Parc Georges-Valbon

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Parc Georges-Valbon
Image illustrative de l’article Parc Georges-Valbon
Vue panoramique depuis le haut des cascades.
Géographie
Pays Drapeau de la France France
Subdivision administrative Île-de-France
Commune La Courneuve, Saint-Denis, Stains, Dugny, Garges-lès-Gonesse
Superficie 417 ha
Histoire
Création 1970
Gestion
Propriétaire Département de la Seine-Saint-Denis
Ouverture au public Oui
Protection Natura 2000
Lien Internet parcsinfo.seine-saint-denis.fr
Accès et transport
Gare (RER)(B) La Courneuve - Aubervilliers
Tramway (T)(1) La Courneuve — Six Routes
(T)(11) Gares de Dugny - La Courneuve et Stains-La Cerisaie
Bus (BUS)RATP133 La Comète
(BUS)RATP150 Cité Floréal
(BUS)RATP249 Cimetière
(BUS)RATP250 Parc des Sports
(BUS)RATP252 Cité Floréal
Localisation
Coordonnées 48° 56′ 33″ nord, 2° 23′ 56″ est

Carte

Le parc départemental Georges-Valbon, communément appelé parc de La Courneuve, vient au 3e rang des parcs et bois de la région parisienne de par sa taille, avec une superficie de 417 hectares. Après le bois de Vincennes (995 ha) et le bois de Boulogne (846 ha), c'est le plus grand parc de l'Île-de-France[1], hors de Paris. Renommé parc Georges-Valbon le samedi , en hommage au premier président du conseil général de la Seine-Saint-Denis[2].

Il s'étend sur cinq communes dont :

Sur les 417 hectares du parc, 310 sont classés zone Natura 2000[3].

Géographie[modifier | modifier le code]

La coupe géologique fait apparaître successivement 5 mètres d'alluvions du quaternaire, 1 mètre de marnes infragypseuses et sables verts de l'éocène supérieur (ludien), 11 mètres de calcaire marneux de Saint-Ouen de l'Éocène supérieur (Marinésien), 9 mètres de sables de Beauchamp de l'eocène supérieur (Auversien), 28 mètres de marnes et grès de l'éocène moyen (Lutétien) et plus de 10 mètres de sables, graviers verts et quartz de l'éocène inférieur (Yprésien)[4].

Le parc se situe sur un ancien lit de la Marne, qui laissa une zone humide et marécageuse ainsi que des sols d'alluvions qui furent exploités par les maraîchers, nombreux dans le secteur jusqu'à un passé récent[réf. nécessaire].

Afin d'une part de lutter contre la pollution, et d'autre part de réguler le débit des eaux en direction des zones urbanisées, un certain nombre d'ouvrages importants ont été réalisés bien avant la création du parc : canalisation et couverture de la Vieille Mer, création de bassins d'orage avec extension possible vers des zones inondables.

Histoire[modifier | modifier le code]

Des cultures de céréales étaient pratiquées du Moyen Âge au XIXe siècle, puis des cultures maraîchères (dès 1820) pour l’approvisionnement de la capitale. Ces terrains situés dans la partie basse du département, quasiment au niveau de la Seine, étaient très humides et inondables.

Ainsi le site était traversé par plusieurs rivières et rus : le Croult, le Rouillon, la Vieille Mer, la Morée, la Molette et de nombreux petits ruisseaux de drainage complétaient cet ensemble[4].

L'idée de réaliser une promenade publique sur le site date de 1925 à l'initiative du conseil général de la Seine qui réserve 800 ha de terrain ; l'idée est relancée en 1934, mais il faut attendre 1954 pour qu'un avant-projet soit réalisé ; le paysagiste Albert Audas imagine un projet similaire à celui du Bois de Boulogne avec de grandes allées pour les voitures… Une première tranche de 136 ha ouvre au public en 1970[5].

Dans les années 1960, l'ouest de la zone actuelle du parc abritait le bidonville de la Campa, où vivaient dans le plus grand dénuement des centaines de familles, notamment d'origine nord-africaine et espagnole, qui furent relogés plus tard dans les cités HLM du secteur[6].

Les cascades.

Avec la création du conseil général de la Seine-Saint-Denis, le projet change de perspective et sera réservé aux piétons. Si ce parc est la principale réalisation du département en la matière, il n'est pas la seule[7], si bien que la superficie des espaces verts de la Seine-Saint-Denis est passée de 0,84 m2 par habitant en 1969 à 11 m2 en 2005. Le parc de La Courneuve grandit par tranches successives :

  • Dans les années 1960, 136 ha sont aménagés recréant la nature au travers de massifs boisés et de prairies rustiques traversées par de nombreux sentiers.
  • Dans les années 1970, de nouveaux paysagistes, Allain Provost ; John Whalley et Gilbert Samel[8], vont créer un monde totalement artificiel composé de vallons, coteaux, lacs, belvédères.
  • Dans les années 1980, le public veut être plus près de la nature. Les trois lacs supérieurs sont aménagés de manière à permettre un meilleur équilibre biologique.

Dans les années 1990, un combat est mené contre le projet de prolongement de l'autoroute A16 jusqu'à l'autoroute A86 en traversant le parc. En 1997 et 2001, il est décidé de limiter ce prolongement à la Francilienne[9].

En , le parc s'agrandit de deux hectares supplémentaires — pour atteindre le chiffre de 417 — récupérés sur une ancienne friche industrielle[10].

Le parc est surveillé notamment par une unité de police à cheval, créée en 1994 pour ramener la sécurité. Les agressions y sont rapidement divisées par quatre[11],[12].

Un espace varié[modifier | modifier le code]

Fleurs et grands ensembles.
Le parc s'endormant, vue d'artiste.

Le parc de La Courneuve reçoit près de 2 millions de visiteurs par an[13].

Le parc compte de grands espaces verts, sauvages ou aménagés dont sept plans d'eau naturels (l'étang des Brouillards) ou artificiels (le Grand lac de 12 hectares, le Vallon…)[14] et même des cascades de 12 mètres de haut.

La roseraie comprend 45 000 roses de 120 variétés ; on plante chaque année 90 000 bulbes ; la vallée des fleurs (composée de plantes vivaces) s'étend sur 1,6 hectare.

Géré par le conseil départemental, le parc propose toute l'année des ateliers, des animations, des sorties « nature », des expositions[15]

On compte aussi 8 chemins de randonnée, des aires de jeux, jets d'eau géants, des espaces réservés aux chiens (Cani-parc), une buvette, des locations de vélos, de rosalies (voitures à pédales), calèche, barques et pédalos. Il abrite un centre équestre, qui accueille en mai le jumping international de la Seine-Saint-Denis.

25 gardiens à cheval ou à VTT assurent l'accueil et l'orientation des visiteurs du parc.

Nommées Édouard Glissant en 2011 et Victoria Montou en 2022, les deux Maisons du parc accueillent les visiteurs et organisent de nombreuses manifestations et visites thématiques[16],[17]. En surplomb du lac, près de cette dernière est installé en novembre 2022 la sculpture Le Vigilant de l'artiste Rachid Koraïchi[18],[19].

Aire des vents[modifier | modifier le code]

D'une superficie de 27 hectares l'Aire des vents, jouxtant le parc sans être dans l'espace Natura 2000. Il a accueilli de nombreuses années et jusqu'en 2021 la Fête de l'Humanité avant d'accueillir le Village des médias à l’occasion des Jeux olympiques d'été de 2024[20]. Après ces 7 hectares deviendront en écoquartier composé de 1 300 logements (dont 20 % de logements sociaux) 20 autres hectares feront l’objet d’une requalification pour en faire un véritable parc, plus étroitement relié au parc Georges-Valbon : les sols seront en grande partie désimperméabilisés alors que 8 200 arbres seront plantés sur 3 hectares[21].

Terrain des essences[modifier | modifier le code]

D'une superficie de 13 hectares (12,3 de l’État et 0,7 de la SNCF), le Terrain des essences était jusqu'en 2002 un centre de ravitaillement en carburants du Ministère des Armées[21]. Bombardé par les Alliés en août 1943, le site est déminé dans les années 2010[22]. Destiné à accueillir des épreuves lors des Jeux olympiques de 2024, le site est dépollué des hydrocarbures infiltrés dans les sols dans les années 2020 pour 12 millions d’euros, dont plus de 5 millions d’euros consacrés à la décontamination, avant sa rétrocession au Département[23].

Le site devait accueillir les épreuves de tir, mais s'étant révélé trop exigu, celle-ci seront disputées à Châteauroux[24]. Toutefois, le parc sera le lieu du départ du paramarathon[25].

Après les Jeux, le site sera intégré au parc Valbon avec au nord une zone de refuge pour la biodiversité sur 3,5 hectares inaccessibles au public, au centre une zone de 3,6 hectares aménagée pour des activités pédagogiques de découverte de la faune  et au sud, une zone de 5 hectares aménagée par des promenades et des équipements de détente[21].

Écologie[modifier | modifier le code]

La quasi-totalité du parc est classée Natura 2000[26].

La faune[modifier | modifier le code]

Le parc abrite de nombreuses espèces des plus communes, comme le lapin de garenne ou le cygne aux plus rares comme le crapaud calamite ou le blongios nain, en passant par le hibou moyen-duc.

Les oiseaux[modifier | modifier le code]

Si certains oiseaux sont difficiles à observer, ce n'est pas le cas de la pie, qui fréquente les prairies du parc.

Parmi les 140 espèces inventoriées, l'espèce emblématique du parc est le blongios nain, le plus petit des hérons d'Europe. Plusieurs couples nicheurs de cette espèce menacée y sont observés et s’y reproduisent. Autres espèces rares, le martin pêcheur et le pic noir sont régulièrement observées dans le Parc, parce qu'ils y trouvent des habitats favorables à leur alimentation ou leur reproduction. De nombreux oiseaux d'eau migrateurs (fuligule milouin, canard souchet, bruant des roseaux, grèbe castagneux, butor étoilé[27], chevalier guignette…) font escale dans le parc. De même, grâce au phénomène de marnage de l'étang des Brouillards et du Vallon, les oiseaux limicoles (gravelots, bécassines…) peuvent s'arrêter et se nourrir dans le parc.

Plus communes, la poule d'eau, le grèbe huppé, le cygne, la foulque sont des habitués des lacs, alors que les nombreux bois abritent le rouge-gorge, la mésange, le pic vert, le pic épeiche et le hibou moyen-duc. Faucon crécerelle, épervier d'Europe, alouette des champs sont eux visibles en milieu ouvert[28].

Les mammifères[modifier | modifier le code]

Renard roux traversant le parc.

Le parc étant enclavé dans une zone urbanisée, le nombre d'espèces de mammifères reste limité. On peut néanmoins parfois observer le renard roux, qui se reproduit dans le parc, ainsi que de nombreux lapins de garenne, souvent peu farouches. On peut aussi observer des écureuils roux.

Parfois, on observe des fouines, belettes ou hérissons.

L'analyse des déjections des hiboux moyen-duc indiquent la présence de musaraignes musette, campagnols des champs, mulots sylvestres, souris grises dans le parc, ainsi que le lérot d'Europe et le rat des moissons, plus rares dans le département.

Des chauve-souris chassent au-dessus des plans d'eau du parc, malgré l'absence de bâtiments ou de vieux arbres où elles pourraient s'établir[29].

Les amphibiens et reptiles[modifier | modifier le code]

Les poissons[modifier | modifier le code]

Introduits par des promeneurs ou fortuitement par des oiseaux d'eau, le brochet, la perche, le poisson-chat et la perche-soleil sont les prédateurs les plus présents. On y trouve également la carpe (des races domestiques miroir et cuir, visibles dans le Grand Lac et dans le petit lac à côté du Pont Iris), la tanche, le gardon et le goujon, la brème commune, la brème bordelière ainsi que le poisson rouge[30].

Les insectes[modifier | modifier le code]

Au nord du parc, près de l’entrée dite du Moulin-Neuf, se trouve un rucher d’environ une douzaine de ruches, gérées par la Société centrale d'apiculture de Paris[31].

La flore[modifier | modifier le code]

Le projet « Central Park »[modifier | modifier le code]

En 2008, l'architecte Roland Castro proposait de construire des immeubles en bordure du parc à la façon de Central Park à New York.

Le projet est relancé en 2014 par le promoteur Marc Rozenblat qui propose d'urbaniser 70 hectares de terrain à l'intérieur du parc, le long de l'autoroute A1 et de la route départementale entre Dugny et La Courneuve, à proximité de la gare de Dugny - La Courneuve du T11 Express, pour construire jusqu'à 24 000 logements (sur les 45 000 que pourrait compter l'opération d'aménagement entre les futures gares du Grand Paris Express entre les Six-Routes et Le Bourget).

Le promoteur estime que les 70 ha de surfaces Natura 2000 ainsi détruites seraient compensées par l'adjonction de terrains une dizaine de kilomètres plus au nord, majoritairement sur le territoire de Garges-les-Gonesse[32]. Pour François Letourneux, vice-président du comité français pour l'UICN et président de la fête de la Nature, les 140 ha prévus pour la compensation sont déjà intégrés à la trame verte et bleue, la compensation projetée n'est donc pas possible[33].

