La Ferrière (Vendée)

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La Ferrière
La Ferrière (Vendée)
L'église Sainte-Radégonde de La Ferrière.
Image illustrative de l’article La Ferrière (Vendée)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement La Roche-sur-Yon
Intercommunalité La Roche-sur-Yon-Agglomération
Maire
Mandat
David Bély
2020-2026
Code postal 85280
Code commune 85089
Démographie
Gentilé Ferriérois, Ferriéroise
Population
municipale
5 398 hab. (2021 en augmentation de 4,47 % par rapport à 2015)
Densité 115 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 42′ 51″ nord, 1° 18′ 48″ ouest
Altitude 87 m
Min. 55 m
Max. 105 m
Superficie 46,96 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine La Ferrière
(ville isolée)
Aire d'attraction La Roche-sur-Yon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chantonnay
Législatives Première circonscription
Localisation
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La Ferrière
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La Ferrière
Liens
Site web Site officiel

La Ferrière est une commune française située dans le département de la Vendée et dans la région Pays de la Loire.

Ses habitants sont appelés les Ferriérois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Au centre du département, La Ferrière se situe à une dizaine de kilomètres au nord-est de La Roche-sur-Yon. La commune est traversée par la D 160, ancienne N 160 Paris - Les Sables-d'Olonne.

Le territoire municipal de La Ferrière s’étend sur 4 696 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 87 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 55 et 105 mètres[1],[2].

Environnement[modifier | modifier le code]

La Ferrière a obtenu deux fleurs au Concours des villes et villages fleuris (palmarès 2007).

L'UAB est première coopérative d'artisans menuisiers charpentiers en France et est au cœur d'une des deux zones d'activités de la commune.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 849 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de La Roche-sur-Yon à 9 km à vol d'oiseau[5], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 885,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Statistiques 1991-2020 et records LA ROCHE SUR YON (85) - alt : 88m, lat : 46°42'17"N, lon : 1°22'54"O
Records établis sur la période du 01-08-1984 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 3,2 2,7 4,4 6 9,3 12,3 13,9 13,9 11,4 9,4 5,9 3,6 8
Température moyenne (°C) 6,1 6,4 8,8 10,9 14,3 17,5 19,4 19,5 16,8 13,4 9,2 6,5 12,4
Température maximale moyenne (°C) 9 10,1 13,1 15,7 19,3 22,8 24,9 25,1 22,1 17,3 12,5 9,5 16,8
Record de froid (°C)
date du record
−14,9
16.01.1985
−15,4
10.02.1986
−10,3
01.03.05
−4,1
04.04.1996
−0,4
01.05.16
2,8
01.06.06
7,2
08.07.1996
5,1
31.08.1986
2,5
26.09.10
−4,5
30.10.1997
−7,1
22.11.1988
−9,5
30.12.1996
−15,4
1986
Record de chaleur (°C)
date du record
15,9
26.01.08
21,6
27.02.19
24,1
19.03.05
28,1
30.04.05
31,9
26.05.17
38,8
27.06.19
41,5
18.07.22
38,7
09.08.03
34,3
04.09.23
30,5
08.10.23
21,1
01.11.15
18,7
07.12.00
41,5
2022
Ensoleillement (h) 736 1 064 1 511 1 836 2 108 229 2 414 2 357 1 991 1 288 889 74 19 224
Précipitations (mm) 94,8 70,5 64,4 65,9 62,4 45,3 47,9 52,1 71,9 98,7 108,1 103,5 885,5
Source : « Fiche 85191003 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Ferrière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Ferrière, une unité urbaine monocommunale[12] de 5 255 habitants en 2017, constituant une ville isolée[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Roche-sur-Yon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (36,3 %), zones agricoles hétérogènes (31,2 %), prairies (22,9 %), zones urbanisées (4,6 %), forêts (2,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,4 %), mines, décharges et chantiers (0,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,3 %), eaux continentales[Note 3] (0,3 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

La Ferrière est un ancien Ferraria, dérivé du latin ferrum (le fer) et dont le nom est très communément employé pour désigner l'emplacement d'anciennes mines de fer ou de forges[18]. Il a en effet été découvert d'anciennes mines de fer du côté du village des Thermelières. Sur la carte de Cassini levée au XVIIIè siècle, le bourg est nommé : " La Ferrière-des-Chapelets "[19].

