Mer (Loir-et-Cher)

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Mer
Mer (Loir-et-Cher)
Le centre-ville.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Loir-et-Cher
Arrondissement Blois
Intercommunalité Communauté de communes Beauce Val de Loire
(siège)
Maire
Mandat
Vincent Robin
2020-2026
Code postal 41500
Code commune 41136
Démographie
Gentilé Mérois[1]
Population
municipale
6 235 hab. (2021 en augmentation de 0,53 % par rapport à 2015)
Densité 236 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 41′ 57″ nord, 1° 30′ 30″ est
Altitude Min. 72 m
Max. 116 m
Superficie 26,47 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Mer
(ville isolée)
Aire d'attraction Blois
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Beauce
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Mer
Liens
Site web ville-de-mer.com

Mer est une commune française située dans le département de Loir-et-Cher en région Centre-Val de Loire.

Localisée au centre-nord du département, la commune fait partie de la petite région agricole « la Beauce », une vaste étendue de cultures céréalières, oléagineuses (colza) et protéagineuses (pois, féverolle, lupin), avec également de la betterave sucrière, et de la pomme de terre.

L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles, qui occupent plus de la moitié du territoire communal[2]. Un espace naturel d'intérêt est présent sur la commune : un site natura 2000. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la culture des céréales et des oléoprotéagineux. À l'instar du département qui a vu disparaître le quart de ses exploitations en dix ans, le nombre d'exploitations agricoles a fortement diminué, passant de 21 en 1988, à 22 en 2000, puis à 11 en 2010.

Le patrimoine architectural de la commune comprend quatre bâtiments portés à l'inventaire des monuments historiques : l'église Saint-Hilaire, classée en 1912 et inscrite en 1955, la halle de Mer, inscrite en 1987, le château de Chantecaille, inscrit en 1985, et l'église Saint-Aignan d'Herbilly, inscrite en 1946.

Au début des années 2000, se développe sur la commune, la zone d’activités industrielles et logistiques des "Portes de Chambord", un parc de 230 hectares qui accueille 55 entreprises et plus de 1 000 salariés[3].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Mer se trouve au centre-nord du département de Loir-et-Cher, dans la petite région agricole de la Beauce[4],[5]. À vol d'oiseau, elle se situe à 18,6 km de Blois[6], préfecture du département et à 22,7 km de Beauce la Romaine, chef-lieu du canton de la Beauce dont dépend la commune depuis 2015[7]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mer[8].

Les communes les plus proches sont[9] : Courbouzon (3,3 km), Muides-sur-Loire (4,8 km), Avaray (4,9 km), Suèvres (5,4 km), Séris (5,6 km), Saint-Dyé-sur-Loire (5,8 km), La Chapelle-Saint-Martin-en-Plaine (6,4 km), Villexanton (7,1 km) et Lestiou (7,2 km).

Mer est située entre Blois et Orléans, dans le Val de Loire, mais pas au bord de la Loire : deux kilomètres séparent en effet l'extrême sud de la ville et le fleuve.

La Tronne.

Établie pour sa plus grande partie sur le plateau beauceron, la commune de Mer déborde sur le Val de Loire.

Elle a une superficie de 2 647 hectares, 49 ares et 39 centiares, d'après le nouveau cadastre (elle mesurait 2 134 hectares, 41 ares et 14 centiares, avant son mariage avec Herbilly, en 1847)[10][source insuffisante].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est drainée par la Tronne (4,841 km) et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 11,19 km de longueur totale[11].

La Tronne traverse la commune du nord vers le sud. D'une longueur totale de 12,6 km, il prend sa source dans la commune de Mer et se jette dans la Loire à Cour-sur-Loire (41), après avoir traversé 4 communes[12]. Sur le plan piscicole, ce cours d'eau est classé en deuxième catégorie, où le peuplement piscicole dominant est constitué de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[13].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 656 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saint-Léonard-en-Beauce à 18 km à vol d'oiseau[16], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 642,2 mm[17],[18]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[19].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles. L'objectif est de promouvoir une gestion adaptée des habitats tout en tenant compte des exigences économiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularités régionales et locales de chaque État membre. Les activités humaines ne sont pas interdites, dès lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l'état de conservation favorable des habitats et des espèces concernés[20]. Une partie du territoire communal est incluse dans le site Natura 2000[21] : la « Sologne », d'une superficie de 346 184 ha[22].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Mer est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[23],[24],[25]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mer, une unité urbaine monocommunale[26] de 6 238 habitants en 2017, constituant une ville isolée[27],[28].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Blois, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 78 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[29],[30].

