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Périers

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Périers
Périers
L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul un jour de marché.
Blason de Périers
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Coutances
Intercommunalité Communauté de communes Côte Ouest Centre Manche
Maire
Mandat
Gabriel Daube
2020-2026
Code postal 50190
Code commune 50394
Démographie
Gentilé Prisiais
Population
municipale
2 355 hab. (2022 en évolution de +2,35 % par rapport à 2016)
Densité 161 hab./km2
Population
agglomération
6 209 hab. (2016)
Géographie
Coordonnées 49° 11′ 11″ nord, 1° 24′ 26″ ouest
Altitude Min. 6 m
Max. 36 m
Superficie 14,62 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Périers
(ville isolée)
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Agon-Coutainville
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Périers
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Périers
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Périers
Liens
Site web www.ville-periers.fr

Périers est une commune française située dans le département de la Manche et la région Normandie. Lors du recensement de 2022[Note 1], la commune comptait 2 355 habitants.

Géographie

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La commune est au nord du Pays de Coutances. Son bourg est à 10 km au sud-est de Lessay, à 16 km au nord-est de Coutances, à 18 km au sud-ouest de Carentan et à 26 km au nord-ouest de Saint-Lô[1].

Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par la Taute, la Sèves, l'Holerotte, le fossé 01 de la commune de Saint-Patrice-de-Claids[3] et la Taute[4],[5],[Carte 1].

La Taute, d'une longueur de 40 km, prend sa source dans la commune de Cambernon et se jette dans la Douve à Carentan-les-Marais, après avoir traversé 13 communes[6]. Les caractéristiques hydrologiques de la Taute sont données par la station hydrologique située sur la commune de Saint-Sauveur-Villages. Le débit moyen mensuel est de 0,3 m3/s[Note 2]. Le débit moyen journalier maximum est de 3,32 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 6 m3/s, atteint le [7].

La Sèves, d'une longueur de 33 km, prend sa source dans la commune de Muneville-le-Bingard et se jette dans la Douve en limite de Auvers et de Carentan-les-Marais, après avoir traversé 15 communes[8].

L'Holerotte, d'une longueur de 12 km, prend sa source dans la commune de Saint-Sauveur-Villages et se jette dans la Sèves en limite de Saint-Germain-sur-Sèves et de Terre-et-Marais, après avoir traversé sept communes[9].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Périers[Note 3].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[11]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 876 mm, avec 13,7 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Coutances à 16 km à vol d'oiseau[13], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 092,8 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Au , Périers est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Périers[Note 4], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[18],[19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20],[21].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (90,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (48 %), prairies (37,6 %), zones urbanisées (7,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,2 %), terres arables (2,6 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Periers en 962 et 996[23], Perers en 1159 et 1181[23], de Piris vers 1245[23].

Ce toponyme est le pluriel d'une forme dialectale du français poirier, issu du bas latin pirarius[24].

Le gentilé est Prisiais.

Périers s'est établi sur une voie romaine. Le domaine avait le titre de baronnie[25] et appartenait à l'abbaye de Saint-Taurin d’Évreux[26].

En 1256, Raoul de Grosparmy, évêque d'Évreux puis cardinal, accueillit le roi Saint Louis à Périers[27].

Louis XIV engagea le bailliage et vicomté de Périers au comte de Toulouse, Louis-Alexandre de Bourbon[28],[Note 5].

Le bourg est détruit en 1944.

L'affaire criminelle Blanche Hébert, un terrible fait divers, s'est déroulée à Périers le [29].

Héraldique

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Armes de Périers

Les armes de la commune de Périers se blasonnent ainsi :
D'argent au poirier arraché de sinople et fruité de gueules accompagné de deux lions de sable, l'un en chef à senestre, l'autre contourné en pointe à dextre, à la bande d'azur chargée de trois molettes d'éperon d'or posées à plomb brochant sur le tout et à la trangle de gueules brochant en pointe sur la bande[30].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
juillet 1944 novembre 1944 Charles Tollemer   Abbé
novembre 1944 1944 Gilles Déan    
mai 1945 octobre 1947 François Le Conte DVD Négociant
Conseiller général de Périers (1945 → 1955)
octobre 1947 1950 Auguste Lhoste    
1950 1954 François Le Conte DVD Négociant
Conseiller général de Périers (1945 → 1955)
1954 avril 1966
(décès)
Robert Schmitt MRP Industriel
Conseiller général de Périers (1955 → 1966)
1966 mars 1971 François Le Conte fils   Commerçant (quincaillerie et matériaux de construction)
mars 1971 mars 1983 Raymond Burckart RPR Architecte
Conseiller général de Périers (1975 → 1985)
mars 1983 juin 1995 Michel Ciubucciu DVD Notaire
Conseiller général de Périers (1985 → 1992)
juin 1995 mars 2001 Didier Lecerf DVD Médecin
Conseiller général de Périers (1992 → 1998)
Président de la CC de Sèves et Taute (1996 → 2000)
mars 2001 mars 2008 Damien Pillon DVD Banquier
mars 2008[31] En cours
(au 25 mai 2020)
Gabriel Daube[32] DVD puis MoDem
puis UDI
Consultant en management et formateur au CNFPT
Conseiller départemental d'Agon-Coutainville (2015 → 2021)
1er vice-président de la CC de Sèves et Taute (2008 → 2016)

