Mondelez International

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Mondelez International
logo de Mondelez International
illustration de Mondelez International
Le siège du groupe, à Chicago (États-Unis).

Création 1923
Fondateurs Thomas H. McInnerney
Forme juridique Société par actions simplifiée (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Action NASDAQ: MDLZ
Slogan Snacking Made Right
Siège social Chicago, Illinois
Drapeau des États-Unis États-Unis
Direction Dirk Van de Put depuis 2018
Actionnaires The Vanguard Group (5,49 %) ()
The Capital Group Companies (3,3 %) ()
Lindsell Train (en) (2,24 %) ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Activité Agroalimentaire
Produits Confiseries, Biscuits
Filiales LU, Nabisco (Oreo), Cadbury France, Vegemite, Biscuiterie Belin, Milka, Toblerone, Tang, Côte d'Or, Grany, Heudebert, Cadbury, Halls, La Vosgienne, Hollywood Chewing Gum
Effectif 80 000 environ fin 2018
Site web Site officiel

Capitalisation 91 milliards de dollars (2022)
Chiffre d'affaires 36 016 000 de dollars (2023)
Résultat net 4,959 milliards de dollars (2023)
+14,40 % sur 2022
Société précédente Kraft Foods Inc. (en)Voir et modifier les données sur Wikidata

Mondelez International, Inc. ou Mondelēz International est une multinationale américaine, particulièrement présente dans les secteurs du biscuit et du chocolat dont le siège est à Chicago (Illinois).

Elle contrôle des marques comme Cadbury, Oreo, LU, Toblerone, Côte d'Or, Milka ou encore Pépito ou Tang.

Elle est longtemps la filiale alimentaire du consortium Altria, anciennement Philip Morris Industries, sous le nom Kraft Foods, jusqu’au , date à laquelle le consortium s'en sépare. Elle prend son nom actuel en 2012, après la scission de ses activités nord-américaines, regroupées au sein d'une entreprise distincte, Kraft Foods Group.

L'entreprise est dirigée depuis 2018 par Dirk Van de Put[1].

Le groupe Mondelez annonce fin janvier 2024 une croissance de 14,4 % de ses ventes sur 2023, lui permettant de dégager un bénéfice net de 4,959 milliards de dollars (4,6 milliards d’euros)[2].

Histoire[modifier | modifier le code]

Origines américaines : National Dairy et Kraft Cheese Company[modifier | modifier le code]

L'origine de Kraft Foods est National Dairy Products Corporation (produits laitiers), entreprise spécialisée dans les glaces fondée le par Thomas McInnerney[3],[4] par fusion de la société qu'il a créée, Hydrox Corporation, avec Rieck McJunkin Dairy Co. National Dairy se développe rapidement en rachetant de nombreuses entreprises du même secteur d'activité aux États-Unis.

À partir de 1928, la compagnie, rebaptisée Kraft Cheese Company puis Kraft Phenix, se développe vite en rachetant des sociétés concurrentes et en ouvrant des points de vente en Europe.

En 1930, National Dairy achète Kraft Phenix[5]. L'ensemble continuera à s'appeler National Dairy jusqu'en 1969, où la société prend le nom de KraftCo, puis Kraft en 1976.

En 1980, Kraft fusionne avec Dart Industries, propriétaire entre autres de Duracell et de Tupperware[6]. Le groupe, nommé alors Dart & Kraft, reprit le nom de Kraft en 1987, lorsqu'il se sépara de toutes ses activités non alimentaires en raison de résultats décevants.

Les fusions au sein de Philip Morris[modifier | modifier le code]

Fin 1988, Philip Morris Companies prend la direction de Kraft[7] et l'incorpore en 1989 dans sa filiale alimentaire General Foods, qui possède les marques Maxwell House, Kenco, Tang, Oscar Mayer, Jell-O ainsi que les confiseries françaises Hollywood, Malabar et Kréma. Ce rapprochement donne naissance à Kraft General Foods.

En 1990, Philip Morris se porte acquéreur du groupe Jacobs Suchard, connu pour ses marques de café et chocolats Toblerone, Jacobs, Carte Noire, Grand'Mère, Jacques Vabre, Suchard, Milka, Côte d'Or et Sugus.

En 1993, c'est au tour du chocolatier suédois Freia-Marabou et des céréales Shredded wheat de rejoindre Kraft General Foods. La même année, l'ensemble des activités européennes du groupe, Kraft General Foods Europe et Jacobs Suchard, sont regroupées en une seule unité, Kraft Jacobs Suchard[8].

