Morcourt (Somme)

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Morcourt
Morcourt (Somme)
L'église et la mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité Communauté de communes du Val de Somme
Maire
Mandat
Didier Demaison
2020-2026
Code postal 80340
Code commune 80569
Démographie
Gentilé Morcourtois
Population
municipale
332 hab. (2021 en augmentation de 15,68 % par rapport à 2015)
Densité 44 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 53′ 34″ nord, 2° 39′ 08″ est
Altitude Min. 31 m
Max. 93 m
Superficie 7,56 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Corbie
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Morcourt
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Morcourt

Morcourt est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Entre Amiens et Saint-Quentin, Morcourt est un village picard qui se trouve à une dizaine de kilomètres au sud d'Albert. Il est bordé au nord par la vallée de la Somme.

Le territoire communal est limité au nord par un méandre de la Somme et au sud par l'ex-route nationale 29 (actuelle RD 1029).

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Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Nature du sol et du sous-sol[modifier | modifier le code]

Dans la vallée de la Somme, le sol est marécageux. En s'éloignant du fleuve, il devient argilo-calcaire, crayeux puis argileux[1],[2].

Relief, paysage, végétation[modifier | modifier le code]

La commune est parsemée de « rideaux » en friche ou boisés qui limitent les vallées. En 1899, la commune comptait 58 hectares d'étangs et marais, résultant de l'extraction de la tourbe[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par le fleuve côtier la Somme et le canal de la Somme.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 707 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Méaulte à 10 km à vol d'oiseau[5], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 730,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Morcourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (82,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74 %), zones humides intérieures (9,4 %), zones agricoles hétérogènes (8,6 %), eaux continentales[Note 3] (4,2 %), zones urbanisées (3,5 %), forêts (0,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat[modifier | modifier le code]

La commune présente un habitat groupé. La commune, le long de la Somme canalisée, est traversée par la véloroute Vallée de la Somme, voie de circulation réservée aux piétons et aux cyclistes[15].

Toponymie[modifier | modifier le code]

On trouve plusieurs formes pour désigner Morcourt dans les textes anciens : Mourocurtis, Merufli Curtis, Morecourt (1220), Mourecourt (1259), Mourcourt, Morecort[16]

Morcourt est un terme de formation germano-romane. Le suffixe « court », dérive du terme latin Curtis désignant une cour de ferme, une ferme ou un domaine[17]. Le préfixe « Mor » serait dérivé du nom germanique du propriétaire du lieu après les Invasions barbares des Ve siècle et VIe siècle[18],[19].

Chaque département de Picardie, Oise, Somme ou Aisne comporte au moins une commune (ou ancienne commune) s'appelant Morcourt.

La commune homonyme de Morcourt (Aisne), commune de 579 habitants est située à l'est de Saint-Quentin.

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La première mention écrite de Morcourt apparaît sur une charte du roi Childebert III (656-662) qui confirme la vente de la terre de Morcourt.

La seigneurie de Morcourt est alors dépendante des abbés-comtes de l'Abbaye de Corbie.

En , l'évêque d'Amiens établit une paroisse à Morcourt, détachée de celle de Cerisy.

En 1483, une autorisation royale indique qu'une partie du domaine du Hamel près de Corbie appartient au seigneur de Morcourt.

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Au début du XVIe siècle, l'église de Morcourt fut restaurée. À cette époque, la famille d'Humières détenait la seigneurie de Morcourt.

Le , un jeune homme, supposé huguenot, pénétra dans le chœur de l'église de Morcourt, l'épée à la main en vociférant des menaces contre tous ceux qui chanteraient la messe. Il fut maîtrisé par la force et jeté en prison où il mourut.

En 1605, Daniel de Hardoncourt, écuyer, acquit la seigneurie de Morcourt. En 1641, Claude Petit, avocat à Amiens, acheta 200 journaux de terres du seigneur de Morcourt. En 1645, le marquis de Feuquières acquit la seigneurie de Morcourt.

Le , Claude Patou, laboureur de Morcourt, âgé de 30 ans, fit une déposition auprès du lieutenant général du bailliage d'Amiens, dénonçant les exactions des soldats français cantonnés à Morcourt au cours de l'invasion espagnole.

