La Force (Dordogne)
La Force | |||||
Le château de la Force. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Bergerac | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération bergeracoise (nouvelle) | ||||
Maire Mandat |
Serge Pradier 2020-2026 |
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Code postal | 24130 | ||||
Code commune | 24222 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Forcelais, Forcelaises[1] | ||||
Population municipale |
2 658 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 170 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 52′ 10″ nord, 0° 22′ 34″ est | ||||
Altitude | Min. 12 m Max. 116 m |
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Superficie | 15,60 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Bergerac (banlieue) |
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Aire d'attraction | Bergerac (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Pays de la Force | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | http://www.laforce-dordogne.fr/ | ||||
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La Force est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. De 1790 à 2015, la commune était le chef-lieu du canton de la Force.
Géographie
[modifier | modifier le code]Généralités
[modifier | modifier le code]Dans le quart sud-ouest du département de la Dordogne, en Bergeracois, la commune de La Force fait partie de l'unité urbaine de Bergerac et de son aire d'attraction. Elle est bordée au sud par la Dordogne et arrosée par son affluent l'Eyraud.
À l'intersection des routes départementales (RD) 4, 16 et 34, la ville de La Force se situe, en distances orthodromiques, huit kilomètres à l'ouest du centre-ville de Bergerac et treize kilomètres à l'est-nord-est de Sainte-Foy-la-Grande.
Le territoire communal est également desservi par les RD 4E2, 15 et 32.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]La Force est limitrophe de quatre autres communes.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Géologie
[modifier | modifier le code]Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. La Force est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[2].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e6-7, se compose d'argiles à Palaeotherium, des argiles carbonatées silteuses versicolores à niveaux sableux (Bartonien supérieur à Priabonien inférieur continental). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 805 - Sainte-Foy-la-Grande » et « no 806 - Bergerac » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et leurs notices associées[5],[6].
Ère | Période | Époque | Formations géologiques | ||||||||||
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Cénozoïque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
Holocène |
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Pléistocène |
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Néogène (2.58 - 23.03) |
Pliocène |
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Miocène | non présent | ||||||||||||
Paléogène (23.03 - 66.0) |
Oligocène |
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Éocène |
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Paléocène | non présent | ||||||||||||
Mésozoïque (66.0 - 252.17) |
non présent | ||||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 538.8) |
non présent |
Relief et paysages
[modifier | modifier le code]Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 12 m et 116 m[7],[8].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [9]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[10]. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures[11],[12].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 15,60 km2[7],[13],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 15,61 km2[4].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[16]. Elle est drainée par la Dordogne, l'Eyraud, le Barailler, le Leylavet, le ruisseau de Lagardie, le ruisseau de Tulen, le ruisseau du Landet et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 24 km de longueur totale[17],[Carte 1].
La Dordogne, d'une longueur totale de 483,1 km, prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (1 885 m), dans la chaîne des monts Dore, traverse six départements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne à Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde[18],[19]. Elle borde la commune au sud sur près de deux kilomètres et demi, face à Lamonzie-Saint-Martin.
L'Eyraud, d'une longueur totale de 21,02 km, prend sa source dans la commune d'Eyraud-Crempse-Maurens et se jette en rive droite de la Dordogne à Saint-Pierre-d'Eyraud, face à Gardonne[20],[21]. Il traverse le territoire communal du nord-est au sud-ouest sur plus de cinq kilomètres dont 700 mètres en limite avec Prigonrieux.
Au nord-est, le ruisseau de Lagardie, affluent de rive droite de l'Eyraud, borde la commune sur deux kilomètres, face à Saint-Georges-Blancaneix.
Autre affluent de rive droite de l'Eyraud, le ruisseau de Tulen prend sa source dans le nord du territoire communal et s'écoule vers le sud sur plus de trois kilomètres.
Le Barailler est un défluent de l'Eyraud et un affluent de la Dordogne. Il nait sur la commune au nord-est de Chadeau et l'arrose sur près d'un kilomètre et demi.
Son affluent de rive gauche le Leylavet prend sa source dans le sud-ouest de la commune qu'il arrose sur 250 mètres.
Affluent de rive droite du Barailler, le ruisseau du Landet sert de limite naturelle au nord-ouest sur deux kilomètres entre La Force et Saint-Pierre-d'Eyraud.
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[22]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [23].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[24]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[25].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 820 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[26]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bergerac à 9 km à vol d'oiseau[27], est de 13,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 792,9 mm[28],[29]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[30].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Natura 2000
[modifier | modifier le code]La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont La Force[31],[32]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[33].