Traversée de Mer via la D 2152.

L'urbanisation de la ville s'est faite selon un axe nord-sud, autour d'une petite rivière, la Tronne, qui serpente dans une vallée assez encaissée en se divisant parfois en de nombreux bras. Mer en tire d'ailleurs son nom, qui découle de « Mera », soit « marais ».

Tous les anciens quartiers de la ville se trouvent le long de cette rivière, sur environ de 4 kilomètres de long mais moins de 500 mètres de large :

  • le centre-ville, entre la route Orléans-Blois et la voie ferrée ;
  • au sud : Montcellereux, Saint-Marc, Fortineau, Barreau ;
  • au nord : Aulnay (ancienne commune) ;
  • les écarts : Herbilly, Villaugon, les Landes.

L'urbanisation plus récente (lotissements, le parc d'activités) s'est par la suite poursuivie de part et d'autre de la Tronne afin de donner plus d'épaisseur à la commune :

  • à l'est : Cité Maunoury, les Fléchaux ;
  • à l'ouest : Les Rosiers, les Berthelottes, le Cagnet ;
  • au nord-ouest : Lanneray ;
  • au sud-ouest : Cassandre Salviati, lotissement et clos Saint-Marc ;
  • au sud-est : Les Coteaux, les Dorées, les Revaux ;
  • la zone d'activités, au nord-est.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Ces données sont fondées sur la base de données géographiques CORINE Land Cover (CLC), inventaire biophysique de l'occupation des terres et de son évolution au niveau européen (39 pays). Pour la France, les données proviennent du Service de la donnée et des études statistiques du ministère chargé de l'écologie auquel s'est ajouté l'Institut national de l'information géographique et forestière, en 2018.

Zones urbanisées : 322ha, soit 12%. Zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication : 221ha, soit 8%. Terres arables : 1740ha, soit 66%. Prairies : 45ha, soit 2%. Zones agricoles hétérogènes : 167ha, soit 6%. Forêts : 151ha, soit 6%[2].

Planification[modifier | modifier le code]

En matière de planification, la commune disposait en 2017 d'un plan local d'urbanisme approuvé[31]. Par ailleurs, à la suite de la loi ALUR (loi pour l'accès au logement et un urbanisme rénové) de mars 2014, un plan local d'urbanisme intercommunal couvrant le territoire de la Communauté de communes Beauce Val de Loire a été prescrit le [32].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Mer en 2016 en comparaison avec celle du Loir-et-Cher et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (10,9 %) inférieure à celle du département (18 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,6 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 83,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82,1 % en 2011), contre 68,1 % pour le Loir-et-Cher et 57,6 pour la France entière.

Le logement à Mer en 2016.
Mer[33] Loir-et-Cher[34] France entière[35]
Résidences principales (en %) 79,9 74,5 82,3
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 10,9 18 9,6
Logements vacants (en %) 9,2 7,5 8,1

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire communal de Mer est vulnérable à différents aléas naturels : inondations (par débordement de la Loire ou par ruissellement), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible) 11 avril 2020 Il est également exposé à deux risques technologiques : le risque nucléaire et le transport de matières dangereuses[36],[37].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Zones inondables de la commune de Mer.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles[36]. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[38]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques[39].

En Loir-et-Cher, les crues de la Loire représentent des volumes d'eau et des débits quatre à cinq fois supérieurs à ceux du Cher et du Loir : la superficie des zones et l'ampleur des dégâts peuvent être considérables. Les crues historiques sont celles de 1846 (6,60 m à l'échelle de Blois), 1856 (6,78 m), 1866 (6,70 m), 1907 (5,63 m) et 2003 (3,78 m). Le débit maximal historique est de 5 100 m3/s (crue de 1846) et caractérise une crue de retour centennal[40]. Le risque d'inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) de la Loire amont[41].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La totalité du territoire de la commune peut être concernée par le risque nucléaire. En cas d'accident grave, certaines installations nucléaires sont susceptibles de rejeter dans l'atmosphère de l'iode radioactif. Or la commune se situe partiellement à l'intérieur du périmètre de 20 km du Plan particulier d'intervention de la centrale nucléaire de Saint-Laurent-des-Eaux. À ce titre les habitants de la commune, comme tous ceux résidant dans le périmètre proche de 20 km de la centrale ont bénéficié, à titre préventif, d'une distribution de comprimés d'iode stable dont l'ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroïde d'une exposition à de l'iode radioactif. En cas d'incident ou d'accident nucléaire, des consignes de confinement ou d'évacuation peuvent être données et les habitants peuvent être amenés à ingérer, sur ordre du préfet, les comprimés en leur possession[42],[43].

