Prangins
Prangins | ||||
![]() Vue du château de Prangins | ||||
![]() Héraldique |
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Administration | ||||
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Pays | ![]() |
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Canton | ![]() |
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District | Nyon | |||
Localité(s) | Prangins, Promenthoux | |||
Communes limitrophes | Coinsins, Vich, Gland, Nyon, Duillier | |||
Syndic | François Bryand | |||
NPA | 1197 | |||
N° OFS | 5725 | |||
Démographie | ||||
Population permanente |
4 040 hab. (31 décembre 2018) | |||
Densité | 670 hab./km2 | |||
Géographie | ||||
Coordonnées | 46° 23′ 39″ nord, 6° 14′ 56″ est | |||
Altitude | 413 m |
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Superficie | 6,03 km2 | |||
Divers | ||||
Langue | Français | |||
Localisation | ||||
![]() Carte de la commune dans sa subdivision administrative. | ||||
Géolocalisation sur la carte : canton de Vaud Géolocalisation sur la carte : Suisse Géolocalisation sur la carte : Suisse | ||||
Liens | ||||
Site web | www.prangins.ch | |||
Sources | ||||
Référence population suisse[1] | ||||
Référence superficie suisse[2] | ||||
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Prangins est une commune suisse du canton de Vaud, située dans le district de Nyon.
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
Prangins se situe au bord du lac Léman entre Lausanne et Genève. Le village est séparé en deux par un axe ferroviaire.
Monuments[modifier | modifier le code]
Le château date de la première moitié du XVIIIe siècle. Il héberge la section romande du musée national suisse depuis 1998. Il est, tout comme la villa les Bleuets, inscrit comme bien culturel suisse d'importance nationale[3].
Le temple (1757-1761), remplace une ancienne église romane, redevenue paroissiale en 1671, mais qui n'était plus qu'un vieux petit bâtiment vis-à-vis du château, du côté sud. Le nouveau temple est implanté face à la cour d'honneur du château, au-delà du grand jardin à la française très encaissé de celui-ci. L'architecte en fut le Genevois Jean-Louis Bovet I, le père (1699-1766)[4]. Clocher reconstruit en 1860 par l'architecte Louis Wenger[5].
Sur le territoire de la commune se trouve également l'émetteur HBG ainsi qu'un monument des Vaudois (16 août 1689) commémorant le retour au Piémont.
Personnalités[modifier | modifier le code]
- Oscar Forel, psychiatre, y créa en 1930 la clinique psychiatrique des Rives. Cette clinique est entretemps devenue l'hôpital psychiatrique de Prangins, un des quatre établissements publics de psychiatrie du canton de Vaud.
- Charles-Jules Guiguer de Prangins, général de l'armée suisse, est né à Prangins. Il a vendu le domaine de Prangins à Joseph Bonaparte en 1814.
- Napoléon-Jérôme Bonaparte y a vécu en exil.
Livres[modifier | modifier le code]
- Prangins, Entre campagne et château, Éditions Cabédita.
Références[modifier | modifier le code]
- « Population résidante permanente au 31 décembre, nouvelle définition, Vaud », sur Statistiques Vaud (consulté le 25 juillet 2019)
- « Statistique de la superficie 2004/09 : Données communales », sur Office fédéral de la Statistique (consulté le 26 août 2017)
- [PDF] L'inventaire édité par la confédération suisse, canton de Vaud
- Marcel Grandjean, Les Temples vaudois. L'architecture réformée dans le Pays de Vaud, Lausanne, Bibliothèque historique vaudoise 89, , 667 p., p. 196-202
- Paul Bissegger, D'ivoire et de marbre. Alexandre et Henri Perregaux ou l'Age d'Or de l'architecture vaudoise (1770-1850), Bibliothèque historique vaudoise, coll. « Bibliothèque historique vaudoise 131 », (ISBN 978-2-88454-131-2), p. 590.