Au premier semestre 2015 est étudiée l'opportunité d'intégrer la construction de logements autour du parc dans le cadre d'une opération d'intérêt national (OIN), mais le Premier ministre Manuel Valls annonce que le choix des sites ne serait arrêté qu'en [34]. Plusieurs collectifs d'habitants sont créés au même moment pour dénoncer cette opération. Les collectifs lancent en avril une pétition en ligne et organisent des manifestations hebdomadaires au parc[35]. Ils s'opposent à ce qu'ils considèrent comme la privatisation d'un bien commun, lieu de loisir et de vacances pour nombre d'habitants, conduisant à la destruction d'espaces accueillants pour la biodiversité. Début juin, les maires des communes de La Courneuve, Stains et Saint-Denis[36] expriment leur opposition à l'OIN, ainsi que la députée Marie-George Buffet[37]. Le président du conseil général, Stéphane Troussel, estime qu'il faut revoir fortement à la baisse les objectifs de construction[38]. Antoine Valbon, urbaniste et fils du premier président du conseil général de la Seine-Saint-Denis, dénonce quant à lui un « marketing intolérable » et conseille, plutôt que de céder les terrains publics aux promoteurs immobiliers, de « concentrer les crédits publics pour les réhabilitations dont ont besoin les habitants des quartiers sensibles qui jouxtent le parc Georges-Valbon et pour une rénovation urbaine qui permette de faire entrer le parc dans la ville[39]. » Fin 2015, le projet Central Park est « mis en sommeil »[40].

Été 2024[modifier | modifier le code]

Durant les Jeux olympiques puis les paralympiques de 2024, le parc doit accueillir la plus vaste zone de célébration francilienne du 25 juillet (avec le passage de la flamme olympique) au 11 août, puis du 6 au . Aux abords du lac, près duquel un écran géant permettra de suivre les compétitions, 5 000 personnes sont attendues chaque jour et même 10 000 personnes lors des six soirées événementielles jusqu’à minuit) [41].

Accès[modifier | modifier le code]

Tramway T11
Le tramway T11 traverse le parc et assure sa desserte avec deux gares en lisière de celui-ci.

Le parc Georges Valbon dispose de plusieurs entrées depuis les communes qui le bordent :

