Magnac-Laval

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Magnac-Laval
Magnac-Laval
L'hôtel de ville.
Blason de Magnac-Laval
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Bellac
Intercommunalité Communauté de communes Haut Limousin en Marche
Maire
Mandat
Xavier Guibert
2020-2026
Code postal 87190
Code commune 87089
Démographie
Gentilé Magnachons
Population
municipale
1 697 hab. (2021 en diminution de 3,08 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 12′ 58″ nord, 1° 10′ 04″ est
Altitude Min. 189 m
Max. 324 m
Superficie 72,22 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Châteauponsac
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Magnac-Laval
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Magnac-Laval
Liens
Site web www.magnac-laval.fr/

Magnac-Laval (Manhac la Vau en occitan marchois[1]) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation de la commune de Magnac-Laval en Haute-Vienne.

Le territoire communal est traversé par la rivière la Brame.

La commune de Magnac-Laval a une superficie de 72,2 km2. La plus grande ville la plus proche est Limoges, la préfecture, située, à vol d'oiseau, à 43,1 km au sud - sud-est.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

  • Moyenne annuelle de température : 11,4 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,2 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 898 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,5 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1995 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[9]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records MAGNAC-LAVAL (87) - alt : 246 m 46° 12′ 30″ N, 1° 11′ 12″ E
Statistiques établies sur la période 1995-2010 - Records établis sur la période du 01-03-1995 au 28-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,8 1,7 3,4 5,4 9 11,9 13,3 13,4 10,1 8,9 4,1 1,8 7,1
Température moyenne (°C) 4,9 5,4 8 10,4 14,2 17,7 19,3 19,4 15,8 13,1 7,5 4,9 11,8
Température maximale moyenne (°C) 8,1 9,1 12,6 15,3 19,4 23,4 25,2 25,4 21,4 17,3 10,9 7,9 16,4
Record de froid (°C)
date du record
−11,6
02.01.97
−18,6
06.02.12
−12,6
01.03.05
−6,2
04.04.22
−1,2
06.05.19
2,5
14.06.95
5,7
30.07.15
3,7
29.08.98
−1,6
25.09.02
−6,1
30.10.97
−9,2
24.11.98
−12,2
24.12.01
−18,6
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
19,4
28.01.24
23,7
27.02.19
25,3
31.03.21
30,6
30.04.05
31,8
26.05.05
38,7
18.06.22
40
18.07.22
39,6
06.08.03
38,1
04.09.23
32,5
02.10.23
23,4
08.11.15
18,5
17.12.15
40
2022
Précipitations (mm) 78,6 63,8 69,7 79,5 88,1 55,4 62,5 68,5 66,5 82,6 92,2 84,9 892,3
Source : « Fiche 87089003 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Magnac-Laval est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[10],[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (72,4 %), zones agricoles hétérogènes (16,6 %), terres arables (5,3 %), forêts (3,2 %), zones urbanisées (2,2 %), mines, décharges et chantiers (0,3 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Magnac-Laval est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Magnac-Laval.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[18]. 13,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1990 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Magnac-Laval est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[20].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La ville de Magnac était comprise dans la Basse-Marche. Elle porte le nom de Magnac-Laval depuis 1758, date à laquelle le marquisat de Magnac a été réuni à la baronnie d'Arnac pour former le duché de Laval, au bénéfice de Guy-André-Pierre de Montmorency-Laval.

Durant la Révolution, la commune porte le nom de Magnac-la-Montagne[21].

Le nom occitan de la commune est Manhac la Vau.

Ses habitants s'appellent les Magnachons[22].

Histoire[modifier | modifier le code]

Pour l'histoire féodale, les historiens rattachent traditionnellement Magnac-(Laval) à une famille médiévale qui en prend le nom et qui commencerait aux alentours de l'an mil avec Etienne de Magnac, suivi notamment par des Etienne et des Ithier de Magnac. Cette dynastie seigneuriale serait apparentée aux anciens seigneurs de Montmorillon[23],[24],[25],[26]. Puis l'héritière Belle-Assez de Magnac, fille d'Ithier, sénéchal de Saintonge, et petite-fille d'Ithier et Belle-Assez de Brosse, épouse dans la 2e moitié du XIVe siècle, vers 1374, Guy(on) II de Sully-Beaujeu.

  • Leur petite-fille Marie de Sully/de Seuly († v. 1432 ; fille de Geoffroy de Sully, dont certains auteurs disent que c'est en fait lui le mari de Belle-Assez de Magnac ?), dame de Magnac, convole avec Jacques (de) Brachet, écuyer, seigneur de Peyrusse/Pérusse, Sala(i)gnac, Montaigu(t) (Saint-Valéry/Saint-Vaury), chambellan du roi, sénéchal du Limousin, fils de Jean (de) Brachet (voir l'article Pérusse > note 2). Le règne des Brachet se termine vers la mi-XVIe siècle avec Claude (de) Brachet de Palluau, qui doit se séparer de la baronnie de Magnac vers 1554[27], probablement au profit d'Antoine de Neuville qu'on trouve ensuite comme sire de Magnac.

Ce schéma classique doit-il être mis en cause, les Etienne et les Ithier de Magnac pouvant se rattacher plutôt à Magnac/Migné en Poitou (mais il existe aussi Migné en Brenne, aux marges du Berry et du Poitou), et non à Magnac-(Laval) en Marche ?[28] Si cela est avéré, les Magnac ont-ils possédé à la fois Migné et Magnac-(Laval) ; ou bien Magnac-(Laval) est-elle venue aux Sully ou aux Brachet par une autre origine ?

