Le Mée-sur-Seine
Le Mée-sur-Seine | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
Logo |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Seine-et-Marne | ||||
Arrondissement | Melun | ||||
Intercommunalité | CA Melun Val de Seine | ||||
Maire Mandat |
Franck Vernin 2020-2026 |
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Code postal | 77350 | ||||
Code commune | 77285 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Méens | ||||
Population municipale |
20 207 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 3 784 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 32′ 00″ nord, 2° 37′ 44″ est | ||||
Altitude | Min. 37 m Max. 80 m |
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Superficie | 5,34 km2 | ||||
Type | Grand centre urbain | ||||
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune d'un pôle secondaire) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Savigny-le-Temple | ||||
Législatives | 11e circonscription de Seine-et-Marne | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | https://www.lemeesurseine.fr/ | ||||
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Le Mée-sur-Seine est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La ville est située sur la rive droite de la Seine à l'ouest et dans la continuité de la ville de Melun.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Dammarie-lès-Lys, Vert-Saint-Denis, Boissettes, Boissise-la-Bertrand et Melun.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1]. L'altitude varie de 37 mètres à 80 mètres pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ 70 mètres d'altitude (mairie)[2].
La ville est bâtie en partie sur les coteaux de la Seine, mais principalement sur le plateau calcaire de la Brie datant de l'ère Tertiaire. Une station géothermique, située dans le quartier des Sorbiers et construite dans les années 1970, va chercher de l'eau chaude dans les couches profondes du sol pour chauffer une partie des logements et des équipements publics de la commune.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le système hydrographique de la commune se compose de trois cours d'eau référencés :
La Lyve ou Lives traverse le quartier du vieux-Mée pour se jeter dans la Seine[Note 1].
La longueur globale des cours d'eau sur la commune est de 4,31 km[6].
Le principal plan d'eau de la commune, le lac de Meckenheim, est situé dans le quartier des Courtilleraies.
La station d'eau qui alimente le Mée en eau potable est situé sur le rond-point surplombant la Pénétrante, dans le quartier de Plein-ciel. Le retraitement des eaux se fait au sud-ouest de la commune à la limite de la commune limitrophe de Boissettes.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 695 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Montereau-sur-le-Jard à 6 km à vol d'oiseau[9], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 657,9 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal du Mée-sur-Seine comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2],[13],[Carte 1], les « Landes de Ste-Assise et bois de Boissise-la-Bertrand » (833,78 ha), couvrant 5 communes du département[14]. , et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[13] :
- le « Bois de Bréviande » (237,84 ha), couvrant 2 communes du département[15] ;
- les « Bois et landes entre Seine-Port et Melun » (1 343,88 ha), couvrant 6 communes du département[16].
-
Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
-
Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Le Mée-sur-Seine est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 4], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 5],[18],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune d'un pôle secondaire[Note 6],[I 1]. Cette aire regroupe 1 929 communes[19],[20].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]En 2018[21], le territoire de la commune se répartit en 58,4 % de zones urbanisées, 29,7 % de forêts, 6,4 % d’espaces verts artificialisés non agricoles, 2,1 % d’eaux continentales[Note 7], 1,9 % de milieux à végétation arbusive et/ou herbacée, 1,4 % de zones industrielles commercialisées et réseaux de communication et 0,5 % de terres arables[6],[6],[22].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]La commune compte 25 lieux-dits administratifs[Note 8] répertoriés consultables ici[23].
La commune est divisée en 4 quartiers (Le Mée Village, La Croix Blanche, Plein Ciel et Les Courtilleraies) et héberge 4 parcs (une partie du parc Debreuil, Pozoblanco, Meckenheim, Chapu. En 2015, Le Mée-sur-Seine compte 7.745 résidences principales, parmi lesquelles 3.793 (49,0 %) sont des logements sociaux[24].