Après avoir acheté les Cachous Lajaunie en 1997[9], Kraft General Foods est fusionné en 2000 avec Nabisco, connu notamment pour ses biscuits Oreo, et est rebaptisé Kraft Foods. Les marques de bonbons et chewing-gums héritées de la fusion avec General Foods, ainsi que Cachou Lajaunie sont vendues à Cadbury[10].

Kraft Foods se sépare de plusieurs marques Nabisco après sa fusion. Elle vend Gareautrain Co. à Wrigley, certains de ses articles d’épicerie au Canada, en particulier Del Monte et Aylmer, à ConAgra ; et ses entreprises de confiseries et d’alimentations pour animaux de compagnie commercialisées sous la marque Milk Bone à la marque Del Monte Foods.

Kraft achète plusieurs marques parallèles à son portefeuille, à l’instar de Boca Burger Co., Fruit2o et les boissons Veryfine.

Entre 2002 et 2004, Kraft Foods a supprimé 6 000 emplois et fermé 20 usines dans le monde[11]. Puis, en 2006, alors que le chiffre d'affaires a bondi à 34,35 milliards de dollars, le groupe annonce la fermeture de 20 nouvelles usines et la suppression de 8 000 emplois[12].

Acquisition de LU[modifier | modifier le code]

Philip Morris se renomme Altria en 2003, et se sépare de Kraft Foods en 2007. Pour cela, elle a vendu ses actions Kraft Foods Altria aux actionnaires, chacun pouvant échanger 1 action Altria contre 0,7 part de Kraft.

L’investisseur Nelson Peltz achète une participation de 3 % de Kraft Foods pour 1,8 milliard USD en actions et s’entretient avec les dirigeants sur la revitalisation de l’entreprise[13], avec des options telles que l’achat de la chaîne de restauration rapide Wendy’s ou la vente des céréales Post Cereals et du café Maxwell House[13].

Le , Kraft Foods accepte de vendre sa branche céréales Post Cereal à Ralcorp Holdings, l’une des principales entreprises de produits alimentaires privés, pour 2,8 milliards USD, via une transaction fiscalement avantageuse. Cela permettra à Ralcorp d’accroître de 50 % son chiffre d’affaires à 3,3 milliards USD. Cette transaction sera utilisée pour le paiement de la dette de Kraft, qui est de 13,4 milliards USD, et en danger de récession des indices S&P 100 et S&P 500 par le cabinet financier Standard and Poor’s[14].

Le , la société, après négociations exclusives, prend la direction de LU, la branche biscuit du Groupe Danone, pour 7,2 milliards USD (5,3 milliards d’euros)[15],[16], après un accord de principe signé le [13]. Alors que deux ans auparavant, un orage de protestations avait surgi au sujet des plans d’achat par l’américain PepsiCo, via une OPA hostile, du groupe français, l’annonce conjointe de Kraft et de Danone ne rencontre pas les mêmes réactions. Mais pour pallier une éventuelle volte-face des usines, la société promet aux salariés LU France de ne pas fermer d’usines françaises et de garder l’équipe dirigeante actuelle de l’ex-branche biscuits de Danone située près de Paris pendant au moins trois ans[13]. Kraft est beaucoup plus puissant aux États-Unis que sur les marchés étrangers[13]. Grâce à cette acquisition, 14 000 salariés et 32 usines de production rejoignent le groupe à travers le monde.

En , malgré un chiffre d'affaires de 47,63 milliards de dollars, Kraft Foods continue avec la suppression de huit autres usines et de 4 700 emplois[réf. nécessaire].

Acquisition de Cadbury[modifier | modifier le code]

Début 2010, Kraft Foods acquiert la société Cadbury pour 13 milliards d'euros[17], et redevient ainsi propriétaire des marques de confiserie qu'il avait cédées en 2000, ainsi que de Carambar, La Pie qui Chante, Stimorol, les Pastilles Vichy, les bonbons Halls ou encore le chocolat Poulain.

En France, Kraft Foods relance Les Délices Days en 2010.

En 2011, Kraft Foods transfère le centre de recherche et développement sur les biscuits, resté à Palaiseau chez Danone, dans de nouveaux locaux à Saclay, dans le centre technologique Paris-Saclay[18].

Le , Kraft Foods change de nom pour celui de Mondelez International, tandis que les activités épicerie nord-américaines se scindent pour devenir Kraft Foods Group[19]. Le nom « Mondelez », choisi à la suite d'un appel à idées auprès du personnel, est dérivé des mots « mundus » (« monde » en latin) et « delez » (une approximation pour le mot anglais « delicious », « délice »).