Le conseil municipal est composé de dix-neuf membres dont le maire et cinq adjoints[32].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

En 2022, la commune comptait 2 355 habitants[Note 6], en évolution de +2,35 % par rapport à 2016 (Manche : −0,31 %, France hors Mayotte : +2,11 %). Périers a compté jusqu'à 2 902 habitants en 1806.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 4732 5572 9022 6422 6052 6402 8562 8802 901
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 8562 7942 7042 5152 6152 6522 6442 6892 720
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 6222 4652 4532 1462 1522 2022 2851 8092 543
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
2 4642 5862 7122 7412 5662 5532 4502 4372 355
2017 2022 - - - - - - -
2 2592 355-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

La commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny[37].

Lieux et monuments

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  • Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul des XIIIe, XIVe, XVe – XXe siècle, classée aux monuments historiques par liste de 1862[38], avec clocher en pierre avec la tour de guet et avant-porche latéral Renaissance. Très endommagée en 1944 et restaurée à l'identique de 1955 à 1960 par l'architecte Yves-Marie Froidevaux, elle abrite de nombreux meubles et objets liturgiques classés au titre objet dont un tableau la remise du scapulaire à saint Simon Stock du XVIIe[39],[40].
  • Hôtel de ville (1875).
  • Maison Tollemer, en centre-ville. La maison bourgeoise et le parc furent achetés par la mairie qui lui donna le nom du vicaire qui en 1944 s'est beaucoup dépensé pour aider la population.
  • Les Quatre Braves, sculpture de Patrick Cottencin en l'honneur de la 90e division d'infanterie américaine, inaugurée en .
  • La voie de la Liberté 1944 : une borne est sur le territoire.
  • Manoir de Basmaresq des XVe, XVIIe – XIXe siècles.
Pour mémoire

Activité et manifestations

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Périers Sport fait évoluer trois équipes de football en divisions de district[42].

Périers dans les arts

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Cinéma : dans le film Il faut sauver le soldat Ryan (1998), une pancarte de direction, visible dans le village fictif de Ramelle, indique que Périers se situe à seulement sept kilomètres à l'ouest dudit village.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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  1. Population municipale légale en 2025.
  2. Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 28/07/2024 à 11:01 TU à partir des 370 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/06/1993 au 01/06/2024.
  3. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  4. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  5. Le prince avait était engagé également des domaines et vicomtés de Coutances, Valognes, Saint-Sauveur-le-Vicomte, Saint-Sauveur-Lendelin, Gavray, et des bailliages et vicomtés de Lithaire et Cérences[28].
  6. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  1. « Réseau hydrographique de Périers » sur Géoportail (consulté le 13 avril 2025).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  3. Sandre, « le fossé 01 de la commune de Saint-Patrice-de-Claids ».
  4. Sandre, « la Taute ».
  5. « Fiche communale de Périers », sur sigessn.brgm.fr (consulté le ).
  6. Sandre, « La Taute ».
  7. « Station hydrométrique « La Taute à Saint-Sauveur-Lendelin» », sur L'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le ).
  8. Sandre, « La Sèves ».
  9. Sandre, « L'Holerotte »
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
  13. « Orthodromie entre Périers et Coutances », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Coutances » (commune de Coutances) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Coutances » (commune de Coutances) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  17. « La grille communale de densité », sur Insee, (consulté le ).
  18. « Unité urbaine 2020 de Périers », sur Insee (consulté le ).
  19. Insee, « Métadonnées de la commune de Périers ».
  20. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur Insee, (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur Insee, (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  23. a b et c Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, Genève, (lire en ligne), p. 1327.
  24. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 196.
  25. Delattre, 2002, p. 166.
  26. Renault 1856, p. 64 (lire en ligne).
  27. Gautier 2014, p. 457.
  28. a et b Jean-Michel Renault, « Revue monumentale et historique de l'arrondissement de Coutances : Canton de Saint-Sauveur-Lendelin », Annuaire du département de la Manche, Julien-Gilles Travers,‎ 28e année - 1856, p. 52 (lire en ligne).
  29. Jean-François Miniac, Les Nouvelles Affaires criminelles de la Manche, de Borée, Paris, avril 2012.
  30. « GASO, la banque du blason - Périers - Manche »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  31. « Gabriel Daube succède à Damien Pillon », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. a et b Réélection 2020 : « Municipales à Périers : Gabriel Daube réélu sans surprise », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  37. AOP Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny.
  38. « Église », notice no PA00110533, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. Œuvres mobilières classées à Périers.
  40. « Tableau : La Remise du scapulaire à Saint-Simon stock », notice no PM50000814, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  41. Michel Pinel (photogr. Patrick Courault), Châteaux et Manoirs de la Manche, t. 5, Rivages de France, coll. « Lumières et histoire », , 256 p. (ISBN 978-2-9561209-6-4), p. 87.
  42. « Périers S. », sur Site officiel de la Ligue de Basse-Normandie (consulté le ).

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Bibliographie

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  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 166-167.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 457.

Articles connexes

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Liens externes

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