Quartiers
[modifier | modifier le code]- Le Mée Village : Le Mée Village est le quartier historique, aussi traditionnellement dénommé « le Vieux Mée » par ses habitants. On peut encore y voir l'église Notre-Dame-de-la-Nativité de style gothique, rue de l'Église, près du parc de la Lyve. On peut notamment y voir un retable sculpté par Henri Chapu, sculpteur de la commune.
- La mairie actuelle est située dans ce quartier, au 555, route de Boissise. Le musée Henri-Chapu, situé rue Chapu est consacré à ce sculpteur ; il abrite des plâtres de plusieurs œuvres connues du sculpteur, et est un lieu régulier d'animations.
- L'ancienne gare du Mée se trouvait dans ce quartier, au bas de la rue Chapu ; il s'agissait d'une simple halte mise en service le et supprimée en 1979, au profit de la nouvelle gare, dans le quartier des Courtilleraies. On accédait au quai unique par une passerelle métallique[25].
- Au même emplacement se trouvait précédemment une première passerelle, mise en place dans les années 1930 lors de la suppression du passage à niveau qui permettait de circuler dans le village, de la rue Chapu à la rue de Lyve, de part et d'autre des voies ferrées[26].
- La Croix Blanche : Quartier plus récent que le vieux Mée, une église catholique plus moderne y fut construite, ainsi qu'un centre commercial, différents complexes sportifs, de nombreuses écoles, le conservatoire municipal de musique, un complexe culture, Le Mas, qui englobe une médiathèque et une salle de spectacle polyvalente.
- À côté du Mas, une grande cheminée verte dépasse du centre géothermique qui permet de chauffer une bonne partie du quartier depuis le début des années 1980, ainsi que le quartier des Courtilleraies. En 2008, 55 % des habitations bénéficient de cette énergie.
- De plus, en 2007, le collège Elsa-Triolet de ce quartier fut totalement reconstruit pour le rendre conforme aux normes actuelles.
- Plein Ciel : le quartier de Plein Ciel est situé entre Melun et « la pénétrante », périphérique de l'agglomération melunaise, et est symbolisé par sa tour d'habitation de 18 étages, comptant plus de 2000 habitants[réf. nécessaire].
- La construction de cette tour fut interrompue faute de budget dans les années 1960 et reprise bien plus tard afin de lui rendre l'équilibre visuel attendu désiré par l'architecte Edouard Albert de l'école de Le Corbusier, la dernière aile n'étant pas de cette école d'architecture.
- Ce quartier est le plus petit des quartiers du Mée-sur-Seine. C'est néanmoins le plus dense[réf. nécessaire]. Il comprend tout de même un groupe scolaire (école maternelle et primaire), une maison médicale, une résidence pour seniors et un centre commercial aux pieds de la tour.
- Les Courtilleraies : quartier le plus récent de la ville construit dans les années 1980 et 1990, il est aussi celui qui regroupe la majorité de la population (50 %). Ce quartier regroupe trois groupes scolaires, un collège, une Maison de la Petite Enfance, un centre social, une Maison des Associations, un parc urbain, une salle municipale, des aires de jeux pour enfants, la gare du Mée, un centre commercial, un bureau de Police nationale, et une Poste. Un complexe sportif avec des terrains synthétiques de football, une plaine de loisirs et un city-stade ouverts à tous, sont venus compléter les équipements du quartier.
Une partie de l'île sur laquelle la ville de Melun s'est développée appartient à la commune du Mée. À la suite d'une demande commune des conseils municipaux de Melun le et du Mée le , une procédure est en cours pour rattacher la pointe ouest de l'île Saint-Étienne à Melun[27].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 8 801, alors qu'il était de 8 124 en 2015 et de 8 240 en 2010[I 2].
