La Motte (Var)

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La Motte
La Motte (Var)
Le village illuminé.
Blason de La Motte
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Draguignan
Intercommunalité Dracénie Provence Verdon agglomération
Maire
Mandat
Valérie Marcy
2020-2026
Code postal 83920
Code commune 83085
Démographie
Gentilé Mottois, Mottoises [1]
Population
municipale
2 968 hab. (2021 en augmentation de 1,26 % par rapport à 2015)
Densité 106 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 29′ 41″ nord, 6° 32′ 09″ est
Altitude 60 m
Min. 10 m
Max. 320 m
Superficie 28,12 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Draguignan
(banlieue)
Aire d'attraction Draguignan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Flayosc
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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La Motte
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La Motte
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La Motte

La Motte est une commune française située dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Bordée par la rivière de l'Endre à l'est, La Motte est située à 4 km du Muy, 10 km au sud-est de Draguignan et à 19 km à l'ouest de Fréjus[2].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de La Motte (Var)
La Motte (Var)

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[3] :

  • rivière la Nartuby ;
  • ruisseau du Golf ;
  • vallon des Prouits ;
  • vallat le Gros ;
  • vallon du Rousset ;
  • rivière l'Endre ;
  • vallon de la Catalane ;
  • vallon de la Doux ;
  • vallon de la Péguière.

La Motte dispose de deux stations d'épuration :

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

  • Colline boisée de Peyblou[6].
  • Colline du Rousset.

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Huit risques majeurs potentiels ont été signalés par les services de l'État français[7]

Sismicité[modifier | modifier le code]

Il existe trois zones de sismicités dans le Var :

  • zone 0 : risque négligeable. C'est le cas de bon nombre de communes du littoral varois, ainsi que d'une partie des communes du centre Var. Malgré tout, ces communes ne sont pas à l'abri d'un effet tsunami, lié à un séisme en mer ;
  • zone Ia : risque très faible. Concerne essentiellement les communes comprises dans une bande allant de la montagne Sainte-Victoire, au massif de l'Esterel ;
  • zone Ib : risque faible. Ce risque le plus élevé du département (qui n'est pas le plus haut de l'évaluation nationale), concerne 21 communes du nord du département.

La commune est en zone sismique de très faible risque "Ia"[8].

Voies de communications[modifier | modifier le code]

La commune n'est pas desservie par l'autoroute mais elle est reliée directement par la D 1555 à l'A8 (échangeur no 36 au Muy situé à 4 km).

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Commune desservie par le réseau régional de transports en commun Zou ! (ex Varlib). Les collectivités territoriales ont en effet mis en œuvre un « service de transports à la demande » (TAD), réseau régional Zou ![9].

Lignes SNCF[modifier | modifier le code]
Aéroport en Provence-Alpes-Côte d'Azur[modifier | modifier le code]

En particulier :

Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

La Motte s'écrit La Mota en provençal classique et La Moutto selon la norme mistralienne[10].

Histoire[modifier | modifier le code]

La vie à La Motte s'est forgée au pied de la tour de l'Horloge, à partir de ces pierres de tuf avec lesquelles le vieux village a été construit.

À l'origine, de 1030 à 1039, le bourg figurait sous le nom de Motta-Lamberti, dans une charte des XIe et XIIe siècles.

Le prieuré de Motta (en provençal Moutto) fut cédé par le chapitre de Saint-Victor à l'abbé Le Blance, prieur de La Celle, en remerciement d'une autre cession.

Les terres de La Motte furent inféodées en 1201 à celles de Trans, en faveur des Villeneuve, et englobées dans les dépendances du marquisat érigé en 1505.

Un peu plus tard, la commune obtint son autonomie, et augmenta son territoire au lendemain de la Révolution française, par l'acquisition de la majeure partie des terres d'Esclans.

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, le parachutage des troupes aéroportées du débarquement de Provence le à 2h30 du matin fit de La Motte le premier village libéré de Provence[11]. L'état-major américain devait s'installer au hameau du Mitan[12].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.

(démission)
André Bouis[13]   Viticulteur

(décès)
André Bouis[13] DVG Viticulteur
Élu en 1945, réélu en 1947 et 1953
Maire en 1956   René Edouard Raynaud    
1977 Yves Rosé PS Ancien bâtonnier
3e vice-président de la CA dracénoise (? → 2008)
Sabine Vachald DVG Retraitée de l'enseignement
En cours
(au 18 mai 2020)
Valérie Marcy DVG Cadre du secteur privé
7e vice-présidente de la CA dracénoise (2014 → 2020)
4e vice-présidente de Dracénie Provence Verdon agglomération (2020 → )
Réélue pour le mandat 2020-2026

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[15].

En 2021, la commune comptait 2 968 habitants[Note 1], en augmentation de 1,26 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
670664709751853810887851811
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
832875906883916833794710704
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
713687657629665666605629623
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
6768181 0071 5571 9932 3452 7722 9482 875
2021 - - - - - - - -
2 968--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[17].)
Histogramme de l'évolution démographique

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[18] :

Enseignement[modifier | modifier le code]

La Motte a une structure scolaire comprenant[23] :

  • une crèche (Les Raz'Motte),
  • une école maternelle et une école élémentaire,
  • collèges à Le Muy et Draguignan,
  • lycées à Le Muy et Draguignan.