Le nom poitevin de la commune est la Ferère[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

On situe l'exploitation des anciennes mines de fer dès l'époque gallo-romaine.

Le nom de la Ferrière apparaît dans les textes vers 1300 à travers l'église de la Ferrière (ecclesiae de Ferreria)[20]. Cette ancienne église Sainte-Radégonde était desservie par l'abbaye de Mauléon[21]. Au XIXè siècle elle fut détruite et à son emplacement fut bâtie une église de style néo-gothique[22].

Les principaux seigneurs du lieu étaient ceux du Plessis-Bergeret, vassaux de la seigneurie, puis principauté de la Roche-sur-Yon. L'un d'eux, Gabriel de Chasteaubriand, obtint en 1648 que sa seigneurie soit élevée au rang de marquisat[23].

La fin du XVIIIè siècle voit la construction de la route royale Angers/Les Sables d'Olonne, devenue RN160, qui passe par le bourg de la Ferrière[24]. Depuis 2005, une grande partie du trafic emprunte l'autoroute A87 qui longe les limites sud-est du territoire communal.

D'environ 2 000 habitants durant les années 1960, la commune est passée à plus de 5 000 habitants en 2014, notamment du fait de la proximité du chef-lieu de la Vendée mais aussi des nombreuses industries du Nord-Est vendéen.

Ancienne commune de l'Airière[modifier | modifier le code]

L'Airière fut une ancienne paroisse, puis une commune rattachée à celle de la Ferrière par ordonnance royale du . Son territoire rassemblait toute la partie est de l'actuelle commune de la Ferrière, de l'autre côté de l'Yon. Elle incluait, outre l'Airière, les villages de la Bouchelière, de la Cantière, de l'Aubretière et de la Paillerie.

"L'Airière" sur le site des archives départementales de la Vendée et pour la municipalité, "Lairière" pour l'Institut Géographique National, l'écriture de ce toponyme ne semble pas fixée, ce qui était aussi le cas par le passé (Lairière, Lérrière, l'Ayrière). Pour Jean-Loïc Le Quellec, il y a eu agglutination de l'article : il faudrait donc bien écrire " L'Airière "[18].

Citée pour la première fois vers 1300 (Ecclesiae de Ayreria), l'église Sainte-Catherine de l'Airière était desservie par l'abbaye de Nieul-sur-l'Autize. Elle fut brûlée par les protestants en 1568[21]. Réparée ou reconstruite, elle avait une forme rectangulaire[25]. Ruinée lors des guerres de Vendée, le culte n'y fut pas rétabli. En 1820, la commune comptait 388 habitants[26]. Il ne reste rien aujourd'hui de l'église et du cimetière qui lui faisait face.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]


Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[27]
Période Identité Étiquette Qualité
1892 1919 François Regrenil    
1919 mai 1953 Héliodore Debien    
mai 1953 11 juin 1970
(décès)
Abel Bizet   Ancien cultivateur
Maire de Belleville-sur-Vie (1945 → 1953)
1970 25 mars 1994
(décès)
Marcel Rivière   Gérant de société (produits pétroliers, bières et boissons gazeuses)
Adjoint au maire (1965 → 1970)
29 avril 1994 9 avril 2015
(démission)
Yves Auvinet DVD Libraire, ancien secrétaire général de mairie
Conseiller général du canton des Essarts (2010 → 2015)
Conseiller départemental du canton de Chantonnay (2015 → )
9 avril 2015 26 mai 2020 Jean-Marie Chamard[28] DVD Cadre bancaire retraité
13e vice-président de La Roche-sur-Yon-Agglomération (2015 → 2020)
26 mai 2020 En cours David Bély[29] DVD Infirmier, responsable au centre de formation des soins
d’urgence de Vendée
8e vice-président de La Roche-sur-Yon-Agglomération (2020 → )
Les données manquantes sont à compléter.

