Dambelin

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis Mambouhans)

Dambelin
Dambelin
Église de Dambelin
Blason de Dambelin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Doubs
Arrondissement Montbéliard
Intercommunalité Pays de Montbéliard Agglomération
Maire
Mandat
Christophe Dalongeville
2020-2026
Code postal 25150
Code commune 25187
Démographie
Gentilé Dambelinois, Dambelinoises [1]
Population
municipale
501 hab. (2021 en augmentation de 3,51 % par rapport à 2015)
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 22′ 33″ nord, 6° 40′ 35″ est
Altitude Min. 397 m
Max. 815 m
Superficie 12,43 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Montbéliard
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Valentigney
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Dambelin
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Dambelin
Géolocalisation sur la carte : Doubs
Voir sur la carte topographique du Doubs
Dambelin
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Voir sur la carte administrative de Bourgogne-Franche-Comté
Dambelin

Dambelin est une commune française située dans le département du Doubs en région Bourgogne-Franche-Comté.

Les habitants de Dambelin sont appelés les Dambelinois et Dambelinoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte
La commune dans le département
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

La Ranceuse, affluent du Doubs, prend sa source à Dambelin.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans la région climatique Jura, caractérisée par une forte pluviométrie en toutes saisons (1 000 à 1 500 mm/an), des hivers rigoureux et un ensoleillement médiocre[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 590 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 10,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Medière », sur la commune de Médière à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 105,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,2 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Dambelin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montbéliard, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 137 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (53,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54 %), prairies (34,9 %), zones agricoles hétérogènes (5,6 %), zones urbanisées (3,8 %), terres arables (1,7 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Domnus Benignes en 1147 ; Dom Benigno en 1178 ; Dambelin en 1275 ; Dompnobelino à la fin du XVIe siècle - Fusionnée depuis 1973 avec Mambouhans (Maymbœns en 1147 ; Manbouhan en 1312 ; Mamboans en 1371 ; Maimbouhans au XVe siècle et en 1614)[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

L'origine[modifier | modifier le code]

Il est possible que des habitants de Mandeure se soient aventurés dans la région de Dambelin et soient à l'origine du lieu-dit Combe-d'Hians qui serait la transformation de Combe-de-Diane (vallis Dianae). Ce nom lui est donné dans d'anciens manuscrits et dans les registres de la paroisse. Ainsi ce lieu aurait été habité depuis l'époque romaine[16].

Première mention du village[modifier | modifier le code]

L'étymologie du nom de la commune pourrait être Dominus Benignus (saint Bénigne) ou dam (vallon) et bal ou bel (rivière). Toujours est-il que dans tous les anciens titres il est fait mention de "ecclesia sancti Benigni et Sancti Deicoli" ce qui privilégierait l'origine religieuse. En 970 le roi Lothaire mentionne dans un texte le "Domnus Benignus" et il peut ici s'agir aussi de Dambenoît. Mais au Xe siècle et XIe siècle, Bénigne se traduisait par Balain, Belin ou Barrain qui devait être le vocable utilisé pour Dambelin et qui est orthographié Dom-Balain et Damp-Belin dans des titres du XVe siècle et XVIe siècle[16].
Le village apparaît pour la première fois dans une charte d'Humbert de Scey, archevêque de Besançon en 1147 qui en confirme quelques droits au prieuré de Lanthenans ainsi qu'en 1178 dans une bulle du pape Alexandre III qui citait Dambelin et son église comme appartenant à l'abbaye de Lure. L'origine ancienne de Dambelin pourrait s'expliquer par le défrichage de sa partie supérieure dès le VIIe siècle ou VIIIe siècle, époque où existait déjà le monastère de Lanthenans[16].

Les seigneurs de Neuchâtel[modifier | modifier le code]

Dambelin était une possession des seigneurs de Neuchâtel et faisait partie de la ""fermetey"" ainsi que Pont-de-Roide-Vermondans, Vermondans, Ortières, Rémondans et le bourg de Neuchâtel. Ce nom était donné aux villages fermés, c'est-à-dire entourés de grandes forêts.

Sur le village les Neuchâtel possédaient une grande ferme composée d'une maison de maître (dite Maison-Monsieur qui était située devant l'église) et de logements pour les fermiers, avec un jardin et plusieurs prés. À cela il faut ajouter les vastes forêts et les terres des alentours.

Les habitants de Dambelin étaient "taillable et corvéable deux fois par an, à la volonté du seigneur", de plus ils devaient assurer la garde au château de Neuchâtel. Ainsi il est dit qu'ils devaient "la clôture et l'ouverture des portes, le guet et garde au château, la garde, même de jour lorsqu'elle était commandée, le lost (service militaire à pied) et la chevaulchie (service à cheval) en temps de guerre". Ils étaient aussi astreints à la "géiste aux chiens" (le logement et la nourriture aux chiens) transformée en une rente de seize sous estevenants annuellement lorsque le seigneur partait chasser. Au XIVe siècle Thiébaud de Neuchâtel affranchissait quelques villageois à Dambelin mais gardait sur eux le pouvoir de justice ainsi que les devoirs militaires. À la St Valentin 1372 il affranchit Besançon dit Caillet, ainsi que Vuillin son fils. Le 4 avril 1375 ce fut le tour de Guillemin et Jeannin dit les Guez, qui étaient tourneurs. Puis Guillaume Boulevaulx en 1388. En 1411 c'est le tour de Girard dit Quallay d'être affranchi. Puis en 1421 c'est au tour de Jacquot Perrin et Jean Cacherdet d'acheter leurs franchises. Ces franchises n'étaient pas gratuites car les individus devaient les acheter. On connait d'autres noms de familles de Dambelain en 1398 : Voudrémont, Boulevaux, le Faivre, Payrnot dit le Pelletier, Girard dit Ledru, Maillechot[16].

