Mont-Saint-Martin (Meurthe-et-Moselle)

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Mont-Saint-Martin
Mont-Saint-Martin (Meurthe-et-Moselle)
L’église Saint-Martin.
Blason de Mont-Saint-Martin
Héraldique
Mont-Saint-Martin (Meurthe-et-Moselle)
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Briey
Intercommunalité CA Grand Longwy Agglomération
Maire
Mandat
Serge de Carli
2020-2026
Code postal 54350
Code commune 54382
Démographie
Gentilé Saint-Martinois
Population
municipale
9 202 hab. (2021 en augmentation de 9,59 % par rapport à 2015)
Densité 1 041 hab./km2
Population
agglomération
50 130 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 49° 32′ 28″ nord, 5° 46′ 48″ est
Altitude 329 m
Min. 260 m
Max. 398 m
Superficie 8,84 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Longwy (partie française)
(ville-centre)
Aire d'attraction Longwy
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Mont-Saint-Martin
(bureau centralisateur)
Législatives 3e circonscription de Meurthe-et-Moselle
Localisation
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Mont-Saint-Martin
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Mont-Saint-Martin
Liens
Site web https://mairie-montsaintmartin.fr/

Mont-Saint-Martin est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est. Elle fait partie de la communauté d'agglomération de Longwy.

La commune a longuement tiré sa richesse et sa notoriété de par l'industrie métallurgique et sidérurgique qui s'est arrêtée dans cette région à la fin du XXe siècle avec la crise de la sidérurgie dans le bassin lorrain.

Elle a pour particularité d'être située au point de rencontre de deux frontières françaises : celle avec la Belgique et celle avec le Grand-duché de Luxembourg. Le tripoint Belgique-France-Luxembourg se situe au nord-est de la commune, jouxtant Athus (province de Luxembourg, Belgique) et Rodange (canton d'Esch-sur-Alzette, Grand-duché de Luxembourg).

Ses habitants sont les Saint-Martinois[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Les bornes-frontières au tripoint, à gauche la Belge, à droite la Luxembourgeoise.

La commune est délimitée à l’ouest et au nord par la frontière franco-belge, ainsi qu’à l’est par les frontières belge et luxembourgeoise où se trouve le tripoint Belgique-France-Luxembourg, sur le cours de la Chiers, un affluent de la Meuse.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Pétange, Aubange, Cosnes-et-Romain, Longlaville et Longwy.

Rose des vents Aubange (be) Rose des vents
N La Chiers  Pétange (lu)
O    Mont-Saint-Martin    E
S
Cosnes-et-Romain Longwy Longlaville

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Martin dont la ville tient son nom se trouve sur une butte-témoin remarquable[2]

La cuesta de la Chiers orientée ouest-est : partant de l'Othain aux alentours de Marville vers Longwy, qui est bordée par la Chiers.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le ruisseau du Brull.

La rivière de la Chiers[3], le ruisseau des Chinettes[4] et le ruisseau le Brull[5] sont les trois cours d'eau traversant le territoire de la commune de Mont-Saint-Martin.

La Chiers, l'un des affluents importants de la Meuse en rive droite, passe juste en dessous de Mont-Saint-Martin (Longlaville et Longwy). La partie occupée aujourd'hui par le Val-Saint-Martin était autrefois marécageuse et pouvait recevoir la Chiers en crue.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 923 mm, avec 13,5 jours de précipitations en janvier et 9,8 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villette », sur la commune de Villette à 18 km à vol d'oiseau[8], est de 10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 909,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39 °C, atteinte le ; la température minimale est de −14,8 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Carte hydrographique et des infrastructures de transport en 2022.

