Le Crime de l'Orient-Express (film, 1974)
| Titre original | Murder on the Orient Express |
|---|---|
| Réalisation | Sidney Lumet |
| Scénario |
Paul Dehn Anthony Shaffer |
| Musique | Richard Rodney Bennett |
| Acteurs principaux |
Albert Finney Lauren Bacall Sean Connery Jean-Pierre Cassel Ingrid Bergman |
| Sociétés de production |
EMI Films Ltd G.W. Films |
| Pays de production |
|
| Genre | policier |
| Durée | 128 minutes |
| Sortie | 1974 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Le Crime de l'Orient-Express (Murder on the Orient Express) est un film britannique réalisé par Sidney Lumet et sorti en 1974. Il est adapté du roman du même nom d'Agatha Christie publié en 1934, mettant en scène son célèbre détective belge Hercule Poirot à bord de l'Orient-Express.
Synopsis
[modifier | modifier le code]En 1930, le bébé de colonel Armstrong, Daisy, est enlevée en pleine nuit sans que le personnel de maison puisse agir. Tandis que les médias qui s'intéressent beaucoup à l'affaire s'interrogent d'une éventuelle complicité d'un domestique, les parents paient la rançon, mais cela sera vain : Daisy Armstrong est retrouvée assassinée.
Cinq ans plus tard, en hiver 1935, après avoir résolu une affaire en Jordanie, le célèbre détective belge Hercule Poirot doit rentrer prématurément à Londres. Il se rend à Istanbul en Turquie pour franchir le Bosphore en bateau et prendre la luxueuse ligne de train appelée l'Orient-Express reliant Istanbul à Calais. Au cours de la traversée du Bosphore, il surprend deux passagers, Mary Bertram et le colonel Arbuthnot tentant de cacher leur liaison "tant que ce ne sera pas fait". Arrivé au restaurant de luxe de la gare d'Istanbul, il rencontre son ami monsieur Bianchi (monsieur Blanchet dans la version française et monsieur Bouc dans le roman) qui est le directeur de la ligne de l'Orient-Express. Bien que celui-ci apprend que le train est complet, il obtient une place pour Poirot dans la cabine de Hector McQueen. Le directeur de la ligne sera lui-même du voyage pour le grand plaisir de Poirot.
Le train prend son départ et commence la traversée des premiers pays de l'Est européen sur l'itinéraire. Au matin suivant, pendant la traversée de la Yougoslavie, les passagers se retrouvent au wagon restaurant pour leur petit déjeuner, où Poirot fait la connaissance de la désagréable Harriet Hubbard. Quelques minutes plus tard, un homme d'affaires, un certain Samuel Ratchett, dont McQueen est son secrétaire, estimant sa vie en danger, demande l'aide de Poirot pour le protéger, ce qu'il refuse. Le soir suivant à la gare de Belgrade, Blanchet s'installe dans le "Pullman", un wagon de seconde classe laissant sa propre cabine à Poirot. Le train repart. Le valet de Ratchett, Beddoes, apporte du somnifère à son employeur. Plus tard, dans la nuit vers 1h du matin, Poirot est réveillé par une série d'évènements : il entend crier chez son voisin Ratchett avant de signaler un simple cauchemar au contrôleur Pierre Michel, puis le train se retrouve immobilisé par une coulée de neige dans cette région très montagneuse. Quelques instants plus tard, Mme Hubbard se plaint au contrôleur de la présence d'un homme inconnu dans son compartiment et une personne en kimono passe devant la cabine de Poirot.
