Pays de la Vallée de l'Agly
Pays de la Vallée de l'Agly | |
Administration | |
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Pays | France |
Régions | Occitanie |
Départements | Pyrénées-Orientales |
Siège | Estagel |
Démographie | |
Population | 58 266 hab. (2006) |
Densité | 82 hab./km2 |
Géographie | |
Superficie | 714 km2 |
Subdivisions | |
Communes | 36 |
EPCIFP | 3 |
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Situé au nord du département des Pyrénées-Orientales, le Pays de la Vallée de l'Agly est un Pays composé de 36 communes réparties sur les cantons de Saint-Paul-de-Fenouillet, Sournia, Latour-de-France, Rivesaltes, Saint-Laurent-de-la-Salanque.
Administration
[modifier | modifier le code]Le siège est à Estagel.
- Président : Pierre Estève.
- Vice-présidents :
- Charles Chivilo, président de la communauté de communes Agly Fenouillèdes, maire de Maury, conseiller départemental du canton de la Vallée de l’Agly ;
- Théophile Martinez, représentant le territoire de la communauté urbaine Perpignan Méditerranée Métropole, maire de Cases de Pène ;
- Angélique Sorli, représentant le territoire de la Communauté de communes Corbières - Salanque - Méditerranée, adjointe à la mairie de Claira ;
- Trésorier : Raymond Manchon, premier adjoint au maire d’Estagel.
Le Pays
[modifier | modifier le code]Le territoire
[modifier | modifier le code]Il se compose de trois EPCI (en tout ou partie) :
- Communauté de communes Agly Fenouillèdes
- Communauté urbaine Perpignan Méditerranée Métropole
- Communauté de communes Corbières Salanque Méditerranée
Géographie
[modifier | modifier le code]Le pays s'étend sur cinq régions différentes : la plaine du Roussillon au sud, le massif des Corbières au nord est et au centre est, le Fenouillèdes au centre et à l'ouest, L'altiplà de Sournia au sud ouest et la Salanque à l'est.
Histoire
[modifier | modifier le code]La vallée de l'Agly, à l'instar du reste du département des Pyrénées-Orientales, est annexée par la couronne de France en 1659[1].
En 1769, la vallée fait partie d'un plan d'intensification de l'agriculture établie par l'intendant de Bon. Il fait mettre en vigne les vallées de la Têt et de l'Agly[1]. Le vin qui en sortira, notamment celui de Rivesaltes, sera qualifié d'« un des meilleurs vins d'Europe » par Arthur Young, de passage dans le village en 1787[1].
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]- Alice Marcet et Michel Peronnet, La Révolution dans les Pyrénées Orientales, Saint-Étienne, Horvath, , 127 p. (ISBN 2-7171-0617-0)