Musée national romain

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Musée national romain
L'extérieur du musée national romain dans les thermes de Dioclétien.
Informations générales
Nom local
Museo Nazionale Romano
Type
Musée national (d), musée archéologique, Istituto museale ad autonomia speciale (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Ouverture
Dirigeant
Stéphane Verger (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Visiteurs par an
349 264 ()Voir et modifier les données sur Wikidata
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Le musée national romain (en italien : Museo Nazionale Romano) est un musée archéologique situé à Rome en Italie. Il rassemble des collections liées à l'histoire et à la culture de la ville à l'époque romaine. Il appartient au ministère de la Culture qui le compte depuis 2016 parmi les instituts muséaux à autonomie spéciale.

Inauguré à l'origine en 1889, le musée est installé dans les thermes de Dioclétien et dans le monastère attenant de la basilique Santa Maria degli Angeli e dei Martiri, obtenu à partir de structures appartenant au même complexe thermal. Dans les années 1990, le musée subit une profonde refonte et un réaménagement, qui conduisent à la subdivision des œuvres entre le site d'origine et dans trois autres lieux d'exposition :

Le musée peut être considéré comme l'un des plus importants au monde parce qu'il conserve des chefs-d'œuvre de la sculpture antique dont le pugiliste des Thermes, le Prince hellénistique, la Niobide du jardin de Salluste (it), le Suicide du Galate ; et de la collection de Ludovico Ludovisi, le Trône Ludovisi, l'Acrolithe Ludovisi et le Grand sarcophage Ludovisi.

Histoire et collections[modifier | modifier le code]

Palais Massimo des Thermes acheté en 1981 pour servir de musée.

Le musée est créé en 1889 - et inauguré l'année suivante[A 1] - pour rassembler les antiquités de la ville de Rome et l'Italie centrale datant du Ve siècle av. J.-C. au IIIe siècle apr. J.-C.[1]. Les objets rassemblés proviennent de fouilles archéologiques, de dons ou d'achats[1].

Les collections archéologiques romaines du musée Kircher, du musée du Palatin et du musée Tiberino, créés en 1879 dans la Via della Lungara et fermées dès 1880, y convergent, en plus des nombreuses découvertes qui sont faites dans la ville à la suite de la transformation urbaine issue du nouveau rôle de capitale du royaume d'Italie.

En 1901, la villa Ludovisi est achetée par l'État et son importante collection de sculptures antiques est transférée au musée. Le siège est établi dans les salles du grand cloître du monastère de la basilique Santa Maria degli Angeli e dei Martiri, construit à partir du XVIe siècle dans les thermes de Dioclétien[A 1].

La réhabilitation des anciens thermes est initiée à l'occasion de l'exposition internationale de 1911 et de l'acquisition du noyau principal de la collection Ludovisi[A 1]. L'exposition est achevée dans les années 1930.

Une nouvelle réorganisation du musée est financée par la loi spéciale dénommée n°92/81 pour les antiquités de Rome de 1981, permettant ainsi l'achat du palais Massimo des Thermes et du palais Altemps[A 1],[2].

Le musée connaît dans les années 1990 une transformation complète, à l'issue de laquelle les œuvres ont été réparties entre quatre lieux d'exposition distincts[A 1],[3].

L'Antiquarium du Palatin n'appartient plus au musée national romain, mais au parc archéologique du Colisée[4].

Lieux d'exposition du musée[modifier | modifier le code]

Thermes de Dioclétien[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Entrée historique du musée des Thermes de Dioclétien dont on aperçoit les imposants vestiges des thermes en arrière-plan.
Stèle funéraire d'un cuisinier.

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Le site historique s'élève sur les ruines des anciens thermes de Dioclétien construits entre 298 et 305-306 dans la partie orientale de la ville de Rome, entre les collines du Quirinal et du Viminal. Le domaine s'étend à l'origine sur 13 hectares. Le complexe thermal, une fois que l'approvisionnement des aqueducs est coupé pendant la guerre des Goths vers 538, il est abandonné et subit des pillages continus[A 2].