Avant 1789, Morcourt faisait partie de l'élection et du bailliage de Péronne relevant de la généralité d'Amiens. La cure de la paroisse de Morcourt était rattachée au doyenné de Lihons.

En 1789, le dernier seigneur de Morcourt était Joachim Charles de Seiglière, marquis de Soyécourt[20].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Révolution française[modifier | modifier le code]

Le , les officiers municipaux de Morcourt se rendirent, conformément au décret du , au château de Feuqières (commune d'Harbonnières) pour se faire remettre les titres seigneuriaux de Morcourt. Revenus à Morcourt avec les documents, ils firent sonner les cloches pour appeler les citoyens à s'assembler sur la place du village où furent brûlés les titres.

XIXe siècle[modifier | modifier le code]

L'extraction de la tourbe au XIXe siècle fit la richesse de la commune. Elle entraîna la création d'étangs artificiels aujourd'hui en partie protégés.

En 1899, la seule industrie est représentée par les ouvriers bonnetiers fabriquant bas et chaussettes sur métiers à tisser pour de grands groupes. Cette activité est alors en déclin. Il existait, à la même date, dans la commune, une carrière d'extraction de craie[1].

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Pendant la Grande Guerre, la commune était située de 1914 à 1917 à l'arrière immédiat du front. Le village abrita des ambulances (hôpitaux provisoires proches du front) où s'effectuait le tri des blessés et servit de cantonnement pour les soldats. Les témoignages écrits et photographiques d’Auguste Lematte et Joseph Brenac évoquent la vie du village pendant le conflit[21].

Le village, fortement éprouvé lors de la Première Guerre mondiale[22], a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [23].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouvait depuis 1801 dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Par arrêté préfectoral du , la commune en est détachée le pour intégrer l'arrondissement d'Amiens[24].

Pour l'élection des députés, Morcourt fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Bray-sur-Somme[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, Morcourt est rattaché au canton de Corbie

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Morcourt est membre depuis 2002 de la communauté de communes de Corbie et Villers-Bretonneux, qui a pris depuis le nom de communauté de communes du Val de Somme.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983 2008 Roland Demaison[26]    
mars 2008[27] En cours
(au 8 octobre 2020)
Didier Demaison   Fils du précédent[28]
Vice-président de la CC du Val de Somme (2020 → )
Réélu pour le mandat 2014-2020[29],[30]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

En 2021, la commune comptait 332 habitants[Note 4], en augmentation de 15,68 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
408532544551615641656666695
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
672692688643604546527500486
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
466429360241248238212212206
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
187196183201239268273274284
2018 2021 - - - - - - -
325332-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école primaire publique de Morcourt compte 27 élèves à la rentrée scolaire 2017[34], dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal qui, en 2020, scolarise 154 élèves[29].

Économie[modifier | modifier le code]

Activités économiques et de services[modifier | modifier le code]

L'activité dominante de la commune reste l'agriculture. Cependant il existe des activités artisanales dans la commune. Le village bénéficie de milieux humides propices aux activités de loisirs, telle la pêche.

L'activité dominante de la commune reste l'agriculture. Cependant il existe des activités artisanales dans la commune. Le village bénéficie de milieux humides propices aux activités de loisirs.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Fuscien-et-Saint-Gentien[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Fuscien-et-Saint-Gentien a été construite au Moyen Âge (XIIe et XVIe siècles)[35].

Marais[modifier | modifier le code]

La commune de Morcourt compte environ 100 hectares de marais, dont 30 hectares de surface d’eau. Un belvédère permet de surplomber le marais et offre une vue sur la Somme. 42 ha des marais de Morcourt, entre Bray-sur-Somme et Lamotte-Warfusée, sont classés Natura 2000 et depuis 2017, sont inclus dans le site Ramsar « Marais et tourbières des vallées de la Somme et de l'Avre ». Les milieux tourbeux et para-tourbeux doivent faire l'objet d'une restauration afin de préserver les espèces menacées de la vallée de la Somme[36]par des actions de déboisement et de fauche, pour restaurer les prairies para-tourbeuses où la molinie bleue et le sélin à feuilles de Carvi sont en forte régression[37]. Le marais est répertorié dans la Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) continentale n° 220 320 014 : « Méandres et cours de la Somme entre Bray-sur-Somme et Corbie »[38].

