Labenne

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Labenne
Labenne
La mairie.
Blason de Labenne
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Landes
Arrondissement Dax
Intercommunalité Communauté de communes de Maremne-Adour-Côte-Sud
Maire
Mandat
Jean-Luc Delpuech
2020-2026
Code postal 40530
Code commune 40133
Démographie
Gentilé Labennais
Population
municipale
6 934 hab. (2020 en augmentation de 18,25 % par rapport à 2014)
Densité 283 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 35′ 38″ nord, 1° 25′ 32″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 52 m
Superficie 24,48 km2
Type Commune rurale et littorale
Unité urbaine Labenne
(ville isolée)
Aire d'attraction Bayonne (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays tyrossais
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Labenne
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Labenne
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Labenne
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Labenne
Liens
Site web http://www.ville-labenne.fr/

Labenne est une commune française située dans le département des Landes en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Labennais[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Labenne est une commune littorale, située dans le département des Landes. Elle fait partie de la communauté de communes de Maremne-Adour-Côte-Sud (la MACS). Elle se situe à 13 km de Bayonne.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Bénesse-Maremne, Capbreton, Ondres, Orx, Saint-André-de-Seignanx et Saint-Martin-de-Seignanx.

Lieudits et hameaux[modifier | modifier le code]

Trois quartiers composent la commune de Labenne[3] :

  • Costemale ;
  • Arman ;
  • l'Église.

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

  • Moyenne annuelle de température : 13,7 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,3 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,9 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 407 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,2 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Soorts-Hossegor », sur la commune de Soorts-Hossegor, mise en service en 1954[10] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[11],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 14,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 125,1 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Dax », sur la commune de Dax, mise en service en 1958 et à 32 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 13,8 °C pour la période 1971-2000[14], à 14,3 °C pour 1981-2010[15], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[16].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Labenne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[17],[18],[19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Labenne, une unité urbaine monocommunale[20] de 6 616 habitants en 2017, constituant une ville isolée[21],[22].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bayonne (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 56 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[23],[24].

La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[25]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[26],[27].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,9 %), zones urbanisées (19 %), eaux continentales[Note 7] (13,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,8 %), zones humides intérieures (3,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,9 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %)[28]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Labenne est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[29]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[30].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Labenne est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[31],[32].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont un recul du trait de côte et de falaises et des tassements différentiels[33].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Labenne.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. Aucune partie du territoire de la commune n'est en aléa moyen ou fort (19,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 398 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, aucun n'est en aléa moyen ou fort, à comparer aux 17 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[34],[Carte 2].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1983, 1988, 1992, 1999 et 2009 et au titre des inondations par remontée de nappe en 2014 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1983 et 1999

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[35].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Son nom occitan gascon est La Vena[36].

Histoire[modifier | modifier le code]

Labenne, commune littorale de la côte landaise s’est développée au XIXe siècle grâce à l’assèchement des marais (lancé par Napoléon III) et à l’exploitation des forêts de résineux.

L’origine du nom Labenne viendrait du mot occitan la Pena qui signifie la hauteur, il existe d’ailleurs à Labenne, un quartier nommé la montagne.

Avant la Révolution, Labenne est un village pastoral et agricole : culture du maïs, du seigle, de millet et d’un peu de vignobles.

Durant la Seconde Guerre mondiale, une station radar allemande est installée sur la dune. Elle était composée d'un radar Mammut de détection des appareils et de deux radars annexes Freya et Wurtzburg.

Labenne était la tête de ligne de la ligne de chemin de fer locale de Labenne à Seignosse fermée en 1957.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Parti : au premier d'or au dauphin contourné d'azur, au chef de gueules chargé d'une coquille du champ, au second de sinople au lion d'argent[37].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1976 1983 Jacques Dubrana PS maire
mars 1983 1995 Francis Hirigoyen SE maire
mars 1995 1999 Yves Ulysse PS maire
1999 2001 Régine Andrieu PS maire
mars 2001 En cours Jean-Luc Delpuech PS Directeur de CCAS
Les données manquantes sont à compléter.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[38].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[40]. En 2020, la commune comptait 6 934 habitants[Note 8], en augmentation de 18,25 % par rapport à 2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
373435392420504541526552575
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
619657791782792776790802759
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
7627948017007109381 1081 1771 210
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 2561 4221 7532 1202 8843 3454 3024 4315 105
2017 2020 - - - - - - -
6 6166 934-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

