Lacrost

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Lacrost
Lacrost
Lacrost en 1910.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Mâcon
Intercommunalité Communauté de communes Mâconnais - Tournugeois
Maire
Mandat
Gérard Thielland
2020-2026
Code postal 71700
Code commune 71248
Démographie
Population
municipale
694 hab. (2021 en diminution de 4,01 % par rapport à 2015)
Densité 66 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 33′ 24″ nord, 4° 55′ 47″ est
Altitude Min. 168 m
Max. 212 m
Superficie 10,53 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tournus
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tournus
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Lacrost

Lacrost (prononcé /la.kʁo/) est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.

La commune se présente sous la forme d'un bourg de taille modeste. La commune actuelle de Lacrost fut un ancien hameau, rattaché à la commune de Préty jusqu'en 1852 mais s'en détacha la même année et devint une commune indépendante.

Lacrost abrite sur son territoire des carrières qui ont fourni des matériaux permettant la construction de quelques édifices notables à Lyon.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation et description[modifier | modifier le code]

Lacrost est une commune de Saône-et-Loire, localisée sur une butte calcaire dominant la Saône, en face de la ville de Tournus.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

La cité abrite sur son territoire de nombreuses carrières de calcaire, aujourd'hui désaffectées[1]. Ces pierres furent utilisées pour la construction de nombreux bâtiments, notamment pour des églises de la région, le calcaire de Lacrost ayant la particularité de présenter une couleur tournant sur l'ocre, à la différence de sa commune voisine, Préty, qui exploitait un calcaire tirant sur le rose[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La Saône, qui arrose 46 communes lors de sa traversée en Saône-et-Loire est le principal affluent du Rhône, sépare le territoire de la commune avec celui de Tournus.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 890 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Romenay », sur la commune de Romenay à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 983,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,5 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Tableau des températures[modifier | modifier le code]

Pour la ville de Mâcon, commune proche de l'Abergement-de-Cuisery, les valeurs climatiques de 1981 à 2010 sont les suivantes.

Relevés Mâcon 1981-2010
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0 1 3,5 6 10 13,5 15,5 15 11,5 8 3,5 1 7,5
Température moyenne (°C) 2 4,5 8 11 15 19 21 20,5 17 12 7 3,5 12
Température maximale moyenne (°C) 5,5 8 12 16 20 24 27 26 22 16,5 10 6 16
Précipitations (mm) 59 53 49 75 88 75,5 71 72 79,5 85,5 84 70 861,5
Source : Météo-France/Infoclimat : Mâcon (1981-2010)[10]


Voies de communications[modifier | modifier le code]

Les voies routières[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est traversé par la route départementale no 975.

La route départementale 975 (ex-RN 75)[modifier | modifier le code]

La route nationale 75, était la dénomination de la grande route qui traversait Lacrost à sa création en 1824. Cette route a toujours été dénommée, « route de Tournus » au niveau du territoire de l'Abergement (secteur dit de la Basse Froidière et Les Sables).

Dans un sens plus large (et historique), cette route commençait à son origine à l'ancien pont sur la Saône et fut longtemps dénommée « Route des Alpes » (nom qu'elle porte d'ailleurs encore, de façon officielle, sur le territoire de Lacrost, première commune traversée par cette route).

Cette voie menait de Chalon-sur-Saône par Tournus à Grenoble, puis au Trièves et fut prolongée à plusieurs reprises après 1824 : jusqu'à Aspres-sur-Buëch de 1824 à 1842, puis à Serres jusqu'en 1950 et enfin jusqu'à Sisteron jusqu'en 2006 avant que cette route nationale soit déclassée dans son intégralité à la suite de la réforme de 2005, et sa gestion est confiée aux départements traversés. Un site internet bien documenté présente l'histoire de cette route mythique[11]

Toutefois, dans le département de Saône-et-Loire, cette route avait déjà été déclassée en 1972, en route départementale 975 (RD 975), lors d'une première réforme.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lacrost est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tournus, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54 %), forêts (20,7 %), prairies (14,5 %), zones urbanisées (8,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %), eaux continentales[Note 4] (0,6 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Plan local d'urbanisme[modifier | modifier le code]

L'urbanisme sur le territoire de Lacrost est régi par un plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi), document d’urbanisme dont le territoire d’effet n'est plus la commune mais l’intercommunalité du Mâconnais-Tournugeois, soit vingt-quatre communes membres[18].

Ce document stratégique traduit les principes d’aménagement du territoire et constitue un outil réglementaire fixant les règles de construction et d’occupation des sols applicables sur le territoire, d'où son contenu : un rapport de présentation retraçant le diagnostic du territoire, un projet d’aménagement et de développement durable (PADD) exposant la stratégie intercommunale, des orientations d’aménagement et de programmation (OAP) définissant les conditions d’aménagements de certains quartiers/ilots (cas particuliers), un règlement fixant les règles d’utilisation et de droit des sols ainsi que des annexes (plan de zonage, liste des servitudes, etc.).

