Lycée Saint-Louis-de-Gonzague
Lycée Saint-Louis-de-Gonzague | |
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Devise | Des hommes et des femmes avec et pour les autres |
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Généralités | |
Création | 28 septembre 1894 |
Pays | ![]() |
Coordonnées | 48° 51′ 34″ nord, 2° 17′ 09″ est |
Adresse | 12, rue Benjamin-Franklin 75116 Paris |
Site internet | www.franklinparis.fr |
Cadre éducatif | |
Appellation | Franklin, le collège jésuite de Paris |
Type | Établissement d'enseignement privé catholique sous contrat d'association avec l'État |
Directeur | Laurent Poupart |
Localisation | |
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Le lycée Saint-Louis-de-Gonzague est un établissement d'enseignement privé catholique sous contrat, communément appelé « Franklin » en référence à la rue Benjamin-Franklin où il est situé, dans le 16e arrondissement de Paris. Fondé en 1894, il tient son nom officiel de Louis de Gonzague (1568-1591), étudiant jésuite reconnu saint par l'Église. L'établissement est dirigé par les jésuites et ses élèves sont appelés « Franklinois ».
Sommaire
Localisation et sociologie[modifier | modifier le code]
- Le « petit collège » (école primaire) se trouve rue Louis-David.
- Le collège et le lycée se situent rue Franklin devenue la rue Benjamin-Franklin en 1988.
- Les classes préparatoires sont avenue de Camoëns.
Tous ces locaux se situent dans le 16e arrondissement de Paris. La rue Benjamin-Franklin et l'avenue de Camoëns sont perpendiculaires l'une à l'autre.
Sa localisation géographique et son excellence académique font que le lycée est essentiellement fréquenté par des enfants de la haute bourgeoisie de l'Ouest parisien[1],[2]. Celui-ci a fait l'objet d'études par les sociologues Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot[3] dans l'étude de la reproduction des élites.
Histoire[modifier | modifier le code]
Le « petit externat du Trocadéro » est inauguré le 28 septembre 1894, alors que l'Ouest parisien s'urbanise peu à peu[4]. Dernier ouvert des établissements jésuites de la capitale, il reste le seul après la fermeture des collèges des rues de Madrid et de Vaugirard. Il est agrandi peu à peu grâce à des opérations immobilières menées dans le voisinage immédiat.
Le « petit externat » est alors dirigé par des pères jésuites et le père Barbier, recteur de l'école Saint-Ignace, rue de Madrid. Dès la rentrée 1895, le collège compte 75 élèves de la classe de dixième à la classe de cinquième. En trois ans, les effectifs du collège grimpent à 220 élèves ; et bien que ralenti par les lois de 1901, Franklin ouvre tout de même des classes sans autorisation. L'établissement compte alors, en 1920, 885 élèves. Une association amicale regroupant les anciens élèves est créée en 1920. En 1922 est élaborée la revue de l'école Entre-Nous.
En 1923, Franklin subit la menace d'une mise en vente consécutive aux différents procès perdus depuis les lois anticléricales. Sous l'autorité du nouveau recteur, le père de La Chapelle, l'établissement est racheté par la Société immobilière de Passy.
À l'initiative de son directeur, le père François Berlier de Vauplane, le bâtiment de la rue Franklin est reconstruit de 1933 à 1935 par l'architecte Henry Violet. Le chœur de la chapelle (réalisée en béton armé) est décoré d'une fresque représentant les principaux épisodes de la vie de saint Louis de Gonzague, œuvre d'Henri de Maistre, directeur des Ateliers d'art sacré. Cela lui vaut d'être inscrit en 1993 à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques[5].
L'établissement possède quatre cours de récréation, dont trois sont sur les toits des bâtiments, une salle de tennis de table et un gymnase en sous-sol.
D’anciennes carrières (les carrières de Chaillot) en piliers maçonnés se trouvent sous l'établissement[6]. Elles furent utilisées comme champignonnières.
Le père Arlot puis le père Datin devront gérer l'établissement durant la Seconde Guerre mondiale. Pendant cette période, les effectifs sont fluctuants et les cours sont assurés dans les caves de la rue Franklin ou de la rue Le Tasse. En 1942, le père Datin acquiert une propriété rue Louis-David pour y ouvrir le « petit collège » (école primaire, équivalent d’un « petit lycée »). Le père de la Bouillerie, alors préfet des études, se charge de la transaction immobilière. À la fin de la guerre, en 1945, Franklin compte 1 100 élèves.
