Michel Pélieu

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voir Pélieu.

Michel Pélieu
Illustration.
Michel Pélieu en 2011.
Fonctions
Président du Conseil général puis départemental des Hautes-Pyrénées
En fonction depuis le
(13 ans et 12 jours)
Élection 1er avril 2011
Réélection 2 avril 2015
Prédécesseur Josette Durrieu
1er Adjoint au Maire de Loudenvielle
En fonction depuis
(13 ans)
Réélection 23 mars 2014
15 mars 2020
Maire Noël Lacaze
Conseiller général puis départemental
des Hautes-Pyrénées
En fonction depuis
(39 ans)
Élection mars 1985
Réélection 20 mars 2011
22 mars 2015
20 juin 2021
Circonscription Canton de Bordères-Louron (1985-2015)
Canton de Neste, Aure et Louron (depuis 2015)
Sénateur des Hautes-Pyrénées
–
(4 mois et 15 jours)
Groupe politique RDSE
Prédécesseur François Fortassin
Successeur Maryse Carrère
Maire de Loudenvielle
–
(34 ans et 1 mois)
Élection mars 1977
Réélection mars 1983
mars 1989
juin 1995
mars 2001
mars 2008
Successeur Noël Lacaze
Biographie
Date de naissance (77 ans)
Lieu de naissance Toulouse
Nationalité Française
Parti politique MR (2017-2019)
PRG
Profession Retraité de la fonction publique
modifier Consultez la documentation du modèle

Michel Pélieu, né le à Toulouse, est un homme politique français. Membre du Parti radical de gauche (PRG), il est président du Conseil départemental des Hautes-Pyrénées depuis .

Biographie[modifier | modifier le code]

Michel Pélieu est maire de Loudenvielle de 1977 à 2011. En 1985, il devient conseiller général du canton de Bordères-Louron[1].

Depuis les sénatoriales de 2001, il est le suppléant de François Fortassin[2].

Lors des élections cantonales de 2011, il est élu avec 70 % des voix dans le canton de Bordères-Louron et brigue la présidence du conseil général, face à la présidente sortante Josette Durrieu[3]. À l'issue d'un 3e tour serré, Michel Pélieu devient président du conseil général des Hautes-Pyrénées[4].

En mars 2015, il est élu conseiller départemental[5] du canton de Neste, Aure et Louron en tandem avec Maryse Beyrié[6],[7]. Michel Pélieu est réélu à la tête du département avec 31 voix pour 3 votes blancs[8].

À la suite de la mort de François Fortassin le , dont il était suppléant, il devient sénateur des Hautes-Pyrénées le suivant[9].

Distinctions[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. ↑ Christian Sarrabayrouse, « Maryse Beyrié et Michel Pélieu, candidats » sur La Dépêche du Midi, 5 février 2015
  2. ↑ Service politique et les correspondants régionaux du Monde, « Élections sénatoriales : les biographies des élus » sur Le Monde, 25 septembre 2011
  3. ↑ Stéphane Thépot, « Hautes-Pyrénées : le PS risque de perdre la présidence » sur Le Monde, 27 mars 2011
  4. ↑ Jean-Louis Toulouze, « Michel Pélieu, au 3e tour » sur La Dépêche du Midi, 1er avril 2011
  5. ↑ « hautespyrenees.fr/fr/tout-savo… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
  6. ↑ « hautespyrenees.fr/fr/tout-savo… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
  7. ↑ Véronique Haudebourg, « Michel Pelieu, président PRG sortant des Hautes-Pyrénées, largement réélu au premier tour des élections départementales » sur le site de France 3, 22 mars 2015
  8. ↑ Cyrille Marqué, « L'ex-nouveau président Michel Pélieu plébiscité » sur La Dépêche du Midi, 3 avril 2015
  9. ↑ « Composition du sénat », Journal officiel de la République française, no 0116,‎ , p. 8 (ISSN 0373-0425, lire en ligne)
  10. ↑ C.M. « Tarbes. Pélieu et Dintrans distingués » sur La Dépêche du Midi, 21 avril 2014

Liens externes[modifier | modifier le code]

Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Michel_Pélieu&oldid=213249995 ».