Le risque de transport de marchandises dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières et ferroviaires importantes et la présence d'une canalisation de transport de gaz. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d'avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu'à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d'urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[44].

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

Mer dans l'intercommunalité en 2016.

La commune de Mer est membre de la Communauté de communes Beauce Val de Loire, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le [45].

Elle est rattachée sur le plan administratif à l'arrondissement de Blois, au département de Loir-et-Cher et à la région Centre-Val de Loire[8], en tant que circonscriptions administratives[8]. Sur le plan électoral, elle est rattachée au canton de la Beauce depuis 2015 pour l'élection des conseillers départementaux[46] et à la troisième circonscription de Loir-et-Cher pour les élections législatives[47].

Politique et administration municipale[modifier | modifier le code]

Conseil municipal et maire[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1959 René Dutems DVD Négociant en vin et distillateur
Conseiller général du Canton de Mer (1945-1958)
1959 1977 Robert Bauer DVD Directeur de société
Conseiller général du Canton de Mer (1958-1982)
mars 1977 juin 1995 Pierre Pépin PS Électricien, employé à la centrale nucléaire de Saint-Laurent-des-Eaux, Ingénieur
juin 1995 mai 2016
(démission)
Claude Denis UMP-LR Retraité
Conseiller général du Canton de Mer (1982-2015)
puis départemental du Canton de la Beauce
Président de la Communauté de Communes
mai 2016 2020 Raymond Gervy[48] DVD Ingénieur agricole
2020 En cours Vincent Robin DVG[49] Formateur et Coordinateur en prévention

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

La commune s'est engagée dans une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[50].

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Les personnalités exerçant une fonction élective dont le mandat est en cours et en lien direct avec le territoire de la commune de Mer sont les suivantes :

Élection Territoire Titre Nom Début de mandat Fin de mandat
Municipales Mer Maire Raymond Gervy
Cantonales Mer Conseiller général Claude Denis 16 mars 2008 2015
Législatives 3e circonscription Député Maurice Leroy
Régionales Centre-Val de Loire Président du conseil régional François Bonneau

Jumelages[modifier | modifier le code]

Le comité de jumelage, fondé en 1987 par P. Pépin et D.D. Hermminf (maires respectifs de Mer et Kinver), organise chaque année des échanges d'une semaine, alternativement en France et en Angleterre.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[52].

En 2021, la commune comptait 6 235 habitants[Note 3], en augmentation de 0,53 % par rapport à 2015 (Loir-et-Cher : −1,36 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
4 5003 5074 0203 5313 7333 8783 6863 9004 233
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 9654 1664 2694 0584 0214 0294 0464 0293 797
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 5853 5953 5783 2233 1652 9122 7462 8213 055
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
3 4774 6005 1585 8865 9505 8845 8305 7346 053
2014 2019 2021 - - - - - -
6 1976 1716 235------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee à partir de 2006[54].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,9 % la même année, alors qu'il est de 31,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 2 981 hommes pour 3 224 femmes, soit un taux de 51,96 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,45 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[55]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,2 
90 ou +
2,5 
8,3 
75-89 ans
11,3 
18,0 
60-74 ans
20,4 
17,4 
45-59 ans
17,3 
18,4 
30-44 ans
17,9 
16,0 
15-29 ans
14,0 
20,7 
0-14 ans
16,6 
Pyramide des âges du département de Loir-et-Cher en 2020 en pourcentage[56]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
2,6 
9,1 
75-89 ans
11,8 
19,4 
60-74 ans
20,1 
21 
45-59 ans
20,2 
16,6 
30-44 ans
16,2 
15,3 
15-29 ans
13,2 
17,5 
0-14 ans
16 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Mer est situé dans l'académie d'Orléans-Tours (Zone B) et compte plusieurs établissements scolaires :

  • Etablissements publics
    • Ecole maternelle publique Les Merolles
    • Ecole maternelle publique la Brêche
    • Ecole élémentaire publique Cassandre Salviati
    • Collège Pierre de Ronsard
  • Etablissements privés*
    • Ecole primaire privée Notre-Dame et Saint-Joseph
    • Collège privé Notre-Dame Saint-Joseph