Tourisme[modifier | modifier le code]

Labenne est une station littorale de la côte sud des Landes avec 3 kilomètres de plage. On y trouve des hébergements touristiques et de parcs de loisirs, activités de baignade, surf, et pêche en mer. Avec près de 1300 hectares de forêt de pins maritimes et de chênes-lièges, c’est un endroit où l'on pratique des loisirs en plein air comme VTT, course à pied, promenades sur des sentiers pédestres et un réseau de piste cyclable. On y trouve également un total de 6 campings[43]

La plage au printemps.

Économie[modifier | modifier le code]

La ville possède une antenne de la Chambre de commerce et d'industrie des Landes. Une importante usine et entrepôt de l'industriel Bonduelle est également présente, mettant en boite ou surgelant du mais et des haricots verts de la région[44].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Voies[modifier | modifier le code]

187 odonymes recensés à Labenne
au
Allée Avenue Bld Chemin Cours Impasse Parvis Place Quai Rd-point Route Rue Square Voie Autres Total
41 [N 1] 7 0 4 [N 2] 0 42 0 7 0 1 [N 3] 7 42 [N 4] 0 0 [N 5] 36 [N 6] 187
Notes « N »
  1. Dont allée du 8-Mai-1945.
  2. Chemin de Mouton, chemin de Pounots, chemin des Marguerites, chemin du Rey.
  3. Rond-point de l'Europe.
  4. Dont rue du 19-Mars-1962.
  5. Voie du Matecul.
  6. Autres voies non identifiées en relation avec des écarts, lieux-dits, hameaux, zones industrielles, lotissements, résidences, quartiers, etc.
Sources : rue-ville.info & annuaire-mairie.fr & OpenStreetMap

Édifices et sites[modifier | modifier le code]

La chapelle est située sur les dunes à Labenne-Océan. La construction de ce deuxième lieu de culte a été décidée par Jules Bouville, maire de Labenne et propriétaire du centre hélio-marin pour répondre à la croissance démographique. Elle est inaugurée le . De style architectural classique, elle est composée d’un sanctuaire et d’une nef unique.
Chapelle Sainte-Thérèse perdue dans les dunes de Labenne-Océan (40).
  • Esplanade de la Plage
Esplanade qui surplombe l’océan Atlantique avec vue sur les dunes landaises et le port de Capbreton au nord et sur la baie de la côte basque et les Pyrénées au sud.
  • Vestiges d'une base radar du « mur de l'Atlantique »
La station balnéaire de Labenne Océan possède des bunkers érigés entre 1942 et 1944, encore visibles. Le casernement, aujourd'hui colonie Danielle-Casanova, est dans un état de conservation remarquable. À voir dans la salle des fêtes, au bourg, une fresque peinte par un soldat allemand prisonnier en 1945. Aux archives municipales, voir une carte de circulation du "Groupe FFI de Labenne".

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Luc Corlouër, Labenne Histoires & Anecdotes, monographie 2020, éditions le Cormoran, 200 pages
  • Luc Corlouër, Les vacances à Labenne - Histoire de la colonie de vacances Danielle-Casanova, 2022, éditions le Cormoran, 200 pages

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Le nom des habitants du 40 », sur www.habitants.fr (consulté le ).
  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. Archives départementales des Landes, « Archives numérisées - Cadastre / Labenne », (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  10. « Station Météo-France Soorts-Hossegor - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Orthodromie entre Labenne et Soorts-Hossegor », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France Soorts-Hossegor - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Orthodromie entre Labenne et Dax », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  15. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  16. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Unité urbaine 2020 de Labenne », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  21. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  22. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  25. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  26. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
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  28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  29. « Les risques près de chez moi - commune de Labenne », sur Géorisques (consulté le )
  30. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  31. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consulté le )
  32. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  33. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  34. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  35. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  36. « Toponymes occitans », sur www.locongres.org (consulté le ).
  37. Banque du blason
  38. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
  39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
  43. « Camping Landes - Labenne - Camping 5 etoiles Landes - Mobil home - Caravaning », sur www.camping-sylvamar.com (consulté le ).
  44. Présentation du site de Labenne sur www.bonduelle.com, consulté le 22/04/2018

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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