Quoi qu'il en soit, Marguerite de Neuville, fille d'Antoine de Neuville, marie vers 1583 Horace de Bonneval (attaché au duc d'Alençon puis à Henri III, tué aux Barricades de Tours en 1587/1588 ; sa branche de la famille de Bonneval avait hérité de Salaignac et Montaigut, et une autre branche était liée à Magnac/Magnat par le fief de Montvert[29]) :

Guerre d'Espagne, Seconde Guerre mondiale et Shoah[modifier | modifier le code]

Sous le gouvernement de Vichy, la commune de Magnac-Laval est le site d'un camp d'internement de 1939 à 1945[31].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Début Fin Identité Étiquette Qualité
1800 1813 Decressac Bachellerie
1813 1830 François Léonard Jevardat de Fombelle
1830 1840 Jean-Baptiste Bigaud Bellevue
1840 1863 Hippolyte Gui Théobald Beilot
8/02/1863 11/06/1863 François Théodore Paquet
1863 1870 Pierre Chausserie-Laprée
1870 1870 A. Bertrand
1870 1871 Jules Bigaud-Dumonard
1871 1878 Armand Daubin
1878 1888 Jules Bigaud-Dumonard
1888 1892 Gustave Rebeyrol
1892 1913 Amable Dubrac de Feux Médecin
1913 1919 Roger Dubrac de Feux Médecin
1919 1942 Camille Grellier
1942 1953 Henri Bancel
1953 1965 Bernard Penot
1965 1971 Claude Giboin
1971 1983 Jacques Mayeras
1983 1988 Bernard Babarit
1988 1995 Claude Clapaud
1995 2020 Jean-Bernard Jarry
2020 en cours Xavier Guibert

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[32].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].

En 2021, la commune comptait 1 697 habitants[Note 6], en diminution de 3,08 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 9362 6242 7772 9363 4553 4363 5673 5613 516
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 4183 3513 4273 2393 6354 0184 1074 6994 109
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 7553 9553 8333 0902 8462 6652 6882 6032 668
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
2 7772 6252 5992 3722 2661 9782 0101 9781 810
2015 2020 2021 - - - - - -
1 7511 7051 697------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

La bourgade est connue pour la procession de Neuf lieues dédiée à saint Maximin qui se déroule chaque année le lundi de Pentecôte.

Marchant dans la campagne sur plus de 50 km en contournant la commune, les pèlerins avec une couronne de fleurs blanches et vertes autour du cou, partent la nuit à h 30 et ne rentrent qu'à la tombée du jour vers 20 h 30.

Église Saint-Maximin.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de la ville de Magnac-Laval

Les armes de la commune de Magnac-Laval se blasonnent[39] ainsi :

« De sable, à deux barres d'argent. »[40]

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. (fr + oc) Institut d'études occitanes du Limousin, « En Lemosin : La croix et la bannière », sur 7alimoges.tv ; site officiel de la chaîne télévisée 7 à Limoges,  : « Nous avons suivi la procion en 2014, guidés par de vieux habitués, qui nous ont fait partager, en occitan limousin et en marchois car Magnac se trouve tout au nord de l'aire culturelle occitane), leur longue expérience de dévotion et d’observation participante. ».
  2. Carte IGN sur Géoportail
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  4. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  9. « Fiche du Poste 87089003 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Magnac-Laval », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. « Nom des habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
  23. « Belle-Assez de Brosse, fille de Roger de Brosse, mariée en 1293 à Ithier de Magnac en Limousin et de Cluis en Berry, p. 246 », sur Nobiliaire du Limousin, par l'abbé Joseph Nadaud (1712-1775), t. Ier, chez la Veuve Henri Ducourtieux, à Limoges, 1882.
  24. « Emeric et son fils Ithier de Magnac, barons de Montmorillon en 1220 et 1233, p. 416 », sur Dictionnaire de la Noblesse de France, t. XIV, par François-Alexandre Aubert de La Chesnaye des Bois et Jacques Badier, chez Schlesinger Frères, à Paris, 1869.
  25. « Etienne de Magnac (-Laval), 995 », sur Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin, t. XI, à Limoges, 1861, p. 56.
  26. « Ithier de Magnac, sénéchal de Saintonge (1re moitié du XIVe siècle) », sur Geneanet Pierfit.
  27. « Famille de Brachet, notamment p. 10 et 14 », sur Généalogie de la Maison de Brachet, par Louis Pataux, chez la Veuve Henri Ducourtieux, à Limoges, 1885.
  28. « Les De Magnac »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Seigneurs et fiefs des Montmorillon, par Jacques Duguet (1922-2020).
  29. « La Maison de Bonneval, p. 498-512, notamment p. 506 », sur Dictionnaire de la Noblesse de France, t. III, par François-Alexandre Aubert de La Chesnaye des Bois et Jacques Badier, chez Schlesinger Frères, à Paris, 1863.
  30. « La Maison de Salignac de Fénelon, p. 217-221, p. 218 notamment », sur Dictionnaire de la Noblesse de France, t. XVIII, par François-Alexandre Aubert de La Chesnaye des Bois et Jacques Badier, chez Schlesinger Frères, à Paris, 1873.
  31. « Magnac-Laval en 1939-1945 », sur ajpn.org.
  32. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. « Église Saint-Maximin », notice no PA00100385, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. Fiche sur le site de l'Ordre de la Libération
  38. (es) joselito, « Dolores Prat Coll (Vida y obra) », sur SOBRE LA ANARQUÍA Y OTROS TEMAS (VIDA, OBRA Y BIOGRAFIAS DE ACTIVISTAS, LUCHADORAS Y LUCHADORES ANARQUISTAS) II., .
  39. « Les armoiries de la commune », sur blason-des-villes.e-monsite.com (consulté le ).
  40. Malte-Brun, dans La France illustrée, tome V, 1884