Louis Brien

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Louis Brien
Louis Brien en 2014.
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Louis Brien, né en à Amos (Québec) et mort le à Rouyn-Noranda (Québec), est un artiste-graveur québécois,[1].

Biographie[modifier | modifier le code]

Louis Brien est né en 1941 à Amos en Abitibi-Témiscamingue (Québec), dernier d'une famille de neuf enfants[2],[3]. De 1966 à 1970, il fait l'École des beaux-arts de Montréal et découvre alors la gravure. De 1970 à 1972, il complète un baccalauréat en enseignement des arts à l'Université du Québec à Montréal et enseigne à la Commission des écoles catholiques de Montréal en 1972, il s'installe finalement à Rouyn-Noranda pour débuter à titre d'enseignant en art au Cégep de l'Abitibi-Témiscamingue. Il occupera cette fonction jusqu'à sa retraite en 1997[4].

Son père, France Brien, est agronome de profession. Il s'est installé avec sa famille dans la région d'Amos en 1923, soit un peu plus de vingt ans après les premiers colons. La famille Brien était au centre du développement de la colonisation de l'Abitibi, de la tradition rurale, du rêve des nouveaux arrivants et de l'importance de la quotidienneté pour survivre. Louis Brien a d'ailleurs rendu un hommage à son père dans un livre paru en 1990, intitulé Monsieur jardin[5]. Toute son enfance a été ainsi baignée dans cette atmosphère du rêve en devenir des nouveaux abitibiens et de contacts chaleureux avec la communauté locale. Cette enfance lui servira sans doute plus tard pour le développement de thèmes dans sa production artistique[6]. Comme en font foi quelques-uns des titres de ses gravures : Les premiers bleuets, En traîneau, Embarquement sur l'Harricana, On y goûte cette année, Ça mord-tu ?, Le moulin des sœurs, Mon premier cheval, Au Nord du Nord, Rêve d'enfance, Ils sont montés vers les terres du Nord, Les placoteuses, En ski par un frette bleu[7].

Dans sa recherche artistique, il développe un goût pour la transparence dans les couleurs et donne une douceur et une certaine légèreté dans les teintes en profitant au mieux de la texture du bois. La parution d'un catalogue des graveurs et peintres québécois lui donne l'idée de contacter tous les artistes cités qui sont allés effectuer des stages en Europe[8]. Une suggestion reçue lui parle d'un centre de gravure en Suisse. Ainsi, avec sa petite famille, Louise sa femme et son fils Mathieu, il part en 1974 pour un stage d'étude d'une durée d'un an au Centre de gravure contemporaine en lithographie à Genève. Cette opportunité marquera favorablement toute sa carrière artistique[9]. Il renouvèlera cette expérience de formation à l'été de 1978.

Les débuts de sa carrière artistique furent difficiles. Dans les années 1970, on ne connaissait pas la gravure en Abitibi. Il vendait ses œuvres à des prix dérisoires. C'est avec les techniques de l'aquarelle, de la gravure sur bois, de la lithographie et finalement de la gravure sur carton qu'il s'est fait connaître au cours des ans. Mais aussi grâce aux thèmes qu'il a développés dans ses œuvres en s'intéressant à la vie de son milieu[4]. Dans cette période, les couleurs de ses œuvres sont spontanées et servent bien ses portraits pleins d'humour et de tendresse représentant de petites gens de son entourage[10].

Viendra ensuite une période plus engagée de l'artiste avec Série noire dans les années 1980. Période où il travaillera avec du bois clé, un bois cerné de noir qui épouse parfaitement les contours des éléments du tableau. On y découvre notamment les œuvres Sans travail et Femme dans la nuit. Toutefois finalement, l’artiste conserve globalement sa signature humoristique dans son environnement.

Pour l'artiste, la gravure est un métier de tous les instants. Avec ses outils (brunissoir, grattoir, berceau, burin), il donne vie à ses récits en réalisant des gravures colorées sur bois ou sur carton. Il dépeint la vie un peu comme un roman. Un récit tantôt nostalgique, tantôt souriant qui se cache sous des scènes familières[4].