En 1956, Franklin compte 24 pères, 66 professeurs laïcs et 10 surveillants laïcs. Durant les années 1950, de nombreux nouveaux cours sont donnés : grec ancien, audiovisuel, ateliers d'imprimerie.
En 1968, une femme, Mlle de Follin, est nommée directrice du petit collège. En 1969, un laïc est nommé préfet du collège. Durant cette période, Franklin commence à se laïciser avec une diminution du nombre de religieux dans l'équipe éducative. En 1978, le collège compte 9 pères pour 86 professeurs.
L'année 1980 est une année de révolution, Franklin s'ouvre à la mixité. Puis, en 1986, des classes préparatoires ECE voient le jour. Enfin, en 1990, une femme, Françoise Bouissou, rentre à la direction de Franklin.
Dans les années 1990, de nombreux travaux sont effectués au petit et grand collège pour répondre à un accroissement des effectifs. Le cadre de vie et les conditions de travail sont améliorés.
Sous la direction de Laurent Poupart, de nouveaux travaux sont lancés afin d'agrandir encore l'établissement, notamment en construisant un nouveau bâtiment pour les classes préparatoires.
Particularité de l'enseignement[modifier | modifier le code]


De tradition ignacienne, l'établissement va des classes de maternelle au lycée (sections S et ES, jusqu'à la réforme de 2018), en passant par une école primaire et un collège. Les différentes options proposées dès la seconde sont : théâtre, sciences économiques et sociales, arts plastiques, musique, histoire des arts, mesures physiques informatiques (MPI), chinois mandarin, latin ou grec. Le lycée est devenu mixte à partir de 1980 et dispose d'une filière de classes préparatoires ECE depuis 1986. Le lycée a ouvert en 2013 une classe « soleil », accueillant six enfants autistes avec la présence de six accompagnateurs[7].
L'accent est mis sur l'apprentissage des langues vivantes dès le CE. L'établissement propose des échanges internationaux, s'appuyant notamment sur le réseau des écoles jésuites. Ainsi les élèves peuvent découvrir l'Allemagne, le Royaume-Uni, l'Autriche, les États-Unis, l'Espagne, mais aussi Porto Rico ou encore l'Australie.
La pédagogie insiste sur la recherche de l'excellence, ce qui se traduit par de fortes exigences académiques, mais aussi un fort accent sur le développement personnel. Ainsi, la Maîtrise (maîtrise Saint-Louis de Gonzague, anciennement Petits Chanteurs de Chaillot) participe de cette pédagogie et rassemble de jeunes élèves à partir de leur entrée au collège, en les formant dès le primaire ; elle a donné plusieurs concerts au Vatican et dans le monde entier.[réf. nécessaire] Les grandes paroisses parisiennes, telles que Saint-Roch, y ont souvent recours.
Les « Journées missionnaires » (JM) sont l'occasion de rassembler la communauté des anciens et actuels élèves et de leurs familles autour de nombreuses activités afin de récolter des fonds pour les œuvres missionnaires. Chaque classe de collège est notamment chargée d'organiser un stand de jeu propre ; une récompense est adressée à la classe dont le stand est le plus fréquenté.
L'établissement a plusieurs équipes sportives, avec du rugby à XV[8] et du basket-ball, du tennis de table et du badminton évoluant dans les compétitions régionales[9],[10],[11].
Organisation[modifier | modifier le code]
Le « petit collège »[modifier | modifier le code]
Le primaire compte au total 20 classes :
- Classe « Soleil »
- Petite section (Jardin d'enfant 1re année)
- Moyenne section (Jardin d'enfant 2e année)
- 2 classes de maternelle (douzième)
- 3 classes de CP (onzième)
- 3 classes de CE1 (dixième)
- 3 classes de CE2 (neuvième)
- 3 classes de CM1 (huitième)
- 3 classes de CM2 (septième)
Le petit collège a son propre directeur, actuellement Françoise Llanos.
Le collège[modifier | modifier le code]
Le collège compte 24 classes :
- 6 classes de sixième
- 6 classes de cinquième
- 6 classes de quatrième
- 6 classes de troisième
Chaque niveau est dirigé par un préfet des études.
Résultats au brevet[modifier | modifier le code]
Le collège obtient parmi les meilleurs résultats de France à l'examen du diplôme national du brevet. En 2015, 98,8 % des élèves obtiennent une mention, permettant ainsi à Saint-Louis-de-Gonzague de se classer 1er du département de Paris au palmarès des collèges[12].
