Plassac-Rouffiac

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Plassac-Rouffiac
Plassac-Rouffiac
L'église de Plassac.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité GrandAngoulême
Maire
Mandat
Serge David
2020-2026
Code postal 16250
Code commune 16263
Démographie
Population
municipale
387 hab. (2021 en diminution de 4,21 % par rapport à 2015)
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 31′ 38″ nord, 0° 03′ 57″ est
Altitude Min. 98 m
Max. 191 m
Superficie 11,97 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Boëme-Échelle
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Plassac-Rouffiac
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Plassac-Rouffiac

Plassac-Rouffiac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Vue de Plassac.

Plassac-Rouffiac est une commune située à 15 km au sud-ouest d'Angoulême, à 6 km au sud-ouest de Mouthiers-sur-Boëme, à 6 km au nord de Blanzac, le chef-lieu de son canton, et à 6 km au sud-est de Roullet[1].

Au pied de la cuesta passe la D 22, d'est en ouest, route de Villebois-Lavalette à Châteauneuf, qui fait la limite nord de la commune et qui était le chemin Boisné, ancienne voie romaine de Saintes à Périgueux.

Dans la commune en haut de la cuesta passe la D 107, parallèle à la D 22 et qui était aussi un embranchement de cette même voie romaine mais en hauteur, appelé chemin de la Faye. Elle dessert les bourgs de Plassac et Rouffiac. La commune est située à 6 km au sud-est de la N 10 entre Angoulême et Bordeaux[2].

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Elle est composée de deux anciennes communes, Plassac à l'ouest et Rouffiac à l'est. Elle comporte aussi de nombreux hameaux : les Coffres, sur la .22, Chez Ribot au nord, le Cluzeau entre Plassac et Rouffiac, les Aireaux à l'ouest, etc.[2].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune est située dans les coteaux calcaires de type crétacé, sur une cuesta faisant face au nord-est et qui s'étend à l'ouest jusqu'au sud de Cognac et à l'est à Juillaguet, Gurat, Verteillac

On trouve le Coniacien et le Santonien sur la moitié nord de la commune, le Coniacien à l'extrême nord (Chez Ribot). Le sud de la commune est occupé par le Campanien, qui commence juste au sud des bourgs de Plassac et Rouffiac.

Les sommets boisés au sud-est (Chez Babot) et à l'extrême nord (forêt de Gersac) de la commune sont recouverts de dépôts du Tertiaire (Lutétien), composé de galets, sables et argiles. Ces dépôts ont été altérés lors du Quaternaire. On trouve aussi des colluvions du Pléistocène (sables argilo-calcaires) par endroits sur les flancs (bois Souplet, le Cluzeau, Rouffiac, Tillac)[3],[4],[5].

Le sommet de la cuesta, au sud, est boisé et c'est là où se situe le point culminant de la commune, Chez Babot, 191 m. Le point le plus bas est à 98 m, situé le long de l'Écly à la limite communale au sud du bourg, ainsi qu'en limite nord Chez Ribot, où s'enfonce un vallon qui descend vers la source du Claix dans la commune voisine.

Le bourg de Plassac, construit sur le flanc de la cuesta, est à 130 m d'altitude, ainsi que Rouffiac qui est à 138 m d'altitude[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Plassac-Rouffiac.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par l'Ecly et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[7],[Carte 1].

C'est au sud de la commune, derrière la crête et le point culminant, que l'Écly prend sa source, à la fontaine Boutet. C'est un affluent du et un sous-affluent de la Charente[2].

Gestion des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[8]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [9].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Plassac-Rouffiac est une commune rurale[Note 1],[10]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (91,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,7 %), zones agricoles hétérogènes (19,8 %), forêts (5,6 %), cultures permanentes (1,9 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Plassac-Rouffiac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Plassac-Rouffiac.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des glissements de terrain[18].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 63,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 183 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 94 sont en aléa moyen ou fort, soit 51 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[16].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes anciennes de Plassac sont Placiaco, Plassiaco en 1265[21], Plaziaco[22]. Les formes anciennes de Rouffiac sont Roffiac, Roffiaco au XIIIe siècle[23].

L'origine du nom de Plassac remonterait à un nom de personne gallo-romain Placius dérivé de Placidius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Placiacum, « domaine de Placius ». De même, celle du nom de Rouffiac remonterait à un nom de personne gallo-romain Ruffius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Roffiacum, « domaine de Ruffius »[24].

Histoire[modifier | modifier le code]

Plassac et Rouffiac étaient situées à proximité de l'ancienne voie romaine de Saintes à Périgueux, appelée chemin Boisné en Charente. Comme de nombreux villages, ce devaient être d'anciennes villas. L'ancien chemin de la Faye desservait ces deux bourgs, parallèlement à la voie romaine[2].

