Parleboscq
Parleboscq | |||||
L'église de Sarran avec le cimetière. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Landes | ||||
Arrondissement | Mont-de-Marsan | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Landes d'Armagnac | ||||
Maire Mandat |
Serge Tintané 2020-2026 |
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Code postal | 40310 | ||||
Code commune | 40218 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Persylvains | ||||
Population municipale |
471 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 12 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 56′ 53″ nord, 0° 02′ 16″ est | ||||
Altitude | Min. 87 m Max. 182 m |
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Superficie | 40,19 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Haute Lande Armagnac | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Landes
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Parleboscq est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).
Ses habitants sont les Persylvains et Persylvaines.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]À l'extrémité orientale du département des Landes, la commune est limitrophe de celui du Gers et proche de celui de Lot-et-Garonne.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Castelnau d'Auzan Labarrère, Cazaubon, Eauze, Escalans et Gabarret.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Le paysage consiste en collines, vignes et bois épars contrastant avec la forêt des Landes continue plus à l'ouest.
Point culminant de Parleboscq : 182 mètres.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]L'Estampon, affluent droit de la Douze, prend sa source sur la commune.
Climat
[modifier | modifier le code]Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1974 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,9 | 2,2 | 4,3 | 6,3 | 10 | 13,1 | 14,9 | 14,7 | 11,8 | 9,3 | 5 | 2,7 | 8 |
Température moyenne (°C) | 5,9 | 6,8 | 9,7 | 11,9 | 15,8 | 19,1 | 21,3 | 21,1 | 18,2 | 14,5 | 9,3 | 6,5 | 13,4 |
Température maximale moyenne (°C) | 10 | 11,5 | 15,2 | 17,6 | 21,5 | 25,1 | 27,6 | 27,5 | 24,6 | 19,8 | 13,5 | 10,3 | 18,7 |
Record de froid (°C) date du record |
−17,1 16.01.1985 |
−11,5 08.02.12 |
−9,5 02.03.05 |
−4 04.04.1996 |
0,8 08.05.1974 |
4,4 05.06.1976 |
7 08.07.1978 |
5 30.08.1986 |
2,5 25.09.02 |
−3,5 26.10.03 |
−8,5 18.11.07 |
−11,5 18.12.01 |
−17,1 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
22 13.01.1993 |
25 24.02.1990 |
28,2 21.03.1990 |
30,5 30.04.05 |
34,5 30.05.01 |
39 21.06.03 |
39,4 20.07.1989 |
41,5 04.08.03 |
35,5 05.09.06 |
33,5 04.10.04 |
25,5 01.11.20 |
23 17.12.1987 |
41,5 2003 |
Précipitations (mm) | 80 | 71,6 | 65,1 | 83,9 | 76,7 | 65,7 | 50,8 | 64,5 | 65,2 | 84,5 | 91,9 | 84,9 | 884,8 |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Parleboscq est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (80,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (29 %), zones agricoles hétérogènes (22,3 %), cultures permanentes (22,2 %), forêts (21 %), prairies (3,6 %), eaux continentales[Note 4] (1,1 %), zones urbanisées (0,9 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Parleboscq est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].
Parleboscq est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[16],[17].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[18].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 66,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (19,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 290 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 193 sont en aléa moyen ou fort, soit 67 %, à comparer aux 17 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 2].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2009, par la sécheresse en 1995, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[14].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Cette commune est née de la réunion de sept paroisses dont chaque église est conservée, celle de Saint-Cricq, église paroissiale, étant inscrite à l'inventaire des Monuments Historiques. Le château de Lacaze, bâtisse du XVIe siècle, au portail monumental, permet l'accès au domaine et dresse derrière ses tourelles crénelées une tour-donjon cylindrique. Le château de Laballe, ancienne propriété de Fernand Laudet, est un ancien domaine producteur d'Armagnac de la région et continue d'en produire[réf. nécessaire].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22]. En 2021, la commune comptait 471 habitants[Note 5], en évolution de −7,47 % par rapport à 2015 (Landes : +4,9 %, France hors Mayotte : +1,84 %). |
Économie
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Les sept églises de Parleboscq[25] :
La commune de Parleboscq est née de la réunion de sept paroisses dont chaque église est conservée dans un état variable, allant de la restauration totale prise en charge par les monuments historiques ou des fondations privées (Saint-Michel de Laballe, Saint-Cricq) à l'abandon à l'état de ruines.