Le soleil s'est levé sur une campagne totalement déserte aux alentours, Blanchet explique la situation aux passagers assez énervés. Par ailleurs l'attente devra durer de très longues heures avant l'arrivée du train chasse-neige de service pour le déblaiement de la voie. Pendant ce temps, alors que Beddoes apporte du fortifiant à son patron, le valet, Poirot et Michel retrouvent Ratchett mort dans sa couchette. Poirot envoie Michel chercher Blanchet et le docteur Constantine (qui voyage avec Blanchet dans le "Pullman"). En examinant le corps, le docteur constate que Ratchett est poignardé de douze coups de couteau à la poitrine, des coups hétérogènes. Le directeur de la ligne propose alors à son ami Hercule Poirot de tenter de résoudre ce meurtre tant que le train est immobilisé. Sinon, lorsqu'il repartira après le déblayage de la coulée de neige, il faudra s'en remettre aux autorités yougoslaves et il serait préférable pour tout le monde que le coupable soit déjà démasqué pour éviter une rétention de voyageurs innocents par les Yougoslaves. Poirot demande la répartition des passagers du wagon de Calais et leur passeports. Le détective interroge le secrétaire de Ratchett, McQueen, qui lui apprend que son patron a fui l'Amérique et recevait régulièrement des lettres anonymes menaçantes. Poirot, Blanchet et Constantine continue l'investigation de la scène du crime et, avec deux cartons à chapeaux et une bougie, il parvient à lire une lettre anonyme brûlée sur la table de nuit de la victime et y trouve un nom : "Daisy Armstrong". Poirot découvre que Ratchett était Casseti, mafieux ayant commandité l'enlèvement de Daisy Armstrong, qui s'était enfui de l'Amérique avec l'argent de la rançon, ses hommes de mains ayant été tués sans l'avoir dénoncé. Poirot explique à Blanchet que la mort de Daisy a provoqué la mort des parents à cause du chagrin et du suicide de la femme de chambre Paulette accusée à tort de complicité. Ce meurtre est une vengeance.
Dehors, il n'est pas tombé de nouvelle neige depuis la veille au soir, et l'état immaculé du manteau de neige autour du train montre que personne ne s'est éloigné du convoi. Le coupable est donc probablement encore sur place, un membre de la voiture de Calais (Poirot ayant écarté Blanchet et le docteur qui se trouvaient dans le "Pullman"). Tandis que le train chasse-neige commence à déblayer la voie, Poirot, accompagné de Blanchet et du docteur, mène les interrogatoires de Michel et des passagers de Calais dans le "Pullman". Le premier interrogé est le contrôleur Pierre Michel, qui a perdu sa fille cinq ans plus tôt. Le second est Hector McQueen, le secrétaire de Ratchett, où le détective apprend que celui-ci était le filleul de Mrs Armstrong. Le troisième est Beddoes[1], le majordome de Ratchett, qui loge dans la même cabine que l'italo-américain Foscarelli et qui a mal dormi. La quatrième personne est Harriet Hubbard. Celle-ci, qui loge dans la cabine attenant directement à celle de Ratchett, déballe son sac pour leur montrer un bouton laissée par l'inconnu qui se trouvait dans sa cabine. Poirot remercie Mrs Hubbard pour l'interprétation de son personnage. La cinquième personne est la missionnaire Greta Ohlsson qui a trouvé la foi en Dieu depuis cinq ans, expliquant à Poirot que sa colocataire, Mary Bertram, n'a pas quitté la cabine pendant la nuit. Les sixièmes et septièmes personnes sont le couple diplomates hongrois Andrenyi. Il apprend sur le passeport d'Elena, qui comporte une tâche sur son prénom, son nom de jeune fille Grundvald.
La huitième personne est la vieille princesse Dragomiroff, qui était la marraine de Mrs Armstrong qui était amie avec la tragédienne Linda Harden. Poirot essaie d'en savoir plus sur les autres membres de la famille Armstrong ainsi que du personnel qui semblent tous avoir disparus. La neuvième personne est Hildegarde Schmidt, femme de chambre de la princesse. En allant chercher une photo de la femme de chambre Paulette, elle est surprise de découvrir dans ses bagages l'uniforme de contrôleur (sur lequel il manque le bouton) qui aurait servit à l'inconnu ayant surgit chez Mrs Hubbard (il n'appartient pas à Pierre). Poirot garde la photographie en disant à Schmidt qu'elle est une bonne cuisinière qui apprécie le compliment. Après cet interrogatoire, Poirot découvre dans sa cabine le kimono qu'il avait vu la nuit précédente et comprend que les évènements de la nuit dernières ne sont qu'une mise en scène.
