La Tardière

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La Tardière
La Tardière
La Place Sainte-Quitterie et l'église de La Tardière.
Blason de La Tardière
Blason
La Tardière
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement Fontenay-le-Comte
Intercommunalité Communauté de communes du Pays-de-la-Châtaigneraie
Statut Commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Damien Crabeil
Depuis 2023
Code postal 85120
Code commune 85289
Démographie
Gentilé Tardiérois / Outardien
Population 1 332 hab. (2020 en augmentation de 1,68 % par rapport à 2014)
Densité 65 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 39′ 41″ nord, 0° 43′ 56″ ouest
Altitude 158 m
Min. 98 m
Max. 232 m
Superficie 20,39 km2
Élections
Départementales Canton de La Châtaigneraie
Législatives Cinquième circonscription
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Terval
Localisation
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La Tardière
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La Tardière

La Tardière est une ancienne commune française située dans le département de la Vendée, en région Pays de la Loire.

La commune est, depuis le , une des trois communes déléguées de la commune nouvelle de Terval.

Géographie[modifier | modifier le code]

Le territoire municipal de La Tardière s’étend sur 2 039 hectares.

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située à l'est de la Vendée, à 25 km au nord de Fontenay-le-Comte, à 56 km au sud de Cholet, à 60 km à l'est de La Roche-sur-Yon.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

L'altitude moyenne de la commune est de 158 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 98 et 232 mètres[1],[2].

La Tardière se situe à la limite du Massif armoricain et du Bocage vendéen.

Son sol est composé de schistes, de roches siliceuses, phtanites, quartz et quelques minéraux plus rares, tel que le filon de quartz et l'îlot de Poudingue.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

4 ruisseaux contournent et traversent les reliefs de la commune ;

  1. le plus important, la Jarousselière qui remplit le lac de l’Etruyère puis rejoint La Mère.
  2. C’est la Mère qui fait la frontière avec la commune du Breuil Barret.
  3. Le Loing prend sa source au village Tardièrois d'Ecoute s’il Pleut, se grossit du ruisseau de la Boursaudière. Le Loing rejoindra le Grand Lay à St-Philbert-du-Pont-Charrault.
  4. La Boursaudière marque la limite entre les communes de La Tardière et de Cheffois.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 938 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Scillé à 15 km à vol d'oiseau[5], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 954,6 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (47,5 %), terres arables (41,9 %), prairies (5,6 %), zones urbanisées (5 %)[9]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et de transports[modifier | modifier le code]

La commune est pourvue de deux axes routiers très fréquentés :

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Des découvertes certifient la présence de peuplements très anciens. Le centre-bourg situé en hauteur sur un plateau aurait accueilli un forum gallo-romain. À la Brossardière se tenait un oppidium celtique.

Au cours de son évolution la commune a connu plusieurs dénominations, Ostarderia au XIIe siècle, puis Hostanderia au XIVe siècle. La Tardière ne trouve son nom actuel qu'en 1648.

La commune est connue pour avoir subi un massacre en 1595 causant la mort de 31 personnes.

La Tardière est traversée par de multiples souterrains.

À la suite de l'arrêté préfectoral du [10] portant création de la commune nouvelle Terval, La Tardière devient une commune déléguée au .

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Jean-Baptiste Brosset RPF Cultivateur
Louis Poisbelaud   Agent immobilier
Roger Albert   Agriculteur
Président de la CAVAC
[11] Thérèse Roy   Secrétaire
[12] Roger Ducept   Électricien
[13] Damien Crabeil   Chef d’entreprise

De 1902 à 1904, Georges Amédée fut remplacé par Jérôme Sabotin son premier adjoint, à la suite d'un abandon.

Réné Turpault[14] est dit avoir été exécuté dans la seconde allée d'accès de sa propriété - venant du chemin de la Taillée[Note 1] le 5 septembre 1944, pour des raisons restant controversées. Il a été remplacé comme maire par Jean-Baptiste Brosset grâce au Comité Local de Libération et désigné par le préfet de septembre 1944 jusqu'à son élection le .

