Macau (Gironde)

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Macau
Macau (Gironde)
L'hôtel de ville.
Blason de Macau
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Bordeaux
Intercommunalité Communauté de communes Médoc Estuaire
Maire
Mandat
Chrystel Colmont-Digneau
2020-2026
Code postal 33460
Code commune 33262
Démographie
Gentilé Macaudais
Population
municipale
4 527 hab. (2021 en augmentation de 11,83 % par rapport à 2015)
Densité 231 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 00′ 33″ nord, 0° 36′ 46″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 26 m
Superficie 19,56 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Macau
(ville isolée)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sud-Médoc
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Macau
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Macau
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Macau
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Macau
Liens
Site web www.ville-macau.fr/

Macau est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Ses habitants s'appellent les Macaudais/Macaudaises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Macau, traversée par le 45e parallèle nord, est de ce fait située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km). Commune de l'aire d'attraction de Bordeaux située dans le Médoc sur la rive gauche de l'estuaire de la Gironde, dans la zone de production du haut-médoc.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Margaux-Cantenac, Ludon-Médoc, Ambès, Arsac, Bayon-sur-Gironde, Labarde, Le Pian-Médoc et Cantenac.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La Garonne et l'estuaire de la Gironde bordent l'est de la commune.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 927 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Gervais à 11,88 km à vol d'oiseau[5], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 824,9 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Macau est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Macau, une unité urbaine monocommunale[12] de 4 527 habitants en 2021, constituant une ville isolée[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : eaux continentales[Note 3] (20,3 %), cultures permanentes (20,1 %), zones agricoles hétérogènes (13,7 %), prairies (12,7 %), forêts (12,3 %), zones urbanisées (9,6 %), terres arables (9,6 %), zones humides côtières (1,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Macau est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, et le risque industriel[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bordeaux, regroupant les 28 communes concernées par un risque de submersion marine ou de débordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[20]. Les crues significatives qui se sont produites au XXe siècle, avec plus de 6,70 m mesurés au marégraphe de Bordeaux sont celles du (7,05 m, débit de la Garonne de 700 m3/s), du (6,85 m, 1500 à 2 000 m3/s), du (6,84 m, 4 000 m3/s), du (6,77 m, 1 000 m3/s) et du (6,73 m, 2 700 m3/s). Au XXIe siècle, ce sont celles liées à la tempête Xynthia du (6,92 m, 816 m3/s) et du (6,9 m, 2500 à 3 000 m3/s). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[21]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1985, 1988, 1999, 2009, 2018 et 2020[22],[18].

Macau est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[23]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[24],[25].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Macau.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 84,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 610 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 610 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[28].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Ce toponyme gascon était jadis documenté sous les formes Maquau ou Macquau (1273), Machau (1311, 1359)[29]. Ce nom proviendrait d'un terme présumé *machalus[29]. On notera qu'en 1190, le canal séparant l'île de Machanina (aujourd'hui soudée à la terre ferme) se nommait déjà la Maqueline[réf. nécessaire] (deux variantes de *machalina, un dérivé du toponyme).

Deux théories ont été avancées pour tenter d'élucider la signification du toponyme Macau :

  • en latin, malum cavum signifie 'mauvais creux'. Il s'agirait d'une contraction de ces termes, qui aurait dû donner *maucau, une formation par ailleurs inconnue en toponymie gasconne ;
  • le mot macallus désigne une fosse[réf. nécessaire] et pourrait être à l'origine du nom de cette commune.

À noter qu'au Moyen Âge, le bateau assurant les liaisons entre la moyenne et la basse Garonne, s'appelait un macau[30]. Ce nom est vraisemblablement emprunté à celui de la commune.

Macau étant en Médoc, pays gascon, la plupart des lieux-dits anciens y sont explicables par le gascon, par exemple le Castéra, le Junca, les Garrabas, le Plantey, (la ?) Haoure, Pichelèbre, le Caminot de Sauve[31]...

Histoire[modifier | modifier le code]

Le bourg de Macau existerait depuis l'époque gallo-romaine, comme semblent le prouver des traces de voies romaines découvertes à Gironville.

La ville connut une destruction au IXe siècle par les Normands.

Un texte de 1027 stipule que Guillaume V, duc d'Aquitaine et comte de Poitiers, fit donation au monastère Sainte-Croix de Bordeaux, de l'église Sainte-Marie-de-Macau et de l'île adjacente de Macau.

Un souterrain reliait le château fort de Gironville à l'église de Macau. Pour des raisons de sécurité, il a été muré à son entrée sous le clocher de l'église[réf. nécessaire]. Des pans de murs ont été trouvés dans les vignobles qui séparaient Gironville du clocher-donjon.

La légende rapporte que le château fort de Gironville aurait été peint avec le sang des anglais lors de la guerre de cent ans. Pour faire perdurer cette légende l'actuel château de Gironville, de construction beaucoup plus récente, est toujours peint en rouge.