La dixième personne est le colonel Arbuthnot qui a un alibi au moment du meurtre. Pourtant, le colonel a un secret avec Mary Bertram et s'énerve quand le détective tente de le découvrir. La onzième personne est la sténographe Mary Bertram avec qui le détective mène un interrogatoire plus musclé, qui lui répond qu'elle peut téléphoner un avocat. Fou de rage, le colonel frappe Michel et interrompt l'interrogatoire. Les deux amants cachent leur liaison tant que le colonel n'a pas divorcé de sa femme, explication qui satisfait le détective. La douzième personne est le vendeur de voiture italo-américain Gino Foscarelli qui expose sa théorie que Ratchett/Casseti est assassiné par d'autres mafieux dans une vendetta. L'interrogatoire est interrompu par l'irruption de Mrs Hubbard avec le couteau, arme du crime, qu'elle a trouvé dans son sac à main. Le détective lui demande de réunir tout le monde dans le wagon restaurant dans les prochaines minutes où le détective exposera tous les faits. Mais avant cela, Poirot mène le treizième et dernier interrogatoire : Cyrus Hardman, détective Pinkerton chargé de la sécurité de Ratchett se faisant passer pour un impresario. Mais le détective lui montre la photo de Paulette Michel que Hardman reconnait immédiatement, apportant les dernières réponses au détective.
Peu après, tout le monde est réuni dans le wagon restaurant où Poirot expose le déroulé des faits selon deux hypothèses : la première est qu'un tueur mafieux s'est introduit dans le train à Belgrade déguisé en contrôleur pour tuer Ratchett, puis s'enfuit par la cabine de Mrs Hubbard revêtu du kimono devant la cabine de Poirot et s'enfuit dans la neige. La second, bien plus complexe, est le véritable déroulé des faits : les treize personnes interrogés ont tous tenté de cacher leurs liens avec les Armstrong : Pierre Michel est le père de la femme de chambre Paulette, Beddoes était le majordome des Armstrong qui avait été assommé durant l'enlèvement de Daisy, Mrs Hubbard était la tragédienne Linda Harden et mère de Mrs Armstrong, Greta Ohlsson était la nourrice de Daisy Armstrong, Elena (qui s'appelait Helena Grundvald avant son mariage avait effacé le "H" de son prénom sur son passeport) était la soeur de Mrs. Armstrong (et donc la fille de Linda Harden), la femme de chambre Schmidt était la cuisinière des Armstrong, le colonel Arbuthnot était l'ami proche du colonel Armstrong, Mary Bertram était la secrétaire de Mrs Armstrong, Gino Foscarelli était le chauffeur des Armstrong et Cyrus Hardman était le fiancé de Paulette. Les treize suspects ont assassiné Ratchett durant la nuit vers 2h du matin (le couple Andrenyi ayant donné le coup de couteau ensemble réduit ainsi le nombre de coups de couteaux à douze) et ont tenté de mettre en scène pour tromper Poirot sur l'heure du crime vers 1h du matin avec le cri de McQueen (qui avait drogué son patron plus tôt dans la soirée) dans la cabine de Ratchett simulant le cauchemar, le kimono de Linda et l'uniforme fournit par Pierre. Mais la présence de Poirot dans le train et l'immobilisation du train dans la neige a mis en péril le plan du groupe dont le cerveau était Linda Harden. Une fois la seconde version, celle de la vérité, exposée, Poirot et Blanchet s'accordent sur la première version qu'ils présenteront aux autorités locales, car les assassins, membres de la haute-société, ont trop soufferts devant l'impuissance de la Justice. Ayant fini son enquête, Poirot va préparer les pièces à convictions à présenter aux autorités, tandis que les passagers et le contrôleurs expriment leurs soulagement de la fin de l'affaire en trinquant. Au même moment, le train chasse-neige a dégagé la voie et l'Orient-Express se remet en marche.