À l'intérieur des anciens thermes, un monastère chartreux sous le pape Pie IV apparait à partir de 1561 pour la première fois[B 1]. Michel-Ange à partir de 1561 et plus tard, Luigi Vanvitelli en 1749 construisent la basilique Santa Maria degli Angeli e dei Martiri[A 2].

Au début du XXe siècle, une maquette en plâtre des thermes est créée[B 2]. Au XXIe siècle, les thermes sont reconstitués en 3D par l'intermédiaire d'une animation par vidéoprojection en ajoutant deux lieux fouillées lors de recherches scientifiques : la piazza della Repubblica et la basilique Santa Maria degli Angeli e dei Martiri[B 2].

Muséification[modifier | modifier le code]

Les anciens thermes comprennent actuellement des sculptures et des objets funéraires ou d'ameublement dans les jardins extérieurs — jardin des Cinq-Cents (Giardino dei Cinquecento), porche (androne) et cloître de Michel-Ange (Chiostro di Michelangelo) — une section épigraphique dans les salles précédemment consacrées aux chefs-d'œuvre de la sculpture, et une section de Protohistoire au premier étage du cloître[A 2].

Les anciennes salles thermales sont conservées et sont principalement utilisées pour des expositions temporaires, en attendant leur destination définitive dans les différents quartiers de la ville[1]. La cour octogonale (Aula ottagona), remaniée en 1991 (sculptures des thermes romains) et le bâtiment contigu de l'ancienne église Saint-Isidore.

À partir de 2010, une partie des salles sont rénovées, principalement dans la partie épigraphique des anciens thermes qui est renommée pour l'occasion en « Musée de la communication écrite des Romains »[B 3]. Les nouvelles technologies sont mis à disposition pour aider les visiteurs, mais sans faire disparaître les moyens d'information traditionnels que sont les légendes et les panneaux[B 1]. Des vidéos sans audio sont également créées pour présenter la carte de la via Anicia afin de faire lien avec le temple représenté sur la Forma Urbis et un inscription sépulcrale avec des graffitis[B 4]. Une partie des documents religieux les plus importants de religion romaine sont exposés dans le cloître[B 2]. Le le cloître Ludovisi est inauguré[5]. Il permet de lier les documents épigraphiques avec des sculptures ou des bustes d'empereurs liés aux documents écrits présentés dans le jardin[5]. En 2018, les anciens thermes deviennent le premier lieu d'utilisation de la 5G à objectif culturel avec le projet Rome 5G[B 5].

La salle 7 consacrée aux sénateurs et chevaliers est rénovée en 2012[B 4]. Puis, la salle 5 qui contient des vestiges architecturaux et épigraphiques est rénovée en 2013[B 4]. En 2014, pour les 2000 ans de la mort de l'empereur Auguste, 3 200 m2 supplémentaires sont transformés en espace d'exposition[B 6]. Peu de temps après, la salle consacrée à la déesse romaine Anna Perenna est restaurée[B 6].

Œuvres[modifier | modifier le code]

Les œuvres suivantes peuvent être admirer dans ce lieu :

Vénus de Cyrène[modifier | modifier le code]

Timbre-poste de 1930 représentant la Vénus de Cyrène.

En 1913 pendant la période où la Libye est une colonie italienne, la statue de la Vénus de Cyrène, provenant de la ville libyenne de Cyrène, est transférée en Italie dans la salle octogonale des thermes de Dioclétien.

Le , l'Italie restitue la sculpture à la Libye et l'œuvre est ensuite placée à Benghazi. La restitution est incluse dans les actions réalisées par l'Italie pour le retour des découvertes archéologiques illégalement exportées.

Malheureusement, en raison de la situation politique difficile en Libye, le lieu où elle est conservée, c'est-à-dire le sous-sol de la Banque commerciale, est pillé en 2011 et la statue est considérée comme disparue depuis cette date[6].

