Le Plan-de-la-Tour

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Le Plan-de-la-Tour
Le Plan-de-la-Tour
L'église Saint-Martin du Plan-de-la-Tour.
Blason de Le Plan-de-la-Tour
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Draguignan
Intercommunalité Communauté de communes du Golfe de Saint-Tropez
Maire
Mandat
Laurent Giubergia
2020-2026
Code postal 83120
Code commune 83094
Démographie
Gentilé Plantourians / Plantouriannes
Population
municipale
3 055 hab. (2021 en augmentation de 13,36 % par rapport à 2015)
Densité 83 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 20′ 29″ nord, 6° 32′ 50″ est
Altitude Min. 25 m
Max. 540 m
Superficie 36,8 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Le Plan-de-la-Tour
(ville isolée)
Aire d'attraction Sainte-Maxime
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sainte-Maxime
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Le Plan-de-la-Tour
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Liens
Site web http://www.leplandelatour.fr

Le Plan-de-la-Tour, dénommé jusqu'au Plan-de-la-Tour[1], est une commune française située dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont les Plantourians et les Plantouriannes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Située à 9 km de la mer, les communes les plus proches sont Sainte-Maxime 9 km, La Garde-Freinet 11 km, Grimaud 13 km, Cogolin14 km, Saint-Tropez 19 km.

Hameaux[modifier | modifier le code]

Le Plan-de-la-Tour est composée d'une vingtaine de hameaux environ, dont le Revest, les Gastons, la Buon Aïgo, les Marcels, le Vernet[2] et le hameau de Coriolan.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le Granite de l'Hermitan[3], Leucocrate de Camarat, la Rhyolite[4].

Sismicité[modifier | modifier le code]

Zone de sismicité Faible[5].

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[6] :

  • rivière le Préconil ;
  • vallons de Sartouresse, du Revest, du Cours du Pey, des Prés ;
  • ruisseau de Langastoua, d'Emponse, le Gourier[7], du Plan, des Mûres ;
  • vallat le Marri Ruisseau ;
  • ravin du Nartassier.

Le Plan-de-la-Tour dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 5 000 équivalent-habitants[8].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (°C) et peu de brouillards[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 15,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 954 mm, avec 6,6 jours de précipitations en janvier et 1,6 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cogolin_sapc », sur la commune de Cogolin à 10 km à vol d'oiseau[11], est de 15,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 958,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42 °C, atteinte le ; la température minimale est de −9,5 °C, atteinte le [Note 1],[12],[13].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[14]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Le Plan-de-la-Tour est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine du Plan-de-la-Tour, une unité urbaine monocommunale[19] de 3 055 habitants en 2021, constituant une ville isolée[20],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sainte-Maxime, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe deux communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[22],[23].

La commune est dotée d'un plan local d'urbanisme[24],[25].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (69,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (43,5 %), forêts (25,8 %), zones agricoles hétérogènes (17,7 %), cultures permanentes (8,5 %), zones urbanisées (4,6 %)[26]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

  • Commune desservie par les départementales 44 et 74.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par le réseau départemental Varlib[27].

Lignes SNCF[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Isolée par les difficultés d'accès liées à son relief et, également, par l'insécurité qui frappait les rivages de la mer, l'actuelle vallée du Préconil, autrefois connue sous le nom de Val d'Avignon, est restée longtemps inhabitée ou peu habitée. Au XVIe siècle, dans ces grands espaces, près des points d'eau intarissables pendant la longue période de sécheresse de l'été, apparaissent quelques bastides destinées à répondre aux exigences de la vie agricole, forestière et familiale. Ces bastides, progressivement, deviendront des hameaux regroupant, initialement, les descendants d'une même famille. C'est là le germe du type de société qui s'est perpétué, dans le respect des traditions, et qui s'est longtemps exprimé dans un paysage rural inséparable de la société qui l'avait créé[28].

L'un de ces hameaux, Saint-Martin, le centre de l'actuel village, deviendra le chef-lieu de fait, puis de droit, de la communauté qui, depuis le XVIe siècle, s'est fixée sur des lieux géographiques communs.

