Mata Hari, agent H 21

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Mata Hari, agent H 21

Réalisation Jean-Louis Richard
Scénario Jean-Louis Richard
François Truffaut
Acteurs principaux
Sociétés de production Filmel, Les Films du Carrosse
Pays de production Drapeau de la France France, Drapeau de l'Italie Italie
Genre Drame
Durée 93 min
Sortie 1964

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Mata Hari, agent H 21 est un film d'espionnage franco-italien réalisé par Jean-Louis Richard sorti en 1964[1].

Synopsis[modifier | modifier le code]

En 1914, Margaretha Geertruida Zelle, dite « Grietje » (ou « Greta ») Zelle, connue sous le nom de scène de Mata Hari, est une belle danseuse « exotique » qui devient espionne au service de l'Allemagne. Sur ordre d'un certain Ludovic, agent de liaison, elle attire chez elle l’officier français François Lassalle, afin de subtiliser les précieux documents dont il est détenteur. Elle réussit mais s'éprend de l'officier. Une nouvelle mission lui incombe, celle de subtiliser des documents confidentiels au colonel Peltier, qui est incidemment amateur de jolies femmes. François, désespérément jaloux, rompt. Mata Hari, d'abord enfuie en Espagne, revient en France dans l'espoir de le retrouver... Elle le rejoint sur le front, mais il est tué alors qu’ils sont surpris par une patrouille allemande. Mata Hari, trahie par les Allemands eux-mêmes, est fusillée dans les fossés du fort de Vincennes.

Fiche technique[modifier | modifier le code]

Distribution[modifier | modifier le code]

Production[modifier | modifier le code]

Tournage[modifier | modifier le code]

Accueil[modifier | modifier le code]

Le film atteignit une honorable 29e place avec 1 364 543 spectateurs en salles françaises[3].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Mata-Hari agent H 21 », sur larousse.fr (consulté le ).
  2. Mata Hari, agent H 21
  3. Sources : JP's Box Office et Wiki - 11/2021

Clin d'Oeil[modifier | modifier le code]

"La Baronne Du Maine" , "son fils Absalon", font dresser l'oreille aux connaisseurs de Charles Trenet. Ce sont en effet les personnages de la chanson "les relations mondaines". Dans la scène de la soirée mondaine, Truffaut s'amuse à un petit jeu rare au cinéma : transformer une chanson en scène de film . On croise en effet aussi "Pilatre, l'acteur du Français", qui dit "le théâtre, moi j'en ai assez"; on entend parler de la "petite Fanny", qui dans la chanson "travaille au ministère des travaux finis". Et enfin on entend quelqu'un qui dit "donner des lettres de recommandation", ce que déclare le personnage de la chanson, "grâce aux relations mondaines".

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]