Fiche technique
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- Titre original : Murder on the Orient Express
- Titre français : Le Crime de l'Orient-Express
- Réalisation : Sidney Lumet
- Scénario : Paul Dehn et Anthony Shaffer (non crédité au générique), d'après le roman Le Crime de l'Orient-Express d'Agatha Christie
- Musique originale : Richard Rodney Bennett
- Direction artistique : Jack Stephens
- Décors : Tony Walton
- Costumes : Tony Walton
- Photographie : Geoffrey Unsworth
- Montage : Anne V. Coates
- Production : John Brabourne et Richard B. Goodwin
- Sociétés de production : EMI Films Ltd et G.W. Films
- Sociétés de distribution : Anglo-EMI Film Distributors (Royaume-Uni), Maryart Productions Inc. (Québec), Paramount Pictures (États-Unis)
- Pays de production :
Royaume-Uni - Langues originales : anglais, turc, français, allemand, italien et suédois
- Format : couleur (Technicolor) — 1.66:1 — son monophonique — 35 mm
- Genre : policier, thriller, whodunit
- Durée : 128 minutes
- Dates de sortie :
- Royaume-Uni :
- France :
Distribution
[modifier | modifier le code]- Albert Finney (VF : Philippe Dumat) : Hercule Poirot
- Lauren Bacall (VF : Claire Guibert) : Mme Harriet Hubbard
- Martin Balsam (VF : Raoul Curet) : Bianchi (Blanchet dans la VF), ami de Poirot et directeur de la ligne Orient-Express au sein de la Compagnie des wagons-lits
- Ingrid Bergman (VF : Éléonore Hirt) : Greta Ohlsson
- Jacqueline Bisset (VF : Annie Sinigalia) : la comtesse Helena Andrenyi
- Jean-Pierre Cassel (VF : Lui-même) : le contrôleur Pierre Michel
- Sean Connery (VF : Sady Rebbot) : le colonel Arbuthnot
- John Gielgud (VF : Bernard Dhéran) : Beddoes, valet de Ratchett
- Wendy Hiller (VF : Luisa Colpeyn) : la princesse Natalya Dragomiroff
- Anthony Perkins (VF : Jean-Pierre Leroux) : Hector McQueen, secrétaire de Ratchett
- Vanessa Redgrave (VF : Nicole Favart) : Mary Debenham (Marie Bertram dans la version française)
- Rachel Roberts (VF : Nadine Basile) : Hildegarde Schmidt, femme de chambre de la princesse
- Richard Widmark (VF : Al Brave) : Samuel Ratchett, la victime
- Michael York (VF : Bernard Murat) : le comte Rudolph Andrenyi
- Colin Blakely (VF : Marc de Georgi) : Cyrus Hardman
- George Coulouris (VF : Jean-Henri Chambois) : Docteur Constantine
- Denis Quilley (VF : Serge Lhorca) : Gino Foscarelli, vendeur de voitures
- Vernon Dobtcheff (VF : Lui-même) : le concierge
Production
[modifier | modifier le code]Agatha Christie n'a jamais été satisfaite des précédentes adaptations cinématographiques de ses œuvres. Elle ne veut donc plus entendre parler de cinéma, considérant qu'elle en a « assez supporté »[2].
En 1974, Lord Mountbatten parvient cependant à convaincre la romancière d'accepter que son beau-fils John Brabourne produise une adaptation de son roman Le Crime de l'Orient-Express : Sidney Lumet va se charger de la réalisation et une distribution prestigieuse est réunie autour d'Albert Finney, choisi pour interpréter le détective Hercule Poirot[2].
Albert Finney a 38 ans et, pour tenir le rôle, il doit subir chaque jour deux heures d'un maquillage complexe destiné à lui donner l'apparence d'un homme de plus de 50 ans. Le restaurant de la gare d'Istanbul est reconstitué dans un grand hôtel de Londres. Quelques plans très brefs au début du film sont pris à Istanbul depuis la rive asiatique du Bosphore[3]. La scène initiale de la montée dans le train en gare d'Istanbul est tournée dans les anciens ateliers du Landy de la SNCF à Saint-Denis en proche banlieue parisienne. Les scènes à l'intérieur du train sont tournées dans des décors reconstitués, celles paysagères montrant le train de l'extérieur sont filmées en France, dans le Doubs, sur la ligne Pontarlier-Gilley aux abords de l’ancienne gare de Montbenoît (dans le long travelling suivant le départ, on aperçoit une borne kilométrique de l'ancienne Route nationale 437 reliant Belfort à Saint-Claude). Le tournage se déroule également dans les studios d'Elstree en Angleterre[4].
La locomotive utilisée pour le tournage est la 230 G 353, l'une des rares machines à vapeur préservées par la SNCF[5].
Musique
[modifier | modifier le code]Pour Renaud Machart, critique musical de France Musique et du Monde, la musique de Richard Rodney Bennett pour le Crime de l'Orient-Express constitue « sa signature sonore, ce pour quoi il est mondialement connu »[6].