En Provence, d'une manière générale, les limites des communes sont celles des anciennes seigneuries. Tel n'est pas le cas du Plan-de-la-Tour qui regroupe trois quartiers relevant, chacun, sous l'Ancien Régime, d'unités féodales différentes. Ils sont pourtant connus sous ce toponyme apparu à la fin du XVe siècle. Il y vit une population qui, par la géographie des lieux et sa manière de vivre, a le sentiment d'être solidaire dans le droit de s'administrer elle-même.

La plus grande partie de cette population s'est fixée dans la haute vallée ou se trouvent les hameaux de Saint-Martin, Préconil, le Vernet, les Pennes, les Pierrons, Prat-l'Estagnol, Valauri et Emponse. Le hameau de Saint-Martin, où ont été édifiés, en 1723, l'église et le cimetière, préfigure, on l'a dit, le chef-lieu. À la veille de la Révolution, les habitants de ces lieux, administrativement rattachés à La Garde-Freinet, sont remarquablement structurés et comptent « trois maîtres en chirurgie et des artisans de presque toutes espèces ». Les chroniqueurs les plus autorisés de l'époque écrivent que les paysans de ce quartier sont laborieux et hardis, actifs pour le commerce et religieux.

La deuxième partie de la communauté est constituée par le Haut Quartier de Saint-Pierre de Miramas et recouvre les hameaux de Prat-Bourdin, le Plan, Bagarri et Gassine. Elle est rattachée à Sainte-Maxime ainsi que le hameau du Revest qui perpétue le nom de ce fief supprimé pendant la Révolution.

Les cérémonies du bicentenaire seront des images. Mais elles exprimeront les secrètes affinités d'une réalité matérielle avec la croyance dans les libertés urbaines chèrement acquises, on va le voir, par nos ancêtres. Cette communauté, en effet, revendiquait le simple droit de se gouverner elle-même. Mais ce droit ne lui était nullement reconnu et il existe aujourd'hui parce qu'il a été arraché, de haute lutte, par les habitants des lieux où nous vivons.

Dans le courant du XVIIIe siècle, ces habitants forment une communauté qui prend conscience d'elle-même. La crise d'émancipation qui l'anime se cristallise, dans l'État officiellement catholique de l'époque, autour de l'épineuse question de l'érection d'une paroisse à Saint-Martin simple succursale de la Moure. Cette tentative échoue. Elle est reprise, pendant la Révolution, et le les citoyens actifs de Saint-Martin du Plan-de-la-Tour se réunissent dans l'église et se proclament indépendants de la Garde du Freinet. Depuis toujours, La Garde-Freinet manifestait une opposition farouche à la sécession. Un incident est significatif du climat dans lequel se déroulaient les événements. La décision ayant été prise, par le Directoire de Fréjus, de faire prêter serment, en 1792 au vicaire Pelloquin, desservant de la succursale de Saint-Martin, les administrateurs de la Garde-Freinet soutenaient qu'il leur appartenait de recevoir ce serment, ce que niaient les habitants du Plan-de-la-Tour. Un huissier fut commis pour signifier l'acte. À son retour il fit connaître que « les habitants étaient beaucoup émeutés contre la municipalité de La Garde-Freinet et que les représentants de celle-ci ne pouvaient se déplacer sans danger, à Saint-Martin, pour y recevoir le serment de l'abbé ».

Après maintes difficultés, la commune sera officiellement créée le par une décision du Directoire du Var siégeant à Brignoles. Paradoxalement, elle laissera hors de ses limites le quartier du Plan qui lui a donné son nom et qui, partie intégrante de Sainte-Maxime, ne lui sera rattaché que plus tard. Enfin, le procès-verbal de division et de limitation des territoires entre la commune du Plan-de-la-Tour et La Garde-Freinet ne sera établi que le vingt neuvième jour de fructidor an IV de la République (1796)[29].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs à partir de 1904
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
Philibert Perrin    
Victorin Bransiec [31] Socialiste Ouvrier bouchonnier
Dr Charles Treuvey   Délégation spéciale
Jean Guiraud   Président de la délégation municipale
Georges Gautier    
Marcel Aumeran    
Pierre Jaudel   Exploitant agricole
juin 2020 Florence Lanliard DVD Propriétaire viticole, artiste peintre
9e vice-présidente de la CC du Golfe de Saint-Tropez (2014 → 2020)
Chevalier de la Légion d'honneur (2017), citoyenne d'honneur de la commune
Réélue en 2001, 2008 et 2014
En cours Laurent Giubergia[32]   Plombier[33]
8e vice-président de la CC du Golfe de Saint-Tropez (2020 → )

