Bias (Landes)

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Bias
Bias (Landes)
La maison de l'airial et l'église Saint-Michel.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Landes
Arrondissement Mont-de-Marsan
Intercommunalité Communauté de communes de Mimizan
Maire
Mandat
Elisabeth Etcheverria
2020-2026
Code postal 40170
Code commune 40043
Démographie
Gentilé Biassuts
Population
municipale
765 hab. (2021 en augmentation de 9,91 % par rapport à 2015)
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 08′ 49″ nord, 1° 13′ 39″ ouest
Altitude Min. 20 m
Max. 70 m
Superficie 20,95 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mimizan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Côte d'Argent
Législatives Première circonscription
Localisation
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Bias
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Bias
Liens
Site web bias40.fr

Bias est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département des Landes en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune située dans la forêt des Landes sur la route nationale 652 entre Mimizan et Lit-et-Mixe.

OpenStreetMap

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Mézos, Mimizan et Saint-Julien-en-Born.

Communes limitrophes de Bias[1]
Mimizan
Bias Mézos
Saint-Julien-en-Born

Hydrographie[modifier | modifier le code]

L'étang de Bourg le Vieux est sur la commune. Son exutoire est le ruissseau de Tirelagüe.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Littoral charentais et aquitain, caractérisée par une pluviométrie élevée en automne et en hiver, un bon ensoleillement, des hiver doux (6,5 °C), soumis à la brise de mer[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 144 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Biscarrosse à 28 km à vol d'oiseau[5], est de 14,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 851,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bias est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mimizan, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 5 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (91,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (37 %), zones urbanisées (4 %), zones agricoles hétérogènes (2,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Bias est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Bias est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[17],[18].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bias.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. Aucune partie du territoire de la commune n'est en aléa moyen ou fort (19,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 555 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, aucun n'est en aléa moyen ou fort, à comparer aux 17 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 2].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2006 et 2009 et par des mouvements de terrain en 1999

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes port de Byars en 1254[21], de Bias, de Bios in Borno en 1274, Biartz en 1311, Le Bias en 1638[22].

Le toponyme, d'origine aquitaine, est basé sur le radical basque behar (bearr)[23] élargi par un suffixe locatif -tz. Sens du toponyme : chemin, route (du latin via).

La graphie occitane restituée est Biarç /bjas/.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le 27 mars 1274 acte de reconnaissance du prieur de Mimizan par le Roi d’Angleterre. Sur cet acte rédigé en latin, on peut lire que le prieur de Mimizan recevait une décime des revenus de Monte Sancti Michaeli de Biars. C’est-à-dire le mont ou la montagne de Saint-Michel-de-Biars ou le mont Biars[24].

En 1311, les rôles Gascons[21] indiquent que les habitants de la paroisse de Biartz doivent payer pour l’année un impôt par livre de cire.

La localité de Bias se situait à environ deux kilomètres à l'ouest de son emplacement actuel avant d'être submergée par le petit étang de Bourg le Vieux. C'est là que passait la voie romaine littorale[25]. L'ancien bourg est abandonné par ses habitants en 1772 en raison de l'avancée du sable repoussant les eaux de l'étang[26]. L'église primitive Saint-Michel, dépendant du prieuré Sainte-Marie de Mimizan, est démolie et reconstruite à son emplacement actuel en 1770, puis en 1904[27].

Le 14 juillet 2017, Julien Biremont, président du Comité des Fêtes, et Alain Cousquer, maire, ouvrent la première Feria qui se déroule sur trois jours. S'inspirant des fêtes traditionnelles de Dax, les Fêtes de Bias proposent un programme riche en animations pour un village de 750 habitants. En trois ans elles voient leur fréquentation augmenter de façon significative, devenant un événement incontournable du canton durant l'été. Pour la première fois, lors de l'édition 2019, un encierro est organisé lors de l'ouverture des fêtes.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 15[28].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie en .
La mairie en .

Comme dans de nombreuses communes, la liste des maires successifs est affichée à l'entrée de la mairie[29],[30].

Bias et les trois communes voisines de Aureilhan, Lit-et-Mixe et Pontenx-les-Forges ont la particularité que — pendant un siècle (1850-1950) — tous les maires de ces quatre communes appartenaient aux seules trois familles Berque, Gaston et Sargos[31].