La Ferrière adhère à la communauté de communes du Pays-Yonnais, devenue La Roche-sur-Yon-Agglomération.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

En 2021, la commune comptait 5 398 habitants[Note 4], en augmentation de 4,47 % par rapport à 2015 (Vendée : +4,91 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
8418771 0871 5101 6261 6551 8101 9751 988
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
2 0452 0982 1352 2052 1802 2062 2952 3782 347
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
2 4072 3152 0191 9441 9651 9531 9091 9412 007
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
2 0092 3933 3613 7653 9484 2864 3014 7845 084
2019 2021 - - - - - - -
5 3155 398-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,4 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 2 611 hommes pour 2 674 femmes, soit un taux de 50,60 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,16 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,5 
5,2 
75-89 ans
6,9 
18,2 
60-74 ans
18,4 
20,0 
45-59 ans
18,9 
19,7 
30-44 ans
20,3 
14,3 
15-29 ans
13,4 
22,0 
0-14 ans
20,5 
Pyramide des âges du département de la Vendée en 2020 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,2 
8,5 
75-89 ans
11 
20 
60-74 ans
20,8 
20 
45-59 ans
19,4 
17,7 
30-44 ans
16,9 
14,9 
15-29 ans
13,2 
18,1 
0-14 ans
16,4 

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Sainte-Radégonde (style néo-gothique, XIXè siècle).
  • À 1 km du Bourg, au sud-ouest de la Ferrière se trouve un étang, le Plessis-Bergeret.

Manifestations et évènements[modifier | modifier le code]

En 2005, du au , les « Fusions » sont venues animer la Ferrière avec un feu d'artifice (à la fin) et une exposition d'art en fer, l'exposition de la métallurgie pour avoir des fusions…

Le , La Ferrière a accueilli la 41e édition du Tour de Vendée

Spécialités[modifier | modifier le code]

"Les Eclats de scorie". Créés par un jeune pâtissier de la Ferrière, ces chocolats rappellent la forme des scories, seules traces de l'exploitation des mines de fer datant des Gaulois (Pictes et Ambilatres).

La Ferrière abrite aussi le centre de distribution de POLLEN-Diffusion, l'un des premiers distributeurs de livres de France.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Commune 981 », Géofla, version 2.2, base de données de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
  2. « La Ferrière », Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre La Ferrière et La Roche-sur-Yon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « La Roche-sur-Yon », sur la commune de La Roche-sur-Yon - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « La Roche-sur-Yon », sur la commune de La Roche-sur-Yon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de La Ferrière », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de La Roche-sur-Yon », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b et c Jean-Loïc Le Quellec, Dictionnaire des noms de lieux de la Vendée : origines, histoire et légendes de plus de 1300 noms, communes, villages, rivières, fermes, lieux-dits et mégalithes, La Crèche, Geste éditions, , 443 p. (ISBN 2-84561-263-X).
  19. « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr.ignipq.local.oshimae.rie.agri (consulté le ).
  20. Pouillé du diocèse de Poitiers de l'évêque Gautier de Bruges (vers 1300), transcrit par Henri Beauchet-Filleau, éd. L. Clouzot (Niort) et H. Oudin (Poitiers), 1868 (en ligne sur le site https://gallica.bnf.fr)
  21. a et b abbé Aillery, Les Essarts, Saint-Fulgent et leurs environs, Paris, Le Livre d'histoire-Lorisse, 1992 (réédition des "chroniques paroissiales" de 1892) (ISBN 2-87760-826-3).
  22. http://www.patrimoine-religieux.fr (consulté le 13 janvier 2019)
  23. Henri Beauchet-Filleau, Dictionnaire historique et généalogique des familles du Poitou, tome II, Poitiers, imprimerie Oudin et Cie, (lire en ligne).
  24. Philippe Bossis, La Vendée des origines à nos jours : Chapitre IV : les temps modernes, Saint-Jean-d'Angély, Editions Bordessoules, , 471 p. (ISBN 2-903504-07-5).
  25. Cadastre de la commune de l'Airière, 1826 (Archives départementales de la Vendée)
  26. Recensement de la commune de l'Airière, 1820 (Archives départementales de la Vendée)
  27. Camille Guichet et membres du groupe Patrimoine (collaboration), Histoire d’un siècle à La Ferrière : 1900-2000, 12 p. (lire en ligne [PDF]), p. 11.
  28. Loïc Tissot, « Jean-Marie Chamard, élu depuis 20 ans, est le nouveau maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  29. « La Ferrière. David Bély détient les clefs de la mairie », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Ferrière (85089) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).