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la Communauté de communes du golfe de Saint-Tropez

Budget et fiscalité 2021[modifier | modifier le code]

En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[34] :

  • total des produits de fonctionnement : 3 503 000 , soit 1 173  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 2 993 000 , soit 1 002  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 1 335 000 , soit 447  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 508 000 , soit 170  par habitant.
  • endettement : 717 000 , soit 240  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 18,99 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 29,28 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 64,95 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0 %

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : Médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 22 370 [35].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].

En 2021, la commune comptait 3 055 habitants[Note 4], en augmentation de 13,36 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0501 0409991 1631 0861 1061 1081 3881 513
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5271 5411 5091 4531 5061 3611 3081 1891 083
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0231 0031 015822908891811697746
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
8201 0361 2601 4481 9912 3802 5242 7002 859
2014 2019 2021 - - - - - -
2 6663 0483 055------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

  • Professionnels et établissements de santé : médecins[42], pharmacie[43].
  • Maison médicale proche[44].

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

  • Coopérative vinicole Les Fouleurs de Saint Pons[46],[47],[48].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Villages Clubs du Soleil Le Reverdi.
  • Restaurants[49].
  • Camping, chambres d'hôtes[50].
  • Villages Clubs Du Soleil Le Reverdi[51].

Commerces et services[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux :

  • Église Saint-Martin construite à la fin du XVIIIe siècle, et son campanile inaugurée le [59],[60];
  • Chapelle Saint-Pierre-de-Miramas[61],[62] ;
  • Ancien presbytère, place Clemenceau ;
  • Monuments commémoratifs :
    • Monument aux morts[63],
    • Plaque commémorative dans l'église.

Monument classé au titre des monuments historiques[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Rainer von Hessen, né en 1939 à Kronberg im Taunus, également appelé Rainer von Diez dans le milieu du spectacle, est un metteur en scène allemand. Il appartient à la maison de Hesse. Il possède le terrain dans la forêt sur la commune du Plan-de-la-Tour, sur lequel il a travaillé avec Niki de Saint Phalle à la construction du Rêve de l'oiseau.
  • Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely.
  • Johnny Depp y possède une propriété[67], sur un terrain de quinze hectares[68]. Le clip de la chanson Pourtant (album Bliss), de Vanessa Paradis, réalisé par Johnny Depp (sous le pseudonyme de Richard Mudd), est tourné dans les jardins de leur propriété.
  • La famille Berthier, héritière, par alliance, de la comtesse Wratislaw, y possède trois villas familiales.
  • Le cinéaste Paul Vecchiali s'y installe en 2006 et y réalise les films Les Gens d'en-bas, Retour à Mayerling et d'autres par la suite ; il est inhumé au cimetière communal.
  • Léon Spariat y est curé du au .
  • Étienne Périer, réalisateur belge qui réalise plusieurs films avec les deux sociétés de productions qu’il a fondées : « Plan film » et « Les films de la Tour » utilisant le toponyme : Le Plan de la Tour et d'autres pour d’importants studios d'Hollywood (Pont vers le soleil, Zeppelin, Commando pour un homme seul…).
  • L'architecte Jean-Louis Véret, membre fondateur de l'Atelier de Montrouge y possédait un terrain dans les hauteurs de la commune, sur lequel il construisit une habitation troglodyte.

