Laroque-d'Olmes

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Laroque-d'Olmes
Laroque-d'Olmes
Vue de Laroque-d'Olmes.
Blason de Laroque-d'Olmes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Ariège
Arrondissement Pamiers
Intercommunalité Communauté de communes du Pays d'Olmes
Maire
Mandat
Patrick Laffont
2020-2026
Code postal 09600
Code commune 09157
Démographie
Gentilé Laroquais
Population
municipale
2 371 hab. (2021 en diminution de 4,16 % par rapport à 2015)
Densité 165 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 58′ 16″ nord, 1° 52′ 22″ est
Altitude Min. 408 m
Max. 735 m
Superficie 14,36 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Lavelanet
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mirepoix
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Laroque-d'Olmes
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Liens
Site web Site officiel

Laroque-d'Olmes (La Ròca d'Òlmes en occitan languedocien) est une commune française, située dans l'est du département de l'Ariège, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du pays d'Olmes, haut lieu de la tragédie cathare alliant des paysages d'une extrême diversité.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Touyre, le ruisseau du Sautel et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de sept zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Laroque-d'Olmes est une commune rurale qui compte 2 371 habitants en 2021. Elle appartient à l'unité urbaine de Laroque-d'Olmes et fait partie de l'aire d'attraction de Lavelanet. Ses habitants sont appelés les Laroquais ou Laroquaises.

Commune de tradition textile, elle appartient au Pays des Pyrénées cathares, labellisé Pays d'art et d'histoire. Il s'agit de la deuxième commune la plus peuplée du Pays d'Olmes, après Lavelanet.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église du Saint-Sacrement, inscrite en 2001.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Cartographies interactive et OpenStreetMap
Carte
La commune dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
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  1. Carte dynamique
  2. Carte Openstreetmap
  3. Carte topographique
  4. Carte avec les communes environnantes

La commune de Laroque-d'Olmes se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].

Sur le plan historique et culturel, Laroque-d'Olmes fait partie du pays d'Olmes, haut lieu de la tragédie cathare alliant des paysages d'une extrême diversité[1].

Elle se situe à 22 km à vol d'oiseau de Foix[2], préfecture du département, à 27 km de Pamiers[3], sous-préfecture, et à 13 km de Mirepoix[4], bureau centralisateur du canton de Mirepoix dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lavelanet[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Esclagne (2,3 km), Régat (2,3 km), Tabre (2,4 km), Dreuilhe (2,8 km), Aigues-Vives (3,0 km), La Bastide-sur-l'Hers (3,4 km), Léran (3,7 km), Le Peyrat (4,2 km).

Laroque-d'Olmes est limitrophe de neuf autres communes.

Superficie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 14,36 km2[7],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 14,32 km2[10]. Son relief est relativement accidenté puisque la dénivelée maximale atteint 327 mètres. L'altitude du territoire varie entre 408 m et 735 m[11].

Géologie[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le Bassin aquitain, le deuxième plus grand bassin sédimentaire de la France après le Bassin parisien, certaines parties étant recouvertes par des formations superficielles. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l'ère géologique la plus récente sur l'échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d'années. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans la feuille « n°1076 - Lavelanet » de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[12],[10] et sa notice associée[13].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le Touyre.

Le Touyre (ou rivière le Touyre)[14] est le principal cours d'eau communal. Il conflue avec le Grand Hers[15], affluent de l'Ariège. Il traverse le territoire communal dans une orientation sud-nord. Au cours de cette traversée, le Touyre reçoit les apports d'eaux des ruisseaux de Coucu Ruch[16] et des Esclauzades (rd), d'Esclagne[17] et de Feyche Longue (rg).

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[18]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées centrales, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 200 mm[19].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 841 mm, avec 9,9 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[18]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Léran à 4 km à vol d'oiseau[20], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 810,2 mm[21],[22]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[23].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Cinq ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[24] :

  • les « coteaux secs, vallons et collines de l'ouest du bas pays d'Olmes » (6 664 ha), couvrant 19 communes du département[25] ;
  • le « lac de Montbel et partie orientale du bas pays d'Olmes » (7 200 ha), couvrant 38 communes dont 30 dans l'Ariège et 8 dans l'Aude[26] ;
  • « le Plantaurel entre Foix et Lavelanet » (11 312 ha), couvrant 26 communes du département[27] ;
  • « le Plantaurel oriental » (3 272 ha), couvrant 11 communes dont 9 dans l'Ariège et 2 dans l'Aude[28] ;
  • le « réseau hydrographique du Touyre entre Montferrier et Léran » (64 ha), couvrant 10 communes du département[29] ;

et deux ZNIEFF de type 2[Note 4],[24] :

