Aller au contenu

Pomport

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Pomport
Pomport
L'église de Pomport.
Blason de Pomport
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté d'agglomération bergeracoise (nouvelle)
Maire
Mandat
Anthony Castaing
2020-2026
Code postal 24240
Code commune 24331
Démographie
Population
municipale
732 hab. (2021 en évolution de −4,81 % par rapport à 2015)
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 46′ 49″ nord, 0° 25′ 07″ est
Altitude Min. 38 m
Max. 171 m
Superficie 19,55 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sud-Bergeracois
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Pomport
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Pomport
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
Pomport
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Pomport

Pomport est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Généralités

[modifier | modifier le code]

La commune de Pomport est située dans le sud-ouest du département de la Dordogne et dans l'aire d'attraction de Bergerac.

Le village de Pomport, à l'intersection des routes départementales 16E1 et 17, se trouve en distances orthodromiques, dix kilomètres au sud-ouest de Bergerac et douze kilomètres au nord d'Eymet.

La commune est également desservie par les routes départementales 14, 16 et 16E2.

Le sentier de grande randonnée GR 6 parcourt le territoire communal au nord et à l'ouest.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Pomport est limitrophe de sept autres communes.


Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Pomport est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e6b, se compose de molasses inférieures (faciès argileux dominant) (Bartonien supérieur continental). La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 806 - Bergerac » et « no 830 - Eymet » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].

Carte géologique de Pomport.

Relief et paysages

[modifier | modifier le code]

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 38 mètres[6] à l'ouest, là où la Gardonnette quitte la commune pour servir de limite entre celles de Cunèges et Gageac-et-Rouillac, et 171 mètres[6] au sud-ouest du lieu-dit le Chrisly[7].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[9]. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures[10],[11].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 19,55 km2[6],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 19,53 km2[3].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique

[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par la Gardonnette, le ruisseau de la Peyronnette, le Courbarieux, et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 33 km de longueur totale[16],[Carte 1].

La Gardonnette, d'une longueur totale de 24,6 km, prend sa source dans la commune de Bouniagues et se jette dans la Dordogne en rive gauche en limite de Gardonne et de Lamonzie-Saint-Martin, face à Saint-Pierre-d'Eyraud[17],[18]. Elle borde la commune au sud-ouest sur sept kilomètres, face à Sigoulès-et-Flaugeac et Cunèges.

Le ruisseau de la Peyronnette, affluent de rive droite de la Gardonnette, prend sa source dans le nord-est de la commune et la baigne en direction du nord-ouest sur plus de trois kilomètres et demi.

Autres affluents de rive droite de la Gardonnette, le Courbarieux prend sa source sur la commune et l'arrose sur plus de quatre kilomètres dont la majeure partie sert de limite naturelle au sud-est, face à Rouffignac-de-Sigoulès, ainsi qu'un ruisseau homonyme qui prend sa source au centre de la commune et l'arrose en direction de l'ouest sur près de trois kilomètres.

Gestion et qualité des eaux

[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[19]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [20].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[21]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[22].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 841 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[23]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bergerac à 9 km à vol d'oiseau[24], est de 13,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 792,9 mm[25],[26]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[27].

Au , Pomport est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[28]. Elle est située hors unité urbaine[29]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[29]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[30],[31].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (92,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (75 %), zones agricoles hétérogènes (9,9 %), forêts (7,3 %), prairies (6,5 %), zones urbanisées (1,3 %)[32]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Pomport est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[33]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[34].

Pomport est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[35]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[36],[37].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Pomport.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[38]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[39]. 91,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[40].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1999 et 2018, par la sécheresse en 1992, 1995, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[33].

En occitan, la commune porte le nom de Pompòrt[41].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

Fin 2003, Pomport intègre dès sa création la communauté de communes des Coteaux de Sigoulès. Celle-ci fusionne avec l'ancienne communauté d'agglomération bergeracoise au pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.

Administration municipale

[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[42],[43].

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
av.1958 ? Albert Géraud UNR Viticulteur, suppléant du député Henri Sicard (1958-1962)
         
juin 1995[44] mai 2020 Jean-Paul Jammes PRG[45] Retraité de l'équipement
mai 2020 En cours Anthony Castaing   Vigneron

Drapeau de la France Bréhan (France) depuis 1987

Équipements et services publics

[modifier | modifier le code]

Dans le domaine judiciaire, Pomport relève[46] :

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[48].

En 2021, la commune comptait 732 habitants[Note 5], en évolution de −4,81 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3851 2071 2531 2331 2351 1071 1051 1061 108
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0571 0241 022987991915805790828
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
873880829830852870866880943
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
868765673641655707769812743
2021 - - - - - - - -
732--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[49].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

[modifier | modifier le code]
  • Fête du village en juillet (40e édition en 2019[50]).