Économie[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activité[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous détaille le nombre d'entreprises implantées à Mer selon leur secteur d'activité et le nombre de leurs salariés[57] :

Établissements actifs par secteur d'activité au .
total % com (% dep[58]) 0 salarié 1 à 9 salarié(s) 10 à 19 salariés 20 à 49 salariés 50 salariés ou plus
Ensemble 459 100,0 (100) 299 110 22 17 11
Agriculture, sylviculture et pêche 20 4,4 (11,8) 17 3 0 0 0
Industrie 37 8,1 (6,5) 15 13 2 5 2
Construction 55 12,0 (10,3) 32 16 4 2 1
Commerce, transports, services divers 289 63,0 (57,9) 196 71 12 5 5
dont commerce et réparation automobile 75 16,3 (17,5) 43 25 5 1 1
Administration publique, enseignement, santé, action sociale 58 12,6 (13,5) 39 7 4 5 3
Champ : ensemble des activités.

Le secteur du commerce, transports et services divers est prépondérant sur la commune (289 entreprises sur 459). Sur les 459 entreprises implantées à Mer en 2016, 299 ne font appel à aucun salarié, 110 comptent 1 à 9 salariés, 22 emploient entre 10 et 19 personnes.17 emploient entre 20 et 49 personnes.

La ville a été fortement touchée en 2000 par la fermeture de l'usine d'Épéda, usine qui comptait environ 1000 employés dans les années 80 (aventure humaine mise en image par Luc Decaster dans le film « Rêve d'usine »[59] ; le documentaire "Epéda, une histoire à Mer"[60] est également consacré à cette fermeture d'usine).

La centrale de Saint-Laurent vue depuis Mer

Cet épisode a succédé à un autre événement important : la fermeture de deux des réacteurs de la centrale de Saint-Laurent-des-Eaux au début des années 1990 (de nombreux employés du centre de production nucléaire de Saint-Laurent-des-Eaux habitaient à Mer, d'où les conséquences sur l'économie locale).

Cela a eu des conséquences sur l'évolution de la population. Après la forte croissance des années 1950 à 1980, la population s'est mise à stagner, voire régresser au début des années 2000.

Depuis, la ville et la communauté de communes investissent dans la réalisation d'un important parc d'activités de plus de 200 hectares, nommé « Les Portes de Chambord ». Les travaux de réalisation ont débuté en . Le but est de tirer parti de la situation géographique de la ville de Mer dans le val de Loire, sur l'axe Lille-Paris-Bordeaux-Espagne, et de ses infrastructures de transports : autoroute A10 (ouverture d'un échangeur à hauteur de Mer en 1992), voie ferrée avec gare, route départementale Blois-Orléans. La cible principale du parc d'activités est l'activité logistique, tout en offrant également des possibilités d'implantation pour d'autres catégories d'entreprises, notamment des PME, afin d'éviter le phénomène de mono-industrialisation qui a été autrefois préjudiciable à la commune.

Depuis, plusieurs activités se sont implantées sur le parc d'activités des Portes de Chambord, notamment :

  • Transformation de l'ancien site Epéda en plate-forme logistique Amazon depuis 2003.
  • Le s'est ouvert sur le site une plateforme Colissimo, regroupant ceux de Blois, Ingré et de Saint-Pierre-des-Corps (6 ha, 220 emplois).
  • Depuis 2007, création d'une plate-forme Deret-Prologis devant couvrir à terme 180 000 m2 de bâtiments sur 55 ha de terrain[61].
  • En 2009, implantation de la plate-forme de BUT INTERNATIONAL, bâtiment de 60 000 m2 assurant, en complément d'un bâtiment sur l'ancien site Epéda, la logistique des magasins But. Depuis le site sont distribués dans toute la France les produits blancs (électro ménager), les canapés et les articles de décoration[62].
  • Début 2012, le groupe CAUVAL Industrie a transféré son usine de fabrication de matelas TRECA sur le parc d'activités des Portes de Chambord. Une usine neuve a été construite en remplacement de celle de Beaugency, obsolète. Le transfert a concerné 170 emplois[63].
  • En 2014, la société EUROCOATINGS (peinture industrielle) transfèrera son unité de production depuis Blois vers Mer (60 emplois)[64]

D'autres installations de PME ont eu lieu sur le parc d'activités, concernant des activités diversifiées : serrurerie, métallurgie, signalisation routière, location de grues, bureaux d'études, restauration, etc.

Parmi les entreprises implantées sur Mer, on peut également citer :

  • L'entité Crédit Agricole Titres dont le siège social est à MER est une filiale du Crédit Agricole qui assure le métier de teneur de compte-conservation dans le secteur “Retail” pour le compte des Caisses régionales du Crédit Agricole et de LCL.
  • L'entreprise Sillinger, entreprises de bateaux pneumatiques pour les armées et également pour les loisirs. Elle a notamment remporté en 2013 un contrat auprès du ministère de la Défense pour la gendarmerie maritime et pour l'armée de terre[65],[66].

Entre 2000 et 2007, la commune de Mer a ainsi regagné 491 emplois, soit la 3e plus forte hausse du département (source : Observatoire de l'Économie et des Territoires de Loir-et-Cher, diagnostic départemental de l'habitat). Depuis 2007, la population de Mer est de nouveau en augmentation.

Controverses[modifier | modifier le code]

Le parc d'activités des Portes de Chambord étant bientôt saturé, la communauté de communes Beauce Val de Loire prépare l’extension de la zone[3] : PARC INDUSTRIEL ET LOGISTIQUE DES PORTES DE CHAMBORD II. En 2020, le groupe Panhard Developpement acquiert du foncier sur la zone du nouveau parc et projette d’y construire trois bâtiments de 100 000m2, 40 000m2 et 20 000m2 à destination d’activités de logistique[67].

En opposition à ce projet, le collectif A bas le béton[68] est créé par Noé Petit et Vanessa Lamorlette-Pingard [69]

Après plusieurs mobilisations sur la commune[70], le projet est suspendu par un recours déposé par A bas le béton en mai 2022[71].

Dans le parc d’activités des Portes de Chambord, d’autres projets de plateformes logistiques sont projetés[72], A bas le béton s’y oppose[73] et dénonce le modèle du “tout logistique” peu diversifié, l’artificialisation des sols[74], l’impact sur la biodiversité, la circulation des camions[75], une dégradation du cadre de vie des habitants[76] ou encore le peu d'emploi à l'hectare[77]. Les élus quant à eux défendent des retombées fiscales[78]

En 2024, un dernier projet de construction d’une plateforme logistique de 43 000m2 fait polémique dans la commune en raison de sa proximité avec les habitations. Selon A bas le béton, le projet viole le code de l'environnement et porte atteinte au cadre de vie des riverains[79]. Noé Petit annonce le dépôt d'un recours pour contester l'autorisation préfectorale accordée le 8 mars 2024[80].

Agriculture[modifier | modifier le code]

En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[81]. Le département a perdu près d'un quart de ses exploitations en 10 ans, entre 2000 et 2010 (c'est le département de la région Centre-Val de Loire qui en compte le moins)[82]. Cette tendance se retrouve également au niveau de la commune où le nombre d'exploitations est passé de 37 en 1988 à 22 en 2000 puis à 11 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 62 ha en 1988 à 136 ha en 2010[81]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Mer, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l'agriculture à Mer (41) entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[81]
Nombre d'exploitations (u) 37 22 11
Travail (UTA) 99 34 19
Surface agricole utilisée (ha) 2 283 2 224 1 498
Cultures[83]
Terres labourables (ha) 2 143 2 195 1 495
Céréales (ha) 1467 1456 974
dont blé tendre (ha) 910 773 351
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 129 138 101
Tournesol (ha) 239 s 47
Colza et navette (ha) 285 267 207
Élevage[81]
Cheptel (UGBTA[Note 4]) 107 34 0

Produits labellisés[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est intégré aux aires de productions de divers produits bénéficiant d'une indication géographique protégée (IGP) : le vin Val-de-loire[84] et les volailles de l’Orléanais[85],[86].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Voies[modifier | modifier le code]

184 odonymes recensés à Mer (Loir-et-Cher)
au
Allée Avenue Bld Chemin Clos Cour Impasse Passage Place Pont Route Rue Ruelle 0 14 [N 1] 184
Notes « N »
  1. Autres voies non identifiées en relation avec des écarts, lieux-dits, hameaux, zones industrielles, lotissements, résidences, quartiers, etc.
Sources : rue-ville.info & perche-gouet.net & OpenStreetMap