Typologie[modifier | modifier le code]

Mont-Saint-Martin est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Longwy (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 11 communes[16] et 50 130 habitants en 2021, dont elle est ville-centre[17],[18].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Longwy, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (45,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (30,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (32,5 %), zones urbanisées (28,7 %), forêts (19,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (16,6 %), zones agricoles hétérogènes (3 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

La commune est constituée par plusieurs quartiers[22] :

  • Le Centre :
    Partie centrale de la ville. Comportant la gare de Mont-Saint-Martin, l'hôpital de Mont-Saint-Martin (Groupe SOS), l'hôtel de Police de l'agglomération de Longwy, les écoles Jules-Ferry, la vieille église romane du XIIe siècle, les anciens lavoirs, l'église Saint-Barthélemy.
Le centre commercial au Val-Saint-Martin.
  • Le Val-Saint-Martin :
    Partie basse de la ville. Il s'agit du nouveau quartier de la ville, le quartier du Val-Saint-Martin abrite l'hôtel de ville, le centre commercial et de nombreuses infrastructures comme notamment les écoles maternelles Jean-Macé et Jean-de-la-Fontaine, les écoles élémentaires Albert-Iehlen et Jean-de-la-Fontaine, le collège Anatole-France, la médiathèque, le centre de loisirs Monique-Miconi, l'espace Jeunesse Mohammed-Rachek, la salle des sports, ou le centre commercial des Bleuets.
    Actuellement en quartier prioritaire de la politique de la ville, ce grand ensemble comptait 2 768 habitants en 2013[23].
  • Le Plateau :
    Partie haute de la ville. Le Plateau est un petit quartier connu pour son complexe sportif (Les Terres de Mercy), ainsi que pour son parcours de santé situé en forêt. Le quartier comprend aussi l'école maternelle et élémentaire Marie-Lozillon, ainsi que le centre de loisirs Jean-Pierre-Bienaimé.
  • Le parc municipal Brigidi :
    D’une surface de 12 hectares, il constitue l‘un des plus grands parcs transfrontalier. Aménagé d‘allées, d‘un auditorium, de jeux pour enfants et d’un terrain multisport, cet espace de verdure comprenant un plan d’eau est le poumon de la cité et surtout un lien entre les différents quartiers de la ville[25].
Le château d'eau.
  • Le Pôle Européen de Développement (P.E.D.) :
    Mont-Saint-Martin, en tant que ville frontalière, partage cette zone avec les localités voisines d'Athus (Belgique) et de Rodange (Luxembourg), nommée le Pôle Européen de Développement le long de l'avenue de l'Europe.
    Cette zone est très fréquentée notamment grâce à la présence du Pôle Europe, vaste parc d'activité commerciale (PAC) divisé en 5 zones dont 3 déjà en activité (comportant un grand centre commercial, de nombreuses boutiques, des restaurants, etc.).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 3 638, alors qu'il était de 3 452 en 2015 et de 3 394 en 2010[I 1].

Parmi ces logements, 94,2 % étaient des résidences principales, 0,3 % des résidences secondaires et 5,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 59,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 39,9 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Mont-Saint-Martin en 2020 en comparaison avec celle de Meurthe-et-Moselle et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,3 %) inférieure à celle du département (2,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 39,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (40,6 % en 2015), contre 57,3 % pour la Meurthe-et-Moselle et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Mont-Saint-Martin en 2020.
Typologie Mont-Saint-Martin[I 1] Meurthe-et-Moselle[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 94,2 88,6 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,3 2,1 9,7
Logements vacants (en %) 5,5 9,3 8,2

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

La ville est desservie par

Elle est limitée au sud par la ligne de Longuyon à Mont-Saint-Martin (vers Athus), mais la station de chemin de fer la plus proche est la gare de Longwy desservie par les trains du réseau TER Grand Est (lignes de Longwy à Metz-Ville, à Nancy-Ville, à Reims et à Charleville-Mézières) et des trains Regional-Express (RE) des CFL à destination de Luxembourg (ligne 70).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Entrée de Mont-Saint-Martin.

Histoire[modifier | modifier le code]

Origines[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

À la période gallo-romaine, Mont-Saint-Martin se trouve au carrefour des deux voies romaines menant respectivement aux camps du Titelberg et de Virton[réf. nécessaire].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Le , Albert de Dagsbourg, comte de Musau, de Metz et de Longwy[27] fonde le Prieuré de Mont-Saint-Martin, qui est abandonné par la Communauté religieuse au cours du XIIIe siècle,

La tradition orale nous apprend que ce site aurait été occupé dés le Haut Moyen Âge à une époque voisine de l'implantation du prieuré St-Martin[28].

