Le Bar-sur-Loup
Le Bar-sur-Loup | |||||
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![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-Maritimes | ||||
Arrondissement | Grasse | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Sophia Antipolis | ||||
Maire Mandat |
François Wyszkowski 2020-2026 |
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Code postal | 06620 | ||||
Code commune | 06010 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Barois ou Aubarnencs | ||||
Population municipale |
2 927 hab. (2020 ![]() |
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Densité | 202 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 42′ 08″ nord, 6° 59′ 23″ est | ||||
Altitude | Min. 100 m Max. 1 312 m |
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Superficie | 14,47 km2 | ||||
Unité urbaine | Nice (banlieue) |
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Aire d'attraction | Le Bar-sur-Loup (commune-centre) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Valbonne | ||||
Législatives | Septième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Le Bar-sur-Loup est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Par décret du , Journal officiel du avec effet au , Le Bar devient Le Bar-sur-Loup.
Ses habitants sont appelés les Aubarnois (Aubarnenc en occitan) ou les Barois.
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
Commune située à 9 km, à l'est de la ville de Grasse et 19 km au nord-ouest de Cagnes-sur-Mer, à 17 km à l'ouest de Vence, ou bien encore 17 km au sud du village de Gréolières.
Nice, la préfecture des Alpes-Maritimes est situé à 31 km.
Géologie et relief[modifier | modifier le code]
Le Bar-sur-Loup est membre du parc naturel régional des Préalpes d'Azur.
La commune doit son nom au Loup, fleuve côtier qui la traverse, et qui se jette dans la mer près de Villeneuve-Loubet.
Sismicité[modifier | modifier le code]
Commune située dans une zone de sismicité moyenne[1],[2].
Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]
Cours d'eau sur la commune :
- Le Loup (fleuve),
- Ruisseau des Escures[3].
Climat[modifier | modifier le code]
Climat classé Csb dans la classification de Köppen et Geiger[4]
Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]
Voies routières[modifier | modifier le code]
Départementale 2210 depuis Vence et D 6 de Cagnes-sur-Mer[5].
Transports en commun[modifier | modifier le code]
Intercommunalité[modifier | modifier le code]
Commune membre de la Communauté d'agglomération de Sophia Antipolis.
Urbanisme[modifier | modifier le code]
La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[8],[9],[10],[11].
Typologie[modifier | modifier le code]
Le Bar-sur-Loup est une commune urbaine[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nice, une agglomération intra-départementale regroupant 51 communes[15] et 942 886 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Nice est la septième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse et Bordeaux[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Bar-sur-Loup, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 1 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols[modifier | modifier le code]
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (67 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (32,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (31,8 %), zones urbanisées (18,6 %), zones agricoles hétérogènes (4,4 %), prairies (4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,8 %), mines, décharges et chantiers (2,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,8 %)[20].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Économie[modifier | modifier le code]
Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]
Agriculture[modifier | modifier le code]
- Agriculteur, culture de légumes, de melons, de racines et de tubercules.
- Élevage d'ovins et de caprins.
- Agrumiculture.
- Plantes à parfums, aromatiques et médicinales.
Tourisme[modifier | modifier le code]
Commerces[modifier | modifier le code]
- L'entreprise de créations de parfums Mane a son siège social et ses usines installées dans cette ville située à proximité de Grasse.
- Commerces de proximité[24],[25].
Toponymie[modifier | modifier le code]
Originellement Albarn > Aubarn par extraction de l'article[26].
Histoire[modifier | modifier le code]
Le Moyen Âge[modifier | modifier le code]
La seigneurie du Bar qui appartenait jusqu'en 1235 aux comtes de Provence fut acquise par Rambaud, premier seigneur de Grasse du Bar, le , à Raymond Béranger, comte de Provence, le château du Bar resta la propriété de la famille de Grasse jusqu'en 1792[27].
- La légende[28]
- Un comte de Bar ayant donné un bal en plein carême, les invités tombèrent morts. La danse macabre fut peinte pour commémorer ce châtiment céleste. On y voit la Mort, équipée en archer, tuer à coups de flèches les danseurs. Les âmes sortant de la bouche des cadavres sous la forme de petits personnages nus sont pesées dans la balance que tient saint Michel, aux pieds du Christ, et sont précipitées dans la gueule d'un monstre qui représente l'entrée de l'enfer.