Parmi ces logements, 89,2 % étaient des résidences principales, 3,5 % des résidences secondaires et 7,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 27,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 71,8 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements au Le Mée-sur-Seine en 2020 en comparaison avec celle de Seine-et-Marne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,5 %) supérieure à celle du département (3 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 45,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (38,9 % en 2015), contre 61,8 % pour la Seine-et-Marne et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Le Mée-sur-Seine[I 2] | Seine-et-Marne[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 89,2 | 90,2 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 3,5 | 3 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 7,3 | 6,8 | 8,2 |
La commune respecte largement ses obligations issues de l'article 55 de la loi SRU d'avoirs plus de 25 % de logements sociaux, par rapport à son parc de résidences principales, faisant d'elle la seconde ville en termes de ratio de logements sociuaux de Seine-et-Marne[28]
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]- Accès par la route :
La RD 39 permet de rejoindre la commune par l'ouest depuis Boissise-la-Bertrand. L'accès depuis le nord se fait par la route RD 346 (depuis Vert-Saint-Denis) ou la D 306 via le rond-point de l'Europe. À l'est, la ville a plusieurs rues qui communiquent directement avec Melun. - Accès par le train :
Le RER D circule en gare du Mée et permet de relier Paris en 50 minutes, voire en 35 minutes avec le semi-direct (trajet aller vers Paris uniquement, omnibus jusqu'à Lieusaint, puis direct jusqu'à Paris Gare de Lyon, circule en début de journée). - Bus :
La commune est reliée au réseau de transport par les lignes 3605, 3606, 3609 et 3634 du réseau de bus du Grand Melun. Elle a aussi mis en service une navette gratuite qui dessert les différents quartiers de la ville le vendredi. La commune est également desservie par la ligne d'autocars du réseau de bus du Pays Briard No 30A (Tournan-en-Brie – Melun).
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le lieu était désigné Mas en 1225, Le Meez en 1383, puis Le Mez en 1496, Le Mée Les Melun en 1789[29]
Le Mée, synonyme de mas, du Latin manere (demeurer), même racine que maison ; « exploitation rurale plutôt isolée »[30] ou de l'oïl mée « mesure de terre qui, pour l'ensemencement, exigeait un muid de grains ».
Le Mée devient Le Mée-sur-Seine sur demande du conseil municipal en 1939[31].
Histoire
[modifier | modifier le code]Antiquité
[modifier | modifier le code]Les Sénons occupent probablement le site.
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]- 1085 : seigneurie du chevalier Pierre de Lives (la Lives est le nom du cours d'eau qui traverse la ville) sur le site du Mée.
- 1225 : Le Mée-sur-Seine est mentionné pour la première fois sous le terme « Mas », dont l'origine est attribuée soit au latin médiéval "mansus", d'où l'ancien français "manse" (exploitation agricole comprenant une habitation rurale), du latin manere (demeurer), soit au nom du seigneur du lieu à l'époque : Thibaud de Mas.
- Le site ne contenait alors qu'une ferme, un mas. Celle-ci fut fermée dans les années 1970 mais on peut encore en voir les piliers à l'entrée nord-est de la ville, dans un petit parc. L'Allée de la Bergerie est la trace d'un endroit où venaient alors paître les moutons.
- XVe siècle : Arthur de Vaudetar (?-1504]), seigneur de Pouilly-le-Fort prend possession de la seigneurie du Mée - place forte de Marché-Marais.
Temps modernes
[modifier | modifier le code]- 1676 : la seigneurie revient à la famille Fraguier qui vécut au Mée jusqu'au XXe siècle.
- XVIIe siècle : production de chaux jusqu'en 1850.
- 1771 : première église.
- 1782 : première école.
- 1789 : le plan d'intendance, ancêtre du cadastre, réalisé quelques années avant la Révolution présente la commune sous le nom de "Le Mée-Les Melun"[29]
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]- 1889 : construction de l'Église Notre-Dame-de-la-Nativité.
- 1845 : arrivée du chemin de fer.
- 1938 : "Le Mée" devient "Le Mée-sur-Seine" sur demande du conseil municipal.
