Paussac-et-Saint-Vivien
Paussac-et-Saint-Vivien | |||||
Le village de Paussac. | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Périgueux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Périgord Ribéracois | ||||
Maire Mandat |
Jean-Pierre Desvergne 2020-2026 |
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Code postal | 24310 | ||||
Code commune | 24319 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Paussacois-et-Vivianais | ||||
Population municipale |
472 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 21 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 20′ 54″ nord, 0° 32′ 22″ est | ||||
Altitude | Min. 82 m Max. 202 (ou 205) m |
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Superficie | 22,17 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Brantôme en Périgord | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | www.paussacstvivien.fr | ||||
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Paussac-et-Saint-Vivien est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie[modifier | modifier le code]
Généralités[modifier | modifier le code]
Localisée au nord-ouest du département de la Dordogne, en Ribéracois, la commune de Paussac-et-Saint-Vivien s'étend sur 22,17 km2. Elle est arrosée par deux affluents de la Dronne, le Boulou à l'est et l'Euche au sud, ainsi que par un affluent de cette dernière, la Sandonie, à l'ouest.
Au nord-ouest et au nord, la commune est limitrophe du parc naturel régional Périgord-Limousin.
L'altitude minimale, 82 mètres, se situe au sud, là ou l'Euche quitte le territoire communal pour un ultime parcours long d'une centaine de mètres entre les communes de Creyssac et Grand-Brassac avant de rejoindre la Dronne. Le point culminant avec 202 ou 205 mètres[Note 1] se trouve au nord, près du lieu-dit les Landes[1].
Le bourg de Paussac, traversé par la route départementale 93, est situé, en distances orthodromiques, neuf kilomètres à l'ouest de Brantôme et 19 kilomètres au nord-est de Ribérac.
La commune est également desservie au sud par les routes départementales 106 et 2, cette dernière traversant le bourg de Saint-Vivien.
Au nord-est, le sentier de grande randonnée GR 36 fait une courte incursion sur le territoire communal et passe au village de la Verrerie.
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
Paussac-et-Saint-Vivien est limitrophe de six autres communes. Au sud, son territoire communal est distant de moins de 150 mètres de celui de Lisle.
Villages, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]
(Liste non exhaustive)
Outre le bourg de Paussac proprement dit, la commune se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[2] :
- la Blancherie
- les Boissières
- au Brandeau
- le Breuil
- Chassignoles
- les Chauses
- le Chautet
- les Cheyroux
- les Clos
- le Clos du Breuil
- le Communal
- la Croix
- la Croix Neuve
- les Farges
- la Font Loriot
- la Forêt
- la Forge
- les Fouillouses
- les Grellières
- les Guichards
- la Jaufrenie
- les Landes
- Léguillou
- le Maine d'Euche
- Maison Neuve
- les Mazeaux
- les Merlandes
- la Monerie
- le Moulin de l'Étang
- le Moulin des Guichards
- le Moulin Rompu
- le Parc
- le Petit Chautet
- Peyre Dermale
- Peygnefort
- le Pleyssat
- Prézat Bas
- Prézat Haut
- Puy de Levy
- Puy Fromage
- les Quatre Fontaines
- le Repère
- les Rilloux
- Saint-Vivien
- le Saut du Roi
- Taillefer
- la Verrerie
- le Vieux Breuil
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Selon la terminologie définie par l'Insee et le zonage publié en 2020, Paussac-et-Saint-Vivien est une commune rurale, car elle n'appartient à aucune unité urbaine[Note 2],[3],[4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5],[6].
Prévention des risques[modifier | modifier le code]
Bien que la commune ne soit pas directement mentionnée dans le plan de prévention du risque inondation (PPRI) approuvé en 2014 pour la Dronne, la partie aval de l'Euche y est concernée par celui-ci, sur environ 400 mètres[7],[8].
Toponymie[modifier | modifier le code]
Le nom actuel de la commune remonte à 1830, date de la fusion des communes de Saint-Vivien et de Paussac[9]. Paussac tire son nom d'un personnage gallo-roman (qui pourrait être Paucius[10]) suivi du suffixe -acum, alors que Saint-Vivien fait référence à saint Vivien, évêque de Saintes au Ve siècle[11].