Sa formation d'enseignant reste bien ancrée dans ses gênes. Même après sa retraite, il poursuivra les ateliers de formation auprès de différents publics pendant de nombreuses années[11]. Ainsi, avec Fernande Boulanger, Gisèle Cotnoir-Lussier, Arsène Paquette et Joanne Poitras, il fonde en 1982 l'Atelier Les Mille Feuilles, un centre d'art à Rouyn-Noranda qui se consacre aux arts imprimés en Abitibi-Témiscamingue. Au fil des ans, l’atelier a acquis des équipements et développé une expertise dans plusieurs domaines de l’estampe. Dans les années 2000, les artistes de l’atelier ont développé de nouveaux procédés comme la lithographie sur plaque de polyester donnant ainsi accès à de nouvelles technologies de l’image[12].

Comme artiste graveur, tout au long de sa carrière, il a participé à plus de 50 expositions solos et de nombreuses expositions collectives en Amérique, en Europe et en Nouvelle-Zélande[13]. Il a aussi collaboré à une dizaine de livres d'artistes et il a aussi illustré les couvertures de diverses publications importantes un peu partout en Amérique[14].

Plusieurs collections publiques possèdent des œuvres de l’artiste dont la Bibliothèque et Archives nationales du Québec, le Fonds municipal d’art contemporain (FMAC) de la Ville de Rouyn-Noranda[15],[16], le Cabinet des estampes de Genève, Hydro-Québec, Loto-Québec et le Mouvement Desjardins.

Il est membre du Conseil québécois de l'estampe, de Xylon-Québec[9], du Conseil des artistes en arts visuels de l'Abitibi-Témiscamingue et de l'Atelier Les Mille Feuilles à Rouyn-Noranda[17].

Louis Brien meurt le à Rouyn-Noranda[3],[18].

Expositions individuelles (sélection)[modifier | modifier le code]

Depuis 1969, il a participé à une cinquantaine d'expositions en solo au Québec, en Ontario, au Nouveau-Brunswick et en Suisse.

  • 1969 : L'Âtre, Montréal.
  • 1970 et 1972 : Centre d'exposition d'Amos[19].
  • 1973 : Théâtre du cuivre, Rouyn-Noranda.
  • 1974 : Galerie Colline, Edmunston, Nouveau-Brunswick.
  • 1974 : Centre d'exposition de Rouyn-Noranda.
  • 1975 : Northern College, Kirkland Lake, Ontario.
  • 1975 : Galerie Benedek-Grenier, Québec.
  • 1976 : Galerie La Relève, Montréal[20].
  • 1976 : Galerie de la Quinzaine, Musée de Québec[21].
  • 1977 : Manoir de Tonnancour, Trois-Rivières.
  • 1977 : Centres d'exposition d'Amos, Rouyn-Noranda et La Sarre[22].
  • 1977 et 1978 : Maison Beaudoin, Place Royale, Québec.
  • 1977 et 1978 : Galerie Signal, Montréal.
  • 1977, 1978 et 1980 : Galerie Les Deux B, Saint-Antoine-sur -Richelieu.
  • 1978 : Galerie Moraj, Montréal.
  • 1978 : Maison de la culture, Annemasse, France.
  • 1981 : Musée régional des mines de Malartic, Malartic.
  • 1981 : Centre culturel, Mont-Laurier.
  • 1984 , Série noire, Salle d'exposition de Rouyn-Noranda[23].
  • 1984 : Lithographies et bois gravés, Public Library, North Bay en Ontario et Cégep de l'Abitibi-Témiscamingue à Rouyn-Noranda.
  • 1985 : Salle Augustin-Chénier, Ville-Marie.
  • 1983 et 1992 : La Galeruche, Timmins, Ontario.
  • 1995-1997 : Au fil de la vie, Centres d'exposition de Rouyn-Noranda, Val-d'Or, Amos.
  • 1999 : Louis Brien: Contes gravés, rétrospective, Centre des expositions de Rouyn-Noranda[4],[7].
  • 2002 : Regards, Fontaine des arts, Rouyn-Noranda
  • 2013 : Œuvres récentes de Louis Brien, Atelier Les Mille Feuilles, Rouyn-Noranda[24].

Expositions collectives (sélection)[modifier | modifier le code]

Louis Brien a exposé dans plusieurs provinces du Canada ainsi qu'à l'international, notamment, à Genève, Lugano, Milan, New York, Boston, Londres, Édimbourg, La Spezia, Évry et Quimper en France[9].