En , Douwe Egberts fusionne avec les activités caféières de Mondelez. Mondelez acquiert 49 % de la nouvelle entité pour 5 milliards de dollars. La nouvelle entité, dirigée par les cadres dirigeants de Douwe Egberts, prendra pour nom Jacobs Douwe Egberts. En parallèle, Mondelēz annonce un plan nouveau de restructuration de 3,5 milliards de dollars[20].

En mars 2016, une grande partie des marques françaises de confiserie et de chocolat (Carambar, Kréma, La Pie qui Chante, Vichy, Poulain et Suchard) sont cédées au fonds français Eurazeo pour 250 millions d'euros[21]. La transaction inclut les marques espagnole Dulciora et anglaise Terry’s, les cinq usines françaises qui les produisent, mais pas les cachous Lajaunie ni Hollywood Chewing Gum, dont la production est expatriée, ni l'usine espagnole qui ferme ses portes[22].

En juin 2016, Hershey's annonce rejeter une offre d'acquisition de la part de Mondelez International d'environ 23 milliards de dollars[23]. Mondelez renonce à l'opération en [24].

En , Mondelez International vend une grande partie de ses activités en Australie et en Nouvelle-Zélande, y compris la marque Vegemite, à Bega Cheese pour 345 millions de dollars[25].

En janvier 2021, Mondelez annonce l'acquisition de la participation qu'il ne détenait pas dans Hu Master Holdings, pour 250 millions de dollars[26]. En mars 2021, Mondelez annonce l'acquisition d'une participation majoritaire dans Grenade, une entreprise de barre céréalière, pour 200 millions de livres[27]. Une grève se déclenche dans l'entreprise en octobre 2021[28].

En juin 2022, Mondelez annonce l'acquisition de Clif Bar pour 2,9 milliards de dollars[29].

En décembre 2022, Mondelez International cède ses activités chewing-gum aux États-Unis, au Canada et en Europe au groupe Perfetti Van Melle pour 1,4 Md€$ (1,3 Md€). Le groupe italo-néerlandais reprend ainsi les marques Trident (en), Stimorol et Hollywood, ainsi que les Cachou Lajaunie, et les bonbons La Vosgienne. L’accord comprend aussi la reprise des sites de production de Rockford, aux Etats-Unis et de Skarbimierz, en Pologne[30].

Actionnaires[modifier | modifier le code]

Liste des principaux actionnaires au [31] :

Actionnaire %
The Vanguard Group 7,73 %
SSgA Funds Management 4,59 %
Capital Research & Management 3,41 %
Wellington Management 2,91 %
Capital Research & Management (World Investors) 2,63 %
BlackRock Fund Advisors 2,12 %
Lindsell Train 1,89 %
Viking Global Investors (en) 1,72 %
Geode Capital Management 1,67 %
T. Rowe Price Associates 1,65 %

Identité[modifier | modifier le code]

Identité visuelle[modifier | modifier le code]

Activités[modifier | modifier le code]

Les activités de Mondelez se répartissent en 2012 entre Europe (39 % du chiffre d'affaires), Amérique du Nord (20 %), Asie-Pacifique et Amérique latine (15 % chaque) et la région Europe de l'Est, Moyen-Orient, Afrique (11 %).

Marques du groupe[modifier | modifier le code]

La société Mondelez International détient plusieurs dizaines de familles de marques d'envergure internationale et/ou leaders sur leurs marchés respectifs[34], dont huit génèrent plus d'un milliard de dollars de chiffre d'affaires annuel : Cadbury et Cadbury Dairy Milk, Milka (chocolats), LU, Nabisco et Oreo (biscuits), Tang (boissons en poudre).

52 autres familles dépassent quant à elles les 100 millions annuels, parmi lesquelles Côte d’Or, Toblerone, Chiclets (en), Hollywood, Halls, Stimorol et le Philadelphia cream cheese[réf. nécessaire].