Temps modernes[modifier | modifier le code]

L'ancien cimetière autour de l'église prieurale sert aux habitants de Longwy jusqu'en 1638.

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

En 1789, le prieuré devient propriété nationale. En 1855, il est racheté par la baronne d’Adelsward avant d’appartenir à la Société des aciéries de Longwy[29],[30].

Le village avait pour annexes le village de Piedmont, les fermes de la Folie et de Bellevue et l'ancien ermitage de Saint-Remy. Piedmont est rattaché à Mont-Saint-Martin en 1812[31].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

En 1863, la Compagnie des chemins de fer des Ardennes, met en service la gare de Mont-Saint-Martin sur la ligne de Longuyon à Mont-Saint-Martin (vers Athus), exploitée par la Grande compagnie du Luxembourg en application de la convention internationale du [32], une ligne internationale electrifiée en 1955 et qui a été longtemps parcourue par les trains Paris-Est - Luxembourg (via Reims et Sedan),

En juin 1880, les principaux maîtres de forge du bassin de Longwy, messieurs Labbé, d'Adelsward, Raty, d'Huart et de Saintignon, se regroupent pour fonder l'usine de Mont-Saint-Martin et constituent ainsi la Société des Aciéries de Longwy. Cette société regroupe les usines de Port-Sec et du Prieuré (1865), comprenant chacune trois hauts-fourneaux : sept à Mont-Saint-Martin situés de part et d'autre de la voie ferrée Longwy-Luxembourg au Port-Sec (numérotés 1 à 3) et au Prieuré (numérotés 4, 5, 6 et 8), ainsi que deux à Moulaine (numérotés 7 et 9)[33].

La ligne Longwy - Gouraincourt - Mont-Saint-Martin du tramway de Longwy est mise en service en 1901.

Le , au début de la Première Guerre mondiale, l'armée allemande exécute 16 civils et détruit 76 bâtiments. les unités en cause sont les 121e et 122e RI -Régiment d'Infanterie. Ces événements font partie des atrocités allemandes en 1914[34].

Arrêtée pendant la Première Guerre mondiale, la production reprend dès avec la remise à feu du premier haut-fourneau de Moulaine, puis de quatre autres à Mont-Saint-Martin. Le haut-fourneau no 6 est réactivé en 1923 (ou 1924), le haut-fourneau no 1 en 1925. À la veille de la Seconde Guerre mondiale, la société dispose toujours d'un groupe de neuf hauts-fourneaux.

Le tramway de Longwy est remis en service en 1923[39],[40] et remplacé en 1936 par un service d'autobus[41] et fut remplacé par un service d'autobus[39]

Étienne Roch, gendarme, officier commandant le point de contrôle frontalier de Mont-Saint-Martin, a été admis parmi les Justes parmi les nations de France[43] pour avoir fait évader des Juifs persécutées par le régime nazi et le gouvernement de Vichy internés au Camp des Milles puis les conduire jusqu'à la frontière avec la Belgique, qu'il leur fit passer clandestinement. Remise de la médaille de Justes parmi les nations le 1 mars 1990[44],[45],[46].

Le bâtiment voyageurs de la gare de Mont-Saint-Martin est démolit en 1984[47]. Une passerelle piétonne a été édifiée à l'emplacement de l'ancienne gare.

Une seule et unique modification administrative est intervenue pour la commune de Mont-Saint-Martin depuis 1930, à savoir Mont-Saint-Martin cède des parcelles à Longlaville (4 hectares), cela a eu lieu le [48].

En 1960, il n'existe plus que deux hauts-fourneaux en état de marche à Mont-Saint-Martin (les 2 et 3) ; ils sont équipés de 5 appareils Cowpers et l'ensemble a une capacité mensuelle de 27 000 tonnes de fonte Thomas. En 1966, le haut-fourneau no 2 est arrêté, suivi du haut-fourneau no 3 en 1967[Note 4].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Briey du département de Meurthe-et-Moselle.