Le port de Macau est situé sur le bord de la Garonne à 800 mètres de l'église. Ce petit port comportait une cale sur laquelle étaient roulées les barriques de vin qui étaient ensuite embarquées sur des gabares pour rejoindre les chais des négociants bordelais. Un petit chantier naval a été en activité jusque dans les années 1960, quelques bateaux de plaisance en bois y ont été construits.

Une petite morgue aurait aussi existé dans ce port car les courants du fleuve déposaient les corps des malheureux naufragés sur ces rivages.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes

Les armes de Macau se blasonnent ainsi :

Taillé, au premier d’azur à la nef équipée et habillée d’argent voguant sur une rivière de trois filets ondés de sable, au deuxième de sable à l’église du lieu d’argent ajourée du champ ; à la barre d’or brochant sur la partition et chargée en abîme d’un artichaut de sinople accompagné, en chef et en pointe, de deux grappes de raisin de gueules tigées et vrillées de sable, le tout posé à plomb[32].

L'artichaut évoque la variante introduite au début du XIXe siècle par le pépiniériste et botaniste Toussaint-Yves Catros, qui sous le nom d'artichaut de Macau fut largement cultivé par les maraîchers locaux. Cet artichaut n'est plus cultivé aujourd'hui.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Macau appartient à l'arrondissement de Bordeaux et au canton du Sud-Médoc créé lors du redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, elle était rattachée au canton de Blanquefort.

Pour l’élection des députés, la commune fait partie de la cinquième circonscription de la Gironde, représentée depuis 2017 par Benoît Simian (MRSL, ex-LREM).

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Depuis 2002, Macau est membre de la communauté de communes Médoc Estuaire.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 3 500 et 4 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 27[33].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Maire en 1901 ? Armand Lalanne[34]    
Les données manquantes sont à compléter.
Maire en 1953 ? M. Lagunegrand    
? ? Jean Fournier    
Maire en 1971 ? Jacques Goigoux   Pharmacien
1980[35] Jean Macé PS Ingénieur
mars 1989[36] Jean-Claude Vergès DVG Réélu en 1995 et 2001
mars 2008 En cours
(au 26 mai 2020)
Chrystel Colmont-Digneau[37] DVG (ex-PS) Chargée de mission puis chef de projet
1re vice-présidente de la CC Médoc Estuaire[38]
Réélue en 2014[39] et 2020
Les données manquantes sont à compléter.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[41].

En 2021, la commune comptait 4 527 habitants[Note 4], en augmentation de 11,83 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 8001 2891 3741 4301 4921 5261 5821 6261 630
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5871 7051 8051 7971 9201 9342 0491 8851 906
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9311 9121 7311 4721 4451 3731 2831 2861 448
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 8012 0172 0652 3492 6482 8903 1543 1963 447
2014 2019 2021 - - - - - -
3 9444 4104 527------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Galerie de photos[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 27 février 2013.
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Macau et Saint-Gervais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Gervais » (commune de Saint-Gervais) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Gervais » (commune de Saint-Gervais) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Macau », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Macau », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Cartographie des risques d'inondations du TRI de Bordeaux », sur nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  23. « Le risque feux de forêts. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  27. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Macau », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  28. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
  29. a et b Bénédicte Boyrie-Fénié, Institut occitan, Dictionnaire toponymique des communes de Gironde, Pau, Éditions Cairn, , 402 p. (ISBN 978-2-35068-012-5)..
  30. La poésie de Du Bartas « pour l'accueil de la reine de Navarre, faisant son entrée à Nérac... » (XVIe siècle) fait mention d'un macau, dont le sens exact n'est pas connu mais le sens de barque ou d'esquif convient : Un poème trilingue de Du Bartas.
  31. « Lòcs / Lieux-dits gascons de Macau - Gasconha.com »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur gasconha.com (consulté le ).
  32. GASO - Banque du blason - 33262.
  33. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  34. Bonin, Hubert, « Crédit agricole et combat politique en Gironde à l'orée du XXe siècle », Annales du Midi, Persée - Portail des revues scientifiques en SHS, vol. 105, no 201,‎ , p. 65–91 (DOI 10.3406/anami.1993.2344, lire en ligne Accès libre, consulté le ).
  35. À la suite de la démission de son prédécesseur, une élection municipale partielle est organisée et il devient maire.
  36. « Jean-Claude Vergès, maire malgré lui », Sud Ouest,‎ , p. 20
    « Depuis le 12 mars, Jean-Claude Vergès est le nouveau maire de Macau. ».
  37. Macau sur le site de l'Association des Maires de France (consulté le 21 octobre 2019)
  38. Fiche de Madame COLMONT-DIGNEAU Chrystel, sur cc-medoc-estuaire.fr
  39. « Chrystel Colmont-Digneau a gardé l’écharpe », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
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  41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  47. http://www.3rskateparks.com/fr/skate-roller-news-zoom,bmx,nouveautes,id,320.html
  48. http://3rplayground.weebly.com/references-terrains-multisports.html