Biscuits Boissons Chocolat Confiserie Fromage & épicerie
Barni Bournvita (en) Alpen Gold Bubbaloo (en)
Philadelphia
Belin
Clight Cadbury
Cadbury Eclairs (en) Royal
Belvita Tang
Cadbury Creme Egg Dentyne Sottilette
Chips Ahoy! (en)
Cadbury Dairy Milk Dirol
Club Social Cadbury Roses Halls
Enjoy Life Foods Côte d’Or
Hollywood
Honey Maid Freia Sour Patch Kids (en)
LU
Lacta Stimorol
LU Petit beurre Marabou Stride
Mikado Milka
Trident (en)
Nabisco
Daim La Vosgienne
Newtons Clorets (en)
Nilla (en)
Nutter Butter (en)
Oreo
Toblerone
Premium (en) Chocolat noir Pavlidis
Prince
Ritz (en)
Tiger
Trakinas (en)
Triscuit (en)
Tuc

Chiffres d'affaires[modifier | modifier le code]

En millions USD[35]
Années 2016 2017 2018 2019
Chiffre d'affaires 25 923 25 896 25 938 25 816
Résultat net 1 659 2 922 3 381 3 831

Mises en cause et controverses[modifier | modifier le code]

Implication de Mondelez dans le travail des enfants en Côte d'Ivoire[modifier | modifier le code]

Kraft, comme Nestlé et d'autres entreprises importatrices de cacao, utilise du cacao produit par le travail d'enfants en Côte d'Ivoire[36].

Conflit entre une couturière française et Mondelez concernant l'utilisation du nom de domaine milka.fr[modifier | modifier le code]

L'affaire « Milka » avait été médiatisée et avait soulevé une certaine indignation au sein de la communauté Geek[37].

Refus de Mondelez d'utiliser le Nutri-score[modifier | modifier le code]

Mondelez refuse d'utiliser le logo nutritionnel Nutri-score (Le Monde, « sciences et médecine », 21 février 2015).

Contribution de Mondelez à la déforestation en Indonésie[modifier | modifier le code]

Les biscuits Oreo sont décriés par Greenpeace le 13 novembre 2018 pour l'utilisation de l'huile de palme issue de la déforestation, de l'utilisation des tourbières et de l'exploitation sociale[38]. Mondelez continue d'acheter son huile de palme à Wilmar, entre autres pour la confection de ces biscuits. Wilmar est incapable de certifier une huile de palme non liée à la déforestation en Indonésie. Pour la période 2017-2018, on[Qui ?] estime à 25 000 hectares la quantité de forêts vierges, habitat des orangs-outans, qui ont été remplacées par la culture unique d'huile de palme par les principaux fournisseurs de Mondelez. 110 millions de biscuits Oreo sont produits chaque jour dans le monde.

Proximité de Mondelez avec la Russie lors du conflit avec l'Ukraine[modifier | modifier le code]

Après l'invasion de l'Ukraine par la Russie le 24 février 2022, Mondelez maintient ses principales activités en Russie[39]. Dès le début, cette situation est dénoncée par un collectif de chercheurs de l'Université de Yale[40], la coalition d'organisations de la société civile B4Ukraine[41][source secondaire souhaitée], et les autorités ukrainiennes[42]. Rapidement cette situation provoque également la colère d'employés du Groupe, en particulier en Ukraine, en Pologne et en Europe de l'Est[43]. Cette situation entraine l'inscription de Mondelez comme sponsor de la guerre en Ukraine auprès de l'agence ukrainienne de prévention de la corruption le 25 mai 2023. S'ajoute à cela l'appel au boycott des marques du groupe en Suède et en Norvège[44].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]


Références[modifier | modifier le code]