Elle faisait partie de 1793 à 1973 du canton de Longwy, date à laquelle elle devient le chef-lieu du canton de Mont-Saint-Martin[31]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur d'un nouveau canton de Mont-Saint-Martin

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de Meurthe-et-Moselle.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté d'agglomération dénommée depuis 2021 Grand Longwy Agglomération, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2017 sous le nom de communauté d'agglomération de Longwy par transformation de la communauté de communes de l'Agglomération de Longwy et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Cette communauté de commune avait elle-même été créée en 2002 par transformation d'un district constitué en 1960 dont était déjà membre la commune.

La commune est également membre de l'Agglomération transfrontalière du pôle européen de développement.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Élections les plus récentes[modifier | modifier le code]

Lors du premier tour des élections municipales de 2014 en Meurthe-et-Moselle, la liste PCF-FG menée par le maire sortant Serge De Carli obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 317 voix (65,03 %, 24 conseillers municipaux élus dont 5 communautaires), devançant très largement celle PS menée par Christophe Giovanardi (708 voix, 34,96 %, 5 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
Lors de ce scrutin, 48,46 % des électeurs se sont abstenus[49].

Au premier tour des élections municipales de 2020 en Meurthe-et-Moselle, la liste DVG menée par le maire sortant Serge De Carli obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 082 voix (65,02 %, 24 conseillers municipaux élus dont 6 communautaires), devançant très largement celle, également DVG, menée par Christophe Giovanardi (582 voix, 34,97 %, 5 conseillers municipaux élus, dont 1 communautaire).
Lors de ce scrutin, marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 60,75 % des électeurs se sont abstenus[50].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1977 20 juin 2004 Frédéric Brigidi[Note 5],[51] PCF Ajusteur
Conseiller général de Mont-Saint-Martin (1976 → 2001)
Président du SIAAL (1991 → 2014)
20 juin 2004 En cours
(au 6 juin 2023)
Serge De Carli PCF Directeur d'école
Serge de Carli.

Conseiller général puis départemental de Mont-Saint-Martin (2008 → )
Président de la CA Grand Longwy Agglomération (2020 → )
Vice-président du Pôle métropolitain frontalier (2020 → 2021)
Réélu pour le mandat 2020-2026[52],[53]

Autres élections[modifier | modifier le code]

Lors du premier tour de l'élection présidentielle de 2017, les quatre premiers candidats sont Jean-Luc Mélenchon (34,77 % des suffrages exprimés), Marine Le Pen (21,33 %), Emmanuel Macron (21,08 %) et François Fillon (9,10 %).
Au second tour, le candidat élu Emmanuel Macron obtient 1 703 voix (69,26 %) et Marine Le Pen 756 voix (30,74 %), lors d'un scrutin où33,36 % des électeurs se sont abstenus[54].

Lors du premier tour de l'élection présidentielle de 2022, les quatre premiers candidats sont Jean-Luc Mélenchon (40,75 % des suffrages exprimés), Marine Le Pen (21,79 %), Emmanuel Macron (20,62 %) et Éric Zemmour (4,45 %).

Au second tour, le candidat élu Emmanuel Macron obtient 1 397 voix (61,11 %) et Marine Le Pen 889 voix (38,89 %) lors d'un scrutin où 40,68 % des électeurs se sont abstenus[55].

Finances communales[modifier | modifier le code]

En 2021, le budget de la commune est constitué ainsi[56] :

  • total des produits de fonctionnement : 10 385 000 , soit 1 146  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 10 071 000 , soit 1 111  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 3 336 000 , soit 368  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 3 539 000 , soit 390  par habitant ;
  • endettement : 61 712 000 , soit 681  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 20,69 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 32,82 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 18,14 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 17 170 [I 6].

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

En 2010, la commune de Mont-Saint-Martin a été récompensée par le label « Ville Internet @@ »[57].

Jumelages[modifier | modifier le code]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

La commune abrite l'hôpital et le commissariat de Police de l'agglomération de Longwy.

