Mordechai Lewy

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Mordechay Lewy
Mordechay Lewy à Cologne en octobre 2013.
Fonctions
Ambassadeur d'Israël près le Saint-Siège (d)
-
Ambassadeur d'Israël en Thaïlande (d)
-
Ambassadeur
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (75 ans)
AfoulaVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Autres informations
Distinction
Sächsische Verfassungsmedaille (en) ()Voir et modifier les données sur Wikidata

Mordechaï Lewy, né le est un historien et diplomate israélien, qui est ambassadeur d'Israël près le Saint-Siège du au .

Biographie[modifier | modifier le code]

Né le jour de la Déclaration d’indépendance d’Israël, latiniste, diplômé en histoire, il étudie « Le développement des ordres monastiques dans les villes médiévales émergentes en Europe ». Diplomate depuis 1975, en poste en Allemagne, en Suède et en Thaïlande, il est affecté, en 2004, au poste de Conseiller du Maire de Jérusalem pour les communautés religieuses. Il devient ambassadeur d’Israël au Saint-siège en . Passionné des tatouages des pèlerins chrétiens, il présente une exposition en 2011 à Rome, Loreto (province d’Ancône) et Jérusalem[1],[2].

Il déclenche une polémique en 2011 avec ses propos concernant le rôle du pape Pie XII lors de la Shoah[3]. Il y a tout lieu de penser que ces institutions religieuses catholiques ont recueilli des Juifs avec l'accord et le soutien de la plus haute hiérarchie vaticane." Et que "Ce serait donc une erreur de dire que l'Église catholique, le Vatican et le pape lui-même n'ont rien voulu faire pour sauver des Juifs. C'est le contraire qui est vrai.[4] Il a également reconnu « La volonté vaticane de sauver les juifs»[5].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Jerusalem Religions.fr
  2. http://www.semissourian.com/story/84306.html
  3. L'Express.fr
  4. Rédaction Europe1.fr avec agences, « Le Vatican "a aidé les juifs" », sur europe1.fr, (consulté le ).
  5. Frédéric Mounier, à Rome, « L’ambassadeur d’Israël près le Saint-Siège reconnaît qu’il y a eu « volonté vaticane de sauver les juifs » », La Croix,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Liens externes[modifier | modifier le code]