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Laroque-d'Olmes est une commune rurale[Note 5],[32]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2],[33]. Elle appartient à l'unité urbaine de Laroque-d'Olmes, une unité urbaine monocommunale[I 3] de 2 371 habitants en 2021, constituant une ville isolée[I 4],[I 5].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lavelanet, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 28 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 6],[I 7].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (58,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (31,2 %), prairies (27,3 %), zones agricoles hétérogènes (20,3 %), zones urbanisées (13,6 %), terres arables (7,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %)[34]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1 452, alors qu'il était de 1 454 en 2013 et de 1 393 en 2008[I 8].

Parmi ces logements, 81,4 % étaient des résidences principales, 3,4 % des résidences secondaires et 15,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 82,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 16,7 % des appartements[I 8].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Laroque-d'Olmes en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,4 %) inférieure à celle du département (24,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 67,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (67,1 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 9].

Le logement à Laroque-d'Olmes en 2018.
Typologie Laroque-d'Olmes[I 8] Ariège[I 10] France entière[I 11]
Résidences principales (en %) 81,4 65,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3,4 24,6 9,7
Logements vacants (en %) 15,2 9,7 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Accès routiers[modifier | modifier le code]

Laroque-d'Olmes se trouve à la jonction des routes[35] :

  • D 625, route départementale qui traverse la commune dans un axe nord-sud, et relie Mirepoix (14 km) à Lavelanet (5 km).
  • D 1 qui relie Laroque-d'Olmes à Foix, la métropole située à l'ouest, distant de 28 km.
  • D 620 qui la relie à l'est à Limoux, distant de 40 km, via Chalabre.
  • D 928 reliant Laroque-d'Olmes à Léran, commune au nord-est, distante de 4,5 km.
  • D 528, jonction à gauche à la sortie nord du bourg, mène au village voisin d'Esclagne, distant de 3,5 km.

Transports[modifier | modifier le code]

Ancienne voie ferrée transformée en voie verte.

La commune est située sur la ligne de bus régionale Lavelanet-Pamiers via Mirepoix qui assure plusieurs aller-retours quotidiens.

La commune n'est plus desservie par la SNCF ; la L'ancienne voie ferrée qui passait par la commune est devenue, de Lavelanet à Mirepoix, la « Voie Verte en Pyrénées Cathares, le chemin des Filatiers »[36]. La gare la plus proche est celle de Foix à 34 km (TER, Intercités). Celle de Laroque est fermée.

L'aéroport le plus proche est celui de Carcassonne distant de 58 km.

Piste cyclable[modifier | modifier le code]

Vers Lavelanet ou Mirepoix par la voie verte aménagée sur l'ancienne voie ferrée de Moulin-Neuf à Lavelanet.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Laroque-d'Olmes est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[37],[38].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Zonage de l'aléa retrait-gonflement des argiles sur la commune de Laroque-d'Olmes.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement, crue torrentielle d'un cours d'eau, le Touyre, ou ruissellement d'un versant. L’épisode de crue le plus marquant dans le département reste sans doute celui de 1875. Parmi les inondations marquantes plus récentes concernant le Touyre figurent les crues de 1992[39].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des effondrements liés à des cavités souterraines, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Laroque-d'Olmes[40]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[41].

Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques (PPR) inondation et mouvement de terrain approuvé le 7 juillet 2008[42].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses par une infrastructure routière ou ferroviaire ou par une canalisation de transport de gaz concerne la commune. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[43].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Laroque-d'Olmes devient La Ròca d’Òlmes en occitan. La ròca signifie la roche, le gros rocher. Laroque-d’Olmes veut dire « la Roche du Pays des Ormes (ou Olmensé) »[44].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Laroque-d'Olmes est membre de la communauté de communes du Pays d'Olmes[I 12], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Lavelanet. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[45].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Pamiers, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 12].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Mirepoix pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 12], et de la deuxième circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[46].

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 2 500 habitants et 3 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de vingt trois[47],[48].

