Merville-Franceville-Plage
Merville-Franceville-Plage | |
La plage de Merville-Franceville-Plage. | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Calvados |
Arrondissement | Lisieux |
Intercommunalité | Communauté de communes Normandie-Cabourg-Pays d'Auge |
Maire Mandat |
Olivier Paz 2020-2026 |
Code postal | 14810 |
Code commune | 14409 |
Démographie | |
Gentilé | Mervillais-Francevillais |
Population municipale |
2 207 hab. (2021 ) |
Densité | 212 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 16′ 59″ nord, 0° 12′ 04″ ouest |
Altitude | Min. 0 m Max. 42 m |
Superficie | 10,42 km2 |
Type | Bourg rural |
Unité urbaine | Dives-sur-Mer (banlieue) |
Aire d'attraction | Caen (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Cabourg |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.mairie-mervillefranceville.fr |
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Merville-Franceville-Plage Écouter est une commune française située dans le département du Calvados et la région Normandie, peuplée de 2 207 habitants[Note 1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Merville-Franceville-Plage, plus communément appelée Franceville, se situe sur la Côte Fleurie à 6 km de Cabourg et à 14 km de Caen, sur la rive droite de la baie de l'Orne par 49° 16′ 59″ N, 0° 12′ 04″ O.
Situé aux confins de la plaine de Caen et du pays d'Auge, l'arrière-pays, dévolu à l'agriculture, se partage entre riches pâturages et cultures céréalières.
Le , la commune passe de l'arrondissement de Caen à celui de Lisieux[1]
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant à la plaine agricole de Caen à Falaise, sous le vent des collines de Normandie et proche de la mer, se caractérisant par une pluviométrie et des contraintes thermiques modérées[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 668 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sallenelles à 2 km à vol d'oiseau[5], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 735,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Merville-Franceville-Plage est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dives-sur-Mer, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[11]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].
La commune, bordée par la baie de Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[14]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[15].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (61,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (42,5 %), terres arables (17,9 %), zones urbanisées (17,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,9 %), zones humides côtières (5,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,8 %), forêts (3,2 %), eaux maritimes (1,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]En 1078, la paroisse de Matervilla est mentionnée pour la première fois dans le cartulaire de la Trinité de Caen[17],[18], Matervilla en 1087[19], Matrevilla dans un cartulaire de l'abbaye aux Hommes en 1161[17],[18], Merrevilla en 1268[17], puis Merravilla en 1278[17],[18] et enfin Merville.
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural »[19],[20]. Dans la plupart des cas, elle est composée avec un anthroponyme germanique continental, [anglo-]saxon ou norrois. Dans ce cas précis, Mer- (< Mater-) représente le nom de personne germanique Mather[19],[20], d'où le sens global de « domaine de Mather »[20]
En 1898, un lotissement de bord de mer voit le jour, créé par l'architecte Joseph Edouard Wattier originaire de Montfermeil et prend, en référence aux lotissements de Montfermeil, le nom de Franceville[18].
La commune prend le nom de Merville-Franceville-Plage en 1931, par décret présidentiel[21] du président Gaston Doumergue du .
Le gentilé est Mervillais-Francevillais.
Histoire
[modifier | modifier le code]Comme on peut l'imaginer, l'estuaire de l'Orne a servi de tout temps à la pêche, mais il n'a pas eu la même vocation maritime que celui de la Dives, à cause du cours changeant du fleuve et des bancs de sable qui bougent sans cesse.
En 1467, après la guerre de Cent Ans, le château est ruiné par l'armée des Bretons[22].
Des marais salants ont existé de l'Antiquité jusqu'au XIVe siècle sur la côte, mais ils disparurent à la suite de l'instauration de la gabelle[23]. Au XVIIIe siècle, face aux tensions avec l'Angleterre, une redoute est édifiée à Merville par Vauban.
Sous la Révolution, le nom est fixé en Merville. Au XIXe siècle, le territoire de Merville s'accroît, en absorbant la petite commune du Buisson.
La station balnéaire
[modifier | modifier le code]À partir de 1881, la commune voit les premiers commerces se développer : débit de tabac et boissons, hôtel. Mais c'est le que le conseil municipal vote une délibération pour la construction du Decauville, « considérant qu'on ne peut méconnaître qu'une ligne de tramway doit contribuer au développement de la station balnéaire, et par la suite à l'augmentation du centime communal »[18].
Le , un lotissement privé portant le nom de Franceville-Plage[Note 3] est créé sur la partie littorale de la commune par l'architecte originaire de Montfermeil Joseph Edouard Wattier ; il cherche à attirer sur la côte une population aisée parisienne[18]. La station balnéaire est née. Le , une ligne des Chemins de fer du Calvados est mise en service reliant Dives-sur-Mer à Sallenelles. Cette ligne de voie ferrée d'intérêt local à voie étroite relie les stations balnéaires de la côte à Caen. L'année suivante, en 1893, elle est prolongée jusqu'à Caen. Une gare est inaugurée le à Franceville. Ce bâtiment voyageur, plus imposant que les autres du réseau, est encore visible au no 6, route de Cabourg. La ligne, peu rentable et peu sûre, est remplacée par un service de cars, en 1932.
