La Chapelle-du-Noyer

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

La Chapelle-du-Noyer
La Chapelle-du-Noyer
L'entrée du village et l'église Notre-Dame.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Châteaudun
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Châteaudun
Maire
Mandat
Martine Profeti
2020-2026
Code postal 28200
Code commune 28075
Démographie
Gentilé noyocapellois
Population
municipale
1 014 hab. (2020 en diminution de 7,23 % par rapport à 2014)
Densité 76 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 03′ 29″ nord, 1° 18′ 50″ est
Altitude Min. 102 m
Max. 146 m
Superficie 13,31 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Châteaudun
(banlieue)
Aire d'attraction Châteaudun
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Châteaudun
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
La Chapelle-du-Noyer
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
La Chapelle-du-Noyer
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Voir sur la carte topographique d'Eure-et-Loir
La Chapelle-du-Noyer
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
La Chapelle-du-Noyer
Liens
Site web https://www.la-chapelle-du-noyer.fr

La Chapelle-du-Noyer est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Le bourg de La Chapelle-du-Noyer est très restreint mais l'extension de la commune rejoint la ville de Châteaudun. Par conséquent, une zone commerciale et d'activités en continuité du noyau urbain de Châteaudun, ainsi que des habitations et un lycée technique, sont situés sur la commune de La Chapelle-du-Noyer.

La commune se compose de hameaux où résident une grande partie de la population, et qui sont assez étendus : la Fringale et surtout la Varenne-Ferron.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de La Chapelle-du-Noyer
Saint-Denis-les-Ponts Châteaudun
Douy La Chapelle-du-Noyer
Autheuil Thiville

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

  • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,9 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 669 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,1 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Châteaudun », sur la commune de Jallans, mise en service en 1952[7] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 10,6 °C pour la période 1971-2000[9] à 11,1 °C pour 1981-2010[10], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Chapelle-du-Noyer est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Châteaudun, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[15] et 17 279 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châteaudun, dont elle est une commune du pôle principal[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (77,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,5 %), forêts (11,5 %), zones urbanisées (6,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,1 %), prairies (0,2 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de La Chapelle-du-Noyer est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1983 et 1999[23],[21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Chapelle-du-Noyer.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile, des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des effondrements généralisés[24]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 71,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 505 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 309 sont en aléa moyen ou fort, soit 61 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[27].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Capella de Nuceto vers 1250[28].

Rien, formellement, n'empêche d'interpréter comme un arbre le second élément de La Chapelle-du-Noyer[28], désignant le noyer qui a plus tard été francisé en Noyers à la Révolution[29].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
maire en 1958 ? Paul d'Amécourt DVD Agriculteur, suppléant du député Michel Hoguet
mars 2001 2020 Odil Billard DVD Retraité
mai 2020 En cours Martine Profeti[30]   Retraitée
Les données manquantes sont à compléter.

Élection municipale du 15 mars 2020[modifier | modifier le code]

  • Maire sortant : Odil Billard (ne se représente pas)
  • 15 sièges à pourvoir au conseil municipal (population légale 2017 : 1 032 habitants)
  • 1 siège à pourvoir au conseil communautaire (communauté de communes du Grand Châteaudun)

Tous les sièges sont pourvus lors de ce premier tour par la liste unique conduite par Martine Profeti, deuxième adjointe d'Odil Billard[31],[32].

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

En 2020, la commune comptait 1 014 habitants[Note 7], en diminution de 7,23 % par rapport à 2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
408370369309386433436469474
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
495522516467503510505462422
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
431425443692575628586469572
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
6207578319329671 0561 0511 0461 075
2017 2020 - - - - - - -
1 0321 014-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Château de Touchebredier.

Église Notre-Dame[modifier | modifier le code]

Château de Touchebredier[modifier | modifier le code]

Les façades, côtés et toitures du château de Touchebredier, ainsi que le grand salon avec son décor, la grille d’entrée et la fuie datent du XVIIIe siècle, Logo monument historique Inscrit MH (1971)[39].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Philippe Boudot, triple Champion du Monde de développé couché, champion du monde 2019 (Henderson, États-Unis), champion du monde 2021 (Valledoria, Sardaigne), champion du monde 2022 (Maromme 76, France) en force athlétique au mouvement de développé couché, catégorie - 75 kg, vétéran 5.(Quel lien avec la commune ?[pourquoi ?])
  • Philippe Clément, remporte les Six jours de France (2017) en marchant 652.9 kilomètres en 144 heures, il a remporté également plusieurs fois la Godillose, course mythique de 125 kilomètres du département de l'Eure et Loir sur la commune de Bonneval.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  7. « Station météofrance Châteaudun - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre La Chapelle-du-Noyer et Jallans », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  10. « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  11. « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Châteaudun », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  16. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  21. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de La Chapelle-du-Noyer », sur Géorisques (consulté le )
  22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  23. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  24. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de La Chapelle-du-Noyer », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
  26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  27. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  28. a et b Nouvelle revue d'onomastique, vol. 21 à 24, Société française d'onomastique, , p. 266.
  29. Jean Claude Farcy, Benoît Garnot et Jean-Pierre Bardet, Eure-et-Loir, , p. 178.
  30. « Municipales 2020 - Martine Profeti élue à l’unanimité maire de La Chapelle-du-Noyer », sur https://www.lechorepublicain.fr, .
  31. Ministère de l'Intérieur, « Résultats par commune - La Chapelle-du-Noyer », sur https://elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  32. « La mairie », sur https://www.la-chapelle-du-noyer.fr (consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
  37. « Statue : Vierge à l'Enfant », notice no PM28000072, base Palissy, ministère français de la Culture.
  38. « Cloche de clocher », notice no PM28000073, base Palissy, ministère français de la Culture.
  39. « Château de Touchebredier », notice no PA00096989, base Mérimée, ministère français de la Culture.