  • 1969 : Centre d'exposition d'Amos, Amos.
  • 1969 : Galerie de l'Étable, Musée des Beaux-Arts, Montréal.
  • 1970 : Pavillon du Québec, Terre des Hommes, Montréal.
  • 1971 : Centre national des arts, Ottawa.
  • 1974 : Centre culturel d'Amos[25].
  • 1976 : Amos Eno Gallery, New-York[26].
  • 1976 : Place Bonaventure, Jeux Olympiques, Montréal.
  • 1976 : Centre de la culture, Sion, Suisse.
  • 1976 : West Broadway Gallery, New-York.
  • 1977 : 39 Prints, Londres et Édimbourg.
  • 1975 et 1977 : Centre de gravure contemporaine, Genève, Suisse.
  • 1978 : Musée du Québec, Québec.
  • 1978 : Lugano, Suisse.
  • 1978 : Galerie de l'Université de Boston.
  • 1980 : Consulat canadien à New-York.
  • 1985 : Je suis de ce pays, centres d'exposition d'Amos, La Sarre et Rouyn-Noranda, Centre Castillo, New-York, Galerie de l'Épée, Quimper, Bretagne.
  • 1985 : Maison du Québec, Milan.
  • 1986 : Maison de la culture, Côte-des-Neiges, Montréal.
  • 1986 : Maison de la culture, Évry, France.
  • 1986 : Centre de la culture, Milan, Italie.
  • 1987 : Biblioteca Benedello Croce Pollone, Italie.
  • 1987 : Galerie Michel Broutta, Paris.
  • 1988 : 4e Biennale du dessin et de l'estampe, Rouyn-Noranda.
  • 1988 : Galerie l'Écurie, Genève, Suisse.
  • 1988 : Grand Palais, Paris, France.
  • 1988 et 1994 : Del Bello Gallery, Toronto.
  • 1989 : Galerie L'Imagier, Aylmer.
  • 1990 : Public Library, Brampton, Ontario.
  • 1990 : Laurentien University, Sudbury, Ontario.
  • 1990 : Exposition itinérante de bois de bout, The White Line dans cinq provinces canadiennes[27].
  • 1991 : Edmonton Art Gallery, Alberta.
  • 1993 : Maison des arts de Laval, Laval.
  • 1994 : Galerie Montcalm, Hull.
  • 1995 : Maison de la culture Marie-Uguay, Montréal.
  • 1996 : Galerie de Matane.
  • 1996 : Biennale internationale d'art miniature, Ville-Marie.
  • 1997 : Galerie d'art Mele, Milan, Italie.
  • 1999 : Galerie d'art Jean-Claude Bergeron, Ottawa.
  • 1999 : Centre d'art Orford, Pavillon de la Rotonde, Orford.
  • 2005 : Xylon-Québec 1985-2005 : 20 ans, Val David, Fondation Derouin.
  • 2011 : Grandeur nature : Louis Brien, Marcel Caron, Sylvie Crépeault, Martine Savard, L'Écart, lieu d'art actuel, Rouyn-Noranda[28].
  • 2011 : Xylon-Québec, En piste, 26 graveurs sur bois, Maison de la culture Rosemont-La Petite-Patrie[29].
  • 2014 : Coucher sur papier, Auberge de Jeunesse Maéva-Témis, Ville-Marie[30].
  • 2018 : Don et abandon : Le sexe comme parcelle d’éternité, Centre d’art Rotary de La Sarre[31].
  • 2018 : 14e Biennale internationale d’art miniature, Ville-Marie[32].
  • 2019 : Mille Constellations, avec neuf autres artistes, Centre d'exposition d'Amos.
  • 2019 : Matrices… d’elles-mêmes, Centre d’exposition de Val-d’Or[33],[34].
  • 2021 : Le noir d'encre, Ma, musée d'art, Rouyn-Noranda[35].

Publications et illustrations (sélection)[modifier | modifier le code]

  • Magazine Forces, no 38, 1er trimestre, page couverture, Montréal, 1977.
  • Montréal Scene, page couverture, Montreal Star,1978.
  • Artisti dell' exlibris IV, Porto (Portugal), Éditions A.P.E.L., p. 190, 1978.
  • Au cap Blomidon, Lionel Groulx, page couverture, Éditions Fides, Montréal, 1980, (ISBN 2-76211-009-2).
  • Possibles, page couverture et 8 illustrations, La visite de l'agronome, été 1981.
  • Sélection Reader's Digest, page couverture, septembre 1982.
  • 50 artistes de chez nous, Galerie Les Deux B, Saint-Antoine-sur-Richelieu, 1983.
  • Je suis de ce pays, Daniel St-Germain, Rouyn-Noranda, Association des graveurs de l'Atelier Les Mille Feuilles, 1984.
  • Bois pluriel, Évry (France), 1986.
  • Cahiers no 29, Montréal, printemps 1986, p. 27.
  • Les grands formats, Atelier Les Mille Feuilles, Rouyn-Noranda, 1987[36].
  • Xylon Un, Martin Dufour, Xylon-Québec éditeur et Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 1987[37].
  • Xylon Un, Paris (France), 1987[38].
  • Revue Ma caisse, vol. 24, no 4, juillet 1987, Mouvement Desjardins, p. 14.
  • Agenda Témiscabitibien, Pierre Lapointe, Rouyn-Noranda, p. 100, 1988, (ISSN 0835-5908)
  • Monsieur jardin, auteur Louis Brien, Édition d'ici et d'ailleurs, Val-d'Or, 1990, (ISBN 9-78298007-725-8).
  • Louis Brien, Contes gravés, Centre d’exposition de Rouyn-Noranda, 1993, (ISBN 2-9806496-0-0).
  • Impressions a-géographiques, Christiane Baillargeon, Atelier Les Mille Feuilles, Rouyn-Noranda, pages 5 et 17, 1994[39].
  • Endgrain, contemporary wood engraving in North America, Patricia Ainsli, Barbarian Press, 1994, (ISBN 9-78092097-110-9).
  • Histoire de l'Abitibi-Témiscamingue, sous la direction de Odette Vincent, Institut québécois de recherche sur la culture, 1995, pages 586 et 608, (ISBN 2-89224-251-7).
  • Xylon deux: Le bois : estampes originales et textes, Pierre Auger, Xylon-Québec éditeur et Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 1997[38].
  • Bon à tirer, page couverture, volume 10, no 8, 1997.
  • Première édition, catalogue de la Biennale internationale d'estampe contemporaine de Trois-Rivières, 1999, p. 121.
  • Il produira en 2002, l'illustration de l'affiche de la 21e édition du Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue[40].
  • Miniare : Catalogue Biennale internationale d'estampes miniatures de Montréal, 2002[41].
  • Xylon-Québec 1985-2005 : 20 ans, Normand Biron, catalogue d'exposition, Fondation Derouin, 2005[42].
  • Grandeur nature : Louis Brien, Marcel Caron, Sylvie Crépeault, Martine Savard, Marie-Ève Pettigrew, catalogue d'exposition, L'Écart, lieu d'art actuel, Rouyn-Noranda, 2011[28].
  • Mille Constellations, Michel Gosselin Éditeur, Rouyn-Noranda, 2022, (ISBN 978-2-9819233-4-9)[43].

Prix et mentions[modifier | modifier le code]