La période contemporaine[modifier | modifier le code]
La commune dénommée "Le Bar" depuis 1930, devient Le Bar-sur-Loup le 2 avril 1961.
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Budget et fiscalité 2019[modifier | modifier le code]

En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[35] :
- total des produits de fonctionnement : 3 765 000 €, soit 1 238 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 3 447 000 €, soit 1 134 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 2 872 000 €, soit 944 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 3 510 000 €, soit 1 154 € par habitant ;
- endettement : 1 965 000 €, soit 646 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 9,74 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 5,67 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 26,14 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 23 500 €[36].
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
Évolution démographique[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].
En 2020, la commune comptait 2 927 habitants[Note 3], en diminution de 2,37 % par rapport à 2014 (Alpes-Maritimes : +1,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement[modifier | modifier le code]
Établissements d'enseignements[41] :
- École maternelle,
- École primaire[42],
- Collèges à Grasse,
- Lycées à Grasse.
Santé[modifier | modifier le code]
Professionnels et établissements de santé[43] :
- Médecins[44],
- Pharmacie,
- Établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD)[45],
- Centre hospitalier de Grasse[46]
Cultes[modifier | modifier le code]
- Culte catholique, Paroisse Saint Antoine de Padoue[47], Diocèse de Nice.
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- L'église Saint-Jacques-le-Majeur. Le portail sculpté est remarquable. L'église abrite un retable de Bréa (XVIe siècle) ornant le maître-autel et des statues du XVIIe siècle[48]. Dans le fond de l'église se trouve une peinture sur bois du XVe siècle représentant une danse macabre[49]. L'église a été inscrite en 1940 sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques[50].
- Monument aux morts, commémorant les victimes de la Première Guerre mondiale[51] et de la Seconde Guerre mondiale[52].
- Fortification d'agglomération[53].
- Le château des comtes de Grasse[54]: au sommet du bourg s'élève l'ancien château des comtes de Grasse, grande bâtisse du XVIe siècle, flanqué de tours[55].
- Monument à l'amiral François Joseph Paul, comte de Grasse, face à la mairie, contre le mur de l'église, dû au sculpteur Cyril de La Patellière, inaugurée le en présence de la municipalité Maffet, du maire de Grasse Hervé de Fontmichel et du comte Bruno Deydier de Pierrefeu. Un second exemplaire est érigé à Grasse, cours Honoré Cresp. Il remplace un buste qui se trouve à présent à l'entrée de l'école communale.
- La porte Sarrasine, aussi appelée porte de l'Hôpital. C'est la seule porte dans les remparts conservée[56].
- Le viaduc de Pont-de-Loup[57],[58] : au hameau de Pont-de-Loup à Tourrettes-sur-Loup, village proche du Bar-sur-Loup, on peut voir les ruines du viaduc, détruit par les occupants allemands qui avaient envahi ce village lors de la Seconde Guerre mondiale. La construction de ce viaduc a commencé en 1890 et s'est achevée en 1892. En 1944, les Allemands ont fait évacuer le village et ont fait exploser le viaduc. Plus tard, l'entreprise de la Compagnie des grands travaux de Marseille a ordonné la destruction du viaduc qui menaçait de s'écrouler. Les piliers considérés comme non dangereux, ont été conservés[59].
-
Église Saint-Jacques-le-Majeur.
-
Plaque funéraire romaine encastrée dans le mur de l'église.
-
La base de l'ancien donjon.
-
La porte Sarrasine.
-
Les gorges du Loup vues de la place de l'Église.
-
Viaduc du Riou de Bar.
-
Le viaduc des Ribas au nord-est du village.
Le Bar-sur-Loup dans l'art[modifier | modifier le code]
-
Raymond Tournon père, Le Bar (1919), musée des Beaux-Arts de Gaillac.
Héraldique[modifier | modifier le code]
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Blason | |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Montréal d'Albarno, Frà Moriale, Condottieri (?-1354).
- François Joseph Paul de Grasse (1782-1788), marquis de Grasse-Tilly, comte de Grasse y est né.
- Maximin Consolat (1785-1858), maire de Marseille de 1832 à 1843 y est né.