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Lieux de cultes[modifier | modifier le code]

Monuments civils[modifier | modifier le code]

  • Ancienne mairie (en face de l'église Saint-Hilaire) ;
  • Halle aux grains, construite entre 1859 et 1861, style néo-classique, dont l'élévation et la toiture sont classés[89], a été restaurée en 2011 ; le fronton ouest comporte une sculpture représentant « L'Agriculture distribuant des couronnes aux enfants de Beauce et de Sologne », œuvre de Pierre Loison, natif de la commune[90] ;
  • Musée de la Corbillière[91], installé dans un immeuble du XVIIIe siècle, collections et expositions (outils et costumes traditionnels, œuvres d'artiste comme Alexandre Bigot (céramiste)) ;
  • Château de Chantecaille (XVe et XVIIe siècles) dont certains éléments sont protégés au titre des monuments historiques[92] ;
  • Château de Beaumont ;
  • Local associatif et culturel musulman.
  • Moulins et lavoirs de la vallée de la Tronne, traversant Mer du nord-est au sud-ouest et se jetant dans la Loire.

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

  • Cinémobile.
  • Musée de la Corbillière : musée d'histoire locale. Il fait partie du label Musée de France.
  • Bourse Horlogère : organisée par l'Association Française des Amateurs d'Horlogerie Ancienne, le dernier week-end de mars (week-end de passage à l'heure d'été) sous la Halle ; c'est le plus grand rassemblement de France autour de l'horlogerie ancienne.
  • Salon des vins Vinymer : salon des vins de Loire qui se tient le premier week-end de septembre sous la Halle.
  • Salon du reptile fin septembre, sous la Halle.
  • Rencontres « Autour du jouet », salon du jouet ancien, du modélisme : premier week-end de novembre, sous la Halle.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Alexandre Bigot, industriel du début du XXe siècle, connu pour ses grès, qui ont failli émailler les couloirs du métro parisien et ayant fait monter une usine d'émaillage à Aulnay (maintenant détruite) ;
  • Coutisson des Bordes (1885-1949), peintre et aquarelliste français spécialiste du genre animalier, est né à Mer ;
  • Pierre Jurieu, né à Mer, qui est à l'origine du courant protestant aux Pays-Bas ;
  • François Léon Lebrun (1731-1800), général des armées de la République, né dans la commune ;
  • Pierre Loison (1816-1886), sculpteur né à Mer ;
  • Le maréchal Maunoury, vainqueur de la bataille de la Marne, qui a terminé sa vie en sa propriété d'Herbilly (commune de Mer) ;
  • Philippe-Émile Jullien, homme politique né le à Mer (Loir-et-Cher) et décédé le à Paris.
  • John Storrs (en) (1885-1956), sculpteur américain, qui vécut au château de Chantecaille ;
  • Sonia Bompastor, ancienne capitaine de l'équipe de France de football féminine et depuis 2009 au club du Paris Saint-Germain après un passage au Washington Freedom (Ligue américaine de football) ;
  • Le curé Lefebvre de Mer dans Louis Lambert, de Balzac, y est décrit comme un homme disposant d'une grande collection de livres (on parle de 2 000).

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armoiries de Mer se blasonnent ainsi :

D'azur aux trois tours d'argent maçonnées de sable.

La ville a adopté les armes de la famille des anciens vicomtes de Pompadour, Madame de Pompadour étant propriétaire de Menars au XVIIIe siècle, et la seigneurie de Menars courant jusqu'à Mer, Maves, Averdon, Villebarou.

La commune de Mer possède donc le même blason que la commune d'Arnac-Pompadour (Corrèze).

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d'espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. a et b https://plu-cadastre.fr/mer-41500/ En 2018 : Zones urbanisées : 322ha, soit 12%. Zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication : 221ha, soit 8%. Terres arables : 1740ha, soit 66%. Prairies : 45ha, soit 2%. Zones agricoles hétérogènes : 167ha, soit 6%. Forêts : 151ha, soit 6%.
  3. a et b Marc-Paul LEMAY, « Les portes de Chambord : une zone en plein développement », La Renaissance du Loir-&-Cher,‎ publié le 13/02/2020 à 06h00 (lire en ligne)
  4. « Petites régions agricoles (PRA) par commune », sur geo.data.gouv.fr (consulté le ).
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  7. « Orthodromie entre "Mer" et "Beauce la Romaine" »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
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