  • Le guide des artisans créateurs du Québec, J.P. Payette, Éditions La Presse, p. 269, 1974.
  • Catalogue de la Société des artistes professionnels du Québec, S.A.P.Q., 1976.
  • Prix littéraire ex-poésie, 1979.
  • Prix littéraire de l'Abitibi-Témiscamingue, 1979 pour son œuvre Poèmes d'amour et d'amitié
  • L'estampe, Nicole Malenfant, Éditeur officiel du Québec, p. 115, 1979.
  • Sélection de l’œuvre Paysages du Nord-Ouest par un jury régional pour une reproduction commerciale en affiche par le Conseil de la culture de l'Abitibi-Témiscamingue, 1981[44],[45].
  • Xylon - Quebec : Obras Recientes : 24 Artistas Grabadores del Canada, Ana Maria Pavela, Stella Sasseville et Maria Luisa Segnoret, Xylon Québec Canada, Montréal, 1989[46].
  • Finaliste prix du public, Galerie l'Imagier, Aylmer, 1989.
  • Membre à vie du Conseil de la Culture de l'Abitibi-Témiscamingue en 1989.
  • The Whiteline: Wood engraving in Canada since 1945, G. Brender à Brendis et Danuta Kamocki, Toronto, 1990[27].
  • Abitibi-Témiscamingue en peinture, François Ruph, Rousson Éditeur, Pointe-Claire, 1990, pages 40-41, (ISBN 2-89224-251-7).
  • L'estampe originale au Québec (1980-1990), Conseil québécois de l'estampe et Bibliothèque Nationale du Québec, page 234, 1991[47],[48].
  • Répertoire des livres d'artistes au Québec, 1981-1990, Claudette Hould, Sylvie Alix, Peggy Davis, Anne-Marie Perreault-Ninacs, Bibliothèque nationale du Québec, 1993 (ISBN 2-89224-251-7).
  • Répertoire des graveurs contemporains du Québec 1994-1995, Jean Chaumely, Roussan Éditeur, Pointe-Claire,1994 (ISBN 2-89224-251-7).
  • Louis Brien : Contes gravés, Rétrospective 1968 à 1999, Centre d'exposition de Rouyn-Noranda, 1999[49].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. (en) Patrimoine canadien Gouvernement du Canada, « Artistes au Canada », sur app.pch.gc.ca, (consulté le ).
  2. « Brien, Louis - Avis de décès | Coopérative funéraire de l’Abitibi », sur www.residence-funeraire.coop (consulté le )
  3. a et b Marie-Hélène Paquin, « L’artiste graveur Louis Brien natif d’Amos n’est plus », sur Radio-Canada, (consulté le )
  4. a b c et d Jean Dumont, Marcel Caron, France Lachaîne et Louise Boudreault, Louis Brien : Contes gravés : Rétrospective 1968 à 1999, Centre d'exposition de Rouyn-Noranda, (ISBN 978-2-9806496-0-8, lire en ligne).
  5. « Monsieur Jardin : le roman vrai d'une passion | Éole, un service de la Médiathèque Valentin Haüy », sur eole.avh.asso.fr (consulté le ).
  6. « Les artistes graveurs de Xylon-Québec », sur www.xylon-quebec.org (consulté le ).
  7. a et b Robert Bertrand, « Louis Brien fait une rétrospective de sa vie d'artiste. », La Frontière,‎ , p. 40.
  8. Nicole Tanguay, « Un homme heureux, Louis Brien, graveur, lithographe », La Frontière,‎ , p. 47.
  9. a b et c « Les artistes graveurs de Xylon-Québec », sur www.xylon-quebec.org (consulté le ).
  10. Galerie Les 2 B, « Louis Brien », Montréal, ce mois-ci.,‎ , p. 20.
  11. « En atelier avec Louis Brien - Conseil de la culture de l'Abitibi-Témiscamingue », sur ccat.qc.ca (consulté le ).
  12. « Atelier Les Mille Feuilles, centre d'art imprimé - Conseil de la culture de l'Abitibi-Témiscamingue », sur ccat.qc.ca (consulté le ).
  13. Frontère, « Exposition de sculptures et de gravures », La Frontière,‎ , p. 52.
  14. Danielle B.-Marsan, « Le Comité des expositions artistiques présente les œuvres de Louis Brien. », La frontière,‎ , p. 51.
  15. P. Rodrigue, « La ville encourage les artistes locaux », La Frontière,‎ , p. 39.
  16. « LA VISION D'EDMUND HORNE - LOUIS BRIEN », sur Rouyn-Noranda ville de culture, (consulté le ).
  17. « Graver son après-midi avec Roger Pelerin et Louis Brien | L'Indice bohémien », sur indicebohemien.org (consulté le ).
  18. « Louis Brien - Avis de décès », sur MédiAT (consulté le )
  19. Écho, « Louis Brien, graveur, expose à Amos », L'Écho abitibien,‎ , p. 54.
  20. Henri Barras, « Exposition Louis Brien, C'est beau comme c'est pas possible. », Journal Le Jour,‎ .