L'Espace polyvalent Aimé-Césaire est inauguré le

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[59] :

  • Écoles maternelles et primaires,
  • Collèges à Mont-Saint-Martin, Longwy, Longlaville,
  • Lycées à Mont-Saint-Martin, Longwy, Longlaville.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[60][Quand ?] :

  • Médecins à Mont-Saint-Martin, Longlaville, Herserange, Longwy,
  • Pharmacies à Mont-Saint-Martin, Longlaville, Herserange, Longwy,
  • Hôpitaux à Mont-Saint-Martin, Villerupt, Longuyon, Algrange.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[61]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[62].

En 2021, la commune comptait 9 202 habitants[Note 6], en augmentation de 9,59 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1872
2302322356037607437159281 202
1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
1 3371 6821 6781 8632 4402 9563 2904 5584 410
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
5 7706 1825 0104 2805 8117 03410 03511 55610 419
1990 1999 2006 2007 2012 2017 2021 - -
8 6608 2418 0998 0787 9368 8079 202--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[63].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,1 %, soit un taux supérieur à la moyenne départementale (36,8 %). Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (21,9 %) est inférieur au taux départemental (25,4 %).

En 2018, la commune comptait 4 347 hommes pour 4 606 femmes, soit un taux de 51,43 % de femmes, identique au taux départemental (51,43 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 7]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
1,2 
7,2 
75-89 ans
8,4 
11,8 
60-74 ans
14,6 
19,1 
45-59 ans
18,0 
20,6 
30-44 ans
20,4 
18,0 
15-29 ans
16,7 
22,8 
0-14 ans
20,6 
Pyramide des âges du département de Meurthe-et-Moselle en 2020 en pourcentage[64]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,7 
6,5 
75-89 ans
9,4 
16 
60-74 ans
17,2 
19,5 
45-59 ans
19,1 
19 
30-44 ans
18 
20,7 
15-29 ans
18,8 
17,7 
0-14 ans
15,9 

Cultes[modifier | modifier le code]

  • Culte catholique, Paroisse Saint Martin de Longwy[65],[66].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le viaduc de Piedmont.

La ville possède un patrimoine de peintures, fresques, sculptures, etc. dont : une sculpture de Christian Lapie ("L'homme, arbre de Liberté", quartier de Piedmont), un portait de Jean Ferrat réalisé au fusain par Ernest Pignon-Ernest, une sculpture d'Amilcar Zannoni ("Murmures", quartier du Val-Saint-Martin), diverses œuvres des artistes plasticiens Thierry Devaux et Laurent Nunziatini, des fresques murales réalisées par Claude et Camille Semelet ("Résistance, quartier du Centre), Nicolas Venzi (portraits d'Aimé Césaire, Parc Municipal F. Brigidi)

Une inscription gallo-romaine du IIIe siècle est encastrée dans le chœur de l'ancienne église.

Un château d'industriel, dit « château Dreux »[67], est construit en 1890 pour Alexandre Dreux, directeur général de la société des aciéries de Longwy. Racheté par la mairie de Mont-Saint-Martin en 1987, il a été depuis revendu à la famille Delposen.

À l’ouest se trouve le viaduc de Piedmont sur lequel passe la RN 52 qui va à Metz.

Une église existait probablement dès le VIe siècle.

Le prieuré Saint-Martin[68],[69],[70] et l’église paroissiale de bénédictins, de jésuites. Mentionnée pour la première fois en 1096, l'église est reconstruite au milieu du XIIe siècle et voûtée ou revoûtée vers 1200. Le prieuré de bénédictins, dépendant de l'abbaye Saint-Vanne de Verdun, donné en 1599 aux jésuites de Verdun, est reconstruit en 1753 et repercé au XIXe siècle. Une sacristie est ajoutée dans la seconde moitié XIXe siècle. L’église est restaurée à plusieurs reprises, en particulier de 1895 à 1898, de 1898 à 1904 et en 1928, puis désaffectée au profit de l'église paroissiale Saint-Barthélémy sans doute peu après la construction de celle-ci en 1929. L'église est classée au titre des monuments historiques par la liste de 1889[71].