Le PLUi du Mâconnais-Tournugeois, fruit d'un processus lancé par la communauté de communes en 2016, a été définitivement adopté par le conseil communautaire le 21 décembre 2023[19].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la cité proviendrait du terme de « crête » (colline de roche calcaire) en raison de la hauteur sur laquelle elle est construite dominant la Saône.

Histoire[modifier | modifier le code]

Église de Lacrost.

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Des silex taillés de l'époque néolithique et une pointe de flèche datant de la fin de l'âge de la pierre polie vers 2500 av. J.-C. ont été découverts sur le territoire communal attestant d'une occupation humaine à cette époque

Antiquité[modifier | modifier le code]

Durant l'époque romaine, le territoire de la commune qui dépendait alors de la villa Pistoriaca, située à Préty, abritait quelques habitations[20].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Au XIIe siècle, l'abbé de l'abbaye Saint-Philibert de Tournus autorise l'ermite dénommé Claude Volage à faire bâtir une chapelle qui sera dénommée Notre-Dame-de-Grâce[20].

Temps Modernes[modifier | modifier le code]

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Par une loi du , la commune est créée à partir de la partie nord du territoire de Préty[21].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Élections présidentielles[modifier | modifier le code]

Le village de Lacrost place en tête, à l'issue du premier tour de l'élection présidentielle française de 2017, Emmanuel Macron avec 26,02 % des suffrages. Ainsi que lors du second tour, avec 64,55 %[22].

Élections législatives[modifier | modifier le code]

Le village de Lacrost fait partie de la quatrième circonscription de Saône-et-Loire et place lors du 1er tour des élections législatives françaises de 2017 Catherine Gabrelle (LAREM) avec 36,21 % des suffrages. Mais lors du second tour, il s'agit de Cécile Untermaier (PS) et Catherine Gabrelle (LAREM) qui arrivent à égalité avec 50,00 % des suffrages[23].

Lors du 1er tour des élections législatives françaises de 2022, Cécile Untermaier (PS), députée sortante, arrive en tête avec 39,67 % des suffrages comme lors du second tour, avec cette fois-ci, 63,24 % des suffrages[24].

Élections régionales[modifier | modifier le code]

Le village de Lacrost place la liste « Notre région par cœur », menée par Marie-Guite Dufay, présidente sortante (PS), en tête dès le 1er tour des élections régionales de 2021 en Bourgogne-Franche-Comté, avec 32,22 % des suffrages.

Lors du second tour, les habitants décident de placer de nouveau la liste de « Notre région par cœur » en tête, avec cette fois-ci, près de 53,89 % des suffrages. Devant les autres listes menées par Gilles Platret (LR) en seconde position avec 20,96 %, Julien Odoul (RN), troisième avec 17,96 % et en dernière position celle de Denis Thuriot (LaREM) avec 7,19 %. Il est important de souligner une abstention record lors de ces élections qui n'ont pas épargné le village de Lacrost avec lors du premier tour 67,54 % d'abstention et au second, 69,81 %.

Élections départementales[modifier | modifier le code]

Le village de Lacrost fait partie du canton de Tournus. Les électeurs de la ville placent le binôme de Jean-Claude Becousse (DVD) et Colette Beltjens (DVD), en tête, dès le 1er tour des élections départementales de 2021 en Saône-et-Loire avec 51,70 % des suffrages.

Lors du second tour de ces mêmes élections, les habitants décideront de placer de nouveau le binôme Becousse-Beltjens en tête, avec cette fois-ci, près de 56,60 % des suffrages. Devant l'autre binôme menée par Delphine Dugué (DVG) et Mickaël Maniez (DVG) qui obtient 43,40 %. Il est important de souligner une abstention record lors de ces élections qui n'ont pas épargné le village de Lacrost avec lors du premier tour 67,54 % d'abstention et au second, 69,81 %[25].

Liste des maires de Lacrost[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1989 1995 René Bourgeois Aucun -
mars 1995 2003 Maurice Lemberet Aucun -
2003 en cours Gérard Thielland Aucun -
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1856. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

En 2021, la commune comptait 694 habitants[Note 5], en diminution de 4,01 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
707658718666652657628625569
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
545520509438478503501528530
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
584555594593594598578570692
2015 2020 2021 - - - - - -
723701694------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée à l'académie de Dijon.

Médias[modifier | modifier le code]

Le Journal de Saône-et-Loire est un quotidien régional français diffusé en Saône-et-Loire, dont le siège se trouve à Chalon-sur-Saône. Les abonnés et les acheteurs réguliers de ce journal demeurant dans le territoire de L'Abergement-de-Cuisery et de ses communes voisines, reçoivent l'édition de Louhans dénommée, JSL-La Bresse[30].