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1945 mars 1959 Urbain Rouch PCF Conseiller général du canton de Mirepoix(1945-1958)
mars 1977 mars 1983 Roseline Tournil[49] PCF Institutrice, militante syndicale
Elue conseillère municipale de Lavelanet en 2001
mars 1983 juin 1995 Roger Déjean PCF 2 mandats de maire
juin 1995 mars 2008 Lucienne Ispa UMP Professeur des écoles retraitée 2 mandats de maire
mars 2008 mars 2014 Christian Poma PS Professeur de lycée honoraire
mars 2014 En cours
(au 17 mars 2021)
Patrick Laffont SE Employé (Conseiller départemental 2015-2021)

Jumelages[modifier | modifier le code]

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[50].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[52]. En 2021, la commune comptait 2 371 habitants[Note 7], en diminution de 4,16 % par rapport à 2015 (Ariège : +1,38 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7007798458019841 1511 2931 3431 375
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3731 4511 4161 3931 3591 2721 2261 1211 213
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1781 2171 3731 5452 0182 1292 1052 1732 504
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
2 6402 8943 1143 1243 1062 6572 6982 7122 524
2018 2021 - - - - - - -
2 4122 371-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee à partir de 2006[54].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[55] 1975[55] 1982[55] 1990[55] 1999[55] 2006[56] 2009[57] 2013[58]
Rang de la commune dans le département 8 7 8 7 9 10 10 12
Nombre de communes du département 340 328 330 332 332 332 332 332

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 1 172 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 2 399 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 240 [I 13] (19 820  dans le département[I 14]). 31 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 9] (40,7 % dans le département).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 15] 10,4 % 14,4 % 12,9 %
Département[I 16] 8,9 % 11,1 % 11,2 %
France entière[I 17] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 318 personnes, parmi lesquelles on compte 68,3 % d'actifs (55,4 % ayant un emploi et 12,9 % de chômeurs) et 31,7 % d'inactifs[Note 10],[I 15]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Lavelanet, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 18]. Elle compte 813 emplois en 2018, contre 1 013 en 2013 et 1 315 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 744, soit un indicateur de concentration d'emploi de 109,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 43,7 %[I 19].

Sur ces 744 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 249 travaillent dans la commune, soit 34 % des habitants[I 20]. Pour se rendre au travail, 88,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,2 % les transports en commun, 6,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 21].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

220 établissements[Note 11] sont implantés à Laroque-d'Olmes au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 22].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 220 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
43 19,5 % (12,9 %)
Construction 30 13,6 % (14,2 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
62 28,2 % (27,5 %)
Information et communication 4 1,8 % (1,8 %)
Activités financières et d'assurance 11 5 % (2,8 %)
Activités immobilières 9 4,1 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
21 9,5 % (13,2 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
24 10,9 % (14,4 %)
Autres activités de services 16 7,3 % (8,8 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,2 % du nombre total d'établissements de la commune (62 sur les 220 entreprises implantées à Laroque-d'Olmes), contre 27,5 % au niveau départemental[I 23]. Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[59] :

  • Sage Automotive Interiors (ex Adient, ex Michel Thierry), France - Mtsa, tissage (31 221 k€)
  • Societe Armengol, sciage et rabotage du bois, hors imprégnation (15 189 k€)
  • Nico, supermarchés (14 630 k€)
  • Ram, commerce de détail de quincaillerie, peintures et verres en grandes surfaces (400 m² et plus) (3 449 k€)
  • Quatiris France, commerce de gros (commerce interentreprises) de fournitures et équipements industriels divers (420 k€)

Industrie : Ancienne cité textile.

Usine textile spécialisée dans les tissus pour les sièges automobiles. Créée en 1955 et connue pendant plus de 50 ans sous le nom de Michel Thierry, l'entreprise a ensuite appartenu aux groupes industriels américains Johnson Controls, Adient et désormais Sage Automotive Interiors, et emploie plus de 200 personnes à Laroque. L'entreprise a innové dans la production temporaire de masques lavables et de surblouses pour répondre à la demande de la crise liée au Covid-19[60], elle innove par ailleurs dans le domaine des géotextiles.

Les deux zones industrielles (Moulin d'Enfour au nord, Entounadou au sud) situées sur la commune accueillent de nombreuses entreprises (Ariège Composites, Icre, Armengol ...).

Commerce : Laroque possède des commerces de toutes sortes situés au centre-ville, au Centre commercial de Castillanes/RD625 ainsi que trois grandes surfaces sur la zone industrielle nord (Intermarché, Bricomarché, DistriClub Médical).

