Natalie Jean

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Natalie Jean
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Natalie Jean, née en 1961, est une romancière et nouvelliste québécoise[1].

Biographie[modifier | modifier le code]

Issue du milieu des arts visuels, Natalie Jean pratique la danse contemporaine en plus de travailler à titre de graphiste à Montréal et à Québec avant de se consacrer à l'écriture[2],[3].

Comme nouvelliste, elle fait paraître Je jette mes ongles par la fenêtre (L'Instant même, 2008), Ma belle ombre (J'ai vu, 2011), Le vent dans le dos (Leméac, 2014) ainsi que Le goût des pensées sauvages : et autres nouvelles (Leméac, 2020)[3],[4],[5],[6]. Natalie Jean publie également deux romans, soit Imago (Leméac, 2016) ainsi que La vie magique (Leméac, 2018)[7],[1].

Récipiendaire du Prix de la bande à Moebius (2014), du Prix des abonnés du Réseau des bibliothèques de la Ville de Québec (2014), du Prix de création littéraire de la Ville de Québec (2015) ainsi que du Prix Adrienne-Choquette (2021), Natalie Jean est également finaliste du Prix de création littéraire de la Ville de Québec (2017)[8],[9],[10],[11],[12].

Œuvres[modifier | modifier le code]

Nouvelles[modifier | modifier le code]

Romans[modifier | modifier le code]

Prix et distinctions[modifier | modifier le code]

  • 2014 - Récipiendaire : Prix de la bande à Moebius (pour le texte Samedis)[8]
  • 2014 - Récipiendaire : Prix des abonnés du Réseau des bibliothèques de la Ville de Québec[2]
  • 2015 - Récipiendaire : Prix de création littéraire de la Ville de Québec (pour Le vent dans le dos)[9],[10]
  • 2017 - Finaliste : Prix de création littéraire de la Ville de Québec (pour Imago)[11]
  • 2021 - Récipiendaire : Prix Adrienne-Choquette (pour Le goût des pensées sauvages)[12]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Christian Desmeules, « Critique livre - "La vie magique": l'art de voir », Le Devoir •,‎ , p. LeD22 •
  2. a et b « Biobibliographies », XYZ. La revue de la nouvelle, no 124,‎ , p. 97–97 (ISSN 0828-5608 et 1923-0907, lire en ligne, consulté le )
  3. a et b Michel Lord, « Louis-Phllippe Hébert, Natalie Jean, Jade Bérubé », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, no 134,‎ , p. 35–36 (ISSN 0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
  4. « Natalie Jean », Le Soleil •,‎ , p. 31.
  5. Iris Gagnon-Paradis, « Le parti pris de la douceur », La Presse+ •,‎ , p. ARTS et être_9 •
  6. Christian Desmeules, « Renaissances : Huit nouvelles de Natalie Jean qui ont du souffle », Le Devoir,‎ , p. F2 •
  7. Christian Desmeules, « Premier roman - Concordance des temps », Le Devoir •,‎ , p. F4 •
  8. a et b « Le Prix de la bande à Moebius 2014 », Moebius : écritures / littérature, no 144,‎ , p. 5–5 (ISSN 0225-1582 et 1920-9363, lire en ligne, consulté le )
  9. a et b Richard Boisvert, « Six auteurs d'ici récompensés », Le Soleil •,‎ , p. 40 •
  10. a et b « Prix et distinctions », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, no 159,‎ , p. 68–69 (ISSN 0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
  11. a et b Josianne Desloges, « Erika Soucy et Martin Fournier récompensés », Le Soleil • Vol. 121 n° 82 •,‎ , p. 31 •
  12. a et b Léa Harvey, « Le Prix Adrienne-Choquette 2021 remis à Natalie Jean », Le Soleil,‎ mardi 13 avril 2021 •

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]