Les Ennemis (film, 1962)

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Les Ennemis

Réalisation Édouard Molinaro
Scénario D'après le roman de Fred Noro Un certain code
Acteurs principaux
Pays de production Drapeau de la France France
Genre Espionnage, drame
Durée 92 minutes
Sortie 1962

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Les Ennemis est un film d'espionnage français, réalisée par Édouard Molinaro en 1961 et sorti le .

Synopsis[modifier | modifier le code]

Un vol de documents secrets a été commis à la Représentation commerciale de Russie, dans le bureau d'André Smoloff, attaché commercial. Une équipe, comprenant le capitaine Jean de Lursac et Vigo Curruci, prend l'affaire en mains. Smoloff convoqué par Borgnine, agent des Services secrets soviétiques, ne peut lui prouver son innocence. L'enquête révèle rapidement que Smoloff est très lié avec Lilia, vendeuse chez un couturier en renom. À la sortie de son bureau, Smoloff est enlevé sous les yeux d'un agent soviétique qui le filait. Ils retrouvent un ancien policier révoqué, Gerlier, animateur d'un réseau d'espionnage qui a réussi le vol des documents soviétiques. Mais ces documents sont écrits en code et seul Smoloff peut en donner la traduction. Lilia sera surveillée par Christine, la compagne de Lursac. L'étau des services secrets français se resserre. Les policiers français et soviétiques, après avoir lutté à mort, s'allient pour percer le mystère de la disparition de Smoloff et parviennent à la ferme où Gerlier et sa bande ont séquestré Smoloff. Ce dernier sera abattu en tentant de se sauver mais mourra sans avoir trahi. Les inspecteurs arrêtent Gerlier et Lursac apprend que son amie Christine, qui filait Gerlier, vient de se tuer dans un accident de voiture…

Fiche technique[modifier | modifier le code]

Distribution[modifier | modifier le code]

Autour du film[modifier | modifier le code]

  • Fred Noro, auteur du livre qui a inspiré le film n'était pas satisfait du résultat : « Cinq scénaristes se sont succédé pour adapter le bouquin, et il m'a fallu leur trouver un dénouement à une histoire qui n'avait plus rien à voir avec l'originale. Incroyable[1] ».

Références[modifier | modifier le code]

  1. L'Écho républicain de la Beauce et du Perche, 6 et 7 février 1982, interview de Jean-Luc Pays

Liens externes[modifier | modifier le code]