Olga Savary

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Olga Savary
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 86 ans)
TeresópolisVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Autres informations
Distinction

Olga Savary (née à Belém le et morte le à Teresópolis (Rio de Janeiro)[1]) est une poétesse et traductrice brésilienne[2].

Biographie[modifier | modifier le code]

Sa mère, Célia Nobre de Almeida, venait du Pará et son père Bruno était un ingénieur russe. Elle passe son enfance à Belém, à Monte Alegre[Lequel ?], à Fortaleza et à Rio de Janeiro.

En 1942, ses parents se séparent et Olga Savary va vivre chez le frère de sa mère à Rio de Janeiro. Là, elle commence son amour par l'écriture. Sa mère préférait une carrière musicale pour elle et Olga Savary cachait ses écrits et un ami bibliothécaire de l' ABI les gardait. La cohabitation entre les deux est devenue difficile et quand Olga Savary avait 16 ans, envisage de déménager pour vivre avec son père.

À 18 ans, il rentre à Belém et étudie au Colégio Moderno. Plus tard, elle rentre à Rio.

Elle a travaillé pour plusieurs publications et est membre du PEN club.

Elle décède le des suites de la Covid-19[3].

Œuvre[modifier | modifier le code]

Conte[modifier | modifier le code]

  • 1997 - O Olhar Dourado do Abismo

Poésie[modifier | modifier le code]

  • 1970 - Espelho Provisório (prix Jabuti)
  • 1977 - Sumidouro
  • 1979 - Altaonda
  • 1982 - Magma
  • 1982 - Natureza Viva
  • 1986 - Hai-Kais
  • 1987 - Linha d'água
  • 1987 - Berço Esplendido
  • 1989 - Retratos
  • 1994 - Rudá
  • 1994 - Éden Hades
  • 1996 - Morte de Moema
  • 1996 - Anima Animalis
  • 1998 - Repertório Selvagem

Références[modifier | modifier le code]

  1. (pt-BR) [1], sur cultura.estadao.com.br
  2. (pt-BR) [2], sur itaucultural.org.br
  3. (pt-BR) « As àguas de Olga Savary », folhadelondrina.com.br,‎ (lire en ligne, consulté le )

Liens externes[modifier | modifier le code]