Le lotissement de Franceville est mis en vente, par souscription, à partir du , les premiers terrains sont livrés le [18]. Les premiers acquéreurs sont essentiellement parisiens. On compte en 1911 123 propriétés dans le lotissement, 147 en 1920 et 444 à la veille de la Seconde Guerre mondiale[18].
En 1927, le conseil municipal demande par deux fois que la commune soit reconnue comme « station balnéaire » ou « station climatique ». Le , le conseil municipal « considérant que la station balnéaire de Franceville-Plage, située sur le territoire de Merville prend une extension de plus en plus grande et que dans l'intérêt de l'acheminement des correspondances destinées à Franceville sur lesquelles on omet souvent de mettre « Merville », il y a lieu d'ajouter ce nom à celui de la commune »[18].
Seconde Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Fortification de la côte dans le cadre du « mur de l'Atlantique »
[modifier | modifier le code]L'occupation allemande laissa des traces :
- les pins furent abattus pour équiper les plages en « asperges de Rommel » ;
- des blockhaus surgirent sur le littoral ;
- les Allemands y construisent la batterie de Merville à partir d'août 1942 ;
- de nombreuses villas furent rasées afin de permettre à l'occupant allemand d'avoir une vue dégagée sur la Manche[24] et aussi de ne pas gêner les tirs de défense.
Combats
[modifier | modifier le code]La bataille de la batterie de Merville a lieu dans la nuit du 5 au . Le 9e bataillon de parachutistes britannique (Eastern and Home Counties), composé de 750 hommes, appartenant à la 6e division aéroportée britannique, et commandé par le lieutenant-colonel Terence Otway, eut pour mission prioritaire d'attaquer la batterie de Merville, qui comptait quatre canons de 150 mm pouvant prendre dans leur feu l'embouchure de l'Orne et la zone de débarquement de Sword Beach. La prise de la batterie faisait partie des objectifs prioritaires et vitaux désignés par le haut commandement allié pour assurer la réussite du débarquement. La majeure partie des 750 hommes du 9e bataillon britannique fut piégée dans les marais de Varaville, inondés sur ordre de Rommel. Avec seulement 150 parachutistes, dépourvu de matériel lourd et de moyens de communication, Otway engagea cependant l'assaut à 4 h 30 du matin et neutralisa la batterie, découvrant au passage que les prétendus canons de 150 mm étaient en réalité des canons Skodas de 100 mm. Au cours de cette attaque, Otway perdit encore environ la moitié de ses hommes. Les pertes allemandes furent encore plus lourdes avec, à la fin des combats, seulement 22 soldats valides sur les 130 soldats de la batterie[réf. nécessaire]. Cette action, qualifiée « d'inimaginable assaut », restera l'une des plus héroïques du jour J. La plupart des maisons de la station furent détruites ou sévèrement endommagées lors du débarquement qui suivit.
Comme toutes les villes côtières françaises, la station retrouva un essor dans l'après-guerre.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]La commune est jumelée avec :
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].
En 2021, la commune comptait 2 207 habitants[Note 5], en évolution de +1,05 % par rapport à 2015 (Calvados : +1,02 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Créé en 2006, tous les deux ans en septembre se tient le festival Cidre et Dragon alliant le fantastique au médiéval, réunissant plus de 70 000 festivaliers. Après un interfestival en 2013, la manifestation devient annuelle à partir de 2014.
Sports
[modifier | modifier le code]- Merville-Franceville, par sa situation géographique et son climat, est notamment un haut-lieu du kite surf en Normandie.
- Merville-Franceville-Plage possède un terrain de football sur lequel évolue l'Étoile sportive amfrevillaise en U17. Il existe également un gymnase dans lequel joue le Merville-Franceville Basket et le Badminton Club Merville-Franceville Plage (BCMF) et qui abrite plusieurs courts de tennis dont un en terre battue.
- Le Badminton Club Merville-Franceville possède quatre équipes d'interclubs dont une qui évolue en Départementale 2 (BCMF1)[30]. À la suite du jumelage entre les communes d'Amfreville et de Brunehaut (Belgique), un échange sportif avec le club de badminton de Brunehaut et le celui de Merville-Franceville a été mis en place à partir de aout 2017[31].
- Une piscine couverte, située en bord de plage, propose des cours de natation entre juin et septembre.
Énergie
[modifier | modifier le code]En 2020, la ligne sous-marine IFA-2 à haute tension est mise en service entre Bellengreville (lieu-dit Tourbe) et l'Angleterre. L'atterrage se fait à Merville-Franceville[32].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- La batterie allemande de Merville, objectif important lors du débarquement allié le , fut conquise par le lieutenant-colonel Terence Otway et ses hommes. La batterie de Merville est classée monument historique depuis 2004. En 1976, le général Richard Gale et Françoise Gondrée, fondateurs de l'Aspeg « Musée de Pegasus Bridge & Batterie de Merville » ont entrepris les démarches de restauration des batteries. En 1978, un musée est réalisé dans la première casemate. Depuis lors, ce musée a connu un développement remarquable puisqu'il accueille aujourd'hui plus de 60 000 visiteurs annuellement.