De graves dissensions se font jour à partir de 2008 au sein du conseil municipal, ce qui bloque les affaires de la commune. Le maire est mis en minorité mais il reste en place et ne transmet au préfet que les délibérations qui lui conviennent[32]. Compte tenu de cette situation, le préfet des Landes demande la dissolution du conseil municipal. Celle-ci est validée par le Conseil des ministres en [33]. L'ex-maire quitte la mairie en emportant plusieurs documents appartenant à la commune qu'il refuse de rendre malgré les injonctions du préfet. En , les conseillers municipaux doivent intenter une action en justice contre l'ancien maire[34].

Cette dissolution entraîne de nouvelles élections[32]. Elles sont organisées le pour le premier tour, par une délégation de trois personnes nommées par le préfet des Landes. Deux listes s'opposent : celle de l'ancien maire René Teulé, et celle de l'ex-premier adjoint, Alain Cousquer. La liste de ce dernier l'emporte dès le premier tour. Lors de la première réunion du conseil municipal qui suit cette élection, le , Alain Cousquer est élu maire à l'unanimité des voix[35].

Le , Alain Cousquer annonce publiquement qu'il démissionnera prochainement de ses fonctions de maire de Bias. De plus à la suite de la démission de cinq conseillers municipaux, une élection municipale partielle complémentaire est organisée le [36],[37].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1795 Pierre Berque   Marchand
1795 1803 Jean Gaston (père)   Propriétaire
1803 1809 Jean Gaston (fils)   Propriétaire
1809 1821 Antoine Dupouy    
1821 1832 Jean-Marie Berque    
1832 1835 Étienne Froustey    
1835 1860 Barthélémy Berque   Fabricant de résine
1860 1885 Jean-Pierre Alphonse Sargos[38]    
1885 1892 Jacques Berque   Propriétaire
1892 1896 Simon Gaston   Aubergiste
1896 1900 Joseph Dousse    
1900 1944[39] Henri Sargos   Industriel, maire de Mimizan (1891-1900)
Fils de l'ancien maire Jean-Pierre Alphonse Sargos, frère de Pierre « Léon » Sargos (1855-1944) maire de Lit-et-Mixe[40] et oncle Roger Sargos (1886-1966) maire d'Aureilhan[41],
Chevalier de l'ordre national de la Légion d'honneur[42]
1944 1945 René Duvignau    
1945 1965 Louis Lassalle    
1965 1977 Simon Lassalle    
1977 1995 Raoul Duvignau RPR Vice-président fondateur du District (communauté de communes de Mimizan)
1995 31 décembre 2000[Note 3] Vincent Daret DVD Vice-président du District (communauté de communes de Mimizan)
31 janvier 2001 Monique Froustey DVC L'intérim est assuré par la Maire-adjointe Monique Froustey
2001 Vincent Daret DVD  
2001 12 mai 2011[33] René Teulé PCF Vice-président de la communauté de communes de Mimizan
12 mai 2011 11 juin 2011 Jacques Malicet   L'intérim est assuré par une délégation spéciale nommé par le préfet[46]
11 juin 2011 24 juillet 2017[Note 4] Alain Cousquer[35] PS Vice-président de la communauté de communes de Mimizan[48]
3 août 2017 Alain Biremont DVG L'intérim est assuré par le Maire-adjoint Alain Biremont
3 août 2017[47] En cours Élisabeth Etcheverria SE Vice-présidente de la communauté de communes de Mimizan[49]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[51].

En 2021, la commune comptait 765 habitants[Note 5], en augmentation de 9,91 % par rapport à 2015 (Landes : +4,9 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
118106107122147154169173180
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
190194246222218205196224244
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
244233252244240235215229251
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
248269320395505514673719709
2018 2021 - - - - - - -
761765-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique

Vie pratique[modifier | modifier le code]

Service public[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Culture[modifier | modifier le code]

Activités sportives[modifier | modifier le code]