L’église paroissiale Notre-Dame-de-l'Assomption est construite en 1959[72]. Elle a remplacé une chapelle construite en 1952 derrière l'école Notre-Dame-de-l'Assomption. L’église était fermée au public depuis 2011. Sa déconstruction en 2014[73] a révélé différentes défaillances structurelles qui n’auraient pas permis la réhabilitation du bâtiment[74]. Elle a depuis été remplacée par une Maison Pastorale[75].

L’église paroissiale Saint-Barthélémy[76] est construite en 1929 aux frais de la société des aciéries de Longwy[77]. Son orgue, construit en 1938 par le facteur d’orgues Edmond Alexandre Roethinger, a été déplacé de la tribune au transept et modifié par la Manufacture d'orgues Koenig[78],[79].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Émile Baratte (1859-1928), médecin militaire né à Mont-Saint-Martin, général pendant la Première Guerre mondiale.
  • Geneviève de Fontenay (1932-2023), née à Longwy. Une villa avenue de la Gare à Mont-Saint-Martin porte toujours le prénom de Geneviève. Son père travaillait en effet aux Aciéries de Longwy[80].
  • Jacques Peiffer (1947-), né à Mont-Saint-Martin, sculpteur céramiste, philosophe de l'art.
  • Martial Bourquin (1952-), né à Mont-Saint-Martin, homme politique français.
  • Hubert Mingarelli, (1956-2020), né à Mont-Saint-Martin, écrivain et scénariste français.
  • Régine Scelles (1958-2022), psychologue clinicienne et universitaire française, née à Mont-Saint-Martin.
  • Laurent Torregrossa (1964-), né à Mont-Saint-Martin, artiste plasticien franco-canadien.
  • Vincent Vanoli, (1966-), né à Mont-Saint-Martin, auteur de bande dessinée.
  • Judith Jiguet, (1972-), née à Mont-Saint-Martin, haute fonctionnaire.
  • Olivier Mutis, (1978-), né à Mont-Saint-Martin, joueur de tennis français.
  • Illyès Salah, (1987-), né à Mont-Saint-Martin, acteur français.
  • Thibaut Vion, (1993-), né à Mont-Saint-Martin, footballeur français.
  • Steven Da Costa, (1997-), né à Mont-Saint-Martin, karatéka, champion olympique en −67 kg aux jeux de Tokyo 2021.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Mont-Saint-Martin
Blason de Mont-Saint-Martin Blason
Blasonnement : écartelé : au premier d'azur (blason de Longwy) aux deux bars adossés d'or accompagnés de quatre croisettes pommetées au pied fiché d'argent, au deuxième d'argent au mont de trois coupeaux de sinople, celui du milieu sommé d'une église de sable, ouverte et ajourée du champ, accostée de deux étoiles de gueules, au troisième de sinople au haut-fourneau d'or flamboyant de gueules sur une nuée d'argent, posé sur une terrasse du même chargée d'une coulée aussi de gueules et accosté de deux roues d'engrenage aussi d'argent, au quatrième d'or à la bande de gueules chargée de trois alérions d'argent, côtoyée de deux filets ondés d'azur[81].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Pour approfondir : en 1955 une grande enquête sociologique sur l'évolution du travail dans la sidérurgie a été réalisée à Mont-Saint-Martin sous la direction de Jean-Daniel Reynaud et d'Alain Touraine. Sur l'histoire de cette enquête voir : Gwenaële Rot et François Vatin "L'enquête des Gaston ou les sociologues du travail. Jacques Dofny et Bernard Mottez à la tôlerie de Mont Saint-Saint-Martin en 1955", Actes de la recherche en sciences sociales, no 175, vol.5, 2008
  5. Le parc de la commune porte le nom de ce maire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Meurthois, Meurthoises ou Meurthe-et-Mosellans, Meurthe-et-Mosellanes
  2. « Prieuré de bénédictins puis de jésuites Saint-Martin, église paroissiale », notice no IA00060564, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  3. La Chiers
  4. Ruisseau des Chinettes
  5. Ruisseau le Brull
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Mont-Saint-Martin et Villette », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Villette », sur la commune de Villette - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Villette », sur la commune de Villette - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  13. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Unité urbaine 2020 de Longwy (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  17. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  22. Mont-Saint-Martin, sur Géoportail