Le lycée[modifier | modifier le code]
Le lycée compte 15 classes pour environ 500 élèves :
Le préfet des études des classes de seconde est le même que celui des classes de troisième. Enfin, il y a un préfet des études responsable des élèves en filière scientifique, et un autre responsable des élèves en filière économique et sociale.
Résultats au baccalauréat[modifier | modifier le code]
Depuis 2006, le lycée a toujours obtenu plus de 95 % de mentions au baccalauréat[13].
En 2015, Saint-Louis-de-Gonzague obtient un taux de 66,89 % de mention très bien au baccalauréat, se classant ainsi quatrième meilleur lycée de France si l'on se base sur ce critère[14].
En 2015, le lycée se classe 16e sur 109 au niveau départemental en termes de qualité d'enseignement, et 180e au niveau national[15]. Le classement s'établit sur trois critères : le taux de réussite au bac, la proportion d'élèves de première qui obtient le baccalauréat en ayant fait les deux dernières années de leur scolarité dans l'établissement, et la « valeur ajoutée » (calculée à partir de l'origine sociale des élèves, de leur âge et de leurs résultats au diplôme national du brevet)[16].
En 2016, Saint-Louis-de-Gonzague enregistre un taux record de mentions très bien au baccalauréat : 91,9 % pour la filière S et 89,2 % pour la filière ES, soit une moyenne de 90,7 %[17]. Le taux de mentions reste par ailleurs de 100 %.
En 2017, Saint-Louis-de-Gonzague est, avec Stanislas, le seul lycée de France à obtenir 100 % de mentions au baccalauréat[18]. L'établissement obtient par ailleurs 79,9 % de mentions très bien[19]. Les résultats de Saint-Louis-de-Gonzague en 2017 font du lycée le meilleur de France en termes de mention très bien en S comme en ES. Le lycée obtient en effet 88 % de mentions très bien en S et 67 % en ES ce qui le classe en S comme en ES devant tous les autres lycées de France[20].
En 2018, Saint-Louis-de-Gonzague est classé 1er lycée de France en proportion de mentions « très bien » (83,4 %)[21].
Année | Nombre de candidats présentés au baccalauréat |
Pourcentage de reçus |
Pourcentage de mentions |
Pourcentage de mentions TB |
---|---|---|---|---|
2006 | 166 | 99 % | 95 % | 23 % |
2007 | 157 | 100 % | 97 % | 36 % |
2008 | 151 | 100 % | 97 % | 24 % |
2009 | 157 | 100 % | 98 % | 27 % |
2010 | 157 | 100 % | 99 % | 31 % |
2011 | 157 | 100 % | 100 % | 45 % |
2012 | 148 | 100 % | 100 % | 64 % |
2013 | 146 | 100 % | 100 % | 76 % |
2014 | 148 | 100 % | 99 % | 67 % |
2015 | 161 | 100 % | 100 % | 63 % |
2016 | 151 | 100 % | 100 % | 91 % |
2017 | 154 | 100 % | 100 % | 80 % |
2018 | 155 | 100 % | 100 % | 83 % |
Résultats au concours général[modifier | modifier le code]
Année | 2006 | 2007 | 2008 | 2009 | 2010 | 2011 | 2012 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | 2018 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Nombre de lauréats | 1 | 2 | 3 | 2 | 4 | 4 | 6 | 1 | 2 | 2 | 9 | 10 | 11 |
Les classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE)[modifier | modifier le code]
Les classes préparatoires économiques et commerciales (ECE) sont composées de 2 classes de première année et 2 classes de deuxième année, pour un total d'environ 160 élèves.
Classement des CPGE[modifier | modifier le code]
Le classement national des CPGE se fait en fonction du taux d'admission des élèves dans les écoles.
En 2015, L'Étudiant donnait le classement suivant pour les concours de 2014 :
Filière | Élèves admis dans une grande école* |
Taux d'admission* |
Taux moyen sur 5 ans |
Classement national |
Évolution sur un an |
---|---|---|---|---|---|
ECE [27] | 44 / 77 élèves | 57 % | 55 % | 5e sur 105 |
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Source : classement 2015 des prépas — L'Étudiant (concours de 2014). * le taux d'admission dépend des grandes écoles retenues par l'étude. Par exemple, en filière ECE et ECS, ce sont HEC, ESSEC, et l'ESCP qui ont été retenues. |
Franklin est également la CPGE ayant envoyé le plus d'élèves à HEC Paris, en valeur absolue, depuis 2010, pour la filière ECE du concours d'entrée en première année[28]. Le concours en voie ECE ne représente cependant que 30 % des places d'entrée en première année, et seulement 20 % des effectifs de la grande école à cause des filières d'entrée sur concours en deuxième année[29].
