Orgue de l'abbaye de Gellone

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Orgue Jean-Pierre Cavaillé de l'abbaye de Gellone
Image illustrative de l’article Orgue de l'abbaye de Gellone
Localisation
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Commune Saint-Guilhem-le-Désert
Édifice abbaye de Gellone
Latitude
Longitude
43° 44′ 02″ nord, 3° 32′ 58″ est
Facteurs
Construction Jean-Pierre Cavaillé 1789
Restauration Alain Sals 2000 Michel Formentelli 2014
Caractéristiques
Jeux 27
Claviers 3 & pédalier
Protection Logo monument historique Classé MH (1974, 1975, instrument, buffet)

L'orgue de l’abbaye de Gellone (ou abbaye de Saint-Guilhem-le-Désert) est un instrument placé à la tribune au-dessus de l'entrée de l'ancienne abbatiale du monastère de Saint-Guilhem-le-Désert, actuelle église paroissiale de la commune éponyme, dans le département de l’Hérault en France. Achevé en 1789 par Jean-Pierre Cavaillé, il fut classé monument historique en 1974.

Il fait partie des « Sept merveilles organistiques de l'Hérault »[1] avec les instruments:

C'est un des derniers orgues au sud de la Loire et à l’ouest du Rhône construits sous l’Ancien Régime (avant la Révolution). Il est en outre un des trois orgues du XVIIIe siècle authentiquement « historiques » de l'Hérault avec ceux de Saint-Pons-de-Thomières et de Saint-Chinian.

Historique[modifier | modifier le code]

De 1782 à 1789, Jean-Pierre Cavaillé, grand-père du célèbre Aristide Cavaillé-Coll, travaille à la construction d’un orgue devant comprendre 27 jeux sur 3 claviers et pédalier. Mais la Révolution l’empêche de terminer son œuvre. Et en 1789 l’orgue est jouable mais sans le positif dorsal dont seuls le buffet et le clavier sont en place. Malgré le versement d’un acompte de 600 livres, l’organier quitte la France pour la Catalogne espagnole où il avait épousé en 1767 Marie-Françoise Coll.

Au cours de la Révolution Française, son organiste titulaire, J.Laffond, le sauve à deux reprises :

En 1818, c’est au tour du conseil de fabrique et de la population de s’opposer à son transfert pour Lunel.

En 1866, il est relevé sans modification par Baptiste Puget, à l’exception de la pose d’un système de réglage des touches et d’un accouplement Réc./G.O.. Durant la Première Guerre mondiale Félix Raugel, organologue réputé, redécouvre l’instrument et le signale comme exceptionnel. Puis en 1941 nouveau relevage par Maurice Puget et inauguration par Joseph Roucairol (titulaire de l’orgue de la cathédrale Saint-Pierre de Montpellier sous lequel il est d’ailleurs inhumé). En 1953, Edmond Costa le dépoussière à la suite de travaux de restauration de l’édifice de l’abbatiale.

En 1968, Alain Sals effectue un relevage complet et l’inauguration est assurée par Michel Chapuis ; des disques sont alors enregistrés et c’est le début de la notoriété pour cet authentique « orgue historique ». Mais le positif dorsal est toujours vide et muet, et dès 1971, sous l’impulsion de Monique Bernat, l’association « les Amis de St Guilhem » et Alain Sals élaborent un projet pour parfaire la restauration et achever l’œuvre de Jean-Pierre Cavaillé. Le l’instrument est classé monument historique[2], le buffet le 1975[3], et le projet accepté par les autorités compétentes.

Le buffet est entièrement restauré en 1981 par l’entreprise Férignac de Hautefort en Dordogne. En 1984, Alain Sals termine la mise en place de la partie instrumentale du positif dorsal qui se trouve ainsi pourvu des neuf jeux prévus originellement, ainsi que la restauration des trois soufflets cunéiformes, repeaussés à neuf et rendus actionnables manuellement comme à l’origine. L’inauguration a lieu le par Odile Bailleux.

