Lignières-de-Touraine

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Lignières-de-Touraine
Lignières-de-Touraine
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Tours
Intercommunalité Communauté de communes Touraine Vallée de l'Indre
Maire
Mandat
Sylvie Tessier
2020-2026
Code postal 37130
Code commune 37128
Démographie
Gentilé Lignérois, Lignéroises
Population
municipale
1 307 hab. (2021 en augmentation de 1,08 % par rapport à 2015)
Densité 131 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 17′ 53″ nord, 0° 25′ 04″ est
Altitude Min. 36 m
Max. 98 m
Superficie 10 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tours
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chinon
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Lignières-de-Touraine
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Lignières-de-Touraine
Liens
Site web lignieresdetouraine.wordpress.com/

Lignières-de-Touraine est une commune française du département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est arrosé par l’Indre et hors de portée de crues de la Loire. Ce village se situe près de Villandry, Langeais et Azay-le-Rideau.

Communes limitrophes de Lignières-de-Touraine
Bréhémont La Chapelle-aux-Naux
Bréhémont Lignières-de-Touraine Vallères
Bréhémont Azay-le-Rideau

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique de Lignières-de-Touraine.

La commune est traversée par l'Indre (0,347 km). Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 16,22 km, comprend un autre cours d'eau notable, le Vieux Cher (3,69 km), et six petits cours d'eau dont la Boire Masson (5,227 km)[1],[2].

L'Indre, d'une longueur totale de 279,4 km, prend sa source à une altitude de 453 m sur le territoire de Saint-Priest-la-Marche dans le département du Cher et se jette dans la Loire à Avoine, après avoir traversé 58 communes[3]. Les crues de l'Indre sont le plus souvent de type inondation de plaine[Note 1]. Sur le plan de la prévision des crues, la commune est située dans le tronçon de l'Indre tourangelle[5], dont la station hydrométrique de référence la plus proche est située à Cormery. La hauteur maximale historique a été atteinte en avec 4,90 m[6]. Ce cours d'eau est classé dans les listes 1[Note 2] et 2[Note 3] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Au titre de la liste 1, aucune autorisation ou concession ne peut être accordée pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle à la continuité écologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonné à des prescriptions permettant de maintenir le très bon état écologique des eaux. Au titre de la liste 2, tout ouvrage doit être géré, entretenu et équipé selon des règles définies par l'autorité administrative, en concertation avec le propriétaire ou, à défaut, l'exploitant[7],[8]. Sur le plan piscicole, l'Indre est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[9].

Le Vieux Cher, d'une longueur totale de 24,4 km, prend sa source dans la commune de Druye et se jette dans la Loire à Bréhémont, après avoir traversé 8 communes[10]. Sur le plan piscicole, le Vieux Cher est également classé en deuxième catégorie piscicole[9].

En 2019, la commune est membre de la communauté de communes Touraine Vallée de l'Indre qui est elle-même adhérente au syndicat d'aménagement de la vallée de l'Indre. Créé par arrêté préfectoral du à la suite des crues historiques de et , ce syndicat a pour vocation d'une part l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau par des actions de restauration de zones humides et des cours d'eau, et d'autre part de participer à la lutte contre les inondations par des opérations de sensibilisation de la population ou de restauration et d'entretien sur le lit mineur, et sur les fossés situés dans le lit majeur de l'Indre appelés localement « boires », et de l'ensemble des cours d'eau du bassin versant de l'Indre[11].

Deux zones humides[Note 4] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée de l'Indre : du Moulin du Roi à la Grande Pièce » et « Le Vieux Cher »[12],[13].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 683 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 700,0 mm[16],[17]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].