Cultes[modifier | modifier le code]

Animations-activités[modifier | modifier le code]

Un réseau de 31 associations aux multiples activités, culturelles et sportives animent la commune[26].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La Motte fait partie de la communauté de Dracénie Provence Verdon agglomération (ex-communauté d'agglomération Dracénoise) qui regroupe vingt-trois communes du département du Var, dont Draguignan[27] de 110 019 habitants en 2019[28], créée le . Les 23 communes composant la communauté d'agglomération en 2017 sont (par ordre alphabétique) :

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[29]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (°C) et peu de brouillards[30].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 916 mm, avec 6,5 jours de précipitations en janvier et 1,9 jours en juillet[29]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Les Arcs_sapc », sur la commune des Arcs à 6 km à vol d'oiseau[31], est de 15,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 803,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −8,7 °C, atteinte le [Note 2],[32],[33].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[34]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[35].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Motte est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[36],[37],[38]. Elle appartient à l'unité urbaine de Draguignan, une agglomération intra-départementale regroupant six communes[39] et 68 524 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[40],[41].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Draguignan dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe onze communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[42],[43].

La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[44].

Le schéma de cohérence territoriale (SCOT) arrêté par le préfet le épouse le périmètre de la communauté d’agglomération dracénoise qui en a donc la charge[45]. La commune d'Ampus dépend donc du schéma de cohérence territoriale (SCOT) de la Dracénie[46].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (57 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,6 %), cultures permanentes (30,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,3 %), zones urbanisées (8 %), zones agricoles hétérogènes (5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,5 %), mines, décharges et chantiers (1 %)[47]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

La plaine de La Motte a su sauvegarder sa vocation agricole et viticole[48] et une importante cave coopérative[49].

La Motte s'est affirmé au fil du temps comme le « village vigneron » de la Dracénie (pays Dracénois). Au travers d'un projet économique d'envergure qui mobilise tous les acteurs touristiques et viticoles du village, un partenariat actif a été établi[50].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Commerces et services[modifier | modifier le code]

  • Commerces de proximité[53].
  • Services divers : artisans, entreprises[54].

Budget et fiscalité 2021[modifier | modifier le code]

En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[55] :

  • total des produits de fonctionnement : 3 681 000 , soit 1 276  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 3 350 000 , soit 1 161  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 1 291 000 , soit 448  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 938 000 , soit 325  par habitant.
  • endettement : 3 896 000 , soit 1 351  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 13,31 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 31,72 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 75,31 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : Médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 2 313 [56].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Victor : à l'origine au XIe siècle fut bâti un prieuré dédié à saint Victor en raison de son rattachement à la grande abbaye de Marseille. Une statue en bois, début XIXe siècle, de ce saint se trouve dans la grande niche située à droite dans la nef principale. Cette partie la plus ancienne de l'église est constituée par la nef latérale diminuée de l'agrandissement de vingt pans.
Cet agrandissement décidé en 1777 et achevé en 1787 comportait l'élargissement à la nef principale avec avancement de l'édifice de vingt pans. Il fut ainsi créé dans la muraille de la première nef des ouvertures avec construction des piliers. Une grande entrée était réalisée dans la nef principale avec une porte en noyer doublée de bois de pin.
Un deuxième agrandissement fut réalisé en 1872 avec la réalisation du chœur et de la sacristie. Des travaux de consolidation de la toiture et de la voûte sont réalisés en 1978 (Ent. Sordello) et la restauration intérieure est effectuée en 1988 par René Fauret.
Sous l'impulsion du père Lahal, les vitraux sont offerts par la communauté à partir de 1987.
Dans la nef latérale se trouve l'autel de saint Quinis avec retable en bois doré du XVIIe siècle et toile[57], restauré par la commune et, à l'extrémité de la nef, aux fonts baptismaux se trouve une peinture du baptême du Christ (XIXe siècle)[58].
Dans la nef principale se trouve, sous le chœur, une toile de Feraud (XVIIIe siècle) et un autel majeur en marbre (fin XIXe siècle) et dans la niche au milieu de la nef se trouve un buste reliquaire de saint Faustin (XVIIIe siècle), une statue bois doré de saint Romain (début XIXe siècle) ainsi qu'une statue bois de saint Victor (début XIXe siècle).
Le clocher, réalisé en même temps que l'agrandissement de 1787, comporte deux cloches : l'une porte les inscriptions : « is du lieu de La Moutte 1674 »[59],[60] et l'autre porte la date de 1831 et « conserva me domine quoniam speravi anno salutis 1831 sit nomen domini benedictum » Baudoin – fondeur à Marseille.
Chapelle Saint-Jean-Bosco dite aussi chapelle Dom Bosco (la Cas),
Chapelle Saint-Michel (les Demoiselles).
  • Le monument aux morts[62],[63].
  • Mémorial de la division aéroportée "Rubby Force"[64].

Lieux touristiques[modifier | modifier le code]

Le saut du Capelan.
  • Le Musée de l'Histoire et des traditions mottoises, installé depuis 2001 dans un ancien moulin à huile communal et qui abrite des œuvres de Robert Pizay, sculpteur sur bois, imagier, artiste poète, œuvres devenues patrimoine communal en 2008[65].
  • Le parc du château d'Esclans[66],[67],[68].
  • Le parc du château de Valbourgès[69],[70].
  • Le Saut du Capelan : la rivière de la Nartuby traverse toute la Dracénie. Au lieudit du Saut du Capelan (le curé), elle tombe en une cascade de 22 mètres de haut.
On y accède par une promenade le long d’un chemin de campagne bordé de vignes et de vergers[71].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Robert Pizay, Pizay sculpteur, imagier, poète[72].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Coupé : au premier d'argent au loup passant d'azur, au second de gueules au pal d'or[73]
Commentaires : Site amorialdefrance.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Les habitants de La Motte
  2. Itinéraires
  3. L'eau dans la commune.
  4. Description de la station LA MOTTE - HAMEAU DU GOLF.
  5. Station d'epuration de la Motte - village.
  6. Le village de La Motte
  7. La Motte, Information Acquéreurs Locataires, sur www.var.gouv.fr.
  8. [PDF] sismicité du Var sur le site de la préfecture.
  9. Réseau régional de transports en commun
  10. De "La Moutto" au "Mitan"
  11. La cérémonie d’hommage à la Rugby Force à la Motte, p.16
  12. Parachutistes et planeurs du 15 août 1944. Images choc !, Réalisation Jean Claude Honnorat, sur Canal-D
  13. a et b La fiche biographique de BOUIS André, Julien, Marcel sur le Maitron en ligne
  14. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  15. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  18. Professionnels et établissements de santé
  19. Centre hospitalier de la Dracénie
  20. Professionnels et établissements de santé
  21. « Département de l’Information Médicale »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur ch-dracenie.fr (consulté le ).
  22. Centre hospitalier intercommunal de Fréjus-Saint-Raphaël
  23. Etablissements d'enseignements
  24. Paroisse de La Motte
  25. Mosquée
  26. Associations.
  27. La Motte en Dracénie.
  28. Les Comptes des Groupements à Fiscalité Propre (GFP) : CA Dracénoise – Var.
  29. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  30. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  31. « Orthodromie entre La Motte et Les Arcs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  32. « Station Météo-France « Les Arcs_sapc », sur la commune des Arcs - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  33. « Station Météo-France « Les Arcs_sapc », sur la commune des Arcs - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  34. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  35. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  36. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  37. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  38. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  39. « Unité urbaine 2020 de Draguignan », sur insee.fr (consulté le ).
  40. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  41. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  42. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Draguignan », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  43. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  44. PLU sur Géoportail de l'urbanisme.
  45. Le SCOT de la Dracénie : Diagnostic et enjeux.
  46. Schéma de cohérence territoriale, État d’avancement dans le département du Var Périmètre SCOT Dracénie.
  47. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  48. Domaines agricoles et viticoles
  49. « coopérative vinicole La Mottoise, actuellement Les Vignerons de Saint-Romain », notice no IA83001351, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture enquête thématique régionale (Coopératives agricoles de Provence-Alpes-Côte d'Azur)
  50. Les Vignerons de Saint Romain. La Motte Appellation d'origine contrôlée Côtes de Provence, Indication géographique protégée : Var (IGP)
  51. Les domaines de Saint Endréol
  52. Hébergements
  53. Commerçants
  54. Services divers
  55. Les comptes de la commune
  56. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  57. Notice no PM83001214, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture autel, retable, tableau : Saint Quinis
  58. Notice no AP83W00905, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture Autel, retable, tableau : 'Saint Quinis', retable architecturé à fronton sculpté en bas-relief d'une effigie du saint et de deux anges, autel peint d'angelots tenant des armoiries
  59. Notice no PM83000358, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de 1674 de l'église Saint-Victor
  60. Notice no AP83W00907, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture Cloche en bronze ornée d'une croix et d'une inscription, datée de 1674
  61. Chapelles, sur l'Observatoire du patrimoine religieux
  62. Le monument aux morts
  63. Notice no MHR93_04835862, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture Monument aux morts
  64. Mémorial de la division aéroportée "Rubby Force"
  65. Le musée d'histoire et des traditions mottoises.
  66. « parc du château d'Esclans », notice no IA83000401, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture pré-inventaire (jardins remarquables ; documentation préalable).
  67. Le Château d'Esclans, Domaines Sacha Lichine.
  68. Le Château d'Esclans et Cave d'Esclans.
  69. « parc du château de Valbourges », notice no IA83000402, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture pré-inventaire (jardins remarquables ; documentation préalable).
  70. Le Domaine de Valbourgès.
  71. Les sites naturels et culturels.
  72. Biographie de Robert Pizay
  73. Communauté d'agglomération Dracénoise nord : La Motte, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]