Palais Massimo des Thermes[modifier | modifier le code]

Entrée du Palais Massimo des Thermes.

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Le palais a été reconstruit entre 1883 et 1887 par l'architecte Camillo Pistrucci sur la villa Peretti-Montalto (it), pour y installer le collège des jésuites[A 3]. Après diverses péripéties, il est finalement acheté par l'État en 1981 et restauré[A 1].

Le musée est inauguré en 1995 et achevé en 1998[7].

Il accueille une section de numismatique et d'orfèvrerie en lien avec l'économie romaine ; et une section d'art ancien avec des œuvres de l'époque républicaine tardive, impériale et de l'Antiquité tardive (dont les œuvres d'art des grandes demeures sénatoriales importés de Grèce)[A 1].

Sous-sol[modifier | modifier le code]

Une section consacrée à l'orfèvrerie et une riche collection de numismatique se trouve à cet étage, elle a appartenu à Victor-Emmanuel III.

La momie d'une fillette d'environ huit ans, appelée momie de Grottarossa (it)[8], datant du IIe siècle environ et trouvé sur la Via Cassia à l'intérieur d'un sarcophage avec son mobilier funéraire, également exposé. C'est la seule momie romaine découverte.

Rez-de-chaussée[modifier | modifier le code]

Plan du rez-de-chaussée du palais Massimo des Thermes.
  • Zone d'exposition
  • Le rez-de-chaussée abrite des chefs-d'œuvre de l'art romain, de la fin de l'époque républicaine avec des œuvres appartenant aux classes dirigeantes du IIe-Ier siècle av. J.-C.) à l'époque de la dynastie Julio-Claudienne. Après la billetterie se trouve une statue colossale d'une divinité féminine assise. Elle provient des pentes de l'Aventin et est composée de nombreux types de marbres anciens colorés, selon une technique très appréciée des sculpteurs romains[A 2].

    Cette statue date de l'époque de l'empereur Auguste et est restaurée en Minerve, où le visage est refait en plâtre avec les traits d'Atena Carpegna. Selon des études récentes, cependant, il semble que la statue représentait Magna Mater-Cybèle, une ancienne divinité anatolienne, dont le centre principal de son culte est Pessinonte en Phrygie et qui, à partir de la deuxième guerre punique, commence à protéger les Romains[A 2].

    Premier étage[modifier | modifier le code]

    Plan du 1er étage du palais Massimo des Thermes.
  • Zone d'exposition
  • On accède au premier étage par un grand escalier où sont exposées des statues (copies ou remaniements d'originaux grecs) des divinités les plus importantes de la religion romano-grecque des villes du Latium : Jupiter, Apollon, Dionysos et Athéna[A 4].

    Les chefs-d'œuvre de la sculpture romaine de l'époque flavienne à l'Antiquité tardive sont exposés, ainsi que de nombreux sarcophages païens et chrétiens, dont le Sarcophage de Portonaccio. Dans une grande salle se trouve l'ancienne « salle des chefs-d'œuvre » du « Musée des Thermes », dans laquelle sont exposées d'importantes œuvres sur la sculpture « idéale », utilisées comme mobilier précieux pour les villae de l'aristocratie romaine, telles que l'Aphrodite accroupie, deux copies du Discobole et quelques originaux grecs dont la Jeune fille d'Anzio[A 4].

    Deuxième étage[modifier | modifier le code]

    Le deuxième étage abrite les fresques de la Nymphée souterrain de la villa Livia, découvertes près de Prima Porta, ayant appartenu à Livie, épouse d'Auguste et impératrice. Il s'agit d'un trompe-l'œil qui reproduit un jardin avec des arbres fruitiers et des oiseaux sur les quatre côtés.

    Dans les autres salles, il y a une série de mosaïques sur le mur et le sol, des mégagraphies impériales tardives, telles que les panneaux avec pompa circensis et « Ila enlevée par les nymphes » de la basilique de Junius Bassus, les fresques du « port fluvial de San Paolo » et la section des fresques découvertes dans les salles souterraines de la "maison ou jardin de la villa Farnesina" fouillée à la fin du XIXe siècle pour permettre l'ouverture d'un lungotevere. Les salles décorées de fresques sont restaurées, réaménagées et inaugurées le [9].