- 1944 : libération de la ville par les troupes alliées qui franchissent la Seine sur un pont de radeaux et remontent par l'actuelle avenue de la Libération.
- 1966-1973 : aménagement des quartiers Croix Blanche et Plein Ciel.
- 1970-1971 : construction de la voie rapide vers Melun (« la pénétrante »).
- 1979 : ouverture de la nouvelle gare du Mée et début de la construction du quartier des Courtilleraies.
- 1992 : construction du Mas. Passage de la flamme Olympique à l'occasion des Jeux d'hiver d'Albertville.
La ville a connu une croissance spectaculaire depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, et est aujourd'hui divisée en quatre quartiers, Le Mée Village, Plein Ciel, Croix Blanche et Courtilleraies.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Melun du département de Seine-et-Marne. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la onzième circonscription de Seine-et-Marne.
Elle faisait partie de 1801 à 1975 du canton de Melun-Nord, année où elle intègre le nouveau canton de Savigny-le-Temple. Celui-ci est scindé en 1991 et la commune devient alors le chef-lieu du canton du Mée-sur-Seine[31]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la ville réintègre le canton de Savigny-le-Temple, dans une composition différente de sa création en 1991.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune est membre de la communauté d'agglomération Melun-Val de Seine, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2001.
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Lors du premier tour des élections municipales de 2014 en Seine-et-Marne, la liste DVD menée par le maire sortant Franck Vernin obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 3 344 voix (56,82 %, 29 conseillers municipaux élus dont 9 communautaires), devançant très largement celles menées respectivement par[32] :
- Jean-Pierre Guerin (PS-PCF-EELV, 1 693 voix, 28,76 %, 5 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires) ;
- Nurcan Yazici (DVG, 547 voix, 9,29 %, 1 conseiller municipal élu) ;
- Jean-Pierre Poupard (FG, 301 voix, 5,11 %, pas d'élus).
Lors de ce scrutin, 44,14 % des électeurs se sont abstenus.
Lors des élections municipales de 2020 en Seine-et-Marne[33], la liste menée par le maire sortant Franck Vernin (UDI) remporte l'élection dès le premier tour avec 60,21 % des suffrages exprimés, devançant la liste de Nathalie Dauvergne-jovin (DVG) qui a obtenu 39,78 %, lors d'un scrutin marqué par 62,46 % d'abstention[34].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Distinctions et labels
[modifier | modifier le code]Sa gestion raisonnée des espaces naturels et la qualité de son fleurissement lui ont valu d'obtenir 4 fleurs au Concours des villes et villages fleuris de France sans interruption depuis 1998[réf. nécessaire].
Jumelages
[modifier | modifier le code]Ville | Pays | Période | ||
---|---|---|---|---|
Meckenheim[42] | Allemagne | depuis | ||
Pozoblanco[42] | Espagne |
Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]La ville dispose enfin d'un marché ouvert le samedi après-midi dans l'allée de la Gare.
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune dispose de dix écoles maternelles, six écoles élémentaires[43], deux collèges (La Fontaine, Elsa-Triolet) et un lycée (George-Sand).
Équipements culturels
[modifier | modifier le code]- Le Mas : Médiathèque et salle de spectacle;
- Espace Cordier : Maison de la Jeunesse et de la Culture :
- Centre musical Henri-Charny et Espace des Régals : École municipale de musique et de danse :
- Maison des Associations Jacques-Louis-Lantien, avenue du Vercors ;
- Aux « Abeilles » (école primaire et maternelle) : Théâtre-École du Damier, Théâtre Pourpre. C'était le lieu de l'école municipale de musique jusqu’à l'ouverture du centre Henri-Charny dans les années 1970 ;
- Musée Henri-Chapu : Exposition permanente de sculptures d'Henri Chapu et différentes expositions temporaires.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[44],[Note 9].