  21. (en) « Exhibition Directory », sur Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ) (consulté le ).
  22. La Frontière, « Invitation à l'exposition de Louis Brien », La Frontière,‎ , p. 56.
  23. Frontière, « Exposition Louis Brien », La Frontière,‎ , p. 48.
  24. « Œuvres récentes de Louis Brien | L'Indice bohémien », sur indicebohemien.org (consulté le ).
  25. Écho, « Louis Brien, Ann Bilodeau et André Laflamme exposent à Amos. », L'Écho abitibien,‎ , p. C-13.
  26. Exposition New-York, Société des artistes professionnels du Québec, (lire en ligne).
  27. a et b (en) Gerard Brender à Brandis, Gerard Brender à Brandis et Danuta Kamocki, The White Line : Wood Engraving in Canada since 1945, The Porcupine's Quill, (ISBN 978-0-88984-117-8, lire en ligne).
  28. a et b Marie-Ève Pettigrew et Marie-Ève Pettigrew, Grandeur nature : Louis Brien, Marcel Caron, Sylvie Crépeault, Martine Savard, L'Écart, lieu d'art actuel, (lire en ligne).
  29. Le Vadrouilleur urbain ®, « 26 graveurs sur bois à la maison de la culture Rosemont-La Petite-Patrie », sur Le Vadrouilleur urbain, (consulté le ).
  30. « Couples, nature et habitat cohabitent à l’exposition Coucher sur papier | L'Indice bohémien », sur indicebohemien.org (consulté le ).
  31. « KARINE HÉBERT ET LOUIS BRIEN SE DONNENT ET S’ABANDONNENT | L'Indice bohémien », sur indicebohemien.org (consulté le ).
  32. « Lumière sur Ville-Marie », sur La Fabrique culturelle (consulté le ).
  33. « QUAND LA MATRICE DEVIENT L’ŒUVRE : EXPOSITION COLLECTIVE À VAL-D’OR | L'Indice bohémien », sur indicebohemien.org (consulté le ).
  34. « «Matrices…d’elles-mêmes»: l’envers du décor des graveurs », sur www.lecitoyenvaldoramos.com (consulté le ).
  35. « LE NOIR DE L’ENCRE : UNE AVENTURE ARTISTIQUE ET HUMAINE | L'Indice bohémien », sur indicebohemien.org (consulté le ).
  36. Guy Lemire, Louis Brien et Marcel Caron, Les grands formats, Atelier les mille feuilles, (lire en ligne).
  37. « Les artistes graveurs de Xylon-Québec », sur www.xylon-quebec.org (consulté le ).
  38. a et b « Livres d'artistes et poèmes-gravures réalisés par l'artiste Vincent Théberge », sur www.vincenttheberge.ca (consulté le ).
  39. Christiane Baillargeon et Gilles Daigneault, Impressions a-géographiques, Association des graveurs de l'Atelier Les mille feuilles, (ISBN 978-2-9804294-0-8, lire en ligne).
  40. Conseil de la Culture en A-T., « L'artiste Louis Brien derrière l'image de la 21e édition du Festival. », Mensuel,‎ aôut/septembre 2002, p. 6 (lire en ligne [PDF]).
  41. Serge Wagner, Danielle Blouin, Claudette Hould et Anthea Boesenberg, Miniare : Biennale internationale d'estampes miniatures de Montréal 2002 = Miniare : Montréal International Miniature Prints Biennial 2002, Conseil Québécois de l'Estampe, (ISBN 978-2-922018-07-3, lire en ligne).
  42. Normand Biron, Xylon-Québec 1985-2005 : 20 ans, Fondation Derouin, (lire en ligne).
  43. « Lancement du livre "Mille constellations". - Conseil de la culture de l'Abitibi-Témiscamingue », sur ccat.qc.ca (consulté le ).
  44. Frontière, « Une collection d’œuvres d'art régionales vient d'être lancée », La Frontière,‎ , p. 87.
  45. Danielle B.-Marsan, « Marie-Reine Bérubé, Ann Bilodeau et Louis Brien, Les œuvres de trois artistes d'ici seront reproduites en affiches au Québec. », La frontière,‎ , p. 57.
  46. Ana Maria Pavela, Stella Sasseville et Maria Luisa Segnoret, Xylon - Quebec : Obras Recientes : 24 Artistas Grabadores del Canada, Xylon Québec Canada, (lire en ligne).
  47. « https://cap.banq.qc.ca/search/621a2a0c-fc92-4d8d-9d2e-cd3e44e91548 », sur cap.banq.qc.ca (consulté le ).
  48. Nicole Malenfant, Nicole Malenfant, Jean Dumont et Francine Paul, L'estampe originale au Québec, 1980-1990, Bibliothèque nationale du Québec, (ISBN 978-2-551-12704-7, lire en ligne).
  49. Jean Dumont, Marcel Caron, France Lachaîne et Louise Boudreault, Louis Brien : Contes gravés : Rétrospective 1968 à 1999, Centre d'exposition de Rouyn-Noranda, (ISBN 978-2-9806496-0-8, lire en ligne).

Liens externes[modifier | modifier le code]