Monchaux-Soreng

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Monchaux-Soreng
Monchaux-Soreng
L'église Saint-Martin de Soreng.
Blason de Monchaux-Soreng
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle
Maire
Mandat
Jean-Claude Quénot
2020-2026
Code postal 76340
Code commune 76441
Démographie
Gentilé Monchaliens, Monchaliennes
Population
municipale
616 hab. (2021 en diminution de 5,23 % par rapport à 2015)
Densité 61 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 56′ 57″ nord, 1° 35′ 38″ est
Altitude Min. 27 m
Max. 201 m
Superficie 10,05 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Blangy-sur-Bresle
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Eu
Législatives 6e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Monchaux-Soreng est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Monchaux-Soreng est une commune rurale normande de la vallée de la Bresle située à 25 km au sud-ouest d'Abbeville, 50 km ) l'ouest d'Amiens, 23 km au nord-ouest d'Aumale, 27 km au nord-est de Neufchâtel-en-Bray, 37 km à l'est de Dieppe et 20 km au sud-est du Tréport et du littoral de la Manche.

La commune est à une altitude moyenne de 50 m.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Bouttencourt, Bazinval, Blangy-sur-Bresle, Dancourt, Guerville, Longroy, Gamaches et Rieux.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Ancienne usine le long de la rivière, sans doute un ancine moulin.

La commune est limitée au nord-est par le lit du fleuve côtier la Bresle, ainsi que par ses zones humides et étangs, fréquentés par les pêcheurs[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays de Bray, bien arrosé et frais[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 824 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Oisemont à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 801,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Une partie de la Forêt d'Eu occupe la partie sud du territoire communal.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Monchaux-Soreng est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Blangy-sur-Bresle, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 8 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,9 %), terres arables (35,6 %), prairies (15,9 %), zones urbanisées (5,6 %), eaux continentales[Note 3] (1,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

La commune compte deux hameux, Soreng et l'Épinoy, qui ont été d'anciennes communes.

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 297, alors qu'il était de 293 en 2015 et de 276 en 2010[I 1].

Parmi ces logements, 89,9 % étaient des résidences principales, 4 % des résidences secondaires et 6,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,3 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Monchaux-Soreng en 2020 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4 %) inférieure à celle du département (4,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (79,5 % en 2015), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Monchaux-Soreng en 2020.
Typologie Monchaux-Soreng[I 1] Seine-Maritime[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 89,9 87,9 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4 4,1 9,7
Logements vacants (en %) 6,1 8,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune, aisément accessible depuis l'autoroute A28, est desservie par la RD 49, qui suit la rive gauche de la Bresle.

La ligne d'Épinay - Villetaneuse au Tréport - Mers traverse la commune, mais la station de chemin de fer la plus proche est la gare de Blangy-sur-Bresle, desservie par des trains TER Hauts-de-France, qui effectuent des missions entre les gares de Beauvais, ou d'Abancourt, et du Tréport - Mers.

Un chemin de randonnée passe à Monchaux-Soreng.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les localités de l’Epinay et de Soreng ont été réunies sous le nom de Soreng l’Epinoy en 1790. Monchaux a été réunie à Soreng-l'Épinay sous le nom de Monchaux-Soreng par une ordonnance royale du [15].

Monchaux est attesté sous les formes Monticellos en 712[16] ; de Moncellis au début du XIIe siècle ; de Monchiaux en 1225 (Archives départementales de la Seine-Maritime, M. 6 H.) ; Ecclesia de Monceaus vers 1240 ; Parrochia Sancti Nicholai de Monchiaux en 1348 ; Monceaux en 1371 ; Mouchiax en 1389 et 1392 ; de Monchaulx en 1419 ; de Monceaulx en 1420 (Archives Nationale, P. 284-2-303-514.) ; Eglise de Moncel en 1429 (Archives départementales de la Seine-Maritime, 30-31.) ; Mouchaux en 1433 (Archives départementales de la Seine-Maritime, G 3268.) ; Les hospitaliers de Monceaux en 1451 (Archives départementales de la Seine-Maritime, G. 8226-8254) ; Ecclesia Sancti Nicolai de Moncheaux en 1480 (Archives départementales de la Seine-Maritime, G 9471.) ; Chapelle Saint Fiacre de Mouchaulx en 1484 (Archives départementales de la Seine-Maritime, B Echiquier.) ; Mouceaux en 1494 et 1495 (Archives départementales de la Seine-Maritime, G 81.) et Monchiaux en 1494 (Archives de Seine-Maritime G. 1535.) ; Fief de Monchaulx en 1503 ; Ville de Monchaux en 1520 (Archives de Seine-Maritime E Comté d'Eu Inventaire 61.) ; Hostel Dieu de Monchaux en 1567; Bourg de Monchaulx en 1568 (Archives départementales de la Seine-Maritime, E Tab. Blangy.) ; Monceaux en 1595 (Archives départementales de la Seine-Maritime, Tab. Rouen.) ; de Mouchellis au XVIe siècle (Archives départementales de la Seine-Maritime, G 4.) ; Monchaux en 1660 ; Ecclesie Sancti Arnaldi de Mouchault en 1668 (Archives départementales de la Seine-Maritime, G 1546.) ; Saint Nicolas de Monchaux et Chapelle ou hopital de Monchaux en 1716 (Archives départementales de la Seine-Maritime, G. 740.) ; Monchaux en 1715 (Frémont) et en 1757 (Cassini); Garderie de Montchaux en 1768[17].