En occitan limousin[12], la commune porte le nom de Pauçac e Sent Bébian[10].
Les habitants de la commune se nomment les Paussacois-et-Vivianais[13].
Histoire[modifier | modifier le code]
Le dolmen de Peyrelevade indique une présence humaine sur le territoire communal au Néolithique[14].
Les deux églises paroissiales ont été bâties au XIIe siècle[15],[16]. Celle de Paussac a été fortifiée vers 1210-1215[17].
Les premières mentions écrites connues des deux cités remontent au XIIe siècle pour Paussac (Perusac) et en 1365 pour Saint-Vivien (Sanctus Bibianus)[11]. À cette époque, le prieuré de Saint-Vivien dépendait de l'abbaye de Brantôme[18].
Créées en 1790, les deux communes de Saint-Vivien et de Paussac fusionnent en 1830 sous le nom de Paussac-et-Saint-Vivien[9].
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]
Dès 1790, la commune de Paussac a été rattachée au canton de La Tour Blanche qui dépendait du district de Ribérac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Montagrier dépendant de l'arrondissement de Ribérac jusqu'en 1926, puis de l'arrondissement de Périgueux[9]. Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[19]. La commune est alors rattachée au canton de Brantôme renommé canton de Brantôme en Périgord en 2020.
Intercommunalité[modifier | modifier le code]
Fin 2002, Paussac-et-Saint-Vivien intègre dès sa création la communauté de communes du Val de Dronne. Celle-ci est dissoute au 31 décembre 2013 et remplacée au 1er janvier 2014 par la communauté de communes du Pays Ribéracois, renommée en 2019 communauté de communes du Périgord Ribéracois.
Administration municipale[modifier | modifier le code]
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[20],[21].
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Juridictions[modifier | modifier le code]
Dans le domaine judiciaire, Paussac-et-Saint-Vivien relève[25] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Démographie[modifier | modifier le code]
Démographie de Saint-Vivien[modifier | modifier le code]
Démographie de Paussac, puis de Paussac-et-Saint-Vivien[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].
En 2018, la commune comptait 472 habitants[Note 4], en augmentation de 8,26 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Économie[modifier | modifier le code]
La pierre calcaire est exploitée dans plusieurs carrières sur le territoire communal.
Emploi[modifier | modifier le code]
En 2015[30], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 188 personnes, soit 41,8 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (13) a diminué par rapport à 2010 (21) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 7,1 %.
Établissements[modifier | modifier le code]
Au , la commune compte 41 établissements[31], dont dix-huit au niveau des commerces, transports ou services, dix dans l'industrie, six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, quatre dans la construction, et trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[32].
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
Patrimoine civil[modifier | modifier le code]
- Dolmen de Peyrelevade, inscrit au titre des monuments historiques depuis 1960[14].
- Peyre d'Ermale (ou Peyre Dermale), monolithe faussement considéré comme un dolmen[33],[34], inscrit au titre des monuments historiques depuis 1960[35].
- Manoir de Paussac, XVe ou XVIe siècle, transformé en maison ; une gargouille marque son angle ouest[36].
- Château de Peignefort (ou manoir de Peignefort), XIXe siècle[37].
- Manoir du Prezat, XVIe siècle[38].
- Pigeonnier du XVIIe siècle avec toit en lauzes[39].
- Sites d'escalade de la Forge du Boulou[40] et du Vieux Breuil[41].
Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]
- Église Saint-Timothée de Paussac, XIIe au XIVe siècle, classée monument historique depuis 1902[42],[15]. Avec son clocher carré, sa chambre forte et ses traces de mâchicoulis, c'est une église fortifiée[17].
- Église Saint-Vivien, XIIe et XIIIe siècles[16],[43].
- Presbytère Saint-Michel de Paussac, datant de 1901, de l'architecte Maxime Dannery (1858-1936)[44].
Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]
Parc naturel régional Périgord-Limousin[modifier | modifier le code]
Au nord et au nord-est, la commune est limitrophe de Léguillac-de-Cercles, commune intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.