Depuis les années 2000, un projet de création d'une zone commerciale en face l'usine Michel Thierry divise la population. Celui-ci concerne l'installation d'un magasin Leader Price, d'une grande surface de bricolage, d'une enseigne de restauration et de deux autres enseignes non dévoilées. Remis sur la table courant 2009, le conseil municipal s'y est opposé, rassurant les petits commerçants de la ville et l'ensemble des grandes surfaces de Laroque et Lavelanet. En 2012, le projet est relancé avec la perspective avancée de voir la grande surface Intermarché de la ville déménager et s'implanter sur ce terrain, avec une enseigne de restauration. Ce projet aboutit et permet l'installation d'Intermarché, McDonalds puis Lidl.

Agriculture : Très peu d'agriculteurs sont présents sur la commune.

Agriculture[modifier | modifier le code]

1988 2000 2010
Exploitations 14 8 7
Superficie agricole utilisée (ha) 495 307 353

La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Coteaux de l'Ariège »[61]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est l'élevage de bovins pour la viande[62]. Sept exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 14] de 2010 (douze en 1988). La superficie agricole utilisée est de 353 ha[62].

Vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Écoles : maternelle Joliot-Curie, élémentaire Mixte 1 Joliot-Curie (CP au CE2). collèges et lycées dans les villes voisines de Lavelanet et Mirepoix.

Services Publics[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la communauté de communes du Pays d'Olmes (à qui elle a délégué les compétences économie et tourisme) et adhère à quelques syndicats intercommunaux : SAEPPO (Syndicat d'alimentation en eau potable du Pays d'Olmes) pour la gestion de l'eau et qui a son siège à Laroque, SDCEA (Syndicat des collectivités électrifiées de l'Ariège), SMECTOM du Plantaurel (Syndicat mixte de collecte traitement des ordures ménagères). Elle gère en régie municipale l'assainissement.

  • Services communaux : administratifs (comptabilité, urbanisme, secrétariat, état civil, cadastre) à l'hôtel de ville, police municipale à l'hôtel de ville, services techniques (espaces verts, assainissement, voirie, bâtiments, travaux) à l'impasse Victor-Hugo, culturel (musique au Château municipal, bibliothèque en mairie), enfance jeunesse (au Château municipal et à la MJC).

Police municipale. La gendarmerie a fermé en 2011, Laroque dépend maintenant de la BTA de Lavelanet.

  • Trésorerie : la trésorerie de Laroque-d'Olmes a fermé en 2009. La commune dépend maintenant du centre des impôts de Lavelanet.
  • La Poste : bureau de poste ouvert tous les jours et le samedi matin, rue Georges-Clemenceau. centre de tri à Dreuilhe.

Les autres services de l'État (Pôle emploi, Caisse d'allocations familiales, Sécurité sociale) se trouvent à Lavelanet.

Santé[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Rugby à XV[modifier | modifier le code]

L'Étoile Sportive Laroque Bélesta est un club issu de la fusion entre l'Étoile Sportive Laroquaise (créée en 1925) et l'AS Bélesta en 2009. L'ESLB est en entente avec le Stade Lavelanétien et l'Union Sportive Chalabre-Kercorb-La Bastide-Le Peyrat (USKCBP) pour l'École de Rugby, les cadets et les juniors (Rugby Pays d'Olmes). Le club évolue pour la saison 2012-2013 en Honneur Midi-Pyrénées (élite régionale). Alors minime, Fabien Barthez, y a touché ses premiers ballons[64].

Palmarès de l'Équipe 1 :

  • Champion de France, 3e série, 1964
  • Champion des Pyrénées, Honneur, 1977, 1986, 2009, 2016
  • Champion de France, Honneur, 1993
  • Champion des Pyrénées, Promotion Honneur, 2006
  • Vainqueur de la coupe Voivenel 2009 (trophée des clubs de fédérale Ariégeois)

Football[modifier | modifier le code]

Laroque-d'Olmes est le siège du Football Club Laroquais, en entente avec Léran-Aigues-Vives et Villeneuve d'Olmes au niveau de l'école de football (Football Pays d'Olmes).

Autres sports[modifier | modifier le code]

Tourisme et Loisirs[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Église du Saint-Sacrement[modifier | modifier le code]

L'église est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis 2001[65].

Chapelle Notre-Dame-du-Pont[modifier | modifier le code]
Chapelle Notre-Dame.

La chapelle Notre-Dame[66] se trouve au nord-est du bourg, en face et à l'est du cimetière, par delà la rivière le Touyre qu'une passerelle permet de traverser à cet endroit.