    Palais Altemps[modifier | modifier le code]

    Entrée du Palazzo Altemps

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    Le palais, construit au XVe siècle par la famille Riario et rénové pour le cardinal Mark Sittich von Hohenems au XVIe siècle par Martino Longhi l'Ancien, est acheté par l'État en 1982 et inauguré en 1997. Il accueille la section d'« histoire du collectionnisme » (sculptures des collections de différentes familles Boncompagni-Ludovisi, Mattei (it), Altemps (it) et Del Drago) et la « collection égyptienne » du musée avec des œuvres provenant de différents sanctuaires de dieux orientaux[A 1].

    Le bâtiment comprend également l'ancien théâtre privé, espace actuellement utilisé pour des expositions temporaires, et l'église de Sant'Aniceto. Dans les espaces ouverts au public, les traces de l'évolution architecturale et décorative du bâtiment sont également mises en valeur.

    Œuvres[modifier | modifier le code]

    Crypta Balbi[modifier | modifier le code]

    Entrée de la Crypta Balbi.

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    Le musée fait partie d'un vaste complexe de bâtiments comprenant les églises de Santa Caterina dei Funari et San Stanislao dei Polacchi, en tout environ 7 000 m2, avec un parc immobilier d'environ 40 000 m2, acquis par l'État en 1981. Il est bâti sur le portique adjacent au théâtre de Balbus, construit par Lucius Cornelius Balbus Minor en 13 av. J.-C., en même temps que la Crypta Balbi proprement dite.

    Ce bâtiment est également le siège du laboratoire archéologique pour les activités de restauration, d'archivage, d'analyse et d'étude[A 1].

    Le musée est inauguré en 2001 et accueille, dans des salles rénovées, au-dessus de l'ancien édifice romain, un quadriportique construit derrière la scène du théâtre de Lucius Cornelius Balbus Minor. Dans la première section (« archéologie et histoire d'un paysage urbain »), sont présentés les résultats des fouilles archéologiques réalisées depuis 1981 dans le complexe de bâtiments, y compris les anciens vestiges mis au jour.

    Une deuxième section (« la ville de Rome de l'Antiquité au Moyen Âge, archéologie et histoire ») décrit la vie et la transformation de la ville entre le Ve et le Xe siècle[A 1].

    Des centres d'exposition sont également situés dans la basilique Sainte-Croix-de-Jérusalem ou dans l'ancien arsenal papal de Ripa Grande près du port fluvial de la ville pendant l'Antiquité[A 1],[2].

    Visiteurs et revenus[modifier | modifier le code]

    En 2013, le musée est le 21e site public italien le plus visité avec 247 795 visiteurs et un revenu brut total de 909 016,50 euros[10]. En 2015, le nombre de visiteurs atteint 356 345 et devient le 15e site public italien[11].

    ANNÉE

    VISITEURS TOTAL

    REVENU BRUT

    PRIX MOYEN ENTRÉE

    2015

    356 345

    n.d.

    n.d.

    2014[12]

    301 325

    1 044 220 

    3,465 

    2013[13]

    247 796

    909 016,50 

    3,668 

    2008[14]

    251 535

    924 136,50 

    3,673 

    2003[15]

    262 380

    664 373,00 

    2,532 

    1998[16]

    342 548

    1 033 835,00 

    3,018 

    Notes et références[modifier | modifier le code]