ZNIEFF et Natura 2000[modifier | modifier le code]
Paussac-et-Saint-Vivien présente une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I, la vallée de la Sandonie, s'étendant sur 973 hectares partagés avec les communes voisines de Léguillac-de-Cercles et Saint-Just, la plus grande partie concernant Paussac-et-Saint-Vivien. Sur ce site se trouvent certaines espèces animales protégées : l'Œdicnème criard (Burhinus oedicnemus), le Moineau soulcie (Petronia petronia) ou la Genette commune (Genetta genetta)[45],[46].
À l'intérieur de cette ZNIEFF, un secteur plus restreint de 612 hectares, majoritairement sur Paussac-et-Saint-Vivien, est protégé en tant que zone Natura 2000 : le « vallon de la Sandonie » où six espèces de chauves-souris ont trouvé des sites d'hivernage ou de reproduction dans des grottes calcaires[47],[48].
Traversant le territoire communal du nord-est vers le sud-est sur environ sept kilomètres, le Boulou ainsi que sa vallée et ses coteaux forment une autre ZNIEFF de type I présentant une importante variété faunistique sur Paussac-et-Saint-Vivien et six autres communes[49],[50]. De nombreuses espèces s'y trouvent, parmi lesquelles plusieurs sont déterminantes :
- une tortue, la Cistude (Emys orbicularis) ;
- des mammifères : la Genette commune (Genetta genetta), la Loutre d'Europe (Lutra lutra), le Vison d'Europe (Mustela lutreola), ainsi que quatre espèces de chauves-souris : Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum), Noctule commune (Nyctalus noctula), Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) et Vespertilion de Bechstein (Myotis bechsteinii) ;
- des insectes : Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), Azuré de la faucille (Cupido alcetas), Azuré du serpolet (Phengaris arion), Cordulégastre annelé (Cordulegaster boltonii), Cuivré des marais (Lycaena dispar), Damier de la succise (Euphydryas aurinia), Gomphe vulgaire (Gomphus vulgatissimus), Judolia erratica, Onychogomphe à crochets (Onychogomphus uncatus) et Petit mars changeant (Apatura ilia) ;
- des amphibiens : Crapaud accoucheur (Alytes obstetricans), Grenouille rousse (Rana temporaria), Pélodyte ponctué (Pelodytes punctatus), Rainette verte (Hyla arborea) et Triton marbré (Triturus marmoratus) ;
- des oiseaux : Cincle plongeur (Cinclus cinclus), Faucon pèlerin (Falco peregrinus), Hibou moyen-duc (Asio otus), Moineau soulcie (Petronia petronia), Pic mar (Dendrocopos medius), Pic noir (Dryocopus martius) et Pigeon colombin (Columba oenas).
Deux plantes rares : la Colchique d'automne (Colchicum autumnale) et la Fritillaire pintade (Fritillaria meleagris), y sont également présentes. De très nombreuses autres espèces animales ou végétales y ont été recensées : cinq amphibiens, cinq reptiles, 71 oiseaux, 307 insectes ainsi que 40 plantes.
Cette ZNIEFF fait partie d'une ZNIEFF de type II plus vaste, étendue à deux autres communes, représentant ainsi la totalité du cours du Boulou, depuis sa source jusqu'à sa confluence avec la Dronne[51],[52].
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Anatole de Rouméjoux, « Montagrier, Marouate, Saint-Vivien, Paussac, etc », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1890, tome 17, p. 387-392 (lire en ligne)
- Abbé Gabriel Chaumette, « Monuments mégalithiques et cluseaux de la région de Paussac », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1943, tome 70, p. 204-217, p. 259-262, 1944, tome 71, p. 18-23
Articles connexes[modifier | modifier le code]
- Dordogne (département)
- Périgord
- Liste des communes de la Dordogne
- Anciennes communes de la Dordogne
- Liste des châteaux et demeures de la Dordogne
- Sentier de grande randonnée 36
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Paussac-et-Saint-Vivien sur le site du Pays de Montagrier
- Paussac-et-Saint-Vivien sur le site de l'Institut géographique national (archive)
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Deux données contradictoires selon le Géoportail : 205 mètres sur la carte et 202 pour la boîte « Communes ».
- Une commune rurale est une commune n'appartenant pas à une unité urbaine. Les autres communes sont dites urbaines.