Écologie et recyclage[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Par arrêté du ministre de l'intérieur en date du , Vincent Daret, maire de la commune de Bias est suspendu de ses fonctions pour une durée d'un mois à compter de la notification de l'arrêté à l'intéressé[43], au motif que lors du référendum du , il avait refusé d'organiser le scrutin pour protester contre le mutisme de la préfecture sur le dossier des caravanes des gens du voyage[44]. Vincent Daret déclare « Cette décision est ridicule. Avec mon conseil municipal, nous allons envoyer une lettre au ministre de l'Intérieur lui indiquant qu'au lieu de taper sur les doigts des maires, il ferait mieux d'assurer l'ordre public »[45].
  4. Le , le préfet des Landes accepte la démission d'Alain Cousquer, maire[47].
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Bias et Biscarrosse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Biscarrosse » (commune de Biscarrosse) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Biscarrosse » (commune de Biscarrosse) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. « Les risques près de chez moi - commune de Bias », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  19. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. a et b Yves Renouard, Rôles gascons : 1307-1317, t. IV, Paris, Imprimerie nationale, , 712 p. (lire en ligne), pp. 548, 598..
  22. Carte de Classun.
  23. Bénédicte Boyrie-Fénié, Institut occitan, Dictionnaire toponymique des communes des Landes et bas-Adour, Pau, Éditions Cairn, , 288 p. (ISBN 2-35068-011-8, présentation en ligne), p. 62..
  24. Recueil d'actes relatifs à l'administration des rois d'Angleterre en Guyenne au XIIIe siècle :, vol. LXXV, , 475 p. (lire en ligne), p. 311.
  25. On a pensé qu'elle avait laissé son nom au village (vias signifiant voies en latin) mais les formes anciennes du toponyme réfutent cette idée.
  26. Les chemins de Saint-Jacques dans les Landes, Francis Zapata, Jean-Pierre Rousset, éditions Sud-Ouest, 2002, p 177
  27. Gérard GASTON, Bias en Born, , 233 p. (ISBN 978-1-291-81865-9, présentation en ligne).
  28. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  29. « Les maires de Bias », sur le site de l'association FranceGenWeb (consulté le ).
  30. Gérard Gaston, Bias en Born, 2014, p. 122-123 (ISBN 978-1-29181-865-9) [lire en ligne].
  31. Gérard Gaston, Bias en Born, 2014, p. 158 (ISBN 978-1-29181-865-9) [lire en ligne].
  32. a et b Jean-Louis Hugon, « Déjà le quatrième vote », sur le site du quotidien Sud Ouest, (consulté le ).
  33. a et b Jean-François Renaut, « Les ministres dissolvent le Conseil municipal de Bias (Landes) », sur le site du quotidien Sud Ouest, (consulté le ).
  34. Procès-verbal de la réunion du conseil municipal du , [lire en ligne].
  35. a et b « Bias (40) : Alain Cousquer élu maire », sur le site du quotidien Sud Ouest, (consulté le ).
  36. Jean-Louis Hugon, « Landes : les électeurs de Bias vont devoir revoter »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du quotidien Sud Ouest, (consulté le ).
  37. « Commune de BIAS : élection municipale partielle complémentaire les 2 et 9 juillet 2017 », sur le site de la préfecture des Landes, (consulté le ).
  38. Olivier Sargos, « Généalogie des Sargos », sur geneanet.org (consulté le ).
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  40. Base Léonore, « Dossier de chevalier de la légion d'honneur de Pierre « Léon » Sargos », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
  41. « Les maires de Mimizan », sur le site de l'association FranceGenWeb (consulté le ).
  42. Base Léonore, « Dossier de légion d'honneur de Jean Henri Sargos », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
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  44. « Trois maires suspendus un mois - Grand Sud : Lot-Landes - Ils avaient boycotté le référendum de septembre 2000 », sur le site du quotidien La Dépêche du Midi, (consulté le ).
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  46. Isabelle Wackenier, « Installation de la délégation exceptionnelle », sur le site du quotidien Sud Ouest, (consulté le ).
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  49. Patrick Garnero, Annuaire de l'intercommunalité et des EPL de France, p. 125, 2016 (ISBN 978-2-35258-735-4) [lire en ligne].
  50. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  51. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  52. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  53. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
Étape précédente
Mimizan
Pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle

Voie de Soulac
Étape suivante
Saint-Julien-en-Born