Lucé (Eure-et-Loir)

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Lucé
Lucé (Eure-et-Loir)
L'église Saint-Pantaléon.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté d'agglomération Chartres Métropole
Maire
Mandat
Florent Gauthier
2020-2026
Code postal 28110
Code commune 28218
Démographie
Population
municipale
15 602 hab. (2021 en diminution de 3,14 % par rapport à 2015)
Densité 2 575 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 26′ 20″ nord, 1° 27′ 57″ est
Altitude Min. 142 m
Max. 162 m
Superficie 6,06 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Chartres
(banlieue)
Aire d'attraction Chartres
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Lucé
(bureau centralisateur)
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Lucé
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Lucé
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Lucé
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Lucé
Liens
Site web http://www.ville-luce.fr

Lucé est une commune française de la banlieue ouest de Chartres, située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire. La commune, qui compte plus de 15 000 habitants, est, par sa population, la troisième plus grande ville du département après Chartres et Dreux.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Position de Lucé (en rose) dans l'arrondissement de Chartres (en vert) au sein du département d'Eure-et-Loir (grisé).
Position de Lucé (en rose) dans l'arrondissement de Chartres (en vert) au sein du département d'Eure-et-Loir (grisé).
Carte de la commune de Lucé et des communes limitrophes
Carte

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Desserte ferroviaire[modifier | modifier le code]

La gare de Lucé est située sur la Ligne de Chartres à Bordeaux-Saint-Jean.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 636 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chartres », sur la commune de Champhol à 4 km à vol d'oiseau[3], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 606,1 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records CHARTRES (28) - alt : 155m, lat : 48°27'37"N, lon : 1°30'04"E
Records établis sur la période du 01-07-1923 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,8 1,5 3,4 5,1 8,5 11,6 13,5 13,4 10,5 8 4,5 2,2 7
Température moyenne (°C) 4,3 4,8 7,8 10,3 13,8 17 19,4 19,4 15,9 12,1 7,6 4,8 11,4
Température maximale moyenne (°C) 6,9 8,2 12,2 15,6 19 22,5 25,2 25,3 21,4 16,2 10,6 7,3 15,9
Record de froid (°C)
date du record
−18,4
17.01.1985
−15
24.02.1963
−11
01.03.05
−4,9
04.04.1973
−1
01.05.1945
1,4
02.06.1962
0,9
30.07.1928
3
17.08.1927
0,5
22.09.1928
−5,4
28.10.1931
−11,3
30.11.10
−14,2
29.12.1964
−18,4
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16,1
27.01.03
20,5
27.02.19
24,8
31.03.21
28,2
18.04.1949
31,4
16.05.1945
37,2
18.06.22
41,4
25.07.19
39,6
06.08.03
35,5
08.09.23
29,8
02.10.23
20,9
07.11.15
17
06.12.1979
41,4
2019
Ensoleillement (h) 635 876 1 403 1 836 2 087 2 215 2 303 220 1 811 1 184 724 601 17 874
Précipitations (mm) 49,9 41,5 43,5 44,6 55,3 51,5 51 47,7 46 58,4 56 60,7 606,1
Source : « Fiche 28070001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lucé est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Chartres, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[10] et 88 995 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Un projet d'Agri-quartier inédit est proposé par la Société coopérative agricole d'Eure-et-Loir afin d'aménager le site de 8 ha sur lequel ont été construits en 1970 les silos de la société, desservis par une gare de fret[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (86,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (85 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (56,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (27,5 %), terres arables (9,1 %), forêts (4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,9 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Lucé est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par ruissellement et coulée de boue, notamment la Blaise et le ruisseau de Saint-Cyr. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1994, 1999 et 2018[19],[17].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lucé.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile, des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des effondrements généralisés[20]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 40,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 890 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 909 sont en aléa moyen ou fort, soit 31 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 1993, 2011 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[17].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[23].

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Luciacum vers 1116 (cart. de Saint-Père-en-Vallée, p. 307), Lucetumvers 1140 (ch. de la lépr. du Grand-Beaulieu), Luceium en 1224 (ch. de l’abb. de Josaphat), Lucey en 1641 (ch. de l’abb. de Saint-Jean-en-Vallée)[25].

Histoire[modifier | modifier le code]

De la Révolution française à la monarchie de Juillet[modifier | modifier le code]

  • En 1791, la commune de Lucé est réunie à celle de Mainvilliers par le décret de l'Assemblée nationale du .
Ainsi, les plans du cadastre napoléonien de Mainvilliers, établis en 1809, comporte une section Q « dite du Hameau de Lucé », mentionnant notamment l'église de cette paroisse et les hameaux du Petit et du Grand Lucé[26].
  • En 1836, la section cadastrale de Lucé est séparée des autres sections de Mainvilliers et érigée en commune sous Louis-Philippe par l'ordonnance royale du . Une petite portion de la commune Amilly est alors prise pour faire partie de la nouvelle commune de Lucé et ainsi avoir une superficie de 547 hectares et 36 ares. La commune n'est alors constituée que de quelques groupes de maisons : le Grand-Lucé où se situaient les fermes et le plus grand nombre de maisons ; le Petit-Lucé avec quelques maisons autour de l'église ; les Barres avec deux fermes ; Poiffonds, hameau éloigné, comportait quelques petites fermes. Les Granges était le nom d'une ferme sur la route d'Illiers.