Anciens professeurs[modifier | modifier le code]
- François Berlier de Vauplane
- Rémi Gousseau
- Alain Maucorps
- Brigitte Macron
- André Baudry[30]
- Miklós Bajomi
Anciens élèves[modifier | modifier le code]
- Monde des affaires
- Charles-Édouard Bouée (né en 1969), PDG de Roland Berger – promotion 1986
- Baudouin Prot (né en 1951), ancien PDG de BNP Paribas – promotion 1969
- Xavier Fontanet (né en 1948), ancien PDG d'Essilor – promotion 1966
- Bruno Lafont (né en 1956), PDG de Lafarge – promotion 1976
- Jacques-Antoine Granjon (né en 1962), fondateur et PDG de vente-privee.com – promotion 1980
- Bruno Ledoux (né en 1964), président du conseil de surveillance du journal Libération – promotion 1982
- François Villeroy de Galhau (né en 1959), gouverneur de la Banque de France – promotion 1976
- Augustin Paluel-Marmont (né en 1976), cofondateur de Michel et Augustin – promotion 1994
- Michel de Rovira (né en 1976), cofondateur de Michel et Augustin – promotion 1994
- Henry Dougier (né en 1936), entrepreneur et éditeur, fondateur des Éditions Autrement – promotion 1954
- Jean-Louis Servan-Schreiber (né en 1937), entrepreneur et journaliste, fondateur de L'Expansion – promotion 1954
- Édouard Tétreau (né en 1970), entrepreneur et fondateur de Mediafin – promotion 1988
- Christophe Blanchy (né en 1961), banquier, directeur général de SODICA – promotion 1989
- Jean-Claude Meyer (né en 1945), banquier – promotion 1963
- Sindika Dokolo (né en 1972), collectionneur d'œuvres d'art – promotion 1990
- Imad Lahoud (né en 1967), informaticien et banquier – promotion 1985
- Louis Albert de Broglie (né en 1963), entrepreneur en agroécologie
- Politiques et hauts fonctionnaires
- François de Grossouvre (1918-1994), conseiller du président de la République François Mitterrand – promotion 1935
- Michel Poniatowski (1922-2002), ministre de l’Intérieur (1974 à 1977), ministre de la Santé (1973 à 1974), député européen, sénateur, député – promotion 1940
- Luc Chatel (né en 1964), ministre de l'Éducation (2009 à 2012), député – promotion 1982
- Bruno Le Maire (né en 1969), ministre de l'économie et des finances (depuis 2017), ministre de l'Agriculture (2009 à 2012), secrétaire d'État, député[31] – promotion 1986
- Louis de Guiringaud (1911-1982), ministre des Affaires étrangères (1976 à 1978), ambassadeur — promotion 1928
- Jean-François Deniau (1928-2007), ministre, secrétaire d'État, commissaire européen, ambassadeur, député – promotion 1945
- Xavier Deniau (1923-2011), secrétaire d'État, député – promotion 1940
- Henri Plagnol (né en 1961), secrétaire d'État, député, conseiller général – promotion 1978
- Georges Tron (né en 1957), secrétaire d'État, député – promotion 1975
- Xavier de La Chevalerie (1920-2004), diplomate français – promotion 1936
- Olivier Brault (né en 1963), haut fonctionnaire, directeur de la Croix-Rouge française – promotion 1981
- Jacques Perot (né en 1945), haut fonctionnaire, conservateur et historien – promotion 1963
- Sean McBride (1904-1988), homme politique irlandais, fondateur d'Amnesty International et prix Nobel de la paix
- Xavier de Lesquen (né en 1962), haut fonctionnaire, conseiller d'État
- Jean Messiha (né en 1970), haut fonctionnaire, homme politique – promotion 1989
- Artistes
- Michel Galabru (1922-2016), comédien – promotion 1941
- Christophe Loizillon (né en 1953), réalisateur de cinéma et scénariste – promotion 1972
- Arnaud Dumond (né en 1955), guitariste concertiste et compositeur
- Antoine de Margerie (1941-2005), peintre – promotion 1959
- Régis Wargnier (né en 1948), réalisateur de cinéma – promotion 1965
- Écrivains
- Régis de Saint-Jouan (1921-2005), écrivain, historien et archiviste – promotion 1937
- Hubert Monteilhet (né en 1928), écrivain, auteur de romans policiers et de romans historiques
- François de Negroni (né en 1945), écrivain et sociologue.