En 2000, d’ultimes travaux de restauration, supervisés pour les Monuments Historiques par Jean-Pierre Decavèle, technicien conseil, et Pierre Perdigon, membre rapporteur, sont réalisés par Alain Sals sur des éléments originaux de Jean-Pierre Cavaillé, jamais révisés depuis plus de deux siècles : sommiers du G.O., du Récit et de la Pédale, tuyaux attaqués par la lèpre de l’étain, réglage des anches, parties métalliques de la transmission oxydées. À cette occasion le tempérament mésotonique à cinq tierces pures d’après Dom Bedos, retenu en 1984, a été modifié en adoucissant la partition sur ré# et sol#, ainsi que l’harmonisation du positif dorsal avec l’adoption d’un plafond plus bas pour sa mixture.

Depuis 2010, Michel Formentelli assure l'entretien de cet orgue. Il a restauré le bloc des claviers en 2011, et a réalisé un relevage complet de l'orgue début 2014.

Descriptif[modifier | modifier le code]

Le buffet, à deux corps, est en noyer avec des sculptures en tilleul faisant la part belle au chantournage, et des rocailles en guise de claires-voies. Le nom de leurs auteurs n’est pas connu. Le grand corps est en mitre à cinq tourelles et quatre plates-faces, le positif de dos en V à trois tourelles et deux plates-faces.

Quasiment toutes les parties de l’orgue appartenant au grand corps sont d’origine :

  • la console en fenêtre avec ses trois claviers, plaqués d’ébène pour les naturelles et d’os pour les feintes, et le pédalier à la Française ;
  • la traction des notes est mécanique, suspendue pour le Grand-orgue et le Récit, avec abrégé classique pour la Pédale, moderne et foulante à balanciers obliques pour le Positif ;
  • le tirage des jeux est mécanique par tirants de registres de section carrée avec pommettes tournées ; le nom des jeux est inscrit sur les étiquettes de papier originelles qui ont servi de modèle pour celles du positif ;
  • la tuyauterie est uniquement de J.P.Cavaillé, sauf celle du positif et quelques rares compléments ailleurs ; comme elle n’a jamais été recoupée, le diapason à 415 hertz est d’époque ; la partition d’accord adoptée en 1984 était le tempérament mésotonique à cinq tierces pures recommandé par Dom Bedos ; après l’écoute concluante, à Torroja del Priorat près de Tarragone, d’un excellent témoin de la facture de Jean-Pierre Cavaillé édifié en 1799, dix ans après Saint-Guilhem, plus la volonté d’étendre le répertoire jouable, jointes à l’existence du premier Do# dans les deux instruments, la partition a été légèrement adoucie sur ré# et sol# ;
  • les sommiers sont en chêne, à gravures et registres coulissants : 2 diatoniques pour le G.O., 2 diatoniques pour la Pédale, et 1 chromatique pour le récit ; celui du positif, d’Alain Sals est en chêne et en châtaignier, diatonique jusqu’à Fa2 puis chromatique ;
  • la soufflerie, placée dans une salle du clocher, comprend trois soufflets cunéiformes à 4 plis saillants que l’on peut soit actionner à la main grâce aux leviers traditionnels, soit alimenter par un ventilateur électrique.

Composition[modifier | modifier le code]