Cultes[modifier | modifier le code]

Lacrost fait partie de la paroisse Saint Philibert en Tournugeois dont le curé est le père Bernard Binon.

Économie et emplois[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activité[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Une urne trouvée dans un tumulus et exposée au musée Greuze de Tournus.

Nécropole des Près-de-l'Eau[modifier | modifier le code]

La nécropole des Près-de-l'Eau située sur le lieu-dit du même nom est constituée par une quarantaine de tumuli de dimensions très variables et allant jusqu'à 1,8 mètre de haut et 45 mètres de diamètre.

Sur le site, ont été trouvés des silex taillés de l'époque néolithique et une pointe de flèche datant de la fin de l'Âge de la Pierre Polie vers 2500 av. J.-C. Cela prouve une longue fréquentation des lieux. Ont également été retrouvés des tessons de poteries et objets métalliques de l'époque gauloise bien ultérieure à celle de l'élaboration des tumuli.

Des restes gallo-romains montrent la construction de maisons aux Ier et IIe siècles. Parfois au-dessus des tumulus pour être un peu à l'abri de l'humidité.

Monuments divers[modifier | modifier le code]

La Croix Goly, sur la route des Alpes, est une croix autour de laquelle se tenaient sous l'ancien régime les assemblées communales de Lacrost. Elle a été démolie sous la Révolution en 1793 puis restaurée en 1804 par les familles Sordet, Génebaud et Mardy.

Sur la route des Alpes se trouve aussi l'arche Enjorrand qui porte la date de 1599. La famille Enjorrand a habité Lacrost du XVIe au XIXe siècle.

Le lavoir de Lacrost, dit lavoir de Marandin, est situé au sud du village, en contrebas du chemin de Préty. Il a été restauré par les bénévoles de l'association Lacrost Patrimoine.

Fontaine à chagrin[modifier | modifier le code]

La fontaine à chagrin.

Sur la route de Lacrost à Préty se trouve la Fontaine à chagrin[31].

Selon une légende locale, une vouivre vivant à Lacrost venait boire à l'eau de la fontaine. Comme toutes les vouivres, c'était un serpent ailé en forme de dragon portant une pierre précieuse sur le front appelé escarboucle. Une nuit un habitant la tua et enferma le cadavre dans un cuvier rempli de clous. Depuis, l'eau de la fontaine rend malade.

Selon d'autres sources[32], la vouivre se serait fait voler son escarboucle, alors qu’elle l'avait déposée pour boire. Aveuglée, elle en périt.

Il y a deux hypothèses pour le nom de la fontaine : la tristesse de l'histoire ou le nom du tueur de la vouivre.

La vouivre hante beaucoup d'endroits vers la Saône. C'est à Lacrost qu'elle a laissé le souvenir le plus circonstancié[33].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Gabriel Jeanton, historien et archéologue mâconnais né le 15 mai 1881 à Lacrost.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « L’eau a coulé sous les ponts », Le journal de Saône et Loire,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. « Bienvenue à Baudrières »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur bgtissot.free.fr (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Lacrost et Romenay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Romenay », sur la commune de Romenay - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Romenay », sur la commune de Romenay - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  10. « Normes et records 1961-1990 : Mâcon - Charnay (71) - altitude 216m », sur infoclimat.fr.
  11. Site surmaroute, page sur la route des Alpes
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Tournus », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. L'urbanisme sur le territoire de la commune était précédemment régi par un plan local d'urbanisme, entré en vigueur au début des années 2000 et ayant lui-même succédé à un plan d'occupation des sols (approuvé en juin 1990, et modifié à deux reprises, en mars 1993 et mars 1999). Source : bulletin municipal de Lugny pour l'année 2002.
  19. « Après sept ans de travail, le Plan d'urbanisme a été adopté », article signé Florent Muller paru dans Le Journal de Saône-et-Loire daté du 23 décembre 2023.
  20. a et b « Lacrost - Communauté de Communes du Tournugeois, Bourgogne du sud - Au cœur du bien vivre. », sur cc.tournugeois.fr (consulté le ).
  21. « Bulletin des lois de la République française », sur Gallica, (consulté le )
  22. Ministère de l'Intérieur, « Résultats de l'élection présidentielle 2017 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  23. Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections législatives 2017 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  24. Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections législatives 2022 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  25. Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections départementales 2021 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Site du Journal de Saône-et-Loire, page de l'édition de La Bresse
  31. Article dans le Journal de Saône-et-Loire
  32. « Jusqu'à l'âge de sept ans, il était laissé aux mains des femmes », sur oda.chez-alice.fr (consulté le ).
  33. Mythologie française - n° 120 à 123 page 17