Soreng est attesté sous les formes Ecclesia de Sorenc en 1177; Feodum de Soren vers 1210 ; Miles de Sorenc en 1221[18]; Sorenc en 1337 et en 1431 (Longnon) ; Soreng entre 1433 et 1460[19] ; Sorenc au XVIe siècle[20], entre 1648 et 1704 (Pouillé) ; Sorang en 1680 et 1682[21] ; Soran en 1683[22] ; Ecclesie Sancti Martini de Sorent en 1701[23] ; Soreng 1715 (Frémont) et en 1757 (carte de Cassini)[24].

Les habitants de Monchaux-Soreng sont appelés les Monchaliens, Monchaliennes.

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Le château de Monchaux, qui aurait été construit à la fin du XIVe siècle, « était composé d’un gros donjon. Une porte de grès avec pont-levis, puis une allée de cinq à six perches, couverte d’un bon parapet, puis, une deuxième porte, aussi de grès, avec un pont dormant, y donnaient entrée. À ce donjon était annexée une grande basse-cour, close de murailles et de fossés, ayant de belles écuries qui furent vendues en 1848[25]  ».

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Bourg dépendant du comté d'Eu en 1660[26], autrefois fermé de murailles[17].

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

Les anciennes paroisses de l’Epinoy et de Soreng sont réunies en 1790 par la Révolution française pour former la commune de Soreng l’Epinoy. La Révolution crée également la commune de Monchaux[27]

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Monchaux est réunie à Soreng-l'Épinay sous le nom de Monchaux-Soreng par une ordonnance royale du [27].

La Ligne d'Épinay - Villetaneuse au Tréport - Mers est mise en service en 1873, et sa section desservant la commune est tout d'abord exploitée par la compagnie du chemin de fer du Tréport avant d'être reprise par la compagnie des chemins de fer du Nord en 1881. Une gare a existé à Monchaux, facilitant les déplacements des habitants et les transports des marchandises, à une époque où le chemin de fer était le seul à le permettre commodément..

Horaires de la ligne en hiver 1890.

Le , un Avr 626 Tutor s'y écrase, coûtant la vie aux deux aviateurs égyptiens.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime.

Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Blangy-sur-Bresle[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Eu

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de la Seine-Maritime.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Monchaux-Soreng était membre de la communauté de communes de Blangy-sur-Bresle, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1935   Joseph Bailly[27]    
         
avant 1988[28]   Gérard Vallée    
         
2002 En cours
(au 13 décembre 2023)
Jean-Claude Quénot[29] SE puis DVD Vice-président de la CC interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle (2017 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[30],[31],[32]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une salle des fêtes, rénovée en 2023[33].

Enseignement[modifier | modifier le code]

Au niveau de l'enseignement primaire, les communes de Rieux, Bazinval et Monchaux-Soreng sont associées au sein d'un regroupement pédagogique pour l'accueil de leurs élèves[34].