Au XXe siècle[modifier | modifier le code]

En 1914, le Génie militaire agrandit son entrepôt et occupe de nombreux terrains. Une usine de fabrication de grenades est construite aux "Malbrosses". Elle est désaffectée après la Première Guerre mondiale et transformée en scierie, à proximité de laquelle de nombreux logements sont construits. Les terrains ne sont alors pas chers et ce sont essentiellement des ouvriers, employés des chemins de fer qui font construire. Les rues de la Bécasse, de Mainvilliers, Rabuan-du-Coudray, Gambetta et des Barres sont alors créées. La scierie est détruite en 1935.

En 1936, au moment de la guerre d'Espagne, le département fait remettre en état des anciennes baraques de la guerre 14-18 où étaient logés les prisonniers de guerre allemands pour y loger de nombreux Espagnols réfugiés en France.

En 1937, l'administration militaire décide de construire une importante caserne de Gardes républicains, sur la route d'Illiers. Mais en 1939, seuls les logements des officiers sont terminés. L'occupant allemand fait terminer les casernes et installe une école de sous-officiers de défense contre l'aviation. À la Libération, ces logements provisoires servent à reloger les sinistrés ou les gens manquant de logements. Cet ensemble de baraques fut désigné sous les noms de cités provisoires de Jean-Moulin, des Gardes-Mobiles et des Charlots.

De nombreux lotissements sont créés par la commune et de nouvelles rues sont ouvertes : rue Michel Vintant, Rémi Gaschet, Jean Moulin, d'Ornano, Maréchal Foch, Jules Ferry, des Écoles, Louis Vayssié, Victor Hugo, Charles Péguy, des Castors, du Moulin, du Manteau jaune, Anatole Wargnier, Charles Brune, Clemenceau, Kennedy, etc.[27]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires à partir de 1945
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1947 1989 Edmond Desouches Rad. puis MRG Conseiller général des cantons de Chartres-Nord (1953-1973), de Chartres-Nord-Ouest (1973-1982) puis de Lucé (1982-1988)
Député d'Eure-et-Loir
1989 1995 James Benoist PS Conseiller général du canton de Lucé
1995 2001 Fernand Mira PRG Conseiller général du canton de Lucé[28]
2001 2006 Jacques Morland DL, puis

FN, après son mandat

Conseiller général du canton de Lucé
2006 2008 Boris Minsky UMP  
2008 3 juillet 2020 Emmanuel Lecomte PRG Permanent politique
3 juillet 2020[29] En cours Florent Gauthier DVC Responsable juridique

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

La commune s’est engagée dans une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[30].

Cadre de vie[modifier | modifier le code]

Ville fleurie : trois fleurs attribuées par le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France au Concours des villes et villages fleuris[31].

Jumelages[modifier | modifier le code]

La ville de Lucé est jumelée avec :

Carte
Jumelages et partenariats de Lucé.Voir et modifier les données sur Wikidata
Jumelages et partenariats de Lucé.Voir et modifier les données sur Wikidata
VillePaysPériode
Fajões (en)[32]Portugaldepuis
Traunreut[32]Allemagnedepuis

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1836. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[33],[Note 3].

En 2021, la commune comptait 15 602 habitants[Note 4], en diminution de 3,14 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876
414413436484463494497530493
1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926
5326456586988008129481 2621 283
1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990
1 5051 4972 0303 3036 55511 08513 72117 43318 796
1999 2006 2011 2016 2021 - - - -
17 70116 01116 22815 75515 602----
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Pantaléon[modifier | modifier le code]

L'église est dédiée à Pantaléon de Nicomédie, patron des médecins[36]. Devant son mur sud, se dresse un cèdre de l'Atlas d'une hauteur de 30 m et d'une circonférence de 3 m, recensé dans la base du conseil départemental d'Eure-et-Loir[37].

Autres lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Monument aux morts ;
  • Stèle Charles de Gaulle : « Hommage aux Français Libres » ;
  • Église Saint-François.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la commune se blasonnent ainsi : tiercé en fasce d’argent, de sinople et de gueules, le 2) au soleil d’or non figuré.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Lucé et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Chartres », sur la commune de Champhol - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Chartres », sur la commune de Champhol - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Chartres », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Un projet d'Agri-quartier inédit à Lucé », sur lechorepublicain.fr, .
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Lucé », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  20. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  21. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Lucé », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
  24. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  25. Dictionnaire topographique du département d'Eure-et-Loir : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  26. "Section Q, le Hameau de Lucé, en une feuille.", Archives départementales d'Eure-et-Loir.
  27. L'Écho républicain de la Beauce et du Perche, août 1971 : "La ville de Lucé : un hameau en 1836" (article non signé)
  28. L'ancien maire de Lucé, Fernand Mira, est décédé, L'Écho Républicain du 1er juin 2016.
  29. François Feuilleux, « Florent Gauthier enfile l'écharpe tricolore de maire à Lucé », sur lechorepublicain.fr, .
  30. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Lucé, consultée le 7 novembre 2017
  31. Villes et villages fleuris - Eure-et-Loir
  32. a et b « http://www.ville-luce.fr/index.php?Rub0=6&Rub1=34&Message=Article&o=0 » (consulté le )
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. [PDF] Paroisse Sainte Marie des Peuples, diocèse de Chartres, « Église de Lucé », sur eglises-ouvertes-eure-et-loir.fr (consulté le ).
  37. Conseil départemental d'Eure-et-Loir, « Arbres remarqués d'Eure-et-Loir », sur eurelien.fr, (consulté le ).