Statistiques 1991-2020 et records LIGNIERES-DE-T. (37) - alt : 32m, lat : 47°17'34"N, lon : 0°24'10"E
Records établis sur la période du 01-08-1984 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,8 1,4 3,1 5 8,6 12 13,5 13,2 9,8 7,6 4,1 2 6,8
Température moyenne (°C) 4,7 5,2 8 10,7 14,3 17,9 19,8 19,7 15,9 12,2 7,7 5 11,8
Température maximale moyenne (°C) 7,6 9,1 13 16,4 20,1 23,8 26 26,2 22 16,8 11,3 8 16,7
Record de froid (°C)
date du record
−16,5
17.01.1987
−15
12.02.12
−13
01.03.05
−4,5
03.04.13
−2
06.05.19
0,5
01.06.06
5,5
10.07.04
4,5
28.08.1998
0,5
25.09.02
−6,5
30.10.1997
−9
24.11.1998
−11
30.12.1996
−16,5
1987
Record de chaleur (°C)
date du record
17,3
01.01.23
22,5
27.02.19
26
31.03.21
31
20.04.18
33,5
28.05.17
41,5
29.06.19
42
25.07.19
40,5
07.08.20
36,6
09.09.23
32,5
02.10.23
22,5
07.11.15
18,5
16.12.1989
42
2019
Précipitations (mm) 67,3 53,3 50,4 55,8 58,3 51,5 44,4 48,9 52,9 68,9 73 75,3 700
Source : « Fiche 37128002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lignières-de-Touraine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[19],[20],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[22],[23].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (78 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (48,2 %), zones agricoles hétérogènes (17 %), forêts (16,8 %), zones urbanisées (13 %), prairies (5,1 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Lignières-de-Touraine est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le risque nucléaire[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Vieux Cher et l'Indre. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1991 et 1999[27],[25].

Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Villandry, est classée au niveau de risque 3, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[28].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lignières-de-Touraine.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 88 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 611 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 511 sont en aléa moyen ou fort, soit 84 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29],[30].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[25].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

En cas d’accident grave, certaines installations nucléaires sont susceptibles de rejeter dans l’atmosphère de l’iode radioactif. La commune étant située dans le périmètre immédiat de 10 km autour de la centrale nucléaire de Chinon, elle est exposée au risque nucléaire. À ce titre les habitants de la commune ont bénéficié, à titre préventif, d'une distribution de comprimés d’iode stable dont l’ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroïde d’une exposition à de l’iode radioactif. En cas d'incident ou d'accident nucléaire, des consignes de confinement ou d'évacuation peuvent être données et les habitants peuvent être amenés à ingérer, sur ordre du préfet, les comprimés en leur possession[31].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Il s'agit d'un ancien linarium, linaria, un « lieu où on cultive le lin »[32].

Histoire[modifier | modifier le code]

Sépultures des aviateurs alliés.

Le , une flottille de 104 bombardiers Avro Lancaster de la Royal Air Force se dirige vers Nevers pour y effectuer une mission de bombardement. Au-dessus de Lignières-de-Touraine, deux avions se percutent en vol et explosent ; les quinze membres des deux équipages (six Britanniques, six Australiens et trois Canadiens) sont tués. Ils sont inhumés dans le cimetière de Lignières.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2008 Jean-Pierre Duveau    
mars 2008 juin 2018 Bernard Veron DVG Retraité
juin 2018 En cours Sylvie Tessier    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].

En 2021, la commune comptait 1 307 habitants[Note 8], en augmentation de 1,08 % par rapport à 2015 (Indre-et-Loire : +1,19 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
664689717712829835865941973
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0211 0351 0441 0351 0271 0791 0641 0241 019
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
984994974810812823832879831
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
9259571 0189579749289981 0071 130
2015 2020 2021 - - - - - -
1 2931 3061 307------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Lignières-de-Touraine se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Langeais.

L'école primaire Moulin-Prévert accueille les élèves de la commune.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Martin[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Martin.

L'église Saint-Martin de Lignières-de-Touraine est un édifice roman agrandi par un collatéral aux XVIe siècle. Elle est remaniée à la fin du XIXe siècle par l'abbé Brisacier. Classée en 2014 au titre des Monuments historiques.

