Oraàs

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Oraàs
Oraàs
L'église de l'Assomption.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Béarn des Gaves
Maire
Mandat
Guy Touzaa
2020-2026
Code postal 64390
Code commune 64423
Démographie
Gentilé Oraàssiens
Population
municipale
185 hab. (2021 en augmentation de 6,94 % par rapport à 2015)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 26′ 20″ nord, 0° 59′ 09″ ouest
Altitude Min. 27 m
Max. 172 m
Superficie 10,57 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Salies-de-Béarn
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Oraàs [ɔʁas] est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune d'Oraàs se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 74 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 46 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture, et à 26 km d'Orthez[4], bureau centralisateur du canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Sauveterre-de-Béarn[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Escos (1,3 km), Escos (1,9 km), Abitain (2,0 km), Athos-Aspis (2,9 km), Labastide-Villefranche (3,2 km), Auterrive (3,3 km), Carresse-Cassaber (4,5 km), Saint-Dos (4,9 km).

Sur le plan historique et culturel, Oraàs fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Oraàs.

La commune est drainée par le gave d'Oloron, l’arrec Héuré, l’arrec Baraillou, l’arrec de Lasmarges, le ruisseau de Laclau, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, après avoir traversé 64 communes[9].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 314 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein à 8 km à vol d'oiseau[13], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 323,1 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[18], d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[19],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[20],[Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[21].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Oraàs est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[22],[23],[24].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Salies-de-Béarn, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 6 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[25],[26].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (33,1 %), terres arables (32,3 %), forêts (24,6 %), prairies (8 %), eaux continentales[Note 7] (2 %)[27]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

  • la Plaine ;
  • la Haut.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Oraàs est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[28]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[29].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le gave d'Oloron et l'Arrec Heuré. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009, 2018 et 2021[30],[28].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Oraàs.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[31]. 69,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[32].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune d'Oraàs est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[33].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations anciennes[modifier | modifier le code]

Le toponyme Oraàs apparaît[34] sous les formes Oras (XIIIe siècle, fors de Béarn[35]), Nostre-Done d'Oras (1442, notaires de Labastide-Villefranche[36]), Horas et Horaas (respectivement 1538 et 1548, réformation de Béarn[37]).

D'après A. Dauzat et C. Rostaing, le nom du lieu pourrait provenir du nom latin Aurus et du suffixe -anum renvoyant à l'idée de propriété[38].

Graphie béarnaise[modifier | modifier le code]

Son nom béarnais est Oràs[39] ou Oraàs[40].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 En cours Guy Touzaa    

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de quatre structures intercommunales[41] :

  • le centre intercommunal d’action sociale de Sauveterre-de-Béarn ;
  • la Communauté de communes du Béarn des Gaves ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable du Saleys et des gaves.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[43].

En 2021, la commune comptait 185 habitants[Note 9], en augmentation de 6,94 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
423455422454488523530548565
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
539553530502520511504502460
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
430416420376355326289235235
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
217205212197180170175180163
2014 2019 2021 - - - - - -
175182185------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation d'origine contrôlée (AOC) du Béarn et de celle de l'ossau-iraty.

Le sous-sol de la commune recèle un important gisement de sel gemme exploité dès le XIXe siècle.

Depuis la fermeture de la fontaine salée de la ville de Salies-de-Béarn, les thermes de la cité du sel utilisent l'eau puisée à Oraàs[réf. nécessaire].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'école.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Le « château » du Leu, véritable nid d'aigle, conserve les restes de son enceinte fortifiée et l'endroit du pont-levis. On y voit encore les armoiries sculptées de Pierre de Saint-Macary, baron du Leu. Le château fut amputé de son dernier étage à tourelles au XIXe siècle et ses fenêtres à meneaux furent bouchées.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Oraàs – au ras deu gave – selon une plaisanterie béarnaise, ce nom est sans doute formé à partir du mot basque orre, genévrier. Le village abrite une église gothique en galets du gave qui montre encore une porte étroite dite aussi porte des cagots car une importante communauté de ces parias, les crestians, vécut au village. Le clocher porte deux anciennes cloches dont « Marie » datée de 1770 qui provient de l'ancienne église de Mur (Castagnède). Une lourde cloche moderne, datée de 1951, fut offerte par Cécile Sorel, comtesse de Ségur et sociétaire de la Comédie-Française. C'est elle qui dit : « L'ai-je bien descendu ? » au Casino de Paris en 1933.

Dans l'église gothique, se trouve à l'intérieur de l'église un chrisme du XIVe siècle, complètement inconnu et absent de l'inventaire fait en 1970. Noter aussi une pierre tombale martelée en 1793 qui est celle de Marie de Rache, d'Aspis, fraîchement convertie au catholicisme, une croix mystérieuse dans le chœur et un redoutable monstre en chêne qui sert de rampe d'accès à la tribune. Ce monstre à la gueule hideuse et aux dents apparentes se love de tout son long jusqu'à la tribune.

Le village possède aussi deux hameaux forts anciens : le Leu qui fut une baronnie et vendue pour une paire de bœufs à la fin de la guerre de Cent Ans. On y voit le blason de Pierre de Saint-Macary, seigneur du lieu et magistrat du Parlement de Pau, puis le hameau de By (ou Vin en Béarnais) qui avait une chapelle particulière.

Le village fut occupé en février 1813 par un régiment français. Ce dernier perdit de nombreux hommes contre Wellington. On a découvert le corps de quelques-uns de ces malheureux à la fin du XXe siècle.

Équipements[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Espain du Leu, seigneur d'Oraàs qui vendit sa seigneurie pour une paire de bœufs.[réf. nécessaire]
  • Pierre de Saint-Macary, baron du Leu, remania le « château » du même nom. C'est le père de la marquise de Lons.[réf. nécessaire]
  • Cécile Sorel (1873-1966) doit être regardée comme « le » personnage d'Oraàs. Elle y vint en villégiature de nombreuses années chez son ami Maurice Escande secrétaire perpétuel de la Comédie française.[réf. nécessaire]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique d'Oraàs » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Oraàs », sur geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Oraàs », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune d'Oraàs », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Oraàs et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Oraàs et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Oraàs et Orthez », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches d'Oraàs », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  7. Carte IGN sous Géoportail
  8. « Fiche communale d'Oraàs », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  9. Sandre, « le gave d'Oloron ».
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Orthodromie entre Oraàs et Saint-Gladie-Arrive-Munein », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Saint-Gladie » (commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Saint-Gladie » (commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  17. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  18. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Oraàs », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Oraàs », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  22. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  24. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Salies-de-Béarn », sur insee.fr (consulté le ).
  26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
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  28. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Oraàs », sur Géorisques (consulté le ).
  29. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  30. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  31. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  32. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  33. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  34. Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
  35. Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  36. Notaires de Labastide-Villefranche - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  37. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  38. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, , 738 p., p. 509.
  39. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  40. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  41. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  42. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  43. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  44. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Alexis Ichas - Historial d'Oraàs 2010.
  • Alexis Ichas - Dictionnaire historique du gave d'Oloron - Éditions Gascogne 2020.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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