ZNIEFF
[modifier | modifier le code]La Force fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[34],[35], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[36].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , La Force est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[37]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bergerac, une agglomération inter-départementale dont elle est une commune de la banlieue[38],[39]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[39]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[40],[41].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (39,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (55 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,8 %), zones urbanisées (20,3 %), zones agricoles hétérogènes (18,4 %), prairies (10,7 %), terres arables (5,6 %), cultures permanentes (5 %), eaux continentales[Note 4] (1,2 %)[42]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Prévention des risques
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de La Force est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[43]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[44].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bergerac, regroupant les 22 communes (15 en Dordogne et 7 en Gironde) concernées par un risque de débordement de la Dordogne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[45]. Les événements significatifs antérieurs à 2014 sont la crue de 1843 (4 100 m3/s à Bergerac, la crue de référence historique de période de retour au moins centennale), les crues de 1912, 1944 et 1952 (période de retour de 50 ans) et les crues de 1982 et 1994 (période de retour de 20 ans). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[46]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1996, 1999 et 2018[47],[43]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Dordogne - Bergeracois », couvrant 5 communes et approuvé le , pour les crues de la Dordogne[48],[49].
La Force est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[50]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[51],[52].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[53]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[54]. 96,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[55].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1996, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[43].
Risque technologique
[modifier | modifier le code]La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 6] situé dans le département de la Corrèze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[57].
Toponymie
[modifier | modifier le code]En occitan, la commune porte le nom de La Fòrça[58].
Histoire
[modifier | modifier le code]Blason : « d'azur à trois léopards couronnés d'or » La seigneurie de Laforce revient en 1554 à la Maison de Caumont, déjà en possession des fiefs de Caumont en Agenais et de Castelnaud en Périgord. Elle est érigée en marquisat en 1609 puis en duché en 1637. La Maison de Caumont conservera Laforce jusqu'à la Révolution et en porte encore le titre aujourd'hui. Durant la période révolutionnaire, Lakanal fait abattre le château de Laforce, siège du duché.
En 1958, la commune de Laforce prend le nom de La Force.
Liste des seigneurs, marquis et ducs de La Force depuis 1554
[modifier | modifier le code]- 1554 à 1572 François de Caumont (1524-1572), seigneur de La Force. Tué lors du massacre de la Saint-Barthélemy.
- 1572 à 1652 Jacques Nompar Ier de Caumont (1558-1652), 1er marquis en 1609, 1er duc de La Force en 1637, maréchal de France, son fils
- 1652 à 1675 Armand Nompar Ier de Caumont (1580-1675), 2e duc de La Force, maréchal de France, son fils
- 1675 à 1678 Henri Nompar de Caumont (1582-1678), 3e duc de La Force, son frère
- 1678 à 1699 Jacques-Nompar II de Caumont (1632-1699), 4e duc de La Force, son petit-fils
- 1699 à 1726 Henri Jacques Ier de Caumont (1675-1726), 5e duc de La Force, académicien, son fils
- 1726 à 1764 Armand Nompar II de Caumont (1679-1764), 6e duc de La Force, son frère. À sa mort, le titre ducal s'éteint.
- 1764 à 1773 Bertrand Nompar de Caumont (1724-1773), marquis de La Force, son cousin
- 1773 à 1838 Louis-Joseph de Caumont (1768-1838), marquis puis 7e duc de La Force en 1784, son fils et arrière-petit-fils en ligne féminine du 6e duc. Le titre ducal est rétabli en sa faveur
- 1838 à 1854 François-Philibert de Caumont (1772-1854), 8e duc de La Force, son frère
- 1854 à 1857 Edmond Nompar de Caumont (1818-1857), 9e duc de La Force, son petit-fils
- 1857 à 1882 Auguste Nompar Ier de Caumont (1803-1882), 10e duc de La Force, son oncle
- 1882 à 1909 Olivier Nompar de Caumont (1839-1908), 11e duc de La Force, son fils
- 1909 à 1961 Auguste Nompar II de Caumont (1878-1961), 12e duc de La Force, académicien, son fils
- 1961 à 1985 Jacques Nompar III de Caumont (1912-1985), 13e duc de La Force, son fils
- depuis 1985 Henri-Jacques II de Caumont, né en 1944, 14e duc de La Force, son fils
Les asiles de Laforce
[modifier | modifier le code]En août 1844, le pasteur John Bost est appelé par les paroissiens du village de Laforce. Les habitants protestants ont refusé de suivre le pasteur désigné par le Consistoire de Bergerac, car pour eux, il n'était pas « évangélique ». Le ministère pastoral de John Bost est reconnu le à Orléans.
Le , grâce aux recommandations des professeurs de la faculté protestante de Montauban et aux souscriptions recueillies à Paris et à l'étranger, ce pasteur ouvre un orphelinat pour jeunes filles dénommé « La Famille évangélique ». Cette création sera suivie par sept autres pavillons généralement dénommés sous le terme d'« asiles » et qui se dénomment « Bethel », « Bethesda », « Eben-Hézer », « la Miséricorde », « le Repos », « la Retraite » et « Siloé »
En 1861, le compositeur Franz Liszt apprend alors qu'il est installé à Weimar que son ancien élève John Bost avait abandonné la musique pour devenir pasteur et consacrer sa vie à créer et à diriger des asiles de charité lance cette première phrase[59] : « Eh bien, il a fait ce qu'il y a de mieux à faire », puis se reprend, en ajoutant : « Il a fait ce qu'il y a à faire. »
En 1877, dans un ouvrage publié pour présenter les divers établissements de son institution, le pasteur John Bost présente l'ensemble de cette œuvre qui préfigure l'action médico-sociale publique en ces termes[60] :
« L'enfance abandonnée, les infirmes, les incurables, les aveugles, les sourds-muets, les idiots, les épileptiques, les veuves, les institutrices malades, l'humble servante infirme, usées par le travail, viennent vous raconter leurs souffrances, vous bénir pour tout le bien que déjà vous leur avez fait et se recommander à votre sympathie, votre charité — ne soyez pas sourd à leurs cris. Leur histoire se résume en un mot : souffrir et la vôtre en deux mots : soulager, consoler, n'est-ce pas ? »
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Dès 1790, la commune de La Force est rattachée au canton de la Force qui dépend du district de Bergerac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton dépend de l'arrondissement de Bergerac[7].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[61]. La commune est alors rattachée au canton du Pays de la Force, dont le bureau centralisateur est localisé à Prigonrieux.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Fin 2001, La Force intègre dès sa création la communauté de communes Dordogne-Eyraud-Lidoire dont elle est le siège. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté d'agglomération bergeracoise. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes des Coteaux de Sigoulès au pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]La population de la commune étant comprise entre 2 500 et 3 499 habitants au recensement de 2017, vingt-trois conseillers municipaux ont été élus en 2020[62],[63].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Poste et télécommunications
[modifier | modifier le code]En , le bureau de poste de La Force est remplacé par une agence postale communale, dans les mêmes locaux[66].
Justice
[modifier | modifier le code]Dans le domaine judiciaire, La Force relève[67] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Bergerac ;
- du pôle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel, du tribunal administratif et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[68]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[69].
En 2021, la commune comptait 2 658 habitants[Note 7], en évolution de +2,11 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Sports
[modifier | modifier le code]Club de softball/baseball « Les Alouettes » qui organise chaque année le tournoi annuel de softball mixte à La Force (32e édition en 2024)[71].
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Omelette à l'aillet (le 1er mai)
- Fête nationale (samedi précédent le )
- Fête de la citrouille (1er dimanche d'octobre)
- Fête de la fondation John Bost le premier week-end de juin[72].
Économie
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il affecte les habitants de La Force ou qu'il est proposé sur le territoire de la commune.
L'emploi des habitants
[modifier | modifier le code]En 2018[73], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 1 129 personnes, soit 42,4 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (116) a fortement diminué par rapport à 2013 (168) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 10,3 %.
L'emploi sur la commune
[modifier | modifier le code]En 2018, la commune offre 1 393 emplois pour une population de 2 665 habitants[74]. Le secteur administratif (administration publique, enseignement, santé, action sociale) est ultra-majoritaire avec 75,7 % des emplois.
Répartition des emplois par domaines d'activité
Agriculture, sylviculture ou pêche | Industrie | Construction | Commerce, transports et services | Administration publique, enseignement, santé, action sociale | ||
---|---|---|---|---|---|---|
Nombre d'emplois | 20 | 109 | 67 | 143 | 1 055 | |
Pourcentage | 1,4 % | 7,8 % | 4,8 % | 10,3 % | 75,7 % | |
Source des données[74]. |
Établissements
[modifier | modifier le code]Fin 2018, la commune compte 48 établissements actifs employeurs[75], dont vingt-cinq au niveau des commerces, transports ou services, quinze relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, six dans la construction, et deux dans l'industrie[76].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Château de La Force, classé au titre des monuments historiques en 1932[77]
- Fondation John Bost
- Temple protestant de la fondation John Bost
- Temple protestant de La Force, un des rares temples construits avant la révocation de l'édit de Nantes
- Église Saint-Victor, de style néogothique
-
Les vestiges du
château de La Force. -
Le temple protestant
de La Force. -
L'église Saint-Victor.
Patrimoine culturel
[modifier | modifier le code]- Foyer Socio-culturel.
