Marcel Merle

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Marcel Merle
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ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
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Distinction

Marcel Merle, né le à Saumur[1] et mort le à Paris[2], agrégé de droit public en 1950, a consacré sa thèse au Procès de Nuremberg.

Il a dirigé l’Institut d'études politiques de Bordeaux et a enseigné à l’Université de Paris-I et à l’Institut d’études politiques à Paris[3]. Il a été chroniqueur au journal La Croix-L’événement[3]. Il était réservé par rapport à la tradition néo-réaliste incarnée par Raymond Aron[4],[5]. Il fut aussi un intellectuel engagé, participant dès le début aux travaux de Confrontations.

Ouvrages[modifier | modifier le code]

  • 1949 : Le procès de Nuremberg et le châtiment des criminels de guerre
  • 1958 : L'influence de la technique sur les institutions politiques, Paris, PUF
  • 1969 : L'anticolonialisme européen de Las Casas à Karl Marx[6]
  • 1974 : Sociologie des relations internationales [5]
  • 1991 : La crise du Golfe et le nouvel ordre international[7], Paris, éd. Economica (ISBN 978-2-7178-2161-1)
  • 1999 : dans Les grandes inventions du christianisme,sous la direction de René Rémond ,Paris, Bayard Éditions, chapitre 9 "Les chrétiens et les conflits armés"

Notes et références[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]