Prairie aux Grands Pré[modifier | modifier le code]

La prairie aux Grands Prés a été inaugurée en 2017 en lien avec le Conservatoire d'espaces naturels de Picardie[39].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • L'abbé Haclin (1818-1903). Curé du village, il a rédigé une « Notice historique » sur le village de Morcourt.
  • Achille Moy, curé de Cerisy-Gailly, auteur en 1903 d'une monographie sur Morcourt (disponible à la bibliothèque municipale d'Amiens).

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, Amiens, Société des Antiquaires de Picardie, 1865, réédition partielle Bray-sur-Somme et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire-Lorisse, Res Universis, p. 143 à 149 (ISBN 2 - 87 760 - 446 - 2) p. 103-108.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur, M. Carpentier, 1899, Archives départementales de la Somme, Amiens
  2. Lire la notice de l'instituteur en ligne, sur le site des archives.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Morcourt et Méaulte », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. « La Véloroute Vallée de Somme / Conseil départemental de la Somme », sur Conseil départemental de la Somme (consulté le ).
  16. Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, Amiens, Société des Antiquaires de Picardie, 1865, réédition partielle Bray-sur-Somme et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire-Lorisse, Res Universis, p. 143 à 149 (ISBN 2 - 87 760 - 446 - 2) p. 103
  17. Charles Rostang, Les Noms de lieux, Paris, Presses universitaires de France, 1969
  18. Jacques Chaurand et Maurice Lebègue, Noms de lieux de Picardie, éditions Bonneton, 232 p., novembre 2000, p. 71 à p. 80, (ISBN 978-2-862-53265-3).
  19. Ernest Nègre, op. cit.
  20. Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, Amiens, Société des Antiquaires de Picardie, 1865, réédition partielle Bray-sur-Somme et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire-Lorisse, Res Universis, p. 143 à 149 (ISBN 2 - 87 760 - 446 - 2) p. 105-107
  21. « Morcourt - La Communauté de communes du Val de Somme », sur La Communauté de communes du Val de Somme (consulté le ).
  22. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  23. Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16879.
  24. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme - Recueil n°200 des actes administratifs du 27 décembre 2016 des Hauts-de-France », sur prefectures-regions.gouv.fr, (consulté le ).
  25. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. « Faire-part de décès de Monsieur Roland DEMAISON », sur memoire.lavoixdunord.fr, (consulté le ).
  27. « Liste des maires de la Somme »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  28. « Procès-verbal administratif du conseil de communauté du 11 octobre 2012 » [PDF], Communauté de communes du Val de Somme (consulté le ) « Avant d’entamer les points inscrits à l’ordre du jour, Monsieur le Président présente ses condoléances à Madame Isabelle Demaison, conseillère générale du Canton de Corbie et à Monsieur Didier Demaison, maire de Morcourt, à la suite du décès de leur père Roland Demaison, ancien maire de Morcourt et à ce titre délégué communautaire lors du précédent mandat. ».
  29. a et b « Didier Demaison, maire de Morcourt : « Ma tâche ne me semble pas terminée » : Didier Demaison, maire depuis 2008, a annoncé qu’il se représenterait aux élections municipales. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. L'école sur le site du ministère de l'Éducation nationale.
  35. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Morcourt, d'après nature, 24 septembre 1877 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  36. Courrier picard, édition Picardie maritime, 22 juin 2017, p. 17.
  37. https://www.cen-hautsdefrance.org/le-marais-communal-de-morcourt-0
  38. https://inpn.mnhn.fr/zone/znieff/220320014/tab/commentaires
  39. « La culture, un trait d’union indispensable à Morcourt : Cent habitants ont assisté aux premiers vœux dominicaux. Les projets fleurissent malgré la rigueur budgétaire », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).