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

En 2021, la commune comptait 616 habitants[Note 4], en diminution de 5,23 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
380343358308555555570532539
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
525505492475458407385341354
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
355377380354410427459464459
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
475438481576644668649653644
2015 2020 2021 - - - - - -
650622616------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Pour commémorer le Débarquement de Normandie, un campement militaire américain a été organisé sur le pré communal du 6 au , réunissant une quinzaine de véhicules militaires, deux ambulances et des Jeep, GMC, char et des passionnés en uniformes d'époque[38].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Éolienne entre pommiers en péril.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église de Monchaux-Soreng.
  • Église Saint-Martin dont la flèche du clocher est ornée d'une croix losangique.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Monchaux-Soreng Blason
D'argent fretté de gueules, au franc quartier d'azur chargé d'une fleur de lis d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2020 à Monchaux-Soreng » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Monchaux-Soreng - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Monchaux-Soreng - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la Seine-Maritime » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Blandine Bény-Thoreux, « Les pêcheurs de Monchaux-Soreng établissent leur calendrier 2022 : À moins de deux mois de l'ouverture de la pêche en rivière fixée au 26 mars 2022, les adhérents de l'AAPPMA de Monchaux-Soreng ont établi leur calendrier annuel », L’Éclaireur du Vimeu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  5. « Orthodromie entre Monchaux-Soreng et Oisemont », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Oisemont_sapc » (commune d'Oisemont) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Oisemont_sapc » (commune d'Oisemont) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Blangy-sur-Bresle », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 111
  17. a et b Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, p. 656.
  18. Archives Nat. S 5201 A.
  19. Archives de Seine-Maritime G 3268, 3269.
  20. Archives de Seine-Maritime G 4.
  21. Archives de Seine-Maritime, G 1536.
  22. Archives de Seine-Maritime, G Arch.
  23. Archives de Seine-Maritime, G 1552.
  24. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, p. 959.
  25. Nicolas René Potin de La Mairie, Supplément aux recherches historiques sur la ville de Gournay-en-Bray, Gournay et Paris, Dumoulin, , 334 p. (cité dans l'article Anniversaire : la commune de Monchaux-Soreng a été créée il y a 200 ans de l’Éclaireur du Vimeu du 11 décembre 2023).
  26. Archives de Seine-Maritime E Comté d'Eu Inventaire 61.
  27. a b et c Blandine Bény-Thoreux, « Anniversaire : la commune de Monchaux-Soreng a été créée il y a 200 ans : Réunion des communes de Soreng L'Épinoy et de Monchaux, le village de Monchaux-Soreng a été créé il y a 200 ans. C'était un 12 décembre, en 1823 », L’Éclaireur du Vimeu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de le République », Journal officiel de la République française,‎ , p. 4799.
  29. Xavier Togni, « Marie-Pierre Tailleux et Jean-Claude Quenot, candidats de la majorité sortante dans le canton d’Eu : La maire de Sept-Meules et celui de Monchaux-Soreng sont soutenus par la majorité sortante à l’élection départementale, dans le canton d’Eu. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « M. Quenot, lui, est maire depuis 2002 et vice-président de la communauté de communes Aumale-Blangy-sur-Bresle. Il s’était déjà présenté à l’élection cantonale en 2011 ».
  30. Réélu pour le mandat 2014-2020 : Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 2 avril 2014, p. 19..
  31. « Monchaux-Soreng : le maire sortant candidat à sa propre succession : Jean-Claude Quénot a confirmé lors de ses vœux le 24 janvier 2020 qu’il sera candidat en mars prochain pour un 4e mandat. « C’est le moment de ne rien lâcher» explique-t-il », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. Blandine Thoreux, « Jean-Claude Quenot reste maire en Seine-Maritime : Mercredi 27 mai 2020 à Monchaux-Soreng, Jean-Claude Quénot a été réélu maire. Une fonction qu'il occupe depuis 2001 », L'Éclaireur du Vimeu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. « Après 3 mois de chantier à Monchaux-Soreng, les travaux de la salle des fêtes touchent à leur fin : Après bientôt trois mois de chantier, les travaux de mise aux normes et modernisation des sanitaires de la salle des fêtes doivent se terminer d'ici fin mai 2021 à Monchaux-Soreng. », L’Éclaireur du Vimeu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. « Plusieurs chantiers sur le site du château|Picardie maritime », Courrier picard,‎ , p. 12
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. « 8 mai 1945 : retour en images sur le camp militaire installé à Monchaux-Soreng : Du 6 au 8 mai, Bruno et Alexis, passionnés de véhicules militaires, ont proposé une animation inédite à Monchaux-Soreng : La reconstitution d'un camp militaire américain », L’Éclaireur du Vimeu,‎ (lire en ligne, consulté le ).