- Un buste en bronze érigé sur le site de la batterie de Merville représente Terence Otway à l'époque du débarquement allié.
- La redoute de Merville, fortification édifiée selon les plans de Vauban en 1779, fut utilisée par l'armée française puis par les douanes avant de servir de lieu de garnison et d'observation à l'armée allemande pendant l'Occupation à partir de 1940. Inscrite au titre des monuments historiques depuis le [33], propriété du Conservatoire du littoral, la redoute de Merville est en cours de réhabilitation.
- L'église Saint-Germain des XIIe et XIXe siècles. On trouve un ancien cadran canonial sur le mur sud de l'église.
- La réserve ornithologique du Gros Blanc située dans l'estuaire de l'Orne[34]. L'espace protégé de 40 ha est interdit au public mais des observatoires sont accessibles sur le périmètre permettant d'admirer un très riche patrimoine ornithologique avec plus de 160 espèces recensées.
- L'ancienne station des Chemins de fer du Calvados. Une souscription auprès des habitants, ainsi qu'un emprunt effectué par la mairie permettent de construire un bâtiment de plus grande taille pour remplacer l'abri de style néo-normand original jugé trop modeste. Cette nouvelle gare est inaugurée en [35].
- Château de Merville, situé à peu de distance de l'église, il n'en subsiste qu'une tour. Il aurait été détruit, dans les années 1465-1468, lors d'une incursion bretonne en Normandie lors des affrontements entre Louis XI et le duc de Bretagne François II. Le seigneur du lieu, un Devaux, fut pendu ; il avait probablement voulu résister. Le manoir est incendié si l'on se réfère aux Les chroniques scandaleuses du roi Louis XI. À l'intérieur de la tour on peut voir les armes de la famille Devaux gravées sur un fronton de porte[36].
-
La batterie de Merville.
-
La redoute de Merville.
-
L'église Saint-Germain.
-
Le cadran canonial.
-
La réserve ornithologique de Gros Blanc.
-
Ancienne gare des Chemins de fer du Calvados.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Terence Otway s'est éteint le près de Londres. Un hommage lui a été rendu par la municipalité le sur le site de la batterie de Merville en présence des autorités civiles et militaires et des Vétérans du 9e Bataillon.
- Alessandro Anzani (1877-1956), champion motocycliste italien décédé à Merville-Franceville-Plage.
- Robert Planquette possédait une villa, Les Cloches, à Merville.
- Olivier Lecerf, ancien PDG de Lafarge, est né à Merville-Franceville-Plage le .
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de la commune de Merville-Franceville-Plage se blasonnent ainsi : Burelé ondé d'azur et d'argent, à l'hippocampe de gueules. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Sylvie Hée, Merville Franceville plage, Cabourg, Les cahiers du temps, , 135 p. (ISBN 2-911855-08-6)
- John Golley, La nuit des canons de Merville, Paris, Presse de la cité,
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie
- Merville-Franceville-Plage sur le site de l'Insee
- Inventaire des archives communales sur le site des Archives départementales du Calvados
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Population municipale 2021, légale en 2024.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le nom de Franceville vient du lotissement à Montfermeil où chaque parcelle correspond à un numéro de département
- Se présente aux élections cantonales de 1976 sous l'étiquette « Républicain social » et déclare avoir des sympathies pour le Parti socialiste.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Recueil des actes administratifs du 22 décembre 2016 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF], sur le site de la préfecture du Calvados (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Merville-Franceville-Plage et Sallenelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Sallenelles » (commune de Sallenelles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Sallenelles » (commune de Sallenelles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Dives-sur-Mer », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Caen », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Célestin Hippeau, Dictionnaire topographique du Calvados, Paris, 1883, p. 186 (lire en ligne sur DicoTopo) [1]
- Sylvie Hée, Merville-Franceville plage, Cahier du temps,
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 439b
- René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses Universitaires de Caen, 1996, p. 172a (ISBN 2-905461-80-2)
- Site communal : patrimoine historique
- J. Chanson, Dictionnaire alphabétique, topographique, archéologique et historique du département du Calvados, 1853, les éditions du Bastion, 1993
- Site communal : Merville
- Site communal : Franceville.
- Réélection 2014 : « Olivier Paz entame un cinquième mandat de maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Merville-Franceville-Plage. Le club de badminton joue son rôle », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
- « Echange Brunehaut-Merville - bcmf », sur badminton-merville.eklablog.com (consulté le ).
- [2], site web RTE.
- « Redoute », notice no PA00111531, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Calvados littoral, espaces naturels L'estuaire de l'Orne.
- Nicolas Ossipoff, Michel Triches, Le Home-Varaville - Merville-Franceville, Saint-Cyr-sur-Loire, Éditions Alan Sutton, 2010.
- Le Patrimoine des Communes du Calvados, t. I, Éditions Flohic, coll. « le patrimoine des communes de France », (ISBN 2-84234-111-2), p. 376 (Tour du Manoir).