D’après le relevé de Materne Lehn

I Positif dorsal 51 notes: Ut1 à Ré5
Bourdon 8’ [Notes 1]
Prestant 4’ [Notes 2]
Nazard 2’2/3 [Notes 3]
Doublette 2’ [Notes 4]
Tierce 1’3/5 [Notes 5]
Larigot 1’1/3 [Notes 6]
Plein-jeu IV [Notes 7]
Trompette 8’ [Notes 8]
Cromorne 8’ [Notes 9]
II Grand-orgue 51 notes: Ut1 à Ré5
Montre 8’ [Notes 10]
Bourdon 8’ [Notes 11]
Flûte 8’ [Notes 12]
Prestant 4’ [Notes 13]
Nazard 2′2/3 [Notes 14]
Doublette 2′ [Notes 15]
Quarte 2′ [Notes 16]
Tierce 1'3/5
Fourniture III [Notes 17]
Cymbale IV [Notes 18]
Grand cornet V [Notes 19]
Trompette 8′ [Notes 20]
Cromorne 8′ [Notes 21]
Voix humaine 8' [Notes 22]
Clairon 4' [Notes 23]
III Récit 32 notes: Sol2 à Ré5
Cornet V [Notes 24]
Pédale 18 notes: Ut1 à Fa2
Flûte 8′ [Notes 25]
Trompette 8′ [Notes 26]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. première octave en châtaignier, postée sur côtés reste étoffe,sur sommier; calotte soudées avec cheminée à partir de fa#2.
  2. Ut1 à Fa2 étain poli en Montre reste étain martelé sur sommier.
  3. en étoffe, grosse taille première octave à calottes soudées.
  4. en étain sur pieds d’étoffe.
  5. étoffe.
  6. en étoffe bouches étroites.
  7. en étain sur pieds d’étoffe.
  8. en étain,sur pieds étoffe basses coudées.
  9. en étain, sur pieds étoffe anches au 2/3.
  10. en montre jusqu’à Sol2 étain poli.
  11. 13 basses en bois postées sur les côtés, reste en étoffe, calottes soudées et oreilles, à cheminées à partir de ré2; sur sommier de Sol2 à rRé5, et de Ré2 à Fa#2 postés pure derrière la Montre.
  12. 17 basses en montre, sur sommier à partir de Fa2; en étoffe, première octave en 4'.
  13. première octave en montre, étain.
  14. étoffe, de grosse taille, entièrement ouvert.
  15. étain martelé, 6 tuyaux neufs.
  16. étoffe, 14 dessus neufs.
  17. étain, 6 tuyaux neufs.
  18. étain, 12 tuyaux neufs.
  19. à partir d'Ut3, étoffe, posté sur pièce gravée derrière la façade, 1er rang à cheminées.
  20. étain martelé; noyaux en plomb à l'espagnole, anches, rigoles et rasettes d'origine, à quelques exceptions près.
  21. étain sur pieds étoffe; noyaux, anches, rigoles et rasettes d'origine.
  22. étain, à demi-calottes avec rasettes centrales, 3 derniers tuyaux neufs.
  23. étain martelé, reprise au fa4, 2 derniers tuyaux neufs.
  24. comme celui du G.O. avec 5 tuyaux neufs dans le 5e rang.
  25. ouverte, en bois, entièrement postée, avec glissière d'accord.
  26. résonateurs en étain martelé; noyaux en plomb,anches,rigoles et rasettes d'origine.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Orgues en Languedoc-Roussillon/Hérault, hors-texte entre pages 64 et 65
  2. Notice no PM34001375, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  3. Notice no PM34001376, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Organistes[modifier | modifier le code]

Les titulaires de cet instrument sont Frédéric Muñoz depuis 1980, et Peter Weinmann depuis 2000.

Discographie[modifier | modifier le code]

(rassemblée par Frédéric Muñoz)

Années 1960 et 70 : Les premiers enregistrements en microsillon ont été réalisés par le Père Joseph Roucairol, alors organiste à la Cathédrale de Montpellier, et qui fut un ardent artisan de la redécouverte de cet orgue. Il existe plusieurs disques de diverses tailles (45 tours, 33 tours 25 et 30 cm) puisant dans le répertoire baroque français ainsi que quelques improvisations. Par la suite Harmonia Mundi publia un volume dans sa collection « orgues historiques » (livre-disque avec Francis Chapelet), ainsi qu’un « disque –journal » avec Jacques Bétoulières. Tous ces disques sont aujourd’hui épuisés mais restent des témoins incontournables de l’état de l’orgue après l’intervention de 1967 et avant la construction du positif et la remise au tempérament d’origine. Années 1980 et suivantes : Viendront ensuite à partir de la restauration et construction du positif en 1984 une série de CD.