  1. « Dirk Van de Put named CEO of Mondelēz as long-time CEO Irene Rosenfeld retires », sur cnbc.com, .
  2. « La fermeture de cette usine Pépito provoque un tollé des syndicats », sur Le HuffPost, (consulté le )
  3. (en) Personnel de rédaction, « Thomas H. McInnerney », President & Fellows of Harvard College, (consulté le ).
  4. Article du Wall Street Journal, 13 décembre 1923.
  5. [1].
  6. « Dart & Kraft is Splitting Up ».
  7. Philip Morris Krafts A Food Colossus, Chicago Tribune, 23 avril 1989.
  8. L'américain Philip Morris fusionne Kraft et Jacobs Suchard, Les Échos, 09 septembre 1993.
  9. Cachou Lajaunie, sur LSA Conso
  10. Malabar, sur Journal Du Net.
  11. http://www.fgtafo.fr/ressources/acteurs_kraft.pdf
  12. « Kraft Foods, suppression de 8.000 emplois », sur agroalimentaire.fr (consulté le ).
  13. a b c d et e (en) « No ketchup, please », The Economist, (consulté le ).
  14. (en) Kraft to Shed Post Cereals Unit, Associated Press, 15 novembre 2007.
  15. Challenges.fr, « LU cédé à Kraft Foods pour 5,3 milliards », Challenges,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  16. (en) « Europe / Mondelēz International, Inc. », sur Mondelēz International, Inc. (consulté le ).
  17. Cadbury racheté par Kraft, des pertes d'emploi à craindre, article du Parisien du 19/01/2010
  18. « Kraft Foods ouvrira son centre de R&D biscuits à Saclay en 2011 », sur lesechos.fr, (consulté le ).
  19. (en) Kraft Foods Group, Inc., « Spin-Off Information », sur kraftfoodsgroup.com, .
  20. Mondelez, D.E. Master Blenders to form coffee giant, Reuters, 7 mai 2014.
  21. Carambar repasse sous pavillon français, lemonde.fr, 31 mars 2016.
  22. Carambar prend un nouveau départ, lemonde.fr, 29 avril 2017.
  23. Hershey rejects $23 billion Mondelez takeover offer, Lauren Hirsch, Reuters, 30 juin 2016
  24. Le groupe américain Mondelez renonce à racheter le chocolatier Hershey, Stéphane Lauer, Le Monde, 30 août 2016.
  25. Vegemite comes home to Australia under Bega-Mondelez deal, Jamie Freed, Reuters, 18 janvier 2017.
  26. (en) « Mondelez to buy rest of chocolate-bar maker Hu - WSJ », sur Reuters, .
  27. (en) « Mondelez to buy majority stake in UK snack bar firm Grenade in health push », sur Reuters, .
  28. « Aux États-Unis, les grèves se multiplient sur fond de pénuries », sur LEFIGARO, (consulté le ).
  29. (en) « Mondelez to buy energy bar maker Clif Bar for about $3 billion » Accès libre, sur Reuters, .
  30. « Mondelez vend Hollywood à Chupa Chups », sur RIA - L'actualité de l'industrie agroalimentaire, (consulté le ).
  31. « Mondelez International, Inc. : Actionnaires Dirigeants et Profil Société », sur www.zonebourse.com (consulté le ).
  32. (en) « Kraft Foods, Smiling at You », « Kraft Foods Vous Sourit », sur Brandnew, .
  33. (en) « Kraft Foods, Rearranging the Puzzle », « Kraft Foods réarrange son logo », sur Brandnew, .
  34. Brand families sur le site de la compagnie
  35. Zone Bourse, « fondamentaux », sur www.zonebourse.com (consulté le ).
  36. Le goût amer du chocolat, reportage d'Envoyé spécial diffusé en avril 2011 sur France 2, à 23′38.
  37. « Milka.fr, la justice tranche pour le chocolat ».
  38. Simon Chodorge, « Huile de palme et déforestation, les Oreo du groupe Mondelez épinglés par Greenpeace », sur usinenouvelle.com, (consulté le ).
  39. (en) Jeffrey Sonnenfeld and Yale Research Team: Wiktor Babinski, Ricardo Barcelo, Yash Bhansali, Forrest Michael Bomann, Michal Boron, Katie Burke, Adriana Coleska, Samuel Choi, Drew D’Alelio, Kevin Grold, Hunter Harmon, Georgia Hirsty, Daniel Jensen, Mateusz Kasprowicz, Cate Littlefield, Maksimas Milta, Rémi Moët-Buonaparte, Christophe Navarre, Marina Negroponte, Camillo Padulli, Jeremy Perkins, Magdalena Rego, Nick Shcherban, Franek Sokolowski, Steven Tian, Ryan Vakil, Michal Wyrebkowski, Israel Yolou, and Steven Zaslavsky., « Yale CELI List of Companies Leaving and Staying in Russia », sur Université de Yale, (consulté le ).
  40. Bethany Biron, « Here are the major companies that have not pulled out of Russia following its invasion of Ukraine », sur Insider, (consulté le ).
  41. (en) B4Ukraine, « B4Ukraine Declaration », sur B4Ukraine (consulté le ).
  42. Anthony Myers, « Nestlé, Mondelēz on the defensive as pressure grows to pull out of Russia », sur confectionerynews, (consulté le )
  43. Jessica DiNapoli et Richa Naidu, « Oreo-maker, Nestle, Pepsi face pressure from European employees over Russia », sur Reuters, (consulté le ).
  44. Anne-Françoise Hivert, « Guerre en Ukraine : Suédois et Norvégiens boycottent les confiseries du groupe Mondelez » Accès payant, Le Monde, (consulté le )

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]