Mons (Hérault)
Mons | |||||
![]() Les vallées du Jaur et de l'Orb | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | ||||
Département | Hérault | ||||
Arrondissement | Béziers | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Minervois au Caroux | ||||
Maire Mandat |
Arielle Escuret 2020-2026 |
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Code postal | 34390 | ||||
Code commune | 34160 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Trivallois | ||||
Population municipale |
605 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 27 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 34′ 20″ nord, 2° 57′ 22″ est | ||||
Altitude | Min. 117 m Max. 1 054 m |
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Superficie | 22,32 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Pons-de-Thomières | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Mons ou Mons-la-Trivalle est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie. La commune se situe dans le canton de Saint-Pons-de-Thomières.
Géographie[modifier | modifier le code]
Mons se situe au confluent de la vallée de l'Orb et de celle du Jaur, au sud du massif de l'Espinouse.
Mons est une commune française comptant 567 habitants. Possédant un patrimoine riche en faune et en flore, situé au cœur du parc naturel régional du Haut-Languedoc, au pied du Caroux et à l'entrée des gorges d'Héric. De nombreuses randonnées permettent de découvrir les beaux points de vue ; depuis la table d'orientation du Caroux on aperçoit la Mer Méditerranée, les Pyrénées...
Ses tuiles qui indiquent le midi Languedocien et ses maisons du sud offrent au soleil d'un jaune canari leur rare beauté.
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
Héraldique[modifier | modifier le code]
Les armes de Mons-la-Trivalle se blasonnent ainsi : d'azur, à une tour posée sur un mont entre deux montagnes et surmontée d'un croissant, le tout d'argent.[1].
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Toponymie[modifier | modifier le code]
Mons s'écrit en occitan Mònts
Ses habitants sont appelés les Trivallois.
Lieux-dits et écarts (masatges en occitan)[modifier | modifier le code]
- Airette (l')
- Bardou
- Coste (la)
- Courbou
- Fénouilhèdes
- Mons
- Ornac
- Pioch (le)
- Pradals (les)
- Pont d'Héric
- Tarassac
- Toulé
- Trivalle (la)
- Verdié (le)
- Voulte (la)
Histoire[modifier | modifier le code]
Le , la commune, ainsi que celle de Saint-Julien, cède une partie de son territoire communal pour la création de la commune de Cambon-et-Salvergues[2], à savoir les sections de Salvergues, la Gorge, la Calmette, le Crouzet.
Le hameau Bardou au nord du village, presque abandonné et partiellement en ruines dans les années 1960, a été reconstruit depuis.
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[3]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[4].
En 2018, la commune comptait 605 habitants[Note 1], en augmentation de 4,31 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
La baisse importante de population entre le recensement de 1866 et celui de 1872 est due à la cession, en 1869, d'une partie du territoire communal pour la création de la commune de Cambon-et-Salvergues.
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Robert Guiraud et André Théron, « Les gravures rupestres schématiques de Mons-La-Trivalle », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 3, , p. 11-13
- Raymond Nauzières, « De Mons-la-Trivalle à Héric par les gorges », Bulletin de la Société languedocienne de géographie, t. XXXI, , p. 158-170
Fonds d'archives[modifier | modifier le code]
- Fonds : Archives communales déposées de Mons-la-Trivalle (1439-1912) [0,96 ml]. Cote : 160 EDT. Montpellier : Archives départementales de l'Hérault. (présentation en ligne)
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références[modifier | modifier le code]
- Didier Catarina et Jean-Paul Fernon, Armorial des communes de l'Hérault, Artistes en Languedoc, (ISSN 1264-5354), p 30.
- B.L., 1869, XXXIII, 238
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.