Castillonnès

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Castillonnès
Castillonnès
L'hôtel de ville.
Blason de Castillonnès
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Villeneuve-sur-Lot
Intercommunalité Communauté de communes des Bastides en Haut-Agenais Périgord
Maire
Mandat
Pierre Sicaud
2020-2026
Code postal 47330
Code commune 47057
Démographie
Gentilé Castillonnésiens
Population
municipale
1 364 hab. (2021 en diminution de 5,01 % par rapport à 2015)
Densité 70 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 39′ 11″ nord, 0° 35′ 33″ est
Altitude 131 m
Min. 62 m
Max. 145 m
Superficie 19,4 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Val du Dropt
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Castillonnès
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Castillonnès
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Castillonnès
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Castillonnès
Liens
Site web http://www.mairie-castillonnes.fr/

Castillonnès [kastijɔnɛs] est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune située sur le Dropt et la route nationale 21 entre Bergerac et Agen en Pays du Dropt.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Cahuzac, Douzains, Ferrensac, Lougratte, Montauriol et Saint-Quentin-du-Dropt.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 794 mm, avec 9,9 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cancon à 13 km à vol d'oiseau[5], est de 13,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 852,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Castillonnès est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82,6 %), zones agricoles hétérogènes (6,6 %), zones urbanisées (6,5 %), prairies (3,8 %), forêts (0,6 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Castillonnès est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Dropt, la Douyne de Tourette et la Douyne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2009[17],[15].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[18]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Castillonnès.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[20]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 2],[21].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2002, 2003, 2005 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Toponymie[modifier | modifier le code]

En occitan, la commune porte le nom de Castilhonés.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le site de Castillonnès faisait partie du domaine de l'abbaye de Cadouin. Les terres avaient été données à l'abbaye à la mort du chevalier Maurin de la famille des seigneurs de Mons, vers 1150. Pour les entretenir, l'abbaye de Cadouin y a fondé l'abbaye ou le prieuré de Grand-Mauroux. Elle a fait venir des ouvriers agricoles du Limousin et du Périgord pour assécher les marais et défricher le territoire. Ils ont été logés dans un hameau proche nommé Défès. L'abbaye de Grand-Mauroux a prospéré jusqu'au XIVe siècle, puis ses bâtiments ont été détruits au cours des guerres de religion. La colline sur laquelle a été implantée la bastide de Castillonnès se trouvait à 3 km du Grand-Mauroux et son prieur portait le titre de gouverneur.

L'acte de paréage fondant la bastide a été signé le [22] par Élie, abbé de Cadouin, qui cède les deux tiers des terres nécessaires, les frères Bertrand et Arnaud de Mons cédant le tiers, et le sénéchal d'Agenais, Guillaume de Bagnols, à la demande du comte de Toulouse, Alphonse de Poitiers[23].

, Alphonse de Poitiers accorde une charte des coutumes sur le modèle de celle de Monflanquin et de Monclar, de 1256.

Castillonnès devient le siège d'une baylie agenaise en 1269.

En 1318, Édouard II d'Angleterre, duc d'Aquitaine, confirme les coutumes et annexe la ville à la Couronne, comme la plupart des principaux bourgs de l'Agenais. Il fait fortifier le bourg de Castillonnès entre 1312 et 1315. La commune doit construire les murs, le roi-duc, les portes. En 1368, le Prince Noir confirme les coutumes.

La charte est renouvelée par Louis d'Anjou en 1372 avec huit concessions nouvelles, confirmée par Charles V en 1373, puis par François Ier. Une nouvelle charte octroyant de nouveaux privilèges est signée par Louis d'Anjou en 1377 à Bergerac, confirmée par Charles VIII en 1483. Les chartes de coutumes sont confirmées par Henri II, en 1548, et Henri, roi de Navarre, gouverneur de Guyenne, en .

La commune de Celles-et-Roquadet-Paroixe fut annexée par Castillonès en 1806.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Castillonnès Blason
D'azur aux trois châteaux d'argent.
Détails
Armes parlantes.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Alias
Alias du blason de Castillonnès
Alias du blason de Castillonnès
D’azur à trois tours couvertes et pavillonnées d’argent, ouvertes de sable, accompagnées de trois fleurs de lis d’or rangées en chef.
Alias du blason de Castillonnès
Alias du blason de Castillonnès
D'azur au château de trois tours couvertes d'argent, celle du milieu flammée de gueules[24].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1790 Henri de Béraud   Négociant
1791 1791 Guillaume Taurel-Lagrausse   Notaire
1792 1792 Guillaume Lartigue   Notaire
1957 mars 1959 Léon-Jeffrey Hoare   Instituteur
mars 1959 mars 1971 André Charles Durou[25]   Transporteur
mars 1971 1974 Guy Capmas    
1974 1982 Alix Beauvie    
1982 mars 1983 Robert Bel    
mars 1983 mars 2008 Jacques Yvinec UDF puis UMP Médecin retraité
mars 2008 En cours Pierre Sicaud DVD  
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Panneau d'entrée à Castillonnès.