- Église de Saint-Cricq : bâtie en pierre, elle est pourvue d'un robuste clocher-tour flanqué d'une tourelle octogonale rajoutée au XVIe siècle. La date de réfection de la voûte apparaît sur une clé : 1749. L'édifice est inscrit aux Monuments Historiques. Construction : XIIIe au XVIe siècle. Restaurée au XVIe siècle et en 1999 (durée des travaux : 10 ans). Ouverte au public de mai à septembre avec visite guidée tous les mercredis de 15 h à 19 h ;
- Église de Sarran : situé en contrebas, l'édifice date du XIVe siècle et figure à l'inventaire des MH. Il est doté d'une tour hexagonale au toit pointu. Construction : XIIe et XIIIe siècles. L'église est fermée depuis 1999 sur décision de l'architecte des Monuments historiques à cause de profondes fissures apparues dans les voûtes nécessitant des travaux de sauvegarde ;
- Église Saint-Martin d'Espérous : au nord de la commune, elle apparaît sur une petite butte. Construit au XIIIe, restauré au XVIe siècle cet édifice conserve de belles clés de voûte. Architecture à colombages, torchis et briquettes ; XIVe et XVIe siècles puis XIXe siècle ;
- Église Notre-Dame de Mauras : en bordure de la commune, cet édifice sans toit, conserve, malgré son état de décrépitude des éléments d'architecture intéressants. Construction : XIVe et XVIe siècles. En ruine ;
- Église Saint-André de Bouau : l'édifice est imposant, avec un portail gothique flamboyant, et au-dessus du chœur, une voûte nervurée avec clés décorées ;
- Église Saint-Michel de Laballe : au nord-est du château du même nom, cet édifice fut construit au XIVe siècle et doté, deux siècles plus tard, d'une tour carrée. Restaurée au milieu du XIXe siècle, l'année 1637 apparaît sur une pierre du mur sud de la nef. Elle a été récemment restaurée par l'association pour la sauvegarde de l'église de Saint-Michel de Laballe et autres églises de Parleboscq, association fondée par Hubert Cuirot ;
- Église Saint-Jean-Baptiste de Mura : envahie par la végétation et notamment le lierre qui la recouvre, l'église n'est plus aujourd'hui qu'une ruine. Le portail massif s'apparente à ceux d'autres églises de Parleboscq avec arc en accolade et pinacles.
- Images et petit histoire sur les 7 églises de Parleboscq
- « P : Parleboscq (Le), le cimetière des églises des Landes », sur Blogspot.fr (consulté le )
Les deux châteaux de Parleboscq :
- Le château de Lacaze était, au cours des siècles précédents une maison forte gasconne, résidence de féodaux. Cette demeure fortifiée pouvait résister à une attaque de brigands. Elle était inefficace contre une véritable armée. La construction va subir, au cours des ans, de nombreuses et importantes modifications. Elle est implantée, non pas sur une hauteur, mais sur un plateau pris entre deux ravins convergents. Sa défense était assurée par de profonds fossés, qu'un pont-levis enjambait. Les tours avaient une fonction de guet, au-dessus d'un corps de logis s'élevant à 16 mètres.
- Le château de Laballe, ancienne propriété de l'écrivain et diplomate Fernand Laudet.
Le moulin
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Denis Charles Henri Gauldrée-Boileau.
- Fernand Laudet, écrivain, membre de l'Institut et décédé en 1933 dans un accident de voiture, à la sortie de Gabarret, en sortant de la messe et à 5 km de son château de Laballe.
- Adhémar de Guilloutet, ancien maire de la commune.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- « Communauté de communes du Gabardan »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Fiche du Poste 40218002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Parleboscq ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Parleboscq », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur landes.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Résultats municipales 2020 à Parleboscq », sur lemonde.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Voir la liste des églises des Landes