Le bâtiment est de plan simple, à nef unique. Une abside semi-pentagonale prolonge la nef. Six vitraux ornent les façades latérales, et quatre autres l'abside. Une statue de la Vierge et l'Enfant est flanquée sur le côté droit. Est présent un petit clocher à deux niveaux, avec trois cloches.

La façade principale, semi-hexagonale, chapeautée d'un triangle isocèle, possède au-dessus du portail, une niche avec une statue de la Vierge et l'Enfant, blanche. Autour du portail sont flanquées deux fenêtres avec barreaux.

L'édifice a été restauré deux fois, comme on le lit gravé sur la façade principale : "Restorato Anno DNI 1778", et au-dessus, "Restaurée en 1956".

Autres[modifier | modifier le code]
  • Chapelle Saint-Roch[67] qui a été construite à la suite de la grande peste de 1549. L'édifice religieux se situe à environ 1 km « à vol d'oiseau », au sud-est de église du Saint-Sacrement. Elle a été construite isolément, sur une ligne de crête, à près de 550 m d'altitude, faisant face au sud à la Serre de Galinat.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Jardin d'agrément dit parc des Ricalens[modifier | modifier le code]

Le jardin d'agrément dit « parc des Ricalens » situé rue Georges-Clemenceau, propriété de la commune, figure au pré-inventaire des jardins remarquables. Il est repris à l'Inventaire général du patrimoine culturel (documentation préalable)[68].

Autres[modifier | modifier le code]
Monument aux morts.
  • Monument aux morts, situé au sud du cimetière, à l'entrée du bourg par la route D 928.
  • Présence des traces d'un sarcophage dans les murs d'enceinte du cimetière (origine romaine ?).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Laroque-d'Olmes Blason
De gueules à trois rocs d'échiquier d'or.
Détails
La municipalité utilise alternativement les deux blasons et porte celui de gueules légèrement modernisé en logo.
Alias
Alias du blason de Laroque-d'Olmes
Alias du blason de Laroque-d'Olmes
D'azur à trois rochers d'argent[69].

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[8],[9]
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  9. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[63].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Laroque-d'Olmes » (consulté le ).
  2. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
  3. « Unité urbaine 2020 de Laroque-d'Olmes », sur insee.fr (consulté le ).
  4. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
  6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  8. a b et c « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Laroque-d'Olmes - Section LOG T2 » (consulté le ).
  9. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Laroque-d'Olmes - Section LOG T7 » (consulté le ).
  10. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Ariège - Section LOG T2 » (consulté le ).
  11. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
  12. a b et c « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Laroque-d'Olmes » (consulté le ).
  13. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Laroque-d'Olmes » (consulté le ).
  14. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 en Ariège » (consulté le ).
  15. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Laroque-d'Olmes » (consulté le ).
  16. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 en Ariège » (consulté le ).
  17. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  19. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Laroque-d'Olmes » (consulté le ).
  20. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  21. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  22. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Laroque-d'Olmes » (consulté le ).
  23. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 en Ariège » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 348-349.
  2. Stephan Georg, « Distance entre Laroque-d'Olmes et Foix », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Laroque-d'Olmes et Pamiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Laroque-d'Olmes et Mirepoix », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches de Laroque-d'Olmes », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Laroque-d'Olmes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  8. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  9. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  10. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Laroque-d'Olmes », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  11. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  12. « Carte géologique de Laroque-d'Olmes » sur Géoportail (consulté le 22 avril 2022).
  13. « Notice associée à la feuille n°1076 - Lavelanet de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  14. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Touyre (O14-0430) » (consulté le )
  15. Sandre, « Fiche cours d'eau - Grand Hers (O1--0290) » (consulté le )
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  55. a b c d et e INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
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  57. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
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  64. Rugby Amateur : on a retrouvé la licence de Fabien Barthez chez les Minimes de l'ES Laroquaise
  65. « Eglise du Saint-Sacrement », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  66. Laissez-vous conter les Pyrénées cathares : Laroque d'Olmes, la chapelle Notre-Dame-du-Pont
  67. Laissez-vous conter les Pyrénées cathares : Laroque d'Olmes, la chapelle Saint-Roch
  68. Notice no IA09000028, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  69. Denis-François Gastelier de La Tour, Armorial des États de Languedoc, Paris, Vincent, , 248 p. (lire en ligne)