Passage de l'Ancre
![]() 3e arrt Passage de l'Ancre
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![]() Vue en direction de la rue Saint-Martin. | ||
Situation | ||
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Arrondissement | 3e | |
Quartier | Sainte-Avoye | |
Début | 221, rue Saint-Martin | |
Fin | 30, rue de Turbigo | |
Morphologie | ||
Longueur | 68 m | |
Largeur | 2,5 m | |
Historique | ||
Ancien nom | Passage de l'Ancre Nationale passage de l'Ancre Royale |
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Géocodification | ||
Ville de Paris | 0306 | |
DGI | 0311 | |
Géolocalisation sur la carte : Paris | ||
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Le passage de l'Ancre est une voie privée du 3e arrondissement de Paris.
Situation et accès[modifier | modifier le code]
Il prend naissance dans la rue Saint-Martin, prolongeant ainsi la rue Chapon, et se termine rue de Turbigo, proche de son intersection avec le boulevard Sébastopol. Le passage est prolongé vers l'ouest un peu plus loin, dans le 2e arrondissement, par le passage du Bourg-l'Abbé.
Ce passage quasi rectiligne, long de presque 70 mètres mais relativement étroit, abrite des boutiques anciennes avec des enseignes pittoresques ainsi que des ateliers de confection. Sur toute sa longueur, il est agrémenté de plantes et de fleurs.
Ce site est desservi par les lignes
à la station Réaumur - Sébastopol.
Entrée au 223, rue Saint-Martin.
Sortie rue de Turbigo.
Origine du nom[modifier | modifier le code]
Il doit son nom à une enseigne d'auberge.
Historique[modifier | modifier le code]
Pendant la Révolution française, entre 1792 et 1805, le passage porta le nom de « passage de l'Ancre Nationale[1] ». En 1942, lors de la rafle du Vélodrome d'Hiver, tous ses occupants furent déportés. Le passage ne fut rouvert qu'en 1998.
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Félix Lazare et Louis Lazare, Dictionnaire administratif et historique des rues de Paris et de ses monuments (1re éd. 1844) (notice BnF no FRBNF32357628, lire en ligne), p. 11.