Drapeau de la France Soultzeren (Haut-Rhin) (France) depuis 1976[26].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

En 2021, la commune comptait 1 364 habitants[Note 3], en diminution de 5,01 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 7461 5331 6461 8562 0281 9861 9081 9742 100
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 0022 1342 0942 0232 0552 0812 0681 9361 923
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8111 6871 6871 4731 4701 4341 3631 4031 466
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 5241 4081 3531 3821 4241 3251 4911 4991 414
2014 2019 2021 - - - - - -
1 4211 3701 364------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports[modifier | modifier le code]

rugby à XV

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Cinéma[modifier | modifier le code]

Plusieurs films et séries ont été tournés dans la commune en particulier :

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Hippodrome de Sarlande
  • Ville possédant des remparts du Moyen Âge
  • Sentier de grande randonnée GR 636
  • Sentier de grande randonnée GR 654
  • Hôtel de Cours de Thomazeau, hôtel construit vers 1770, inscrit au titre des monuments historiques en 1996[31].
  • Église Saint-Pierre de Castillonnès. Sa construction a été entreprise à cet emplacement dès l'implantation de la bastide en 1259. Il ne subsiste de cette première église que les murs en bel appareil avec un chevet plat. L'église est détruite une première fois pendant la guerre de Cent Ans. Elle est à nouveau incendiée pendant les guerres de religion. La voûte actuelle et le clocher quadrangulaire ont été construits au début du XXe siècle. L'église abrite un beau retable du XVIIe siècle, classé au titre d'objet en 1959, provenant de la cathédrale d'Agen. Les vitraux ont été réalisés en 1968. Ils sont l'œuvre de maquettistes tchécoslovaques - Zan Zoriàc, Mila Disman, Jiri Figer - et du maître verrier Louis Franchéo.
  • Église Notre-Dame-Saint-Louis de Pompiac.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Jean-Jacques Oscar Bouyssy, Notice historique sur la ville de Castillonnès, Villeneuve-sur-Lot, 1875
  • Abbé Goyhenèche, « Rapport sur la monographie de Castillonnès », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1877, tome 4, p. 342- (lire en ligne)
  • Léon-Jeffrey Hoare, Castillonnès. Les origines de la bastide, Centre d'études des bastides, 1990 (ISBN 9782908521009); p. 143
  • Léon-Jeffrey Hoare, La Révolution de 1789 dans le canton de Castillonnès, 1985-1986 (tome 1), (tome 2), (tome 3), (tome 4)
  • Léon-Jeffrey Hoare, Castillonnès d'hier et d'aujourd'hui (lire en ligne)
  • Léon-Jeffrey Hoare, La subdélégation de Castillonnès (1774-1790), Éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 1988 (lire en ligne)
  • Léon-Jeffrey Hoare, L'enseignement à Castillonnès de 1610 à nos jours, 1964 (lire en ligne)
  • Pierre Simon, Castillonnès et l'évolution de ses privilèges, p. 23-36, Revue de l'Agenais, juillet-, no 3-2010, numéro spécial Castillonnès
  • Annie Timbaud-Rapin, L'abbaye de Grand Mauroux, p. 37-40, Revue de l'Agenais, juillet-, no 3-2010, numéro spécial Castillonnès
  • Robert de Flaujac, La société castillonnésienne dans le siècle de la Révolution, p. 79-104, Revue de l'Agenais, juillet-, no 3-2010, numéro spécial Castillonnès
  • Jean-Pierre Poussou, La population de Castillonnès aux XIXe et XXe siècles, Revue de l'Agenais, juillet-, no 3-2010, numéro spécial Castillonnès
  • Hélène Galabrun, Le monument aux morts de Castillonnès, p. 189-201, Revue de l'Agenais, juillet-, no 3-2010, numéro spécial Castillonnès

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Castillonnès et Cancon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Cancon » (commune de Cancon) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Cancon » (commune de Cancon) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Castillonnès », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Castillonnès », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  22. Nota : date établie par L.-J. Hoare à partir d'une copie d'un acte faite en 1673.
  23. Alexandre Ducourneau, La Guienne historique et monumentale, tome premier, deuxième partie, p. 26, Imprimerie F? Coudert, Bordeaux, 1842 ( lire en ligne )
  24. Armorial de France
  25. Voir bibliographie : Léon-Jeffrey Joare : Castillonnès d'hier et d'aujourd'hui, p. 87.
  26. Castillonnès jumelée avec Soultzeren..., Mairie de Castillonnès, consultée le 12 juin 2017.
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « Hôtel de Cours de Thomazeau », notice no PA47000003, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. Académie des sciences, lettres et arts d'Agen : Léon-Jeffrey HOARE, historien de Castillonnès (1920-1991)