1 - Joseph ROUCAIROL (SIX DISQUES)

  • N. de Grigny : Dialogue sur les grands jeux; L.-N. Clérambault : Flûtes; F. Roberday : Fugue et caprice; J. H. Fiocco : Gavotte, Adagio; J. J. Froberger : Cariccio
    • Disque 1 Microsillon 45 tours : Asso amis orgue cathédrale Montpellier, années 1960
  • Un vieil orgue chante ses Noëls: A. Raison : « Laissez paître vos bêtes », « Vous qui désirez sans fin »; C. Balbastre : « Tous les bourgeois de Châtres », « Il est un petit ange » (noël suisse)
    • Disque 1 microsillon 45 tours Agirola, années 1960
    • J. Boyvin : Pièces du premier livre, premier ton ; Grand plein jeu continu, Récit, Concert pour les flûtes, Dialogue sur les grands jeux; J.-F. Dandrieu : Pièces de la 1re suite pour clavecin du 2e livre ; « la Lully », « la Corelli », « la Figurée » (Chaconne)
    • Disque 1 microsillon 45 tours. Asso amis orgue Cathédrale Montpellier, 1972
  • Concert d’orgue à l’abbatiale de Saint-Guilhem-le-Désert: C. Balbastre : « Votre bonté grand Dieu », « Joseph revenant un jour »; J.-N. Geoffroy : « Grâces soient rendues »; L.-C. Daquin : « Noël en dialogue »
    • Disque 1 Microsillon 45 tours. CDS Montpellier E2M-3, édition des 2 mondes, années 1960
  • Noëls sur l’orgue de Saint-Guilhem-le-Désert: C. Balbastre : « Au jô de pubelle » « Grand déi, ribon ribeine »; A. Raison : Elevation, « Quoy ! ma voisine »; J. Roucairol : « Pastres, pastretos » (Noël languedocien)
    • Disque 1 microsillon 45 tours. Asso amis orgue cathédrale Montpellier, 1968
    • J. Boyvin : Suites du 1re et 8e ton (premier livre); J.-N. Geoffroy : Messe de deuxième classe, Noël « Allons nous en promptement »
    • Disque Fugato Microsillon 30 cm. Nimes KO/75, 1977

dernier enregistrement avant la restauration de 1984

2-Jacques BETOULIERES

  • L. Couperin : Fantaisies, Chaconnes, Duo, Passacailles; F. Roberday : Fugues et Caprices 1, 2, 3, 11, 12.
    • Disque Microsillon 30 cm (disque journal) Harmonia mundi; Orgues historiques, 1975

3-Francis CHAPELET

  • F. Chapelet : Improvisations sur les divers mélanges de l’orgue classique français; J. Cabanilles : Passacaille 4e ton; Anonyme anglais XVIe : My lady carey’s dompe
    • Livre-Disque no 27. Harmonia Mundi. Orgues Historiques HM4524,

4-Frédéric MUÑOZ

  • Guillaume Gabriel NIVERS (1632-1714) DEUXIEME LIVRE D'ORGUE : LA MESSE et HYMNE "Pange Lingua"

Hymne « Pange Lingua » (3 versets), La Messe « Cuntipotens » : Kyrie, Gloria, Credo, Offerte en fugue et dialogue, Sanctus, Benedictus, Elévation, Pater Noster, Agnus Dei, Communion, Ite missa est. John Elwes ténor (plain chant alterné) Frédéric Muñoz orgue historique JP Cavaillé (1785) Alain Sals (1984 et 2000)

  • 1Disque XCP 5003 Enregistré en paru en 1989.