- Bruno Tellenne dit « Basile de Koch » (né en 1951), écrivain et chroniqueur – promotion 1968
- Christian Combaz (né en 1954), écrivain et journaliste
- François Sureau (né en 1957), écrivain, lauréat du grand prix du roman de l'Académie française – promotion 1974
- Baudouin Eschapasse (né en 1971), écrivain et journaliste
- Aliette de Bodard (née en 1982), écrivain de science fiction
- Louis-Henri de La Rochefoucauld (né en 1985), écrivain – promotion 2003
- Religieux
- Guy Thomazeau (né en 1937), archevêque métropolitain de Montpellier – promotion 1955
- Charles Vandame (né en 1928), archevêque de N'Djamena – promotion 1946
- Bernard Plongeron (né en 1931), prêtre et théologue
- Thibault Verny (né en 1965), évêque auxiliaire et vicaire général de Paris – promotion 1984
- Sportifs
- Yves du Manoir (1904-1928), joueur de rugby, international français – promotion 1920
- Michel Marret (1910-1995), joueur de badminton, président du Racing Club de France – promotion 1927
- Henry Chavancy (né en 1988), joueur de rugby, international français
- Pascal Hérold, navigateur
- Militaires
- Honoré d'Estienne d'Orves (1901-1941), officier de marine, martyr de la Résistance – promotion 1918
- Jacques Massu (1908-2002), officier général
- Thierry Cambournac (né en 1953), officier général – promotion 1971
- Journalistes
- Jean-Baptiste Giraud (né en 1972), fondateur et directeur de la rédaction d'Économie matin, chroniqueur à RTL – promotion 1990
- Léa Salamé (née en 1979), journaliste sur France 2 et France Inter
- Historien
- Philippe Ariès (1914-1984)
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « Immobilier : habiter près des meilleurs lycées de France, combien ça coûte ? » (consulté le 29 août 2015).
- « Saint-Louis de Gonzague, le lycée très prisé des riches de l'Ouest parisien » (consulté le 29 août 2015).
- Sociologie de la bourgeoise, La Découverte, 2003.
- « Histoire de Franklin », sur http://franklinparis.fr/.
- Notice no PA00125449, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Atlas du Paris souterrain, Parigramme, p. 61.
- « Nous Soutenir », sur franklinparis.fr (consulté le 11 mars 2017).
- Sur le site zomobo.net.
- Sur le site udb.unss.org.
- Sur le site udb.unss.org.
- Sur le site udb.unss.org.
- « Palmarès des collèges 2015 - 75 - Paris », sur france-examen.com (consulté le 23 décembre 2015).
- « Saint-Louis de Gonzague », sur franklinparis.fr (consulté le 29 août 2015).
- « Bac : le palmarès des mentions très bien », sur Le Figaro Etudiant (consulté le 18 décembre 2015).
- Classement départemental et national du lycée.
- Méthodologie du classement national des lycées français.
- « Mentions bac 2016 » [PDF], sur franklinparis.fr, (consulté le 16 octobre 2016).
- « Palmarès des lycées 2018 : les établissements qui obtiennent le plus de mentions au bac », Le Figaro Etudiant, (lire en ligne, consulté le 21 mars 2018).
- « Baccalauréat 2017 », sur franklinparis.fr (consulté le 5 avril 2018).
- « Le palmarès des lycées ayant décroché le plus de mentions très bien », FIGARO, (lire en ligne, consulté le 16 mai 2018).
- le figaro, « Mentions très bien au bac 2018 : le classement des 100 meilleurs lycées de France », sur Le Figaro Etudiant (consulté le 16 janvier 2019).
- Baccalauréat Saint-Louis-de-Gonzague Mentions (lire en ligne).
- Philippe Cournarie, « Baccalauréat 2017 », Revue Franklin, , p. 57.
- « Résultats baccalauréat 2018 », SAINT-LOUIS DE GONZAGUE, , p. 1 (lire en ligne).
- « Concours général des lycées et des métiers - Palmarès du Concours général - Éduscol », sur eduscol.education.fr (consulté le 6 octobre 2015).
- Concours général des lycées et des métiers 2017 Palmarès académique, (lire en ligne).
- Classement 2015 des prépas ECE
- « HEC : une plus grande concurrence entre prépas - Enquête sur Educpros », sur letudiant.fr (consulté le 6 octobre 2015).
- « Statistiques du concours HEC 2014 » [PDF], sur hec.fr (consulté le 7 octobre 2015).
- Source.
- Matthieu Goar, « Bruno Le Maire, un homme de droite à Bercy », Le Monde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le 17 mai 2017).