Max Lehnerdt

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Max Lehnerdt
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IantarnyVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Enseignant du secondaire, philologue classiqueVoir et modifier les données sur Wikidata

Max Lehnerdt, né le à Königsberg[1] et mort en 1945, est un philologue allemand.

Biographie[modifier | modifier le code]

Max Lehnerdt étudie à l'université de Königsberg à partir de 1878, où il est l'élève de Gustav Hirschfeld, dont il rédigera la nécrologie. Pendant ses études, il devient membre de la fraternité Königsberg Teutonia en 1878[2]. En 1883, il obtient son doctorat à Königsberg et l'année suivante, réussit l'examen pour le poste d'enseignant supérieur. De 1885 à 1887 il enseigne les lettres classiques au Gymnasium de Loetzen, puis au Lycée de Kneiphof jusqu'à sa retraite en 1927.

Il a publié des travaux allant de l'Antiquité à la Renaissance.

Publications[modifier | modifier le code]

  • De locis Plutarchi ad artem spectantibus, Königsberg, 1883 (Lire en ligne).
  • Iōannu Kanabutzē tu magistru Pros ton authentēn tēs Ainu kai Samothrakēs = Ioannis Canabutzae magistri Ad principem Aeni et Samothraces in Dionysium Halicarnasensem commentarius, Teubner, Leipzig, 1890.
  • Georg Voigt, Die Wiederbelebung des classischen Altertums oder das erste Jahrhundert des Humanismus, 3e édition sous la direction de Max Lehnerdt, Reimer, Berlin, 1893[3].
  • Zur Biographie des Giovanni di Conversino von Ravenna. Ein Beitrag zur Geschichte des Humanismus in Italien, Hartung, Königsberg, 1893.
  • Gustav Hirschfeld, in: Biographisches Jahrbuch für Altertumskunde no 21, 1899, p. 65–90 (Lire en ligne).
  • Die Verschwörung des Stefano Porcari und die Dichtung der Renaissance, In: Neue Jahrbücher für das klassische Altertum no 11, 1903.
  • Lucretius in der Renaissance, Hartung, Königsberg, 1905.
  • Horatii Romani Porcaria, seu de coniuratione Stephani Porcarii carmen cum aliis eiusdem quae inveniri potuerunt carminibus, Teubner, Leipzig, 1907.
  • Aus Johannes Voigts ersten Königsberger Jahren, Gräfe & Unzer, 1929.
  • Ein ungedruckter Brief Kants aus dem Besitz der Buchh. Gräfe & Unzer, Königsberg/Pr., Königsberg, 1930.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Archives sur Bibliothek für Bildungsgeschichtliche Forschung (BBF)
  2. Hugo Böttger (dir.), Verzeichnis der Alten Burschenschafter nach dem Stande des Wintersemesters 1911/12, Berlin, 1912, p. 119
  3. Paul Meyer, Charles Morel, Gaston Bruno, Revue critique d'histoire et de littérature, 1894, p. 190

Liens externes[modifier | modifier le code]