Avec près de 60 % du territoire communal planté de vignes, les viticulteurs de la commune produisent des vins d'appellations monbazillac ou bergerac[51].

En 2015[52], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 356 personnes, soit 46,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (trente-trois) a augmenté par rapport à 2010 (vingt) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 9,3 %.

Établissements

[modifier | modifier le code]

Au , la commune compte 110 établissements[53], dont quarante-six au niveau des commerces, transports ou services, quarante-trois dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, huit dans la construction, sept dans l'industrie, et six relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[54].

Entreprises

[modifier | modifier le code]

Dans l'industrie, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « Somaref » implantée à Pomport (fabrication de machines agricoles et forestières) se classe en 42e position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 5 950 k€[55].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel

[modifier | modifier le code]

Au sud-ouest, la Gardonnette borde le territoire communal sur plusieurs kilomètres. Sur deux tronçons (l'un compris entre les limites communales de Rouffignac-de-Sigoulès et Sigoulès, et l'autre entre les lieux-dits le Moulinot et le Grand Moulin, le cours d'eau et ses rives font partie d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I où pousse une plante rare, la fritillaire pintade, (Fritillaria meleagris) et fréquentée par trois espèces de chauves-souris : le Grand murin (Myotis myotis), le Minioptère de Schreibers (Miniopterus schreibersii) et le Rhinolophe euryale (Rhinolophus euryale)[62],[63].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Pomport Blason
Parti de gueules et d'or, au clocher donjon du lieu, mouvant de la pointe et brochant de l'un en l'autre, accompagné en chef de deux grappes de raisin de l'un en l'autre.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Il s'agit de la chapelle Saint-Mayme (et non Saint-Mayne), nom dérivé de saint Maxime, confirmé par la carte de randonnée de l'IGN no 1837O, ainsi que par l'ouvrage de l'Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 196, et par l'ouvrage de Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet et Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, Ouest-France, 1987, (ISBN 2-85882-842-3), p. 368.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Pomport » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  2. « Carte géologique de Pomport » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Pomport », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille no 806 - Bergerac de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. « Notice associée à la feuille no 830 - Eymet de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  6. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Repères géographiques du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. « Portrait du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  12. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Pomport », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  15. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  16. « Fiche communale de Pomport », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  17. « Confluence Gardonnette-Dordogne au nord de Monteton » sur Géoportail (consulté le 30 août 2022)..
  18. Sandre, « le Gardonnette »
  19. « SAGE Dordogne Atlantique », sur gesteau.fr (consulté le ).
  20. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  22. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  23. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  24. « Orthodromie entre Pomport et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  25. « Station Météo-France « Bergerac-Roumanière » (commune de Bergerac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  26. « Station Météo-France « Bergerac-Roumanière » (commune de Bergerac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  27. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  28. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  29. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  30. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bergerac », sur insee.fr (consulté le ).
  31. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  33. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Pomport », sur Géorisques (consulté le ).
  34. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  35. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  36. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
  37. « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le ).
  38. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  39. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  40. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  41. Le nom occitan des communes du Périgord - Pompòrt sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
  42. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 7 septembre 2020.
  43. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 9 novembre 2020.
  44. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 24 août 2014.
  45. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 25.
  46. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  47. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  48. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  49. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  50. M. W., « La fête du village célèbre son 40e anniversaire », Sud Ouest édition Bergerac/Sarlat, 3 juillet 2019, p. 18.
  51. Pomport sur le site du Pays de Bergerac, consulté le 6 juillet 2011.
  52. Dossier complet - Commune de Pomport (24331) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 12 décembre 2018.
  53. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
  54. Dossier complet - Commune de Pomport (24331) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 12 décembre 2018.
  55. « Industrie », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 32.
  56. « Chapelle Saint-Mayne », notice no PA00082768, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 21 octobre 2014.
  57. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 30.
  58. Site du Château Bélingard
  59. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, p. 204, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X).
  60. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, p. 265, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X).
  61. a et b Thomas Jonckeau, « Héritage maudit en Dordogne », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 11.
  62. [PDF] Vallée de la Gardonnette, INPN, consulté le 25 décembre 2018.
  63. Carte de la ZNIEFF 720014276, INPN, consulté le 24 décembre 2018. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à gauche sur le globe terrestre bleu, descendre la valeur de la couche « Métropole : ZNIEFF1 » à 0 et augmenter l'opacité de la couche « Cartes IGN » à 1.