononoke, bientôt la pièce de théâtre à Londres », sur Studio Ghibli,
  28. « Princesse Mononoké », sur Whole Hog Theatre
  29. « DVD simple », sur Manga News
  30. « DVD collector », sur Manga News
  31. « DVD ultime », sur Manga News
  32. « Sortie Blu-ray de Princesse Mononoké le 2 juillet 2014 en France », sur Studio Ghibli,
  33. (ja) « Artbook de l’édition japonaise », sur Tokuma Shoten
  34. « Artbook de l’édition française », sur Manga News

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Consultez la liste des éditions de cette œuvre :
Princesse Mononoké.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Radiographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]