  • Entrée des Maraichers, à Garges-lès-Gonnesse.
  • Entrée des Poiriers, à Dugny.
  • Entrée Maurice-Thorez, à Dugny.
  • Entrée Tapis-Vert, à La Courneuve, avenue Waldeck-Rochet.
  • Entrée des Marronniers, à La Courneuve, avenue Waldeck-Rochet.
  • Entrée Montjoie, à Saint-Denis, avenue Roger-Salengro.
  • Entrée Marville, à Saint-Denis, avenue Roger-Salengro.
  • Entrée des Pyrus, à Saint-Denis, avenue Roger-Salengro.
  • Entrée des Trois-Rivières, à Stains.
  • Entrée du Moulin-Neuf, à Stains.
  • Entrée de la Cerisaie, à Stains.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. parcs93.info - Le site des parcs et espaces verts départementaux de la Seine-Saint-Denis, sur le site parcs93.info
  2. « La Courneuve : Le parc départemental baptisé Georges Valbon », Le Parisien, édition de la Seine-Saint-Denis,‎ .
  3. « Mobilisation contre le projet de “Central Park” à la française à La Courneuve », Le Monde, 5 juillet 2015.
  4. a et b « Enquête publique Ligne 15 », sur enquetepubliquelignerouge15sud.fr (consulté le )
  5. « dates d’ouverture des différents secteurs du parc », ethnographiques.org (consulté le ).
  6. Bidonvilles : histoire et représentations, brochure no 20 de la série « Patrimoine en Seine-Saint-Denis », éditée par le conseil général de la Seine-Saint-Denis, 2007.
  7. Voir par exemple le parc départemental de l'Île Saint-Denis (22 ha), de Villetaneuse (12 ha), de la Bergère à Bobigny (23 ha), du Sausset à Aulnay-sous-Bois et Villepinte (200 ha)…
  8. « La Courneuve, le parc : 1925-2005 », archires.archi.fr (consulté le ).
  9. « Liaisons routières en Ile-de-France nord », sur senat.fr, (consulté le )
  10. « Le parc de La Courneuve gagne 2 ha à Stains », Le Parisien, (consulté le ).
  11. « La Seine-Saint-Denis célèbre les 20 ans de sa police à cheval », tele-animaux.com, (consulté le ).
  12. Carole Sterlé, « Le nouveau patron de la police du 93 y a créé la brigade équestre il y a 20 ans », leparisien.fr, (consulté le ).
  13. Émeline Collet, « Patrimoine : le parc de La Courneuve, nature en ville », sur leparisien.fr, (consulté le )
  14. E.B., « Le petit lac du parc fait peau neuve », Le Parisien, édition Seine-Saint-Denis,‎ .
  15. Visite virtuelle.
  16. « Pourquoi la maison du parc Georges-Valbon s’appelle Victoria Montou ? », sur seinesaintdenis.fr, (consulté le )
  17. « Le parc ouvre sa maison dédiée au poète Edouard Glissant », sur leparisien.fr, (consulté le )
  18. Carine Arassus, « Indépendance de l’Algérie : une œuvre mémorielle au parc Valbon », sur seinesaintdenis.fr, (consulté le )
  19. « Indépendance de l’Algérie : une sculpture géante rendra hommage aux victimes au parc de La Courneuve », sur leparisien.fr, (consulté le )
  20. Hajera Mohammad, « Paris 2024 : la justice donne son feu vert au village des médias à Dugny », sur francebleu.fr, (consulté le )
  21. a b et c Olivier Delahaye, « Avec Paris 2024, le parc de La Courneuve prend de l’ampleur », sur gpmetropole-infos.fr, (consulté le )
  22. « Le Terrain des Essences, un site qui carburera au vert », sur seinesaintdenis.fr, (consulté le )
  23. Claire Guédon, « JO 2024 : la pêche aux hydrocarbures est ouverte sur l’ancien dépôt militaire de La Courneuve », sur leparisien.fr, (consulté le )
  24. Agence France-Presse, « JO2024 : c'est officiel, les épreuves de tir sportif auront lieu à Châteauroux », sur francetvinfo.fr, (consulté le )
  25. « Para athlétisme », sur paris2024.org (consulté le )
  26. Les sites Natura 2000 de la Seine-Saint-Denis.
  27. Au Parc de la Courneuve, l'espèce n'a été observée qu'en migration ; 1 à 2 individus ont été vus chaque hiver au niveau de l’Étang des Brouillards entre 2001 et 2004. L'ensemble des roselières des plans d'eau du Parc lui sont favorables. (Source : Étude d'impact de l'enquête publique de la Tangentielle Nord)
  28. « La faune: oiseaux », Parcs départementaux de Seine-Saint-Denis (consulté le )
  29. Site des espaces verts départementaux de Seine-Saint-Denis.
  30. « La faune: les poissons », Site des parcs départementaux de la Seine-Saint-Denis (consulté le ).
  31. Le rucher du parc Georges-Valbon sur le site de S.C.A.
  32. « Un Central Park à la française », lejdd.fr, (consulté le ).
  33. Intervention dans un article paru dans La Gazette des communes, le 27 mai 2015.
  34. Jean-Pierre Gonguet, « Opération déminage pour Valls face aux maires », latribune.fr, (consulté le ).
  35. Valentin Chatelier, « Le projet "Central Park" du Grand Paris vivement dénoncé par une pétition », sur rtl.fr, (consulté le )
  36. « Les défenseurs du parc de la Courneuve donnent de la voix », article paru dans le journal municipal de Saint Denis le 25 mai 2015. Communiqué du maire de la Courneuve, Gilles Poux, le 1er juin 2015 dans le journal municipal de La Courneuve et sur son blog.
  37. Communication à l'assemblée en séance publique le 2 juin 2015.
  38. « Il faut passer du « Central Park du Grand Paris » à un projet partagé par tous », sur Blog de Stéphane Troussel, (consulté le )
  39. « Tribune - Antoine Valbon - "Central Park : Il faut faire entrer le parc dans la ville. Et non l’inverse" » (consulté le ).
  40. Marion Kindermans, « Apaisement autour du projet du Central Park francilien », sur lesechos.fr, (consulté le ).
  41. Sandrine Lefèvre, « JO Paris 2024 : le parc Valbon «cœur battant», animations sur le canal Saint-Denis… Le 93 au rythme des Jeux », sur leparisien.fr, (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Étude d'incidence sur les milieux naturels du parc de la Courneuve au regard de la directive européenne du , par le bureau d'étude Biotope, annexée au dossier d'enquête publique de la Tangentielle Nord,

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]