Sortie et accueil
[modifier | modifier le code]Agatha Christie se rend à la première du film au cinéma ABC sur la Shaftesbury Avenue de Londres, en présence de la reine Élisabeth II. Elle s'estime comblée en dehors d'un détail : elle ne trouve pas la moustache d'Hercule Poirot aussi superbe que ce qu'elle avait imaginé[3].
Le film obtient un succès sans précédent pour un film britannique. Il aurait récolté 27 634 716 $ au box-office[7]. En France, il attire 549 055 entrées[8].
Distinctions
[modifier | modifier le code]Le film est nommé six fois aux Oscars de 1975, mais seule Ingrid Bergman s'est vu décerner la précieuse statuette (Oscar de la meilleure actrice dans un second rôle)[2].
Récompenses
[modifier | modifier le code]Nominations
[modifier | modifier le code]- Prix Edgar-Allan-Poe 1975 : Meilleur film
- Directors Guild of America Awards 1975 : Meilleur réalisateur pour Sidney Lumet
Analyse
[modifier | modifier le code]Différences avec le roman
[modifier | modifier le code]On note une petite différence entre l'œuvre originale et son adaptation : dans le roman, la comtesse Andrenyi, trop émotive, ne participe pas au meurtre de Ratchett. Le nombre d'assassins est donc bien de douze, comme le nombre de jurés des tribunaux anglo-saxons. Dans l'adaptation cinématographique, ce nombre passe à treize, mais frappant douze coups seulement : la comtesse joint ses mains à celles de son mari pour porter un seul coup ensemble. En outre, l'interrogatoire de Cyrus Hardman est bien plus étoffé dans le livre.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- ↑ Le flashback durant son témoignage comporte une erreur : cette séquence est totalement différente de celle où il s'était rendu dans la cabine de Ratchett. Dans l'autre séquence, il verse le somnifère dans le verre de Ratchett contrairement dans le témoignage de Beddoes. Cet erreur de montage volontaire vient du témoignage faussé de Beddoes.
- Armelle Leroy et Laurent Choley, Sur les traces d'Agatha Christie : Un siècle de mystère, Paris, Hors Collection, , 165 p. (ISBN 978-2-258-07888-8)
- « Le Crime de l'Orient-Express », Philippe Lombard, Histoires de tournages (Lire en ligne)
- ↑ « Locations » (tournage et production), sur l'Internet Movie Database
- ↑ Naïm Ayache, « La locomotive du Crime de l'Orient Express ressurgit à Épernay », sur lunion.fr, (consulté le ).
- ↑ « Richard Rodney Bennett in memoriam », Renaud Machart, Le Matin des musiciens, France Musique, jeudi 17 janvier 2013 (Écouter en ligne)
- ↑ (en) « Murder on the Orient Express », sur Box Office Mojo (consulté le )
- ↑ « Le Crime de l'Orient-Express », sur JP's box-office (consulté le )
Annexes
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- L'Orient-Express
- Le Crime de l'Orient-Express, le roman d'Agatha Christie
- Le Crime de l'Orient-Express, adaptation télévisée de 2010
- Le Crime de l'Orient-Express, autre adaptation sortie en 2017
Liens externes
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- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- Film britannique sorti en 1974
- Film policier sorti en 1974
- Film policier britannique
- Film de chambre close
- Film à huis clos
- Film à flash-back
- Film à retournement final
- Film sur un assassinat
- Film réalisé par Sidney Lumet
- Film tiré d'une œuvre d'Agatha Christie
- Orient-Express
- Film se déroulant dans un train
- Film se déroulant dans les années 1930
- Film se déroulant à Istanbul
- Film se déroulant à New York
- Film se déroulant en Yougoslavie
- Film tourné dans le Doubs
- Film tourné dans le Hertfordshire
- Film tourné à Istanbul
- Film tourné dans le 10e arrondissement de Paris
- Film tourné dans la Seine-Saint-Denis
- Film avec un Oscar de la meilleure actrice dans un second rôle
- Film avec un British Academy Film Award du meilleur acteur dans un second rôle
- Film avec un British Academy Film Award de la meilleure actrice dans un second rôle
- Film distribué par Paramount Pictures