En 2021, la commune comptait 20 207 habitants[Note 10], en évolution de −2,65 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Salon de Lives, du nom d'un petit cours d'eau qui passe entre le cimetière et la mairie et se jette dans la Seine, est un salon de peintures et de sculptures biennal. Il a lieu à la Maison des associations du quartier des Courtilleraies[46][source insuffisante].
- La ville organise de nombreuses autres manifestations : Le Mée en Fête en septembre, déjeuner des anciens en octobre, Salon de la gastronomie en novembre, colis de Noël pour les anciens en décembre, défilé déguisé des enfants en juin, Le Mée Plage en été[47][source insuffisante].
Sports et loisirs
[modifier | modifier le code]La ville compte de nombreuses associations sportives où il est possible de pratiquer le sport comme activité de loisirs ou de compétition. En matière de résultats, elle compte chaque année des champions de niveau national et international dont en 2013 un champion d'Europe en Muay-Thai : Bobo Sacko[réf. nécessaire].
Ses équipements sportifs sont nombreux et répartis dans les différents quartiers. On trouve ainsi[Quand ?] à Croix-Blanche une piscine, un stade, des courts de tennis, deux gymnases, un city-stade... Le quartier des Courtilleraies est également bien doté avec un complexe de football équipé de terrains synthétiques, un Dojo, un boulodrome, deux city-stades, des courts de tennis, un gymnase, et une plaine de loisirs ouverte à tous.
À noter que la ville a lancé en 2012 une nouvelle activité à l'attention des seniors : les 3 S (Sport, Santé, Seniors) dont l'objectif est de favoriser l'éveil musculaire et d'entretenir sa forme[réf. nécessaire].
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 7 542 (dont 47 % imposés), représentant 19 964 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 17 860 euros[48].
Emploi
[modifier | modifier le code]En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 2 864, occupant 7 674 actifs résidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 59 % contre un taux de chômage de 13,5 %.
Les 27,5 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 12,3 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 4,7 % de retraités ou préretraités et 10,4 % pour les autres inactifs[49].
Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]En 2015, le nombre d'établissements actifs était de 914 dont 4 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 33 dans l’industrie, 116 dans la construction, 638 dans le commerce-transports-services divers et 123 étaient relatifs au secteur administratif[50].
Ces établissements ont pourvu 2 271 postes salariés.
C'est à Le Mée-sur-Seine que se trouve la chambre d'agriculture de Seine-et-Marne.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Le Musée Chapu, rue Chapu.
- L'église Notre-Dame-de-la-Nativité (quartier du Village), construite à partir de 1889 et consacrée par l'évêque de Meaux en 1893.
Elle se trouve à l'emplacement de la précédente église, construite en 1771[51].
- Le retable du maître-autel porte un bas-relief en marbre blanc représentant le « Christ au tombeau visité par les Anges », copie du sculpteur Henri-Auguste Patey d'après un plâtre de son maître, Henri Chapu, originaire de la commune[52].
- La chapelle Sainte-Croix (quartier de la Croix-Blanche).
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Pendant la période de la Terreur, le mathématicien, astronome et physicien français Pierre-Simon de Laplace (1749-1829), qui avait quitté Melun pour Le Mée est arrêté par les gardes nationaux de Boissise-la-Bertrand mais relâché aussitôt.
- Jacques Philippe Avice (1759-1835), général, François-Joseph Talma (1763-1826), comédien, Mademoiselle Mars (1779-1847), comédienne, Charles-Tristan de Montholon (1782-1853), général et homme politique, étaient copropriétaire d'une fabrique de tuiles, briques et carreaux au hameau méen des Fourneaux, dans les années 1820[53].