    1. a b et c Guzzo 1983, p. 17.
    2. a et b Guzzo 1983, p. 19.
    3. (it) « Museo Nazionale Romano », sur archeoroma.beniculturali.it, (consulté le ).
    4. (it) « Museo Palatino », sur Parco archeologico del Colosseo, (consulté le ).
    5. a et b Scheid 205, p. 35.
    6. (it) « Scomparsa la Venere di Cirene », sur romanoimpero.com (consulté le ).
    7. (it) « L'edificio - Palazzo Massimo alle Terme », sur archeoroma.beniculturali.it., (consulté le ).
    8. (it) [vidéo] GaiusJuliusVindex, Mummia di Grottarossa sur YouTube, (consulté le )
    9. (it) « Le meraviglie della Villa della Farnesina, affreschi e mosaici a Palazzo Massimo », sur La Repubblica, (consulté le ).
    10. (it) Ministero dei Beni e delle Attività Culturali, « Visitatori e introiti dei musei », sur beniculturali.it (consulté le ).
    11. (it) « Franceschini: il 2015 è stato un anno record per i musei », sur corriere.it, (consulté le ).
    12. (it) Musei, Monumenti e Aree Archeologiche Statali, « Visiteurs et revenus », sur beniculturali.it, (consulté le ).
    13. (it) Musei, Monumenti e Aree Archeologiche Statali, « Visiteurs et revenus », sur beniculturali.it, (consulté le ).
    14. (it) Musei, Monumenti e Aree Archeologiche Statali, « Visiteurs et revenus », sur beniculturali.it, (consulté le ).
    15. (it) Musei, Monumenti e Aree Archeologiche Statali, « Visiteurs et revenus », sur beniculturali.it, (consulté le ).
    16. (it) Musei, Monumenti e Aree Archeologiche Statali, « Visiteurs et revenus », sur beniculturali.it, (consulté le ).
    • Museo Nazionale Romano
    1. a b c d e f g h i j et k Auteurs variés 2005, p. 9.
    2. a b c d et e Auteurs variés 2005, p. 11.
    3. Auteurs variés 2005, p. 12.
    4. a et b Auteurs variés 2005, p. 32.
    • Mulmedialità alle terme di Diocleziano: 2010-2020: 10 anni di esperienze al museo nazionale romano
    1. a et b Caruso 2021, p. 16.
    2. a b et c Caruso 2021, p. 19.
    3. Caruso 2021, p. 16-17.
    4. a b et c Caruso 2021, p. 17.
    5. Caruso 2021, p. 20.
    6. a et b Caruso 2021, p. 18.

    Annexes[modifier | modifier le code]

    Articles connexes[modifier | modifier le code]

    Sur les autres projets Wikimedia :

    Bibliographie[modifier | modifier le code]

    Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

    • (it) Auteurs variés, Museo Nazionale Romano, Mondadori Electa, (ISBN 978-88-370-5148-8). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
    • (it) Carlotta Caruso, « Mulmedialità alle terme di Diocleziano: 2010-2020: 10 anni di esperienze al museo nazionale romano », Archeomatica, vol. 13,‎ , p. 16-20. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
    • Pier Giovanni Guzzo (trad. A.-M. Bosc), « Musée National de Rome : proposition de réorganisation d'un musée archéologique de Rome », Nouvelles de l'Archéologie, no 13,‎ , p. 17-20 (lire en ligne, consulté le ). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
    • (it) Giuseppe Moretti, Il Museo nazionale romano : con 51 incisioni e 2 piante, Josef Frank, , 66 p..
    • (en) Giuseppe Moretti, The National Roman Museum, J. Frank, , 72 p..
    • (en) Marina Sapelli, The National Roman Museum. Palazzo Massimo alle Terme, Electa, , 75 p. (ISBN 88-435-6539-7).
    • John Scheid, « Inauguration du cloître Ludovisi au Musée national romain des Thermes », La lettre du Collège de France, Collège de France, no 40,‎ , p. 35 (ISSN 1628-2329).
    • (en) Lori-Ann Touchette, Rome, Museo Nazionale Romano, Oxford University Press, (ISBN 978-0-19-172759-7).

    Liens externes[modifier | modifier le code]

    • (it) Soprintendenza Archeologica di Roma, « Museo Nazionale Romano », sur beniculturali.it (consulté le ).