Au Moyen Âge, principalement aux XIIe et XIIIe siècles, Plassac se trouvait sur une variante nord-sud de la via Turonensis, itinéraire du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle qui passait par Nanteuil-en-Vallée, Saint-Amant-de-Boixe, Angoulême, Mouthiers, Blanzac, Puypéroux et Aubeterre[25].

Au XVIIe siècle, Plassac, seigneurie de l'Angoumois, appartenait à la famille Gombaud. Cette famille, originaire de la Saintonge, était venue s'établir à Bouëx par le mariage de Jean Gombaud avec Esther de Livenne. Leur fils, Benoît Gombaud, écuyer, seigneur de Méré, Plassac et autres lieux, suivit le parti de la Ligue. Il mourut en 1616, laissant plusieurs enfants, dont l'un des derniers, Josias, plus connu sous le nom de M. de Plassac, publia en 1648 un livre intitulé Lettres de M. de Plassac.

Rouffiac était le siège d'un fief important qui appartenait au XVe siècle à Jean des Ruaux, époux de Marie Corgnol[26],[27].

En 1654, la terre de Rouffiac fut érigée en comté par Jean-Hélie des Ruaux. La paroisse de Plassac fut aussi une seigneurie possédée par cette même famille[28].

Les deux communes de Plassac et Rouffiac, qui formaient deux paroisses avant la Révolution, ont été réunies en 1844.

Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant d'Angoulême à Barbezieux par Blanzac appelée le Petit Mairat, et une halte était située au pied du bourg de Plassac[26].

Administration[modifier | modifier le code]

La mairie en 2012.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
2001 2014 Jean-Pierre Barbot SE Retraité SNCF
2014 2020 Georges Dumet SE Professeur de faculté
2020 En cours Serge David SE Accompagnateur social

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].

En 2021, la commune comptait 387 habitants[Note 3], en diminution de 4,21 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
488425512471474633662615640
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
630613587560531501420391382
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
401428377369333324297286282
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
297307304297321340343404401
2021 - - - - - - - -
387--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,3 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 204 hommes pour 199 femmes, soit un taux de 50,62 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,0 
90 ou +
0,0 
7,5 
75-89 ans
7,7 
17,0 
60-74 ans
13,3 
22,3 
45-59 ans
21,4 
24,0 
30-44 ans
22,6 
7,4 
15-29 ans
10,6 
20,9 
0-14 ans
24,5 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Remarques[modifier | modifier le code]

Plassac a absorbé Rouffiac en 1845[31].

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[35].

Polyculture et silo au bord de la D 107.

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école est un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) entre Plassac-Rouffiac et Voulgézac, qui accueillent chacune une école élémentaire. L'école de Plassac est située à la mairie, au bourg, et comporte une seule classe. Le secteur du collège est Blanzac[36].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église paroissiale Saint-Cybard de Plassac est une église romane du XIIe siècle, caractéristique du style roman saintongeais. Elle abrite une petite chapelle sous l'autel accessible par deux escaliers intérieurs dans la nef. Cette chapelle est à moitié enterrée comme le montrent les vitraux et les puits de lumière qui permettent le léger éclairage naturel de ce sanctuaire. Elle est aussi remarquable par son site, dominant la vallée, sa façade, son clocher et sa nef, et aussi parce qu'elle n'a subi aucune transformation[37]. Elle a été classée monument historique en 1862[38].

À l'intérieur de la crypte se trouve une statue de la Vierge de Pitié en pierre sculptée, peinte et dorée datant du début du XVIIe siècle, classée monument historique au titre objet depuis 1911[39].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Plassac-Rouffiac » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  2. a b c d e et f Carte IGN sous Géoportail
  3. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montmoreau », sur Infoterre, (consulté le ).
  6. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  7. « Fiche communale de Plassac-Rouffiac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  8. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  9. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Plassac-Rouffiac », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Plassac-Rouffiac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 73,105,283
  22. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p., p. 307
  23. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 206,232,238
  24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 533,572.
  25. Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne)
  26. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 272
  27. Jean-Marie Ouvrard, « Blasons de la Charente, famille Gombaud », (consulté le ).
  28. Jean-Marie Ouvrard, « Blasons de la Charente, famille des Ruaux », (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Plassac-Rouffiac (16263) », (consulté le ).
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  35. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  36. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  37. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 308
  38. « Église Saint-Cybard de Plassac », notice no PA00104457, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  39. « Vierge de Pitié », notice no PM16000210, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]