- Place des monuments aux morts.
Activités culturelles
[modifier | modifier le code]Un concert organisé à l'occasion du centenaire de l'armistice de 1918 par l'association Paroles et musiques dans le temple protestant John Bost a permis d'aborder un aspect de la vie des poilus lors de la Grande Guerre. Pierre Hamel, premier violon à l'Orchestre Colonne de Paris a joué d'un instrument peu commun : un violon en métal utilisé par les soldats dans les tranchées pour se distraire. Fabriqué par un maître-luthier de Mirecourt avec des bidons de margarine et des plaques de métal assemblées et soudées, le violon possède un système de chevilles qui fait qu'il peut être accordé et qu'on peut en jouer, même s'il est plus lourd et si le son est un peu métallique. C'est un instrument dont il n'existe que cinq ou six exemplaires connus[78].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jacques Nompar de Caumont (v.1558-1652), 1er duc de La Force, maréchal de France
- Armand Nompar de Caumont (1582-1672), 2e duc de La Force, maréchal de France
- Henri Jacques Nompar de Caumont (1675-1726), 5e duc de La Force, homme politique, membre de l'Académie française
- Henri François-Xavier de Belsunce-Castelmoron (1671-1755) né au château de La Force, évêque de Marseille
- Ami Bost (1790-1874), pasteur protestant, décédé à La Force
- John Bost (1817-1881), pasteur protestant, fondateur des Asiles de La Force (1848), fils d'Ami Bost
- Michel Manet (1924-2010), homme politique, est né à La Force[79].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de La Force se blasonnent ainsi : « D'azur à trois léopards couronnés d'or, l’un sur l’autre. » |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- René Costedoat, « Quatre registres protestants de La Force (1665-1685) et quelques autres », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1994, tome 121, 3e livraison, p. 389-428 (lire en ligne)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes de la Dordogne
- Liste des anciennes communes de la Dordogne
- Communauté d'agglomération bergeracoise (nouvelle)
- Liste des châteaux de la Dordogne
- Dordogne (département)
- Périgord
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[14],[15]
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[56].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de la Force » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Services publics La Force », sur habitants.fr (consulté le ).
- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- « Carte géologique de La Force » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de La Force », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
- « Notice associée à la feuille no 805 - Sainte-Foy-la-Grande de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
- « Notice associée à la feuille no 806 - Bergerac de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Repères géographiques du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Portrait du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de La Force », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
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- « Confluence Dordogne-Garonne au bec d'Ambès » sur Géoportail (consulté le 6 août 2022)..
- Sandre, « la Dordogne »
- « Confluence Eyraud-Dordogne à l'est des Barraux » sur Géoportail (consulté le 6 août 2022)..
- Sandre, « l'Eyraud »
- « SAGE Dordogne Atlantique », sur gesteau.fr (consulté le ).
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
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- [PDF] - La Dordogne (Identifiant national 720020014), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
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- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), liste des risques par communes, pages 111-133.
- [PDF]« Plan de prévention du risque inondation de la « vallée de la Dordogne - Bergeracois » », sur le site de la préfecture de la Dorodgne, (consulté le ).
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- « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
- « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- Le nom occitan des communes du Périgord - La Fòrça sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
- Site lexilogos.com, page "John Bost et sa cité prophétique", consulté le 12 décembre 2020
- Site gallica.bnf.fr, livre "Les asiles de Laforce", Imprimerie Faisandier Bergerac 1877, consulté le 12 décembre 2020.
- Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 5 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 29 octobre 2020.
- « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 11.
- « Adjoint, Serge Pradier revêt l'écharpe tricolore… », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 19.
- Jacques Boujou, « L'agence postale communale ouvre mardi », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 20b.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Jacques Boujou, « Les Alouettes préparent leur 32e tournoi annuel de softball », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 16f.
- Jacques Boujou, « Deux jours de fête à la Fondation John-Bost », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 16d.
- Dossier complet - Commune de la Force (24222) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 3 avril 2022.
- Dossier complet - Commune de la Force (24222) - Emploi - Population active - tableaux POP T0 et EMP T8 sur le site de l'Insee, consulté le 3 avril 2022.
- « Établissement / Siret », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de la Force (24222) - Établissements actifs employeurs par secteur d'activité - tableau RES T1P sur le site de l'Insee, consulté le 3 avril 2022.
- « Château de La Force », notice no PA00082562, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 avril 2012.
- Emeline Ferry, « Un concert à La Force, en Dordogne, avec un violon fabriqué pour les soldats dans les tranchées », France Bleu Périgord et France Bleu, (lire en ligne).
- Trombinoscope de l'Assemblée nationale