- Grigore V Ghica (1807-1857), prince souverain de Moldavie (en 1849-1853 et 1854-1856) a été en exil au Mée où il se suicide. Son épouse ainsi que cinq autres membres de la famille sont inhumés à ses côtés dans un monument funéraire du cimetière communal du Mée. Près de ce monument se trouve la sépulture de quatre autres membres de la famille Ghyka, dont Nicolas Jean Ghika (1849-1873), tué lors d'un duel dans la forêt de Fontainebleau ; le rocher sur lequel il est décédé a été déplacé sur sa tombe. Une troisième tombe contient les corps de membres de la branche valache de la famille[54].
- Henri Chapu (1833-1891), sculpteur, est né au Mée dans une des propriétés de la famille Fraguier où ses parents étaient respectivement cocher et servante. Il est inhumé dans le cimetière communal ; le monument qui orne sa sépulture représente L'Immortalité, une de ses œuvres copiée pour l'occasion par son élève, Henri-Auguste Patey[55]. Le Musée Chapu lui est consacré dans le Mée Village.
- François-Marie Firmin-Girard (1838-1921), peintre, a réalisé au Mée son tableau La Part du Pauvre (1887) : il représente une femme et une petite fille offrant de la nourriture à un vagabond, assis sur la berge de la Seine, dans le quartier des Fourneaux. Au second plan figure la ville voisine de Melun : on reconnaît la pointe occidentale de l'île Saint-Étienne de Melun, alors équipée d'un double barrage et d'une écluse. Les parents du peintre, qui résidèrent au Mée à partir des environs de 1880 avec leur autre fils Victor, sont inhumés au cimetière communal, à côté de la tombe d'Henri Chapu[56].
- Henri-Auguste Patey (1855-1930), sculpteur-graveur, élève d'Henri Chapu, a laissé deux œuvres dans la commune : L'Immortalité, figure allégorique ornant la sépulture de son maître au cimetière ; Le Christ visité par les Anges, un bas-relief, également copié de son maître et réalisé pour le maître autel de l'église Notre-Dame[57].
- Gaston Carraud (1864-1920), compositeur de musique, élève de Jules Massenet, Premier Grand prix de Rome en 1890, est né au Mée le .
- Eugène Rouart (1872-1936) homme politique français, est né au Mée le .
- Renée Saint-Cyr (1904-2004), actrice, a habité une grande demeure du XVIIIe siècle établie sur la commune, au Mée Village[58].
- Karl Lagerfeld (1933-2019), couturier, a possédé sur la commune la résidence précédemment occupée par Renée Saint-Cyr[59].
- Caroline de Monaco (1957-) et Ernest-Auguste de Hanovre (1954-) ont vécu durant plusieurs années dans la résidence précédemment occupée par Karl Lagerfeld.
- Willy Denzey, chanteur, (1982-) a vécu son enfance et son adolescence au Mée.
- Clément Chantôme (1987-) a joué dans le club Le Mée Sports Football.
- Aloïse Sauvage, chanteuse, actrice et circassienne (1992-), qui a passé sa jeunesse dans sa commune..
Héraldique
[modifier | modifier le code]Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Le Mée-sur-Seine », p. 837–841
- Michel Dauvergne et François Lethève, Le Mée-sur-Seine et son histoire, Ville du Mée-sur-Seine, 1994.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- {https://www.lemeesurseine.fr/ Site de la mairie].
- « Dossier complet : Commune du Mée-sur-Seine (77285) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, 25/8//2023 (consulté le ).
- « Le Mée-sur-Seine » sur Géoportail.
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Non rétérencé par Sandre
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Zones ZNIEFF duMée-sur-Seine » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres clés - Logement en 2020 au Le Mée-sur-Seine » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 au Le Mée-sur-Seine - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 au Le Mée-sur-Seine - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la Seine-et-Marne » (consulté le ).
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Autres sources
[modifier | modifier le code]- « Plan séisme consulté le 8 décembre 2020 ».
- « Le Mée-sur-Seine » sur Géoportail. Carte IGN classique.