  23. (en) « Quartier Prioritaire Val Saint Martin - Quartier prioritaire de la politique de la ville de la commune: Mont-Saint-Martin - SIG Politique de la Ville », sur sig.ville.gouv.fr (consulté le ).
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Piedmont », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  25. « Parc municipal Frédéric Brigidi », Culture et patrimoine, sur mairie-montsaintmartin.fr (consulté le ).
  26. Voies routières
  27. Mont-Saint-Martin ...
  28. Le vieux château est aujourd’hui connu pour être un lieu-dit situé entre Longwy-Haut et Longwy-Bas (s’étendant jadis du Belvédère à l’actuelle salle Mousset)
  29. Le hameau de Mont-Saint-Martin
  30. « Haut fourneau, aciérie, fonderie, laminoir dit Hauts fourneaux du Prieuré et du Port Sec, puis Aciéries de Longwy », notice no IA00079829, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  31. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. François Palau et Maguy Palau, Le rail en France : Le Second Empire, t. 2 (1858-1863), Paris, Palau, , 221 p. (ISBN 2-9509421-2-1, présentation en ligne), « 6.2 Longwy Bas-Frontière belge : 12 février 1863 et 6.20 Longuyon-Longwy :3 septembre 1863 », p. 183 et 207
  33. Aciéries (Mont-Saint-Martin) par Jean Scherbeck
  34. John Horne et Alan Kramer, 1914 Les atrocités allemandes, Tallandier, , 640 p. (ISBN 2-84734-235-4), p. 479
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  36. « Église - Côté nord-est », notice no IVR42_199867B1638ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  37. « Portail ouest et rose », notice no IVR42_199867B1638ZE, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  38. « Bas-relief : le Christ et les douze apôtres », notice no PM54000491, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  39. a et b Jean-Marc Dupuy, Gares et tortillards de Lorraine, Turquant, Apart (Editions L'), , 333 p. (ISBN 978-2-36037-001-6, lire en ligne), p. 325
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  41. « Les chemins de fer secondaires de France – 54 : département de Meurthe-et-Moselle », FACS (consulté le ).
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  57. Carte des 257 collectivités labellisées, 2 février 2023 : Palmarès 2023
  58. Un comité de jumelage avec Montecopiolo toujours actif, Républicain lorrain
  59. Établisements d'enseignements
  60. Professionnels et établissements de santé
  61. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  62. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  63. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  64. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de Meurthe-et-Moselle (54) », (consulté le ).
  65. Paroisse Saint Martin de Longwy
  66. Patrimoine religieux de la commune, sur l'Observatoire du patrimoine religieux
  67. « Château d'Industriel dit Château Dreux », notice no IA00060569, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  68. « Prieuré de bénédictins puis de jésuites Saint-Martin, église paroissiale », notice no IA00060564, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  69. L’église Saint-Martin
  70. Église de l'ancien prieuré Saint-Martin, sur l'Observatoire du patrimoine religieux
  71. « Église Saint-Martin de Mont-Saint-Martin », notice no PA00106093, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  72. Église Notre-Dame-de-l'Assomption, sur l'Observatoire du patrimoine religieux
  73. L’église lorraine de Mont-Saint-Martin en cours de démolition (Archive 2014)
  74. Histoire & patrimoine : Église romane de Mont-Saint-Martin
  75. Notre Dame-de-l‘Assomption laisse sa place à une Maison pastorale
  76. Église Saint-Barthélemy, sur l'Observatoire du patrimoine religieux
  77. L’église paroissiale Saint-Barthélémy
  78. Orgue de l'’église Saint-Barthélémy
  79. Invdentaire de l'orgue
  80. La Sainte Genevieve à Longwy - Républicain Lorrain du 29/12/2012. Consulté le 13/12/2013.
  81. [ http://www.heraldry-wiki.com/heraldrywiki/index.php/Mont-Saint-Martin_(Meurthe-et-Moselle) Héraldique Mont-Saint-Martin (Meurthe-et-Moselle)]