En 1622 les habitants voulurent relever le presbytère qui avait été détruit pendant les guerres du XVe siècle. Pour les y aider le seigneur de Neuchâtel les dispensa de rembourser une somme d'argent qu'il leur avait prêtée sept ans auparavant[16].

Les chevaliers de Dambelin[modifier | modifier le code]

Henry de Senecey avait légué à sa fille Jeanne de Senecey (épouse d'Hugues de Grandson) les biens qu'Étienne, comte de Montbéliard lui avait cédé à Dambelin. Alors qu'elle avait renoncé à ses possessions sur le village en faveur de ce comte, elle les repris en 1390 sur la demande du comte Henri de la Roche, de Gérard de Cusance et Jean de Villersexel. En 1330 Perrenin de Dambelin reprenait une partie du fief de Thiébaud V de Neuchâtel-Bourgogne ainsi que les dîmes de Mignavillers et de Crevans[17]. Déjà au siècle précédent existait une maison de Dambelin car une donation à l'abbaye de Lieu-Croissant avait été faite par Joseph, Simon, Guy et Jeannon seigneurs de Dambelin et chevaliers[18]. À cette époque le village était partagé entre plusieurs familles noble dont Guille de Loray, veuve d'Othes d'Accolans, qui possédait à Dambelin trois familles (Pierre le Boulevot ainsi que ses deux fils Jeannin et Simonin)[16] ainsi qu'Hugues de Faucogney qui, en 1226, donna ses droits sur trois familles au religieux de Bithaine[17]. Jean ou Jeannon de Dambelin, chevalier, repris certains fiefs de Guy de Granges, seigneur de Grammont[18] ainsi que d'Eudes de Pierrefite, abbé de Cherlieu, pour ce qu'il avait à Betaucourt[17] et épousa en 1338 Alix de Raincourt. en 1380 Marguerite de Dambelin, peut-être la fille de Jean et dernière à porter le nom, épousait Jean de Saint-Mauris Sauvaget, chevalier. À partir de cette date les fiefs de Dambelin seront tenus par la Famille de Saint-Mauris-en-Montagne, ce qui expliquerait la disparition de la maison de Dambelin des textes et archives de l'époque[18]. Les armes des seigneurs de Dambelin étaient: "d'or, à trois macles de sable"[18].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1971 mars 2008 Louis Climent    
mars 2008 mai 2020 Marcel Jeannerot[19] DVD Ouvrier
mai 2020 En cours Christophe Dalongeville [20]    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].

En 2021, la commune comptait 501 habitants[Note 4], en augmentation de 3,51 % par rapport à 2015 (Doubs : +1,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
490409448467507552555527550
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
497445460391385359360352364
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
305313304268288267244301285
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
303300368405403386461483480
2018 2021 - - - - - - -
501501-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'Église Saint-Desle et Saint-Bénigne : construite en 1726. L'édifice se trouve dans le Diocèse de Belfort-Montbéliard, au sein de l'ensemble de paroisses n°36. Le curé est M. l'abbé Jean-Marie Duboz.
  • La chapelle de Mambouhans.
  • Les oratoires
  • Fontaines
  • Source de la Ranceuse, affluent rive gauche du Doubs.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • L'abbé Richard, curé de Dambelin, historien, membre de l'Académie de Besançon. A notamment publié "Essai sur l'histoire de la Maison et Baronie de Montjoie", 1860, impr. chez J. Jacquin, Besançon.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Dambelin Blason
D'or à trois macles de sable[25].
Détails
Armes de la famille de Dambelin[26].
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. https://www.habitants.fr/doubs-25
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Dambelin et Médière », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Medière », sur la commune de Médière - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Medière », sur la commune de Médière - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Jean COURTIEU, Dictionnaire des communes du département du Doubs, t. 2, BESANÇON, CÊTRE, .
  16. a b c d e et f Recherches historiques et statistiques sur l'ancienne seigneurie de Neuchâtel
  17. a b et c Histoire généalogique de sires Salins au comté de Bourgogne
  18. a b c et d Dictionnaire universel de la noblesse de france
  19. Site officiel de la préfecture du Doubs - liste des maires (doc pdf)
  20. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. « 25187 Dambelin (Doubs) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
  26. R. de Lurion, Nobiliaire de Franche-Comté, Besançon, Paul Jacquin, , 848 p. (lire en ligne sur Gallica), p. 259.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Dictionnaire universel de la noblesse de France, Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles, Bureau général de la noblesse de france, 1821, p. 366, 367.
  • Histoire généalogique des sires de Salins au comté de Bourgogne: avec des notes historiques et généalogiques sur l'ancienne noblesse de cette province, volume 1, Jean Baptiste Guillaume, 1757, p. 97, 105, 321.
  • Recherches historiques et statistiques sur l'ancienne seigneurie de Neuchâtel, au comté de Bourgogne, Jean François N.Richard, 1840, p. 18, 23, 25, 26, 34, 132, 156, 160, 172, 173, 175, 181, 185, 191.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]