Héraldique[modifier | modifier le code]

D'or à la tour de gueules posée sur une terrasse de sable[69].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. La commune a changé de nom par décret no 2008-1021 du 3 octobre 2008 portant changement de nom de communes, après délibération du conseil municipal de Plan-de-la-Tour du 19 juin 2006 et du conseil général du Var du 24 novembre 2006.
  2. De très nombreux hameaux (25 au total !) sont disséminés sur la commune
  3. Affleurement
  4. Carte de subtences utiles : Gisements de matériaux de construction et de viabilité]
  5. Didacticiel de la règlementation parasismique
  6. L'eau dans la commune.
  7. Des cours d’eau singuliers.
  8. Description de la station : Plan de la Tour village.
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Le Plan-de-la-Tour et Cogolin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Cogolin_sapc », sur la commune de Cogolin - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Station Météo-France « Cogolin_sapc », sur la commune de Cogolin - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  14. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  16. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  18. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Unité urbaine 2020 du Le Plan-de-la-Tour », sur insee.fr (consulté le ).
  20. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  22. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duSainte-Maxime », sur insee.fr (consulté le ).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. Présentation du projet de PLU.
  25. PLU, sur Géoportail de l'urbanisme.
  26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  27. réseau départemental Varlib
  28. Histoire du village sur Provence 7
  29. Présentation de la commune
  30. Joseph Salvarelli, Les Administrateurs du département du Var (1790-1897). Notices biographiques (1897), p.425 « [1]
  31. https://maitron.fr/spip.php?article102216, notice BRANSIEC Victorien [BRANSIEC Paul, Eugène, Victorien] par Jacques Girault, version mise en ligne le 3 novembre 2010, dernière modification le 3 novembre 2010.
  32. Conseil municipal 2020
  33. Présentation par l'Association des maires de France
  34. Les comptes de la commune
  35. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. École maternelle
  41. Établissements d'enseignement proches
  42. Médecins
  43. Pharmacie
  44. Maison médicale, sur la route du Plan-de-la-Tour
  45. La paroisse Saint-Martin du Plan-de-la-Tour
  46. Coopérative vinicole Les Fouleurs de Saint-Pons : Étude historique et architecturale
  47. « Coopérative vinicole Les Fouleurs de Saint Pons », notice no IA83001357, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture enquête thématique régionale (coopératives agricoles de Provence-Alpes-Côte d'Azur)
  48. Golfe de Saint Tropez, Plan-de-la Tour : 1 coopérative
  49. Restauration
  50. Hébergements
  51. Le village club aux 5 sens
  52. « Vue générale de l'oppidum de San Peïre et du castrum de Miramas (Plan-de-la-Tour, Var) », notice no ARR93_20078300125, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  53. « Oppidum de San Peïre et castrum de Miramas. Plan-de-la-Tour, San Peïre », notice no ARR93_20078300125, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  54. « Menhir : structure mégalithique », notice no ARR93_20098300098, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  55. Dolmen de San-Sébastien
  56. Infos touristiques
  57. Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
    Plan-de-la-Tour (Le), p. 905
  58. La tour Paulety
  59. Un peu d'histoire du village
  60. La commune du Plan de la Tour s’engage dans la restauration du clocher de l’Eglise Saint Martin et son campanile en fer forgé avec le soutien de la Fondation du patrimoine
  61. Les églises et édifices religieux recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR)
  62. Chapelle Saint-Pierre, Le Plan-de-la-Tour
  63. Monument aux morts du Plan-de-la-Tour
  64. « Rêve de l'Oiseau », notice no PA83000017, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  65. Le sol des parcelles D 778 et D 779, en totalité : inscription par arrêté du - Le " Rêve de l'Oiseau " et le sol de la parcelle D 777 : classement par arrêté du .
  66. Camille Morineau et al 2014, p. 335.
  67. Anne Le Hars, « La propriété où ont vécu la star hollywoodienne Johnny Depp et la comédienne et chanteuse française Vanessa Paradis », france3-regions.francetvinfo.fr, .
  68. « Johnny Depp dévoile son quotidien avec Vanessa Paradis, sa vie en France, et... son rêve secret ! », sur purepeople.com, .
  69. Canton de Grimaud : Le Plan-de-la-Tour, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/