Sous un repeint datant de 1876, un ensemble de fresques romanes et gothiques a été mis au jour en 2009 dans le chœur et l'abside sous la direction d'Arnaud de Saint Jouan ACMH, et de la Conservation régionale des monuments historiques du Centre par Geneviève Reille-Taillefert et l'atelier ART SA. Les peintures murales et les fresques se situent dans la partie la plus ancienne de l’église, datée du XIIe siècle et peuvent être considérées comme contemporaines de sa construction.

Occupant la totalité de la voûte en cul de four, un Christ Pantocrator a été mis au jour encadré par les symboles des quatre évangélistes, deux séraphins et deux anges thuriféraires.

Sur la voûte en berceau du chœur, les peintures se lisent depuis le chœur vers la nef (d'est en ouest). Du côté nord, on peut reconnaître sur le registre supérieur : Le cycle de la Genèse portant sur la création d’Adam et Ève, le jardin d'Éden, l’arbre de la connaissance, la tentation, Adam et Ève condamnés et vêtus de peaux de bête chassés du paradis. Sur le registre inférieur : le banquet du nouveau riche, la bonne mort du pauvre Lazare, la mauvaise mort du riche et sa condamnation en enfer.

Sur le côté sud, seul le registre supérieur subsiste, portant sur le Nouveau Testament, il figure le baptême du Christ et les trois Tentations de Jésus dans le désert, par trois diables différents symbolisant les tentations magistrales.

Sur l'arc triomphal entre la nef et le chœur, figure le calendrier des travaux des mois de l'année. Les deux scènes inférieures de décembre et janvier ont été détruites lors de la restauration de l'église en 1876 pour faire place à des colonnes à chapiteaux corinthiens.

Le manoir de Fontenay[modifier | modifier le code]

Le manoir de Fontenay.

Construit entre le XVe et le XVIe siècle, le manoir de Fontenay dépendait de Rillé. Il fut construit sur une ancienne villa gallo-romaine[37].

Le château a été inscrit aux Monuments historiques le [37].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Une inondation de plaine se produit lorsque le niveau d'un cours d'eau, généralement à la suite de fortes précipitations, monte progressivement jusqu'à l'envahissement du lit moyen, voire du lit majeur, pendant une période plus ou moins longue[4].
  2. Le classement en liste 1 est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
  3. Ce classement est attribué aux parties de cours d'eau ou canaux sur lesquels il est nécessaire d'assurer le transport suffisant des sédiments et la circulation des poissons migrateurs.
  4. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Daveson démissionne de son mandat en 1807.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
  2. « Carte hydrologique de Lignières-de-Touraine », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Fiche Sandre - l'Indre », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  4. « Les inondations lentes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Observatoire régional de Risques majeurs en Provence-Alpes Côte d'Azur (consulté le ).
  5. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
  6. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 62.
  7. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 1 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 2 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  9. a et b (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Fiche Sandre - le Vieux Cher », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  11. « Objectifs du SAVI », sur savi37.fr (consulté le ).
  12. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur terresdeloire.net (consulté le ).
  13. « L'inventaire départemental des zones humides », sur indre-et-loire.gouv.fr, (consulté le ).
  14. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  16. « Station Météo-France « Lignières-de-Touraine » - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  17. « Station Météo-France « Lignières-de-Touraine » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  18. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  19. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  21. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  25. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Lignières-de-Touraine », sur Géorisques (consulté le ).
  26. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  27. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  28. « Atlas du risque de feux de forêt en Centre – Val de Loire », sur centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
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  30. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
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  32. Stéphane Gendron, L'origine des noms de lieux de l'Indre-et-Loire : communes et anciennes paroisses, Chemillé-sur-Indrois, Hugues de Chivré, , 303 p. (ISBN 978 2 916 04345 6), p. 136.
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