Disque recommandé par les "cahiers du disque" et le "Club du mélomane" 9 de répertoire Premier enregistrement mondial

  • CABEZON Y SU GLOSA

(Profane et sacré dans l'œuvre de Antonio de Cabezon) Canto llano del Caballero, y quatro diferencias sobre el canto Llano. Himno "Sacris Solemnis". Gallarda "Cara Cosa" y su glosa. Himno "Salve Regina" y Tiento tercero sobre el himno. Pavane "Belle qui tiens ma vie" y diferencias sobre "La Dama le Demande." Magnificat de primero tono. Siete diferencias sobre el Villancico : "Quien teme enojo Isabel ?" Himno "O Sacrum Convivium", Dic Nobis Maria, Victimae Paschali Laudes. Duo 1 para principiantes. Himno "Ave Maris Stella". Dulce Memoriae, glosado en memoria de su padre (H de Cabezon). Frédéric Muñoz : orgue historique de l'Abbaye de Saint Guilhem le Désert. (JP Cavaillé 1785 et Alain Sals 1984 et 2000) Compagnie Musicale Catalane (Chœur féminin). Josep Cabré : Chant et direction.

  • 1CD XCP 5036 enregistré en et . paru en 2003; 4 étoiles Le Monde de la Musique

5-Olivier VERNET

  • François Couperin : Messe pour les Couvents (Intégrale).

Avec plain chant alterné Ensemble la Fidelissima, direction Josep Cabré

  • Disque Ligia 1996, CD

6-Materne LEHN

  • Noëls Français du XVIIIe siècle: C.-B. Balbastre : Prélude – A la venue de Noël – Joseph est bien marié – Au jô de pubelle, grand dei, ribon ribeine; M. Corrette : Tambourins – Scavez vous mon cher voisin – Joseph et la Vierge Marie – A minuit fut fait un réveil – Écoutés merveilles; J.-F. Dandrieu : Puer nobis nascitur – Allons voir ce divin gage – A minuit fut fait un réveil – Quoy ma voisine es tu fachée – Chantons de voix hautaine; L.-C. Daquin : Noël IX « sur les flûtes » - XI « en récit en taille » - XII « Suisse ».
    • Disque Coriolan CD COR 382 904 1989

7-André ISOIR

  • Airs et danses de la vieille Europe: B. Bartok, J. P. Sweelinck, T. Preston, L. Couperin, J. Haydn, J.-F. Dandrieu, D. Ortiz, J. Gotz, S. van Soldt, A. Le Roy.
    • Disque Pierre Vérany 4 /1986 CD

8-Scott ROSS

  • Domenico Scarlatti : Tre Sonate per l’organo : K 287, K 288 et K 328.
    • Disque Erato extrait du coffret de l’Intégrale des 555 sonates de D. Scarlatti en CD (1985)

9- Albert BOLLIGER

Orgues historiques de France (Vol 11) 2011

Boyvin, Dumont, Monnard, Roberday, D'Anglebert, Lebègue, D'Andrieu, Balbastre, M Corrette.

1 SACD Sinus ref 3011

10- L'orgue de Saint-Guilhem le Désert "Rencontres internationales "

  • Andrés Cea Galan, Maria Magdalena Kaczor, Michel Bouvard en concert dans un programme montrant les diverses facettes de l'orgue (Espagne, Allemagne et Flandres, France) 1 CD en téléchargement QoBuz réalisé par le label AEOLUS (Christoph Martin Frommen) Disponible sur www.qobuz.com

11- ADRIANO FALCIONI  :

Louis-Claude Daquin : Intégrale des 12 Noëls pour Orgue

1 CD Brilliant Classics BRIL 94895 Enregistré en

À cette discographie, il faudrait rajouter les archives sonores des concerts enregistrés régulièrement depuis le début des années 1980, souvent interprétés par les plus grands spécialistes de l’orgue baroque français.

Sources[modifier | modifier le code]