- Décédé en fonctions.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références[modifier | modifier le code]
- « Altitude 205 » sur Géoportail (consulté le 17 janvier 2011).
- « Paussac » sur Géoportail (consulté le 29 novembre 2014).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 1er décembre 2020)
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 1er décembre 2020)
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 1er décembre 2020)
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc, Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 1er décembre 2020)
- PPR inondation - 24DDT20120001 - Dronne, DREAL Aquitaine, consulté le 14 avril 2019.
- [PDF] Rivière la Dronne - Creyssac et Grand-Brassac - Plan de prévention du risque inondation, p. 6 et 8, DREAL Aquitaine, consulté le 14 avril 2019.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 14 mars 2014.
- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 257.
- Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 15.
- « Dordogne > Paussac-et-Saint-Vivien (24310) », sur le site habitants.fr de David Malescourt (consulté le 29 novembre 2014).
- « Dolmen de Peyrelevade », notice no PA00082721, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 17 janvier 2011.
- « Église paroissiale Saint-Timothée », notice no IA24000463, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 17 janvier 2011.
- « Église paroissiale Saint-Vivien », notice no IA24000464, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 29 novembre 2014.
- Thierry Hourlier, Les églises fortifiées de Dordogne, p. 26, Éditions patrimoines & médias, 1997, (ISBN 2-910137-20-1)
- Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 257.
- Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le 4 décembre 2014)
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 7 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 6 novembre 2020.
- Période 1881-2008 : registres de délibérations communales consultés en mairie le 30 mars 2011.
- « Déjà deux démissions », Sud Ouest édition Dordogne, 24 juin 2020, p.|10.
- Voici vos 557 maires, éditions spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 15.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le 17 décembre 2020).
- Site "Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui", consulté le 29 mars 2011
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Dossier complet - Commune de Paussac-et-Saint-Vivien (24319) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 8 décembre 2018.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le 8 décembre 2018).
- Dossier complet - Commune de Paussac-et-Saint-Vivien (24319) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 8 décembre 2018.
- Gabriel Chaumette, consulté le 4 avril 2011.
- Le Périgord insolite, consulté le 4 avril 2011.
- « Dolmen dit Peyre d'Ermale », notice no PA00082720, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 17 janvier 2011.
- « Manoir de Paussac », notice no IA24000467, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 30 mars 2011.
- « Manoir de Peignefort », notice no IA24000477, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 26 mars 2011.
- « Manoir du Prezat », notice no IA24000475, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 29 novembre 2014.
- « Colombier », notice no IA24000485, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 29 mars 2011.
- La Forge du Boulou, site d'escalade, consulté le 17 janvier 2011.
- Le Vieux Breuil, site d'escalade, consulté le 4 avril 2011.
- « Église Saint-Timothée », notice no PA00082722, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 17 janvier 2011.
- Marquis de Fayolle, « Neuvième excursion archéologique », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1896, tome 23, p. 413-414 (lire en ligne)
- « Presbytère Saint-Michel », notice no IA24000474, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 29 novembre 2014.
- [PDF] Vallée de la Sandonie sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 29 novembre 2014.
- Carte de la vallée de la Sandonie sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 29 novembre 2014.
- [PDF] FR7200669 - Vallon de la Sandonie sur le site de l'INPN, consulté le 29 novembre 2014.
- Carte du vallon de la Sandonie sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 29 novembre 2014.
- [PDF] Réseau hydrographique et coteaux du Boulou aval, INPN, consulté le 7 décembre 2018.
- Carte de la ZNIEFF 720020047, INPN, consulté le 7 décembre 2018. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à gauche sur le globe terrestre bleu, descendre la valeur de la couche « Métropole : ZNIEFF1 » à 0 et augmenter l'opacité de la couche « Cartes IGN » à 1.
- [PDF] Vallée et coteaux du Boulou, INPN, consulté le 7 décembre 2018.
- Carte de la ZNIEFF 720020051, INPN, consulté le 7 décembre 2018. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à gauche sur le globe terrestre bleu, descendre la valeur de la couche « Métropole : ZNIEFF2 » à 0 et augmenter l'opacité de la couche « Cartes IGN » à 1.