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- Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de la Seine (F44-4441) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de la Commune du Mée-sur-Seine (F4471000) » (consulté le ).
- Site SIGES - Seine-Normandie consulté le 24 juillet 2018
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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- « Station Météo-France « Melun » (commune de Montereau-sur-le-Jard) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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- « ZNIEFF les « Landes de Ste-Assise et bois de Boissise-la-Bertrand » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- Site Corine Land Cover Mises à jour.
- [PDF]Fiche communale d'occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) sur le site cartoviz.iau-idf.fr
- « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb (consulté en ).
- Recensement général de la population 2015, document mentionné en liens externes, tableau LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
- Michel Dauvergne et François Lethève, Le Mée-sur-Seine et son histoire, Ville du Mée-sur-Seine, 1994, p. 109-114 et 299-300
- Michel Dauvergne et François Lethève, Le Mée-sur-Seine et son histoire, Ville du Mée-sur-Seine, 1994, p. 105, 107 et 109-112
- Le Conseil général de Seine-et-Marne, la délimitation des cantons de Melun-Sud et du Mée-sur-Seine étant en jeu, a donné un avis favorable le 27 mars 2009. La procédure sera achevée à la parution du décret en Conseil d'État au Journal officiel.
- Sophie Bordier, « Le Mée-sur-Seine : y a-t-il trop de logements sociaux dans la ville ? : Jean-Pierre Guérin (PS) prend à témoin la vente de logements privés à un bailleur social, à la résidence Circé, pour s’alarmer du taux de logements sociaux, proche de 44 % », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
- « Mée-sur-Seine (Le) (Seine-et-Marne ; 77) »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Plans d'intendance, Archives départementales de Seine-et-Marne, 1776-1791 (consulté le ).
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Résultats officiels pour la commune Le Mée-sur-Seine
- Sophie Bordier, « Municipales au Mée-sur-Seine : les questions de sécurité divisent les candidats : Chacun à sa manière, le maire sortant Franck Vernin (UDI) et l’élue d’opposition Nathalie Dauvergne-Jovin (DVG) déclinent ce thème majeur dans leurs programmes respectifs », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
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- Réélu pour le mandat 2020-2026Sophie Bordier, « Seine-et-Marne : le maire à peine élu et c’est déjà la polémique au Mée-sur-Seine : Sans masques sur le visage, les élus se sont réunis à la maison des associations. Le doyen et élu de l’opposition a relayé ses interrogations sur certaines pratiques en matière d’attribution de logements », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ) « Franck Vernin a été élu maire ce samedi matin par 27 voix sur 35 (malgré sept abstentions de l'opposition et un bulletin nul) ».
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- Michel Dauvergne et François Lethève, Le Mée-sur-Seine et son histoire, Ville du Mée-sur-Seine, 1994, p. 51-56 et 156-167
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- Michel Dauvergne et François Lethève, Le Mée-sur-Seine et son histoire, Ville du Mée-sur-Seine, 1994, p. 101
- Michel Dauvergne et François Lethève, Le Mée-sur-Seine et son histoire, Ville du Mée-sur-Seine, 1994, p. 147-150 ; Les tombes de la famille Ghyka au cimetière du Mée-sur-Seine
- Michel Dauvergne et François Lethève, Le Mée-sur-Seine et son histoire, Ville du Mée-sur-Seine, 1994, p. 185-219
- Michel Dauvergne et François Lethève, Le Mée-sur-Seine et son histoire, Ville du Mée-sur-Seine, 1994, p. 183-184
- Michel Dauvergne et François Lethève, Le Mée-sur-Seine et son histoire, Ville du Mée-sur-Seine, 1994, p. 162-163 et 207
- Michel Dauvergne et François Lethève, Le Mée-sur-Seine et son histoire, Ville du Mée-sur-Seine, 1994, p. 220-221
- / Une photographie de la résidence de Karl Lagerfeld au Mée, prise en 1990