Liste des maires délégués[modifier | modifier le code]

Liste des maires délégués successifs
Période Identité Étiquette Qualité
[15] En cours Damien Crabeil   Chef d’entreprise
Maire de Terval (depuis 2023)

Jumelage[modifier | modifier le code]

Depuis 1987, La Tardière et La Châtaigneraie sont jumelées avec la ville allemande de Birkenfeld.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[17].

En 2020, la commune comptait 1 332 habitants[Note 2], en augmentation de 1,68 % par rapport à 2014 (Vendée : +4,91 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2009081 0011 1161 1191 1581 1681 2101 223
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2761 2121 2381 2501 3281 3301 4581 3961 336
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2891 2391 1761 0291 0561 0641 025968993
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
9869351 0321 2761 3351 1821 1891 2161 286
2014 2019 2020 - - - - - -
1 3101 3271 332------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,9 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 657 hommes pour 663 femmes, soit un taux de 50,23 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,16 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[20]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
0,7 
8,0 
75-89 ans
8,2 
22,9 
60-74 ans
23,5 
22,0 
45-59 ans
20,5 
14,8 
30-44 ans
18,1 
15,0 
15-29 ans
12,3 
17,0 
0-14 ans
16,5 
Pyramide des âges du département de la Vendée en 2020 en pourcentage[21]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,2 
8,5 
75-89 ans
11 
20 
60-74 ans
20,8 
20 
45-59 ans
19,4 
17,7 
30-44 ans
16,9 
14,9 
15-29 ans
13,2 
18,1 
0-14 ans
16,4 

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La Chapelle de la Brossardière[modifier | modifier le code]

Vue extérieure de la chapelle de la Brossardière.
Vue intérieure de la Chapelle de la Brossardière.

La chapelle de la Brossardière, lieu de pèlerinage annuel, est un des monuments les plus emblématiques de la Tardière. Elle s'est édifiée en lieu et place d'un ancien temple, sur un site vallonné, où un massacre de protestants par des catholiques se déroula. Le 13 août 1595, en pleine Guerre des Religions en France, des extrémistes viennent envahir la Brossardière, où le pasteur Moreau assume le prêche dans le temple où sont assemblés 230 fidèles. 45 cavaliers y massacrent une population sans défense, causant la mort de 31 hommes et enfants. Le temple sera détruit vers 1670, les biens seront saisis. En 1687, l’abbé Normandin, curé prieur de La Tardière, achète la Brossardière. Une chapelle y sera construite. La chapelle a été incendiée en 1793 puis sera vendue comme bien national au citoyen Etienne Giraud. Elle revient à la commune en 1824. Sur un coteau se trouve l'entrée d'un souterrain qui devait se diriger[22] vers le nord-est où était bâti le temple protestant.

L'église Sainte-Quitterie[modifier | modifier le code]

Vue extérieure de l'église Sainte-Quitterie et de sa place.

L'église Sainte-Quitterie date du XIVe siècle et les soubassements du clocher du XIIe siècle. L'église est pillée par les protestants en 1568 et vendue par le prieuré en 1795 comme bien national. Elle a été rendue gratuitement à la commune en 1824 après avoir servi pendant des années de grange à fourrages. L'église Sainte-Quitterie est alors délabrée. En 1836, l'abbé Giron a alors rénové les bancs, la chaire, les confessionnaux, la sainte Table avec l'aide de ses paroissiens. Trois cloches ont été placées en 1864 ; un autel en pierre fut monté en 1879. C'est lors d'une restauration, qu'une pierre tombale a été déplacée pour être installée au seuil de l'église, à l'entrée de la grande porte. Cette plaque indique « Cy gist le corps de maître Henry Louis Moreau, prêtre prieur de ce lieu, licencié en théologie, âgé de 57 ans, décédé le 10 avril 1739. Prie dieu pour le repos de son âme ». L'église Sainte-Quitterie possède une reproduction du tableau « La descente de croix de Rubens » et des reliques y sont présentées.

La Base de loisirs de l'Étruyère[modifier | modifier le code]

Chemin bordant le lac de l'Étruyère.

La base de loisirs de l'Étruyère comporte un plan d'eau artificiel de 4,5 hectares, creusé à l'emplacement d'un ancien village abandonné dénommé « Pigalle ». Créé en 1974, le site s'étoffe rapidement d'une cafétéria, d'un camping, d'une piscine et de jeux en plein air. Longtemps publique et géré par des associations, la municipalité vend les infrastructures à une gérance privée en 2011. Le plan d'eau, lui, appartient toujours à la municipalité.

Le viaduc de Coquilleau[modifier | modifier le code]

Vue aérienne du Viaduc de Coquilleau.

Le viaduc de Coquilleau culmine à 52 mètres de haut et a été construit dans les années 1880 et exploité par la SNCF de 1938 à 1989. Long de 128 mètres, il enjambe la rivière La Mère et trouve ses fondations dans une barre de grès blanc. Il est situé sur l'ancienne ligne de chemin de fer de Breuil-Barret à Velluirre ; avec le viaduc de Baguenard (construit en fer et en pierre par la société Eiffel) situé à Vouvant, il est l'un des deux viaducs de la ligne ferroviaire.

Le pont aux sept arches traverse trois communes : La Tardière, La Châtaigneraie, et Le Breuil-Barret. Il s'est transformé en un passage piétonnier pendant plusieurs années avant d'être sécurisé et fermé aux promeneurs. Il appartient aujourd'hui à une société de saut à l'élastique.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Le Général Augustin de Hargues d'Estiveau.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
De gueules à la chapelle d'or, ouverte et ajourée de sable, soutenue à dextre d'une branche de chêne de sinople et à senestre d'une branche de châtaignier du même, les tiges passées en sautoir en pointe et liées d'argent ; à la champagne ondée d'azur chargée d'une jumelle ondée d'argent ; au chef d'or fretté de sable de dix pièces.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Un manoir : « Château Ferret - sur la carte IGN 1426 E - série bleue », entouré de bois et terres, au nom de la propriété : Ferret ; héritée côté Bry, son aïeule maternelle - Selon une enquête du auprès d'une petite nièce âgée de 83 ans. Conforté par le témoignage du , d'une fille de Georges Brillanceau de la ferme adjacente « qui avec son père Benjamin Brillanceau entendront le coup de feu fatal et récupéreront le corps du propriétaire tombé en fin de l'allée menant à l'arrière de la demeure, venant de la conciergerie du chemin de la Taillée. ».
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Commune 29156 », Géofla, version 2.2, base de données de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
  2. « La Tardière », Répertoire géographique des communes, fichier de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Terval et Scillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Scillé », sur la commune de Scillé - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Scillé », sur la commune de Scillé - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  10. « ARRÊTÉ no 2022-DCL-BCL-1317 portant création de la commune nouvelle « Terval » » [PDF], (consulté le ), p. 34-37
  11. « Thérèse Roy pour diriger la commune pendant les six ans à venir », Ouest-France,‎ .
  12. « Premier mandat de maire pour Roger Ducept », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  13. « Damien Crabeil ceint l’écharpe de maire pour la première fois », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  14. « René Paul Marie Turpault filiation », sur geneanet.org (consulté le ).
  15. « Vendée : Damien Crabeil, premier maire de la commune nouvelle de Terval », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
  20. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Tardière (85289) », (consulté le ).
  21. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).
  22. « LA TARDIÈRE (85) - NOTRE-DAME DE LA BROSSARDIÈRE - La Maraîchine Normande », sur shenandoahdavis.canalblog.com, (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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