- Célestin Freinet (1896-1966), y fut instituteur du au et commença à concevoir et à mettre en œuvre ses techniques pédagogiques qu'il développa ensuite à Saint-Paul-de-Vence, après sa mutation, et à Vence dans sa propre école Freinet (ouverte en 1935).
- Francis Ponge (1899-1988), y vécut de 1961 à sa mort.
- Cyril Esquirol (1969-), pilote d'enduro, quadruple vainqueur de la « Gilles Lalay Classic » y vit.
Site internet[modifier | modifier le code]
- Le Bar-sur-Loup, sur www.departement06.fr/patrimoine-par-commune/
Jumelages[modifier | modifier le code]
- Poquoson, ville des États-Unis dans l'État de Virginie.
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes[modifier | modifier le code]
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références[modifier | modifier le code]
- Didacticiel de la réglementation parasismique
- Le Bar-sur-Loup et le tremblement de terre de 1887
- Ruisseau des Escures
- Table climatique
- Le Bar-sur-Loup, sur Provence 7
- Envibus
- Transports en commun et accès à la commune
- PLU
- P.L.U. : règlement par zones
- Plan locald'urbanisme en cours de révision
- Objectifs du PADD
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Nice », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Restauration
- Gîtes de France
- Chambres d'hôtes
- Commerces de proximité
- Commerces et services
- Histoire de la commune
- Jean-Jacques Antier, L'amiral de Grasse, Plon, (lire en ligne), p. 21.
- Saint-Jacques-le-Majeur du Bar-sur-Loup, une danse mortelle pour punition
- [1]
- Notice MAFFET Hippolyte, version mise en ligne le 30 novembre 2010, dernière modification le 30 novembre 2010
- Didier Chalumeau, « Décès du colonel (H) Pierre Rossignol, pionnier des hélicos bleus et des plongeurs (diaporama et vidéo) », sur lavoixdugendarme.fr, (consulté le ).
- « Démission du maire au Bar-sur-Loup », Nice-Matin, (lire en ligne, consulté le ).
- « Résultats des élections municipales 2014 : Le Bar-sur-Loup (06620 - Alpes-Maritimes) », sur lexpress.fr (consulté le ).
- « Willy Galvaire élu nouveau maire du Bar-sur-Loup », Nice-Matin, (lire en ligne).
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Établissements d'enseignements
- École élémentaire
- Professionnels et établissements de santé
- Médecins
- EHPAD
- Centre hospitalier de Grasse
- Paroisse Saint Antoine de Padoue
- Église paroissiale Saint-Jacques le Majeur, sur patrimages.culture.gouv.fr/
- Hélène Utzinger, Bertrand Utzinger, Itinéraires des Danses macabres, Editions J.M. Garnier, (lire en ligne), p. 98.
- « Église Saint-Jacques-le-Majeur », notice no PA00080661, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Monument aux morts.
- Morts aux guerres.
- Fortification d'agglomération.
- Château du Bar.
- François Monmarché, Denise Bernard-Folliot, Provence, Côte d'Azur, Hachette, (lire en ligne), p. 572.
- Le patrimoine de la commune.
- Viaduc du Pont-du-Loup, par la Société historique de Tourrettes-sur-Loup.
- Viaduc du Loup, sur structurae.net.
- Vincent Paschetta, Nice et sa région, Didier Richard (lire en ligne), p. 84.
- « Le Bar-sur-Loup », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
- Dominique Cureau, « Communauté d'agglomération Sophia Antipolis 1 : Le Bar-sur-Loup », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Collectif, Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. I : Cantons d'Antibes à Levens, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 504 p. (ISBN 2-84234-071-X)Canton du Bar-sur-Loup, Le Bar-sur-Loup, pp. 79 à 86
- Le Bar-sur-Loup, sur dignois.fr/
- Le Bar-sur-Loup, sur www.annuaire-mairie.fr/
- Le Bar-sur-Loup, sur provence7.com/
- Cavités souterraines
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes[modifier | modifier le code]
- Liste des communes des Alpes-Maritimes
- Liste des anciennes communes des Alpes-Maritimes
- Canton du Bar-sur-Loup (ancien canton)
- Amiral de Grasse
- Château des comtes de Grasse
- Site des Rivières et Gorges du Loup
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Le Bar-sur-Loup sur le site de l'Institut géographique national.
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA].
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes.