La Graine de McCoy

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La Graine de McCoy
Publication
Auteur Jack London
Titre d'origine
The Seed of McCoy
Langue Anglais américain
Parution New York (États-Unis)
The Macmillan Co
1911
Recueil
Traduction française
Traduction Paul Gruyer et Louis Postif
Parution
française
1929
Intrigue
Lieux fictifs Îles Tuamotu
Nouvelle précédente/suivante

La Graine de McCoy (titre original : The Seed of McCoy) est une nouvelle américaine de Jack London publiée aux États-Unis en 1909.

Historique[modifier | modifier le code]

La nouvelle est publiée initialement dans The Century Magazine en , avant d'être reprise dans le recueil South Sea Tales en .

Résumé[modifier | modifier le code]

Au large de l'Île Pitcairn, le capitaine Davenport embarque comme pilote un certain McCoy, arrière petit-fils du McCoy de la Bounty. La cargaison de blé de son bateau brûle depuis quinze jours et il voudrait « pouvoir l'échouer ou le saborder, et sauver la coque »[1]. Pour cela, il faut une belle plage dans un lagon avec une passe... Avec bienveillance, tout le contraire de son ancêtre, McCoy va guider la goélette dans « l'Archipel périlleux », pour l'échouer à Fakarava, sauvant l'équipage.

Éditions[modifier | modifier le code]

Éditions en anglais[modifier | modifier le code]

Traductions en français[modifier | modifier le code]

  • La Graine de McCoy, traduit par Paul Gruyer et Louis Postif, in la Revue universelle du .
  • Le Legs de McCoy, traduit par Paul Gruyer et Louis Postif, in Contes des Mers du Sud, recueil, Phébus, 2001.
  • La Descendance de McCoy, traduit par Aurélie Guillain, Gallimard, 2016[2].

Sources[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. Jack London
  2. Jack London, Romans, récits et nouvelles, tome II, édition publiée sous